Serj et Coco 7 – caresses buccales (2) par Smoty

Serj et Coco
7 – caresses buccales (2)
par Smoty


Mais parlons aussi des messieurs…

La fellation est tout aussi agréable et le jeu est toujours aussi sensible et raffiné de la femme pour l’homme, que l’homme pour la femme….

Combien de fois nous sommes nous retrouvés à la maison, avec une envie irrésistible l’un de l’autre de se donner du plaisir de cette manière-là ?

La situation, les circonstances de l’acte lui-même font de cette pratique un moment délicieux que nous affectionnons particulièrement. Pour ma part, (et Colette n’est pas contre) j’aime beaucoup que cela se passe en extérieur, si possible dans des endroits où nous pouvons être découverts…. Par exemple dans les dunes de nos plages fétiches de l’île Callot…. Nous connaissons chacun des petits chemins menant au sable et à la mer. Nous savons que l’on peut venir à tout moment mais que nous aurons le loisir d’arrêter à l’extrême limite de se faire découvrir. C’est ainsi que l’été dernier nous nous retrouvâmes par un joli après-midi ensoleillé, seuls sur une petite plage que nous avions sélectionnée au départ pour s’allonger et se reposer….

Rapidement nous sommes venus à nous embrasser avec la plus grande fougue et comme je l’ai peut-être déjà écrit, un baiser de Colette, sa langue explorant ma bouche avec avidité, mes mains courant sur son corps, créent en moi des envies folles qui se répercutent chez ma compagne….

Colette est un peu plus réservée que moi et craint donc un peu plus que nous puissions être vus. Pour ma part, je me dis que lorsque l’occasion se présente il m’arrive de me rincer l’œil, alors si une ou une autre peut se le rincer en admirant nos ébats ou les courbes de ma compagne, grand bien lui fasse….

Ainsi, sur cette plage, maillot short et tee-shirt sur le dos, je me suis trouvé vite bien habillé eu égard aux envies qui m’étreignaient…. Colette, consciente de mon envie, souriait en voyant une bosse significative sous mon short. Elle m’aida à l’ôter et, après avoir écouté si personne ne venait sur le chemin, ôta également mon maillot. Je gardais mon tee-shirt, maigre rempart garantissant un semblant de pudeur très hypocrite. Elle se déshabilla à son tour, ne gardant qu’un maillot de type brésilien sur elle. La pointe de ses seins était dressée, signe de désir…. Mon propre mât, lui-même dressé, en disait tout aussi long…. Nos lèvres se rencontrèrent à nouveau et dans un souffle rauque quelque peu haletant, Colette entreprit de me gratouiller les parties de ses ongles experts, n’oubliant pas au passage, de jouer avec mon anus toujours prêt à un « petit jeu de plage »…. Il faut bien sûr être un homme pour comprendre ô combien il est agréable et délassant de bander librement, une main experte sur le bas ventre….

C’est alors qu’elle commença un petit ballet de baisers tout au long de mon corps, ondulant de ma bouche au nombril. Outre le fait ultra sexuel de sentir sa bouche frôler mon gland sans jamais le toucher, je jouissais de la caresse de ses cheveux longs galopant sur ma peau…. La sensation était divine. Lorsque je n’en puis plus, c’est-à-dire lorsque je la suppliais de me prendre dans sa bouche, elle me fit un dernier sourire, un baiser chaste sur la bouche et elle plongea sur ma verge, l’engloutissant. Je ne pus me retenir de gémir. La sensation était divine, ce que je lui susurrai en qualifiant sa pratique de fellation royale. Je ne sais pas si les rois se faisaient sucer de cette manière mais si tel était le cas, j’enviais la monarchie….

Mon plaisir n’était désormais plus trop loin et je sentis la sève monter. Je prévenais ma compagne qui revint vers ma bouche pour dire d’un air espiègle et mutin que je pouvais jouir dans sa bouche, mais qu’elle n’avalerait pas ma semence…. J’étais prêt à accepter tous les compromis de la terre, du moment qu’ils venaient (sans jeu de mots) de sa bouche divine. Satisfaite, elle replongea et je me laissai partir par longues saccades, la tête rejetée en arrière, nos deux corps sous les rayons indiscrets du soleil.

Rassasié, le sexe revenu à une taille normale, je décidai de ne pas le remettre dans la prison textile d’un maillot. Colette me fit la remarque que des amoureux de la plage pouvaient passer et me voir à demi nu. Sa requête était sans conviction et particulièrement ironique….

Ma douce amoureuse connaissait mon plaisir à me montrer….

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