Histoires de bons plaisirs… Petit Bordel… Et vieilles Canailles par Verdon.

Histoires de bons plaisirs… Petit Bordel… Et vieilles Canailles par Verdon.

– Bonjour Firmin, comment vas-tu ?
– Bonjour, Claudine je vais bien, mais toi ! … ça n’a pas l’air d’aller… Qu’est-ce qu’il t’arrive, tu es souffrante ?
– Ben non, mais c’est Charles, ce vieux cochon…
– Charles, mon frangin… un cochon ! … Ton Charles, si doux et si aimable !
– Oui, eh bien ligure-toi qu’il me trompe mon cher mari.
– Il te trompe ! Allons-donc. Avec qui pourrait-il te tromper ? Il t’aime tant !
– Oui c’est fini il ne m’aime plus ; il couche avec Mélanie notre cochonne de boniche.
– Ça y est, nous voilà dans l’élevage porcin, maintenant… Mais qu’est-ce que tu me racontes là ? Tu les as surpris ensemble, pour dire cela ?
– Même pas ! Mais cette petite conasse a oublié sa culotte dans la salle de bain, la salope ! … en plus elle était merdeuse la culotte… alors vois-tu !
– Ben et alors… elle a tout simplement senti le besoin de se changer après une grosse envie mal maîtrisée ! … et elle aura laissé traîner ses affaires par mégarde ! Pas très maline la bergère !
– Mon œil ! Le Charles, il n’avait pas l’air très malin quand je lui ai présenté l’objet du délit… Il ne savait plus quoi dire… il a avoué, l’indélicat… Il l’a enculée et elle s’est essuyé le cul avec sa culotte…
– Hi ! Hi ! Je l’aurais bien récupérer, moi, la culotte ! Pas très fine, en effet la bonasse… Bof si c’est par le cul… C’est moins grave !
– Comment moins grave ? Tu le défends, toi,
– Mais non… par le cul ce n’est pas un péché d’amour… C’est mignon ! … Une indélicatesse, une petite sottise, je veux dire… une erreur de vieillesse… ça ne va pas plus loin, tu comprends…
– Je comprends qu’hier soir je lui suce la bite à ce con et j’apprends qu’un peu plus tôt dans la matinée, il s’est envoyé le cul de la soubrette !
– La belle affaire ! Ce n’est pas la première fois qu’il se paye un trou du cul ton charmant, et tu ne disais rien ! Elle avait mauvais goût, la pine de Monsieur ?
– Bof ! C’est vrai qu’elle avait un sacré bon goût la queue de mon homme ! Mais elle n’avait rien à faire dans le cul de cette petite garce ! … J’ai trouvé ça un peu amère !
– Ben, elle, certainement pas ! … Mais c’est dans ta tête que tu l’as trouvée amère ! … Tu ne l’as pas recraché pour autant, le bel os !
– Pour ça ! non, elle a le cul savoureux la salope !… Mais ce n’est pas une raison pour qu’il enfile le premier cul venu, mon Charlot !
– Oh ! Le premier cul venu ! … J’en prends pour mon grade, là… Le mien, n’en fait-il pas partie des premiers venus !… Non ?
– Le tiens … mais non, le tiens il est toujours bienvenu… Mais au moins je suis au courant, et puis il te fait ça si bien ! J’aime vous regarder quand il t’encule.
– Ben c’est un artiste… Que veux-tu. C’est un poète, alors celui de la servante… et tu as pu remarquer que celui-ci en vaut bien la chandelle … Non !
– Oui j’ai compris, va … Elle a un plus joli cul que le mien, n’est-ce pas ?
– Plus beau sans doute, mais le tiens il est meilleur… Humm !
– C’est que le mien, il a fait ses preuves… . Il en a connu des bites… et des bonnes !
– Comme la mienne, par exemple !
– Oui ! la tienne et celle de ton père, qu’est-ce que vous m’avez mis entre les fesses, mes salauds ! … Mais maintenant où sont-elles toutes ces pines, nom de dieu !
– Elles sont molles, ma pauvre, elles sont molles ! Je ne bande plus, mais vois-tu, quand tu me prends en bouche c’est si bon !
– En tout cas, Charles, lui, il l’a encore bien raide… tu le sais bien toi !
– C’est pour te soulager, ma chère belle-sœur… Autant j’en prends dans le cul, autant il épargne le tiens, n’est-ce pas ? C’est par solidarité ! … En plus, ça reste en famille.
– Voilà tu as tout compris ! Tandis que Mélanie, c’est une jeune salope qui veut se taper du vieux et mon Charles il me néglige.

Bon, vous n’êtes pas dupes. Vous avez bien compris que la Claudine, elle n’est pas tombée de la dernière pluie et que si elle va trouver son beau-frère, ce matin, ce n’est pas pour se faire consoler, mais plutôt pour compenser son manque à baiser, vu que son Charlot il est sur le cul de la soubrette. Alors ce n’est pas la peine d’en faire toute une histoire. Il lui suffit de sauter d’une bite à l’autre, bon dieu ! Et où est le mal ?

Et pourtant elle ne va pas baiser avec Firmin.

Eh non ! Vu qu’il ne bande pas beaucoup, son beauf.

En effet, il est plutôt cul que quéquette le monsieur… Ah, Bon ! … Vous avez remarquez !
Oui, les messieurs il les aime bien, mais sur son dos… C’est plus chaud ! … Surtout quand ils ont de belles dispositions.

Il faut avouer qu’il a gardé encore un beau cul notre bonhomme. Très tôt il a été flatté et au régiment il a souvent été exempté de corvées… ben oui, contre ‘chervices’ rendus.

Dans sa famille on l’aime bien le Fifi ! Il a un bon tonton et un fréro entreprenant…

D’ailleurs, c’est son grand-père qui l’a amené au boxon le jour de sa majorité, le gâté ! … Ce fut la foire ! … Toutes les filles y sont passées… Et même que le vieux, en prime, il s’est tapé la taulière… (elle s’était fait le petit-fils, avant tout de même… ).

Ce fut un bel après-midi d’anniversaire, pour le jeune homme.

Au cours de cette belle fête, il y a une fille qui lui a mis un doigt dans le cul au jeunot. Ça lui a plu et c’est à partir de là qu’il a viré doucement sa cuti. Au début il n’osait pas, mais c’est en vieillissant que ça l’a tourmenté davantage, et maintenant, il est le roi de la pédale et il en est fier… ben, c’est son droit :
Sûr qu’avec son cul, il se fait vite remarquer le garçon. Il fait de bonnes rencontres, et il aime cela. Il s’habitue, et d’ailleurs il n’est pas le seul à aimer. Sa belle-sœur est ravie de le voir se faire troncher par son mari.

Elle profite souvent du spectacle et guide la bite de son homme dans le vagin de son beau-frère (Hi, hi… le vagin ! Faut dire qu’il a le cul si large ! … Oups !).

Il aime aussi beaucoup se faire sucer, Firmin.

Claudine lui fait de super pipes. On sent bien qu’elle a fait ça toute sa vie. C’est une avaleuse de sabres !

– Elle est bonne ta queue, mon petit pédé… (qu’elle lui dit, entre deux lapées).

Bien souvent, comme ils font du bruit, Nicole, la femme de Firmin accoure pour participer à la récréation.

Aussi avec ses jambes grandes ouvertes, elle chevauche le groupe et tournée vers Charlot elle l’embrasse à pleine bouche, accroupie au-dessus du cul de son mec qui se fait enfiler à fond.

Charles pousse.

Nicole pisse d’excitation dans la raie du cul du petit enculé (ça fait :’floc, floc… ).

Et ce dernier, trop content de toutes ces bonnes manières, hurle comme un novice.

Ah ! Quelle famille ! … Mais attendez, je ne vous ai pas tout dit.

Il faut que je vous explique… .

On est dans la première moitié du vingtième siècle. Une belle époque !

C’est un peu compliqué. Mais si vous arrêtez un peu de vous branler (juste un peu… ), vous allez vite comprendre de quoi retourne cette fameuse famille tuyau de poêle.

À l’origine, nous avons un noble personnage, monsieur ‘Jean Belthige’. Veuf, il a épousé Gertrude, la riche tenancière d’un petit bordel en Avignon (ben oui, de ces temps-là… .). Ce petit bordel donc, il le fréquente assidûment, appréciant la qualité des demoiselles et le bon tempérament de leur logeuse, une femme au postérieur aimablement joufflu et accueillant. Alors, de là, à se payer la taulière, vous allez me dire… elle n’est pas à une bite près !

Cette logeuse, Gertrude a une fille, Eloïse qui va prendre sa succession et donner à son tour deux filles, des jumelles.

Deux garces qui lui sont venues dont on ne sait où, mais sûrement par quelque bite qui traînait entre ses jambes, étant dans un milieu effectivement, où de nombreuses bites vont et viennent, sans qu’on ne sache justement d’où elles arrivent et où elles vont.

C’est comme ça qu’elle s’est fait plomber la pouponnière, la cochonne…

Ces jumelles, vous les connaissez, Claudine et Nicole qui, le moment venu, se sont accoquinées avec les neveux de Monsieur Belthige. Vous les connaissez aussi ; Charles et Firmin.

Ils ont tous les quatre, le même âge à deux ou trois années-près.

L’aîné, costaud, beau gosse (enfin, il l’était… ) un an de plus que les jumelles, le fréro, un an de moins, tendre, efféminé et disons, beaucoup ‘olé, olé’.

Cette génération tourne maintenant, autour de la soixantaine, les parents, eux sont octogénaires et se portent bien .La grand-mère est bientôt centenaire, et dans sa vieille bouche édentée, une bonne pine n’est jamais de refus.

A cela, ajoutons un bel oncle, colonel en retraite qui possède un superbe équipement qui a fait ses preuves lors de ses campagnes dans les colonies, sans oublier bien sûr, la tournée générale de la famille.

Ginette, la petite fille du grand-père, ajoute, avec Mélanie, la boniche, une petite touche de fraîcheur au milieu de ce vieux monde qui mène la belle vie. Une vie comme je suis sûr que nombreux parmi vous, aimeraient bien vivre.

Inutile de vous dire, que l’ambiance aidant, il se passe de bien agréables moments dans cette bonne famille.

Oh, rien de spécial.

Au boxon, les jumelles ont pris le relais des parents et la boutique tourne rondement. On ne mélange pas les affaires de famille avec le boulot.

Les pensionnaires ne sont pas très nombreuses et reçoivent des messieurs très huppés, discrets et qui apprécient leurs qualités.

Monsieur le commissaire qui a une estime particulière pour l’une des deux tenancières, surveille avec complaisance la bonne tenue de la maison, et ferme les yeux quelques fois pour n’indisposer personne.

Tout baigne, sachant que même monsieur le curé qui prie beaucoup pour la sauvegarde des âmes de toute cette bonne compagnie, a aussi ses entrées, pour leur accorder de bien près, la bénédiction de ses saintes huiles qu’il a bien grasses d’après ce qu’il se dit.

Ainsi vous voyez que tous ces braves gens, mènent une vie saine et paisible et ne dérange personne.
Tout le monde a le cul propre (c’est qu’ils ont tous une bonne langue… Hi ! Hi… ).et d’ailleurs, personne ne va leur mettre le nez dedans.

En fait c’est que du bonheur, ils ne font de mal à quiconque.

C’est sûr qu’il ne faut pas le dire comme cela, à Mélanie, la boniche, quand elle se fait tarauder le trou de balle par tonton Bertrand, le salaud ! (Bon mais ce n’est pas de sa faute au tonton, si elle a le petit trou si serré, la gourmande ! D’ailleurs, elle n’est pas la dernière à lui sauter sur les genoux, la petite garce !).

En effet, le tonton, je vous l’ai déjà dit, il a le manche quelque peu bourru, le pervers et surtout très gros… Remarquez, ils y sont tous passés dans la famille et bien d’autres aussi. Ils n’en sont pas morts. La preuve c’est qu’ils y reviennent…

Mais la boniche, elle n’est pas nunuche… Elle reste souvent bouche bée devant le bel engin. Donc qui dit bouche ouverte, dit le cul tout autant ! … Et puis vous savez bien, on finit par s’habituer (il suffit de demander à Firmin… ). D’autre part, si on ne peut plus jouer à bouche-trou avec le gentil personnel ! … .Oups !

Par contre, Ginette la petite fille (qui est grande maintenant) est bien plus dégourdie que la boniche. Un jour elle est tombée sur la pine du tonton colonel, par hasard, alors qu’il faisait la sieste tout nu, allongé sur la terrasse. Elle a dû glisser sur le sol humide…

– Oh putain qu’elle est grosse ! … .

Ben oui, il n’y a pas de doute, elle est grosse.

C’est une bonne observatrice la petite dame. (En effet, il y a des dames qui sont comme ça… Elles ont de suite la bite à l’œil, avant de l’avoir ailleurs ! ça facilite les rapports, n’est-ce pas ?). Ce doit être une connaisseuse ! Elle n’a pas mis longtemps à mesurer l’importance du sujet !

Quand elle va dans la forêt, elle doit être du genre à ramasser les gros bolets, plutôt que les petits champignons de Paris !

Eh bien là, elle en a trouvé un à sa taille !

C’est entré tout seul, sans vaseline, comme un doigt dans le cul de Firmin.

Il faut dire qu’elle n’a pas mis de culotte ce jour-là… (Par peur de l’abîmer… sans doute !).

Le tonton, ça ne l’a pas dérangé, le pauvre homme… -vous. Au contraire, il lui a dit :

– Tu es une chouette garce, Ginou ! Il doit t’enculer souvent ton chéri, n’est-ce pas ?
– Oh oui, souvent, et il l’a bien bonne lui aussi… J ’aime les grosses queues, mais lui pas trop. Pourtant c’est bon une grosse queue. Il te faudra faire un tour à la maison un de ces soirs. J’aimerais te voir l’enculer devant moi !
– Ah ! Salope ! Tu m’excites. Viens que je te bourre…

Et bien laissez-moi vous dire qu’elle ne se sauve pas la petite dame ! Il lui élargit proprement la rondelle, le brave. Elle miaule comme chatte sous matou, la coquine.

A côté d’eux, l’aïeul, à poil et enfoncé sur son fauteuil roulant, bave et trépigne d’excitation. Tout en frappant le sol avec sa canne, il s’écrie :

– Hé ! Va s’y mon salaud, bourre-la cette truie (oh, le cochon !)… Elle aime ça… Encule-la bien fort, fait-lui comme si c’était moi… fais-la crier, nom de dieu ! … Fous-lui tes roustons dans le cul !
– Hé pépé… du calme… Oh putain qu’elle est bonne ! ! Fais attention à ton cœur Papi !

Il y va à la manœuvre le bon ouvrier. Il te lui plante son mandrin ras les couilles, et ça ressort, et ça rentre en faisant de gros bruits. Il se vide en elle en poussant de grands cris.

Quand il se retire, en bonne servante, elle lui suce la bite au tonton… une bonne bite encore bien dure et empanachée de chaudes humeurs un peu bariolées certes de quelques encombrements odorants … mais ce sont les siens… il a bon goût son cul !

Tout en suçant la bite, elle ne peut pas s’empêcher de présenter son cul au grand-père qui est ravi de faire un bon ménage… .

– Glop… Glop !

Ah qu’il est heureux le Papi ! Il est aux anges ! (Et vous ne le seriez-vous pas, tous mes chers vieux lecteurs !).Il lape, il lape… C’est vrai qu’il a bon goût ce cul !

– Eh bien Papi tu as la langue encore assez dure ! C’est bon !

Elle lui colle son cul au visage pour qu’il lui lime toute la fente. Ça sent bon la femme et le jus du tonton et un autre petit goût piquant un peu comme de la moutarde sur un bon gros morceau de cochon !

En fait ça sent l’andouillette… (à moins que ça soit l’andouillette qui sente le cul ! … Hi, hi… ).

Ainsi va l’entreprise familiale, pour le meilleur et sans le pire, jusqu’au jour où d’autres mœurs et d’autres règles poussent tous ces braves gens, dehors, assurés cependant, de pouvoir jouir le restant de leur vie, d’une retraite confortable. C’est là que nous les retrouvons.

Aussi pour en revenir au début de notre histoire où on apprend que Claudine est bien fâchée parce que Mélanie, la femme de ménage, a usurpé la bite de Charles, son cher époux, on comprend vite que ce n’est qu’une question de jalousie de vieille femme et que la pine de Firmin, son beau-frère, aura tôt fait de ramener Claudine à la raison.

Entre époux bien éduqués, de petites baises à droite ou à gauche permettent d’évacuer des tensions et entretiennent la santé.

C’est ce que fait parfaitement Claudine quand de temps en temps, elle s’empresse d’enfourner dans sa petite bouche, la bite molle de Firmin (son beauf… ), elle est toujours d’une excellente tendresse et de bon goût sa pine, mais ne bande pas souvent car on l’a vu il est plutôt côté cul et c’est son fréro qui le gâte le plus souvent, pendant que sa belle-sœur lui taquine le goujon.

Nicole, son épouse est ravie de le voir se faire sodomiser par Charlot. (C’est fou ce que les dames ont plaisir à voir leur mec se faire enfiler… toutes des salopes… Oups !).

– Oh oui ! Encule-le, ce pédé ! Encule son petit cul de femmelette. Fais-le gueuler, il aime ça et moi j’adore voir ta grosse bite lui défoncer la pastille… Tu fais cela si bien !

Pour bien voir, Nicole se couche sous son mec, en 69, lui écarte les fesses et guide l’affectueux mandrin fraternel dans le vagin de son mari… (Hi ! Hi… ’le vagin’… ).C’est que depuis si longtemps qu’il se fait mettre le Firmin, il a maintenant un trou du cul si large qu’il se prend parfois le bras entier de son amant.

C’est ainsi que nos bons amis passent du temps à occuper sainement leur retraite.

On l’a vu, dès le début de notre histoire.

Nicole c’est la plus salope. Elle remet souvent cela.

Elle est la boute-en-cul de la bande. Insatiable, elle baise, elle suce, elle pisse, elle chie, mais elle n’est pas trou du cul, car son Paradis charnel et tout orné, le malheureux, d’une foison d’hémorroïdes dont les grappes rondelettes amusent énormément les lèvres de Charles, son beau-frère.

Putain, ma Nicou, qu’il lui dit, tu as le cul bordé de mousse comme les moules de Bouzigues… Oh que c’est bon ma biche… On se croirait au bord de l’eau ! Ça sent le vent marin ! (tu parles… elle lui pète au nez).

Elle est heureuse la coquine … C’est qu’il a un bon coup de langue, le Charlot, il la lui glisse très profond dans l’anus et comme elle se branle en même temps le clito, ça la fait jouir et elle fait des soubresauts de chèvre sous le bouc

– Surtout ne me mord pas, lui dit-elle !

Mais pensez-vous, il est à la bonne place, Charles, alors croyez-vous qu’il va se priver de les grappiller les bons raisins ? Il mordille gentiment et elle refait des bonds, la bique, tout en lui donnant un grand coup de cul dans le pif, à son beauf…

– Salope ! Tu vas voir ce qu’il va prendre ton cul, ma belle !

Il se la prend sur les genoux la cavale et il te lui flatte le cul, à lui faire oublier ses ruades !… Mais elle aime les tapes au cul !… D’ailleurs elle aura tôt fait de lui représenter son fendu à ce brigand de beau-frère.

– Humm ! C’est bon, va s’y lèche-moi la treille au parfum de ma dernière crotte, cochon !

Dans cette maison, quand l’une se fait grappiller le centre des délices, l’autre tortille la quéquette molle du grand-père qui n’a pas bandé depuis des lustres, mais qui jouit des complaisances baveuses de Claudine.

D’autre part, Firmin allongé sur le sol, jouit lui, de la vue en grand écran des vestiges historiques de Gertrude, la grand-mère. Accroupie, au-dessus de son visage, ses cuisses grandes ouvertes, elle lui offre ses chairs plus violacées que rosées.

Dans l’auguste et vénérable échancrure elle montre à Firmin son gouffre d’amour, pigmenté encore tout autour, de quelques poils blanc et décolorés, qui ont résisté à plus d’un menton râpeux et têtu et à de nombreux va et vient de pines féroces, sans compter les avalanches de sperme et les flots de pisse qu’elle a eues le bonheur d’éponger depuis la première fois qu’elle a ouvert les jambes.

En fait, tout à loisir, à la vue de ce joli décor, Firmin peut facilement imaginer les tribulations de cette grand-mère amoureuse. Il en a fallu des bites pour l’ouvrir sa boîte à ouvrage, son hôtel du plaisir. Et pas moins d’aussi nombreuses langues ont dû lui boulotter le clito et ramoner le trou du cul !

D’ailleurs, il n’a pas besoin de beaucoup se forcer, le Firmin, quand il voit apparaître le gros nœud de son frangin prendre place dans le fameux petit trou inoccupé juste au-dessus de son nez.

C’est que Charles, il est comme cela. Il ne sait pas laisser libre un petit trou qui clignote au-dessus de son frangin. Fut-il ce trou, celui de sa belle-mère, un peu vintage, certes, mais tellement encore goûteux !

La position est avantageuse. Le fréro, prédestiné à la fonction, va toiletter le trou vaseux de la belle-doche et sucer la pine toute droite, sortie encore fumante, des basses-fosses matrimoniales.

Dernièrement, la belle Mélanie propose à Bertrand de venir chez elle pour qu’il baise son homme.

Evidemment elle va passer encore à la casserole elle aussi, elle s’y attend. Mais il faut savoir ce que l’on veut : le mari d’abord, et elle ensuite… ça va lui donner du courage !

Cet après-midi les deux hommes sont sur le lit et ils se bécotent les salauds comme deux amoureux.

Et que je te bouffe la langue. Et que je te pince les tétons. Et que je te branle la queue, le doigt au cul, bites et couilles l’une contre l’autre… Enfin un tas de gestes délicieux qui plaisent souvent à beaucoup d’hommes entre eux, mais qu’ils n’osent pas dire et encore moins faire.

Mélanie est là, comme la mouche du coche qui les excite encore plus en les titillant par ici ou par là et en s’émouvant elle-même, car elle a les cuisses trempées.

Mais bientôt, Bertrand qui bande comme un Turc et qui n’en peut plus, soulève notre gourmand du cul, le retourne et présente sa pine devant son petit trou.

Mélanie est là, qui regarde, à moitié effarée, à moitié ébahie, le gros gland se presser sur l’anus de son chéri.

– Oh que c’est beau ! Ça ne te fait pas mal chéri… il entre tu le sens ? … C’est bon ?
– Aïe… Oh va s’y doucement !
– Eh ! Ne fais pas ta chochotte…

Elle s’en fout la chérie… c’est dur, mais ça va être bon. Elle connaît, on lui a déjà fait…

Alors il serre les dents… il tend son postérieur… .et ça entre ! … putain, elle a raison, elle est grosse !

Alors il y va le tonton, et pas de morte bite, oh non, il pistonne, il bourre, il tape sur le cul, crie des insanités et vide ses couilles dans le rectum du pédé, confirmé et applaudi par sa chérie.
C’est impressionnant ce sexe qui pénètre dans l’anus évasé de son bonhomme de pédé qui, maintenant aplati sous son bon enculeur, a l’air de trouver la chose bien bonne et gémit de plaisir.

Oui, ça lui plaît à la salope. Elle s’émeut de voir à la fois la puissance de l’un et la soumission de l’autre.

Après tout se faire enfiler comme ça, c’est ce qui va lui arriver à elle aussi…

Eh bien pourquoi pas ! En fait une fois que le gland est passé dans le trou, ça fait du bien quand il vous masse le colon !

Bon, c’est vrai que le gland de Bertrand, ce n’est pas le riquiqui de son homme… ça va coincer un peu…

Alors, un peu de courage, et elle ne va pas se dégonfler devant son homme, n’est-ce pas ?

Eh bien, ils vont faire comme ça, c’était prévu…

D’abord par politesse, un petit toilettage sur la pine assassine (heureusement, il s’était fait un lavement le chéri, avant les réjouissances… ), puis un petit coup de langue sur la rondelle rougeâtre qui se resserre doucement (elle est très attentionnée Amélie) et la voilà prête, à quatre pattes et cul tendu devant son amant préféré.

Et que croyez-vous qu’il va faire le brave homme ?

Il la saisit, il la retourne comme une crêpe, l’assoit sur ses genoux et se l’enfile d’un coup, d’un seul, à sec et sans même lui demander pardon à la godiche !

Sûr que dans ces cas-là (elle n’attendait que ça… ), on encule, c’est tout. On ne perd pas de temps. Le moment n’est pas à la réflexion… Il est à la jouissance de part et d’autre, car le temps qu’elle réalise la cocotte, elle jouit déjà ! … Elle jouit comme une bête… Elle crie… Elle mouille et ouvre ses jambes au maximum en tapant des mains sur le matelas et en se titillant la pacholle…
L’affaire a donc été vite menée. Maintenant le tonton fait des va-et-vient tout doucement dans l’accueillant côlon de la Belle qui apprécie et commence à ronronner comme une tourterelle.

– Ah oui, c’est bon, continue ! Pousse encore ! c’est bon !

Son tendre mari qui a encore le cul tout chose à la suite des petites attentions dont il vient d’être honoré, son mec donc s’est baissé au-dessus d’elle et lui tend d’abord son trou du cul pour qu’elle le rafraîchisse un peu, puis lui donne sa bite à sucer.

Voilà de bonnes manières entre gens distingués et qui savent se faire des plaisirs là où ça fait du bien.

Ce soir-là, Mélanie, elle traîne un peu de la fesse en faisant le service au dîner.

– Eh ! Bouge-toi un peu, la salope ! Tu es plus alerte au cul qu’à la soupe, dirait-on !

Mais elle est fière la bravache ! Oh oui, fière et heureuse… à en rendre jalouses les deux jumelles.

Le Papi, encore très excité, a bien essayé de lui toucher le cul… Il s’est fait taper sur les doigts, le vieux !

– Eh Papi ! Ne joue pas avec mon cul ce soir, sinon tu vas tomber dedans !

Il râle le vieux et pour se venger il pisse sur son siège !

– Na ! Salope ! … .

29/04/2025

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Une réponse à Histoires de bons plaisirs… Petit Bordel… Et vieilles Canailles par Verdon.

  1. Harivel dit :

    Les histoires de Verdon, c’est comme les chocolats de Noël, on les attend et on les déguste 😍

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