Vive l’été et ses terrasses
3 – Deux de plus
par pipidamoui
Il fallut moins de temps, que celui calculé, aux derniers invités pour rejoindre l’hôtel qui abrite les ébats de la petite troupe.
On avertit depuis la réception que deux hommes désiraient voir Nathalie et François. Ce à quoi il fût répondu de les conduire jusqu’à la suite.
Nathalie et François étaient ravis de pouvoir enfin revoir leurs copains d’un soir. Ils en avaient gardé un superbe souvenir. Ils avaient déjà voulu reprendre contact avec eux mais sans passer à l’acte.
Dès que l’on frappa à la porte, François se dirigea vers celle-ci et l’ouvra sur deux gars dont un large sourire orna les visages.
Une fois la porte fermée, François les embrassa tendrement chacun. Ils se sont dirigés vers la pièce où tous étaient réunis et François fit les présentations. Nathalie se leva également pour les embrasser.
De son côté, l’excitation de François était déjà bien visible. Il avait la queue relevée, bien droite. Ceci n’échappa à personne. Rien que de penser qu’il allait se régaler, il a démarré au quart de tour.
Nathalie dirigea les événements et, afin que les hommes soit en état, elle para de la ceinture gode. Elle guida François vers le lit, le mis à genoux et lui lubrifia le petit trou. Elle commença à le pénétrer, avec douceur et de tout l’amour qui les unit. Les aller et retour débutèrent. Lentement, intensément, profondément. François tortillait de plaisir. Elle accéléra le rythme. Ses cuisses frappaient les fesses de son homme. Elle jeta un œil derrière elle et vit que l’ensemble des mecs avait la bite au garde à vous. Elle leurs fit signe de les rejoindre. Elle se retira, et pria le premier d’œuvrer. Il ne se fit pas prier plus longuement. François sentit un engin bien chaud, bien dur, le pénétrer. Des mains le maintenaient les hanches, bien fermement, afin de pouvoir aller au plus profond de son trou. Il sentait, dans le haut de son dos, de légers souffles de plus en plus fréquents. Des râles se firent entendre à ses oreilles, annonce d’une inondation imminente de son être. Ce qui ne tarda pas. Après un dernier coup de butoir, François senti en lui un long jet de sperme envahir son cul.
Le deuxième, au paroxysme, s’approcha de l’arrière train de François. Il fit, comme le premier, une visite de son intérieur. Mais il y ajouta la manière. Il le pénétra en une fois avec sa grosse queue. Cela arracha, à François, un cri de douleur mêlé de plaisir. Il ne lui fallut pas longtemps pour lâcher son jus. Et c’est cela qui arracha également un jet de plaisir à François.
Mais la fête n’était pas finie. Le troisième se présenta à son tour devant l’orifice du plaisir.
Il mit son dard dans le cul de François en deux temps. Ce fut délicieux. Il était le plus gros de tous. Il lui astiquait le cul avec grand plaisir. François sentait ses couilles lui fouetter les fesses. Ce qui lui procurait une nouvelle érection. Pris d’une irrésistible envie de sucer, François fis signe au quatrième de lui présenter son engin devant sa bouche. François pris le mat, d’abord en main et le guida vers ses lèvres. Il commençait à le lécher. Il descendit le long de la hampe et arrivât à hauteur de sa bourse. Il avala les boules l’une après l’autre, et se mis à les sucer. Ce qui provoqua quelques spasmes de bonheur à son hôte. François repris l’ascension vers le gland et goba la queue toute entière dans sa bouche et la suça sans cesse. François sentis les deux mandrins gonfler chacun dans leur trou. Il ne fallut plus qu’un court moment pour sentir la sève couler dans son cul et dans sa bouche. Il but tout entier le jus de son partenaire avant. Quel bonheur de pouvoir récolter ce breuvage.
Durant ce laps de temps, la jeune fille de l’hôtel, Aurélie, et Nathalie avaient saisi, chacune, un vibro. Elles se masturbaient allégrement la chatte. A voir François se régaler des trésors de ses amis, Nathalie partis dans un orgasme. Sa collègue en fit de même. Et leurs jouissances se firent entendre par de légers petits cris.
Chacun prit quelques minutes de repos bien mérité.
Ayant quelque peu chaud, André a ouvert une fenêtre afin d’aérer un peu la chambre.
Ils ont fini leurs verres de champagne et fait un brin de toilette.
François sentait monter en lui le désir de faire l’amour à sa femme. Il lui prit la main et l’emmena vers l’un des lits. Ils se couchèrent et ils commencèrent à s’embrasser tendrement.
Les mains de François partirent vers le dos pour la caresser. Il débutait par les épaules, descendit vers les omoplates. Longeât ta colonne vertébrale, en pianotant sur ses vertèbres. François diminua la pression de ses doigts jusqu’à effleurer la peau de Nathalie. Il prit ses fesses dans ses paumes, les serras, les malaxa. Il l’a mise sur le dos, et commença à lécher le long de sa colonne. Arriver au début de la commissure des fesses, il reparti en sens inverse. Arriver à son coup, il mordit sa chair de chaque côté, puis sa peau le long des cervicales. François se relevait pour atterrir avec sa bouche sur les jambes de Nathalie. Il embrasse la première et la suivi jusqu’au pied qu’il couvrit de bisous. Il passait sa langue entre chacun de des orteils et finit par les sucer tour à tour.
Après avoir parcouru la distance qui sépare le pied de la fesse, il partit le long de la deuxième jambe et y fit de même que sur l’autre.
Les mains de François se saisirent des fesses de Nathalie qu’il malaxait lentement tout en les écartant. Ce qui permit de découvrir l’anus de Nathalie dans toute sa splendeur et d’y glisser sa langue pour un anulingus. François sentait le corps de sa femme se tortiller et même un mouvement de bassin, comme si il était en elle. Une de mains de François avait rejoint le mont de Vénus et il sentait les lèvres gonflées à bloc. La mouille inonda sa paume. Nathalie parvint à faire glisser un doigt entre ses lèvres et lui offrit son clito tout dur. Elle gémissait de plaisir. François aperçus qu’un gode était resté sur une table de nuit et s’en empara. Grâce à lui il allait pouvoir combler Nathalie via ses deux orifices. Il prit les hanches de sa femme pour lui mettre le cul en l’air. Il lui lubrifiait son anus, posa le gode devant l’entrée. François prit sa queue en main pour la guidée vers la chatte et lentement l’a pris en levrette tout en pénétrant le mandrin artificiel dans ton petit trou arrière. François s’appliquait à limer Nathalie, en va-et-vient régulier, tout en douceur. Il se mit à accélérer le mouvement et il ne fallut plus longtemps avant de partir ensemble vers les hauteurs de la jouissance.
Le couple s’allongea sur le lit comblé du moment passé tout en jetant un coup d’œil à leurs amis. Ils aperçurent la jeune employée en train d’astiquer le cul d’un des hommes. Derrière elle, un autre la maintenait par les hanches et limait son arrière train. Un troisième suçait celui agenouillé et le dernier se faisait sucer en même temps. Quel splendide spectacle se déroulait devant Nathalie et François. Une nouvelle érection pris naissance entre les jambes de François. Nathalie mit une main à hauteur de sa vulve et elle senti l’écoulement divin qui s’échappa de sa chatte. Nathalie voulait me satisfaire par derrière. Elle se leva pour récupérer la deuxième ceinture gode et se prépara pour enculer son homme. François se mis en position. Le phallus pénétra dans son intérieur avec douceur et en une fois. Nathalie prit ses hanches et commençais les mouvements, lentement, doucement, ses mains fermement sur ses hanches. L’excitation de François montait en flèche, non seulement grâce à Nathalie mais également en voyant les autres s’amuser ensemble. Tout d’un coup un râle de plaisir se fit entendre, suivi d’un autre. Chacun d’eux se mit à jouir intensément.
Nathalie se retira, elle fit comprendre à son mâle de se coucher à terre, et là elle lâcha un onctueux liquide urinaire sur le corps de François, ce qui augmenta son plaisir. François a relevé la tête pour aller chercher quelques gouttes de ce nectar.
La nuit était déjà bien avancée et, après tant de plaisir, tous se sont endormi.
Les visages rayonnant d’extase suite à cette luxure.
Fin