Souvenirs de jeunesse
3 – Sylviane et Bruno
par Gérald
C’était Sylviane et Bruno, le couple du cinéma porno, ils m’invitaient à les rejoindre dans un sauna dont ils me donnèrent l’adresse, elle me dit que j’aimerais ça et que pour la suite de la soirée chez eux elle me réservait une surprise. J’acceptai avec plaisir et 20 minutes plus tard j’entrais dans l’établissement. Après m’être déshabillé et avoir enfilé le peignoir réglementaire, je les rejoignis au bar. Quand Sylviane m’aperçu, elle s’avança vers moi et me roula une pelle du tonnerre,
« Je suis contente de te voir, viens je vais t’expliquer ce que je souhaite aujourd’hui ».
Elle me prit par le bras pour rejoindre le bar, je saluais son mari tandis qu’elle me proposait de boire un cocktail.
« voilà dit-elle, j’ai pu voir l’autre jour que non seulement tu aimes sucer, mais en plus tu adores le foutre, cela se voit à ta façon d’avaler ,tu vois cette salle là-bas dit elle en me désignant une porte, c’est la salle de masturbation ,je ne sais pas si tu connais la nouvelle mode qui vient des USA ,il s’agit de séances de masturbation en groupe ,on peut se le faire soi même devant les autres, juste pour s’exhiber mais on peut aussi se faire branler par une autre personne ,c’est très amusant . Dès que tu auras fini ton verre, nous irons là-bas ensemble et je ferais une annonce au public, tu prendras position à genoux au centre de la pièce, mon caprice du jour et mon défi, c’est de te voir déguster un cocktail de foutre de tous les mecs présents dans cette pièce, si tu es d’accord je te promets qu’on finira la soirée ensemble chez moi et que tu ne le regretteras pas ».
Je vidais mon verre et lui dit que j’étais d’accord pour tenter l’expérience. Ils se levèrent pour se diriger vers la pièce du fond et je les suivis ,la pièce d’environ 30 mètres carrés était éclairée d’une lumière rouge mais pas trop agressive ,le sol était carrelé ainsi que les murs jusqu’à une hauteur de 1,50 m.
C’était sans aucun doute plus pratique pour le nettoyage, des banquettes étaient disposées le long des murs, elles étaient recouvertes d’un plastique bleu semblable à celui utilisé pour les tapis de gymnastique. Des rouleaux de papier absorbant étaient disposés sur des petits guéridons dans chaque angle de la salle, avec des petites poubelles en dessous. Il y avait environ une trentaine de personnes, en majorité des hommes, dont l’âge allait de 20 à 60 ans environ.
Elle s’adressa alors à l’assemblée :
« Bonjour à tous, le jeune homme que voici va relever un défi que je lui ai lancé, il va se mettre à genoux au centre de la pièce et ouvrir la bouche pour recueillir le plus de semence possible, alors n’hésitez pas messieurs et soyez généreux, mais que les choses soient bien claires, il ne s’agit pas d’un concours de pipes, vous allez devant lui au dernier moment quand vous êtes prêts à jouir, que la fête commence ».
Elle me prit alors par le bras et me dit :
« Allez en place, mets toi à genoux et ouvres bien la bouche, mais surtout tu n’avales pas au fur et à mesure, tu attends mon ordre, je veux te voir la bouche complètement remplie de foutre ».
Je pris position tandis qu’elle s’installait sur une banquette entre deux types et commençait à les branler, Bruno de son côté avait pris place près d’une jolie petite brune aux seins énormes. Je n’ai pas eu à attendre longtemps, déjà 2 types se présentèrent devant moi, se branlant vigoureusement, le premier m’envoya une copieuse giclée gluante au fond de la gorge, il n’avait pas tout a fait fini que le second, mal positionné, m’expédia son premier jet sur la joue, puis poussant l’autre, rectifia le tir pour finir dans ma bouche.
Sylviane voyant cela dit alors :
« Attention messieurs, on s’applique, on vise bien, je n’en veux pas à côté ».
Un homme d’environ 60 ans s’avança mais sa bite n’était pas très raide et il s’activait en vain devant moi, il fut rapidement bousculé par un jeune homme qui arriva à la dernière limite et éjacula 8 giclées de foutre très liquide avant de céder sa place à 2 autres qui se serrant l’un contre l’autre m’envoyèrent ensemble un flot de foutre en pleine bouche.
L’homme de tout à l’heure refit une tentative qui se solda par un petit paquet de sperme très épais sur ma langue.
Les deux types que Sylviane branlait étaient à point ,elle les amena devant moi en les tenant par la queue, puis s’agenouillant, elle en branla un à vive allure, le gland à 2 cm de mes lèvres ,tout en s’activant elle me dit d’un ton vicieux :
« Encore ces deux là et ta bouche sera presque pleine ».
Le gars m’expédia 6 jets de plus puis l’autre pris sa place, c’était un black au sexe énorme, son gland ressemblait à un gros champignon, il éjacula un flot de sperme phénoménal, le gland posé sur ma lèvre inférieure. Jamais je n’avais vu d’éjaculation aussi abondante, il n’en finissait pas de se vider. Les différents arômes de la masse gluante m’envahissaient le palais. Bruno se leva rapidement et vint à son tour se soulager.
Cette fois je n’en pouvais plus, j’avais la bouche vraiment pleine et commençais à avoir un peu mal aux mâchoires. Sylviane contempla le résultat avec un plaisir évident, puis posant sa main sous mon menton elle dit :
« Ça t’excite hein, allez maintenant fermes la bouche et avales tout, salope, régales toi ».
Elle avait dit ces mots à haute voix et tous les regards convergèrent vers moi. La fixant dans les yeux, j’avalais tout le sperme qui m’encombrait la bouche, c’était la première fois que j’en avalais autant. J’étais terriblement excité à la fois de me donner en spectacle de la sorte et surpris de prendre plaisir à me faire insulter par une femme.
« Très bien dit-elle, tu te régales, eh bien ce n’est pas fini ,il y a encore du monde d’autant plus qu’il en arrivent de nouveaux régulièrement ,on va continuer une vingtaine de minutes ,je veux que tu en bouffes encore au moins 3 comme celle-là ».
Les minutes qui suivirent furent comme les précédentes, une succession de giclées visqueuses me remplirent la bouche et j’avalais sur l’ordre de Sylviane. Ce scénario se renouvela 4 fois puis Sylviane annonça la fin de la séance.
« Je suis contente de toi tu sais, j’ai fait une petite estimation et tu as ingurgité au moins une trentaine de doses, c’est pas mal, tout au moins pour un début ».
Elle m’aida à me relever puis elle m’embrassa à pleine bouche.
« Tu sens le foutre, j’adore ça, mais tu dois avoir soif, viens on va boire un coup chez moi et finir la soirée à trois ».
Je laissais ma voiture sur place et profitais de la leur, pendant le trajet, Sylviane me dit : »je suis sûre que tu as pris ton pied et que tu n’as pas seulement accepté pour me faire plaisir ».
« C’est vrai lui répondis je, j’aime ça mais là ça faisait beaucoup d’un seul coup, c’était la première fois que j’en bouffais autant, mais c’était excitant et je te l’avoue, j’ai bien aimé quand tu m’a insulté et traité de salope, je crois que finalement j’ai un tempérament de soumis et j’aime bien recevoir des ordres d’une femme ».
« je l’avais deviné figures toi me répondit elle et j’apprécies beaucoup ,mais la soirée ne fait que commencer et je n’ai pas fini de te donner des ordres et te t’insulter espèce de petite salope ,tu seras désormais ma petite pute toujours prête à satisfaire sa maîtresse ».
Arrivés à leur appartement, elle demanda à Bruno de nous servir du champagne pendant qu’elle allait se changer. Quand elle revint, nous étions sur le canapé en train de l’attendre pour boire nos coupes.
Elle était vêtue d’un caraco de cuir noir lacé sur le devant qui mettait en valeur sa poitrine, et faisait ressortir le roux de ses cheveux qui tombaient sur ses épaules. Ses jambes étaient gainées de cuissardes à talons hauts et elle ne portait pas de culotte, je ne pouvais détacher mon regard de son sexe à demi épilé, sauf un petit triangle de poils roux sur le haut du pubis. Elle tenait à la main un martinet à longues lanières dont le manche était en forme de godemiché noir qu’elle frottait contre sa chatte.
– Bien dit elle, on va pouvoir s’amuser un peu, mais d’abord déshabillez vous tous les deux et buvons un verre, après nous être dévêtus, Sylviane prit son verre et porta un toast : »à notre rencontre et au pouvoir de la femme et à l’obéissance de l’homme ».
C’est avec un réel plaisir que j’avalai ma coupe de champagne car j’avais la bouche un peu pâteuse, puis elle me demanda si j’avais déjà fait l ‘amour avec une rousse, je lui répondis que non mais que je la trouvais très belle et que son sexe était un régal pour les yeux.
« Eh bien viens le voir de plus près »dit elle en me passant les lanières du martinet derrière la tête et me tirant vers elle, »mets toi à genoux devant moi et bouffes moi la chatte, tu vas voir comme je suis bonne ».
Je pris position et elle s’adossa contre le canapé en écartant largement les cuisses et en posant un pied sur le bord de la table basse.
Elle tira un peu plus sur les lanières pour que j’approche mes lèvres de son con.
« Lèches moi, on va voir si tu es aussi doué pour lécher une chatte que pour bouffer de la bite ».
J’approchais ma bouche et tout de suite une odeur puissante m’envahit les narines, je passais la langue le long de ses lèvres puis remontant vers son clitoris je le titillais de la pointe de la langue.
« Oui, vas y, continues comme ça, bouffes moi le clito et enfonces moi un doigt pour caresser mon point G, tu vas voir ce que c’est la jouissance d’une rousse, après ça, toutes les autres chattes te sembleront bien fades ».
Je lui enfonçais le majeur dans sa chatte déjà toute gluante et repris mon léchage, elle mouillait de plus en plus, son jus était fort et acide et son odeur envoûtante me faisait bander.
Elle demanda à son mari de se mettre à quatre pattes sur le canapé les fesses tournées vers elle. Elle se mit alors à lécher le gode puis elle l’appuya sur l’anus de son mari mais sans l’enfoncer ,puis elle le repris en bouche et cracha dessus avant de lui remettre ,cette fois elle poussa et introduisit la totalité du gland ce qui arracha un cri à son mari .
« Attends un peu mon chéri, je vais m’occuper de toi mais avant je vais prendre mon pied », puis s’adressant à moi sur un ton autoritaire elle dit : »vas y lèches moi plus vite, ça vient, lèches, bouffes, je vais t’arroser la gueule espèce de chienne ».
Mon doigt coulissait de plus en plus vite stimulant la zone sensible de la paroi antérieure de son vagin et j’aspirai son clito qui maintenant sorti de son capuchon avait la taille d’un gros haricot blanc.
Soudain, elle m’appuya la bouche avec force sur son sexe tout en resserrant les cuisses, elle jouissait en criant, une quantité incroyable de mouille à la fois liquide et visqueuse au goût très fort m’inonda la bouche, sur le coup j’ai cru qu’elle avait pissé un peu mais cela n’en avait pas le goût, puis deux giclées presque semblables à une éjaculation frappèrent ma langue tandis qu’elle hurlait en s’abattant sur le côté à moitié dans les vapes.
Reprenant ses esprits elle me demanda de ne plus toucher son clito mais seulement de lui lécher les lèvres pour les nettoyer. Je m’appliquais à la lécher en douceur, ses lèvres étaient toutes gluantes comme si un homme avait joui en elle, elle refit surface et retrouva bien vite son air supérieur.
« Tu lèches bien dit-elle, presque aussi bien qu’une femme, je n’aurais pas de mal à faire de toi ma petite salope à tout faire, comment trouves tu ma chatte ? ».
« Elle est très bonne, répondis je, mais je n’aurai jamais cru qu’une femme puisse mouiller autant ».
« Je te l’avais dit, une chatte rousse c’est spécial », puis regardant mon sexe en érection elle me dit : »ça a l’air de t’avoir fait de l’effet, vas te mettre devant Bruno, il va te sucer pendant que je l’encule ».
Je pris place devant la bouche de son mari et elle lui asséna un violent coup de martinet sur les fesses en lui ordonnant de me sucer, il ouvrit la bouche et goba ma bite presque entièrement, c’était la première fois qu’un homme me suçait et c’était terriblement excitant.
Sylviane, toujours assise derrière son mari, me tendit le gode en disant :
« Tiens, suces le et salives bien dessus ».
J’embouchais la bite de latex et fit quelques va et vient dessus en salivant bien, elle me le retira alors de la bouche et l’enfonça à moitié dans le cul de son homme qui, la bouche pleine, ne pouvait crier mais gémissait. Elle le ressortit et me le tendit de nouveau en me fixant avec un regard pervers et me dit :
« Suces le encore, salope, et salives correctement sinon je ne pourrais pas l’enfiler ».
Je repris le gode en bouche et fit ce qu’elle demandait, quand elle estima que c’était suffisant elle me le retira pour le replonger dans le cul de Bruno. Celui ci me suçait efficacement car j’étais sur le point de jouir et je l’avertis.
« tiens, cela me donne une idée dit Sylviane tout en continuant de fouiller son homme , Bruno, tu gardes tout en bouche, n’avales surtout pas ».
Ma jouissance fut si forte que mes jambes en tremblèrent, j’expédiais 8 giclées de foutre dans la bouche de Bruno qui serrait bien les lèvres autour de mon membre.
« Ça va mieux maintenant, alors vas mettre ta bouche en dessous de la sienne pendant qu’il recrache et n’avales surtout pas toi non plus ».
Je fis selon son désir et Bruno me recracha dans la bouche tout le sperme que je venais de lui envoyer.
« Bien me dit elle, viens ici maintenant ».
Je me relevai en gardant la bouche fermée et m’approchais d’elle. »Bruno, baisses la tête et cambres toi bien ».
Elle lui retira le gode puis lui écarta bien les fesses avec ses mains et me dit :
« Craches lui tout dans le cul, doucement, approches bien ta bouche de son trou et laisse couler sans en mettre à côté ».
J’approchais les lèvres de la corolle brune et laissait couler le flot gluant qui disparut dans le trou.
« Très bien dit elle, maintenant ça va glisser tout seul ».
Elle empoigna le gode-martinet et sans ménagement l’enfonça complètement dans le cul offert. Bruno se mit à gémir.
« C’est bon mon chéri dit elle en faisant coulisser l’engin ».
Elle fit plusieurs aller et retour puis elle le ressortit et me dit :
« Tu vois quand c’est bien lubrifié ça va tout seul, tout à l’heure tu n’avais pas assez salivé, ouvres la bouche je vais t’apprendre ».
Elle présenta devant mes lèvres le gode tout gluant de sperme plus tout à fait blanc.
« Suces le dit elle en me l’enfonçant dans la bouche ». Je tentai de reculer mais elle me retint par les cheveux violemment et le frotta sur mes lèvres en le faisant tourner de tous les côtés.
« Tires la langue ou je t’arrache les cheveux ».
Elle me faisait mal et je finis par céder, elle le frotta sur ma langue puis satisfaite de mon nettoyage, elle le remit à fond dans le cul de son mari. Elle le sortit à nouveau et je cru que j’allais avoir droit à une deuxième tournée mais, me regardant dans les yeux elle dit :
« saches qu’une sodomie ça se prépare, soit avec un lavement, soit avec un suppositoire à la glycérine si on ne veut pas avoir de problème de ce genre dit elle en désignant le gode souillé ,là c’est un peu de ma faute on n’a pas pris le temps ,saches aussi que je n’exige jamais quelque chose que je ne serais pas capable de faire moi même ,je vais te le prouver tout de suite mais souviens toi bien que je ne tolère pas la désobéissance ni les incapables ».
Elle emboucha alors le godemiché tout couvert de traînées gluantes brunâtres et le suça 3 ou 4 fois en se l’enfonçant dans la bouche et le ressortant en serrant les lèvres, puis passant la langue sur toute la longueur et sur toutes les faces elle lécha les dernières traces et le rendit aussi net qu’au début et m’ordonna de nous servir une coupe pour faire passer le goût. Elle vida son verre d’un trait et je fis de même.
Elle réintroduisit le gode et se mit à limer rapidement, elle bourrait son mari avec vigueur ce qui lui arrachait des cris de plaisir et il se mit à dire que c’était bon et qu’il allait jouir, sans prononcer une parole Sylviane me fit signe et je compris ce qu’elle désirait, je me glissais sous Bruno et eu tout juste le temps de le prendre en bouche pour recueillir un flot de sperme abondant au goût âcre et salé que j’avalais avec plaisir pour masquer le goût précédent. Après avoir joui, elle lui retira le gode et il l’embrassa en disant que ça avait été super bon.
Un peu de sperme dégoulinait de son anus le long de l’intérieur de sa cuisse et s’en apercevant, il dit qu’il allait prendre une douche. Sylviane se mit alors à quatre pattes sur le sol et me demanda de lui lécher le cul.
« Viens me fourrer ta langue dans le trou dit elle, et si tu t’y prends bien et que ça me donne envie, tu pourras m’enculer ».
Je m’agenouillais derrière elle et passant la langue sur sa rondelle, je m’appliquais à lui procurer du plaisir.
« Ho oui, comme ça, avec toute la largeur de ta langue c’est bon, maintenant enfonces la pointe, fouilles moi bien »dit elle de plus en plus excitée.
J’enfonçais alors ma langue le plus loin possible dans son conduit puis je fis des va et vient avec.
« Putain, tu m’as bien chauffée dit elle en se mettant deux doigts dans le cul, viens dans ma bouche que je te fasses durcir et que je te lubrifie la bite ».
Je lui présentais ma queue devant la bouche, elle l’engouffra jusqu’aux couilles et fit des va et vient rapides en salivant au maximum, quand elle estima que j’étais assez raide elle me libéra et dit : »craches moi dans le cul et enfonces toi ». Je repris place derrière elle et écartant les eux globes fessier, je crachai à 3 reprises un gros paquet de salive puis pointait le gland à l’entrée de son trou.
Je n’eus pas d’effort à faire, c’est elle même qui, reculant son bassin s’empala en totalité en criant de plaisir:
« Oui, vas y, bourres moi bien fort, défonces moi, j’aime quand c’est très intense mais pas quand ça dure longtemps, caresses moi la chatte en même temps ».
Je la limais à toute allure en lui caressant le clitoris, elle se mit rapidement à jouir en m’arrosant les doigts de son jus abondant et visqueux. A mon grand regret elle se dégagea sans m’avoir laisser le temps de jouir à mon tour. Mais elle fit alors demi tour et prenant ma bite à pleine bouche et me fit éjaculer en moins de trois minutes.
« Tu vois dit elle en se passant la langue sur les lèvres, j’aime bien dominer les mecs, les obliger à sucer des bites, bouffer du foutre ou se faire défoncer, mais j’aime bien aussi inverser les rôles, une bonne maîtresse peut être aussi une bonne esclave, c’est plaisant de varier les rôles ».
Elle se releva et servit du champagne, elle me tendit une coupe et en proposa également une à Bruno qui sortait de la salle de bain.
Elle quitta le salon quelques secondes et revint avec une petite boîte à la main.
(À suivre…)
Complétement barré mais super efficace, je bande comme un dingue