Serj et Coco
1 – A la terrasse d’un bar suivi de Devant la cheminée
par smoty
– « Attends moi dans le salon, me lança t elle » pendant qu’elle passait dans la salle d’eau pour se faire belle.
Elle en ressortit avec ce joli petit ensemble agrémenté d’une veste mi-longue et d’escarpins dont je raffolais…. Sa chevillière brillait et donnait à ses jambes bronzées une allure magnifique. Je la trouvais particulièrement craquante et désirable. Je m’approchais et l’enlaçait. Elle sentit que je voulais la caresser et doucement, avec un sourire espiègle, elle me repoussa et me pria d’attendre un peu pour découvrir son petit jeu du jour.
Nous décidâmes de partir le long de la côte et d’aller marcher main dans la main sur le port de Carantec. Le temps était vraiment clément. Arrivé le long des quais, elle m’invita à nous asseoir à la terrasse d’un café particulièrement bondé sous ce ciel bleu. Derrière ses lunettes de soleil, je ne voyais pas ses yeux, mais je savais qu’ils brillaient de cette malice que j’appréciai tant. Face à moi, et dos à la mer, je pouvais l’admirer en toute impunité sans que quiconque ne puisse en voir autant que moi…. C’est là qu’elle démarra son jeu. Doucement elle souleva une jambe pour la croisée sur l’autre et je compris à son sourire qu’elle me demandait de regarder le haut de ses cuisses. Intrigué, j’observais et m’aperçut qu’elle ne portait pas de culotte. Son sexe rasé de près, laissait apparaître une petite toison très courte et ses lèvres étaient offertes comme un coquillage merveilleux. Elle se pencha alors vers moi et je vis que ses seins étaient aussi libres que l’air. Ses pointes s’imprimaient sur le tissu du chemisier.
– « Je me suis mise à nu sous mon ensemble, pour te faire rêver mon petit chat ».
Je ne voyais déjà plus la mer ni le petit port. Sa veste lui permettait de poser sa main sur la jambe et d’un doigt elle se caressait la cuisse. Mon érection fut immédiate. On nous servit deux cafés. Elle attrapa sa tasse, but une gorgée en me souriant et lorsque qu’elle la reposa, eut le temps de glisser un doigt vers son intimité, sans même que l’on puisse la voir de la terrasse. Personne ne pouvait se douter à part moi, de son petit jeu. Puis elle me tendit la main que j’embrassais avec délicatesse et mon sexe durcit un peu plus en sentant l’odeur absolument merveilleuse qui s’en dégageait.
– « Je ne te laisserai pas rentrer jusqu’à la maison sans t’avoir caressée…. ».
Elle acquiesça d’un sourire qui en disait long.
– « Alors allons-y…. ».
Elle décroisa les jambes, se retourna pour se lever et alors que je réglais l’addition je vis que notre voisine de table n’avait rien perdu de la scène. Ni Colette ni moi n’avions vu qu’elle avait le regard porté sur nous…. Je vis par contre à ses joues devenues roses que le jeu de jambes de ma compagne l’avait troublée.
En remontant vers la ville, nous primes un petit chemin bordé de pins et là, seuls, mais au risque de nous faire démasquer, Colette me laissa la caresser longuement, une main sous sa jupe, l’autre sur son corsage…. N’en restant pas là, elle m’embrassait fougueusement et me massait l’entrejambe. Elle m’avoua qu’elle avait vu notre voisine de table nous regarder mais que cette situation m’étant réservée, elle n’avait pas voulu s’arrêter en chemin… Nous partîmes d’un même râle…. Je venais pour la énième fois d’être envoûté….
Régulièrement nous nous arrêtons pour nous adonner à un baiser passionné. Nous partageons le goût commun de s’embrasser avec un jeu de nos deux langues humides et sensuelles. Nous jouons beaucoup de nos langues, qu’elles servent à se dire des mots doux, où qu’elles servent à se découvrir l’un l’autre…. Dans un bouche à bouche enflammé, elles rivalisent de caresses et de curiosité tel un sexe d’homme explorant l’intimité intime de sa partenaire. Colette peut alors ressentir combien une pénétration, fusse t elle de sa langue dans ma bouche, est délicieuse….
Nous arrivons enfin et c’est avec délice que nous nous installons devant une bonne flambée…. Nos regards se croisent et sur le canapé, Colette s’allonge lascivement, jupe remontée et doigts mutins écartant ses lèvres intimes…. L’appel est sans équivoque. Je plonge ma tête vers le coquillage offert…. Y poser mes lèvres est aussi doux que sur sa bouche. Les petites lèvres, parfaitement ourlées, sont demandeuses et rapidement Colette se met à gémir. Son intimité sent le miel. Le petit bouton tant convoité est gonflé et je le titille doucement de la pointe de la langue. Puis je l’aspire littéralement. Ma verge est dure comme de l’acier, et je remercie intérieurement ma douce compagne de la libérer et de la masser alors que je suis venu tête bêche sur elle .Prit d’une frénésie de plaisir, elle pousse ma nuque à mieux l’embrasser, toujours plus goulûment, et du bout de ses ongles, elle me gratouille la verge et les bourses avec une infinie douceur…. Elle se cabre et jouit d’un grand gémissement dans ma bouche…. Elle prend alors le relais, me couche à mon tour sur le canapé, et telle une chatte nettoyant son petit, entreprend de me lécher ma hampe durcie, qu’elle aime à appeler ma petite épée de hussard. Jeu de langue sur mon gland, découverte de chaque millimètre de mon sexe jusqu’à sa base, puis aspiration au cœur de sa bouche devenue un nid merveilleux….
Elle sent que mon plaisir monte, que je ne vais pas tenir bien longtemps. J’ai une envie impérieuse d’éjaculer en fortes saccades. Elle le sait, en joue et en rejoue, à genoux le long du canapé. Je caresse ses cheveux et regarde cette bouche avide engloutir mon membre. Elle fait durer le plaisir. D’une main experte elle se met à me branler et vient m’embrasser. Nos langues se confondent à nouveau.
– « J’aime sentir l’odeur de mon sexe sur ton visage » me confie t elle, avant de redescendre s’occuper de ma hampe suppliciée qui en redemande.
Je n’en peux plus, je la préviens que je vais devoir lâcher ma semence, qu’elle va l’inonder et que c’est délicieux, trop bon, trop fort…. Je n’ai plus de mots, tellement la sensation m’électrise…. Je regarde son corps parfait, abandonné, la jupe relevée sur des fesses merveilleuses et là j’aperçois sa main qui cherche son sexe pour de nouvelles caresses….
C’en est trop pour moi, je craque et me laisse aller. J’ai l’impression que de la jouissance sort à l’état solide de ma verge. Je hurle de bonheur. Elle en profite pour me caresser les bourses d’un geste expert. Mon éjaculation semble ne plus jamais s’arrêter. C’est un régal sans nom. Je tombe en extase, vidé, exténué, sans plus aucune force. Elle laisse couler ma semence sur ma verge. Elle redresse la tête, me regarde et jouit à son tour. Puis elle m’embrasse et c’est moi cette fois-ci qui goûte sur sa bouche, les effluves de mon envie…. Colette se serre contre moi, le feu crépite, nous sommes aux anges au septième ciel à côté d’eux….