Serj et Coco 8 – Pipi coquin par Smoty

Serj et Coco
8 – Pipi coquin
par Smoty

Il est une situation que les messieurs apprécient mais sur laquelle les dames sont plus mitigées. Il s’agit de les observer lorsqu’elles font pipi….

Pour ma part, ce petit moment d’intimité m’a toujours ému et même émoustillé. J’avoue devenir à ce moment-là un voyeur impénitent….

Colette n’a jamais été gênée que je la regarde, au contraire…. Au début, je n’osais lui en parler, de peur qu’elle se bloque et qu’elle ne veuille pas que je la regarde. Et puis je lui en ai parlé et il y eut la première fois….

C’était un bel après-midi que nous avions décidé de passer ensemble sous la couette, plutôt que sous le chaud soleil du printemps. Ayant quitté séparément la maison le matin, je ne savais pas comment elle s’habillerait….. J’étais déjà à la maison lorsque je la vis arriver, en tailleur noir, un petit chemisier blanc et les jambes gainées de nylon. Elle était superbe. Je me retenais de lui sauter dessus pour la déshabiller et savoir si j’étais en présence de collants ou de bas…. C’est un jeu auquel elle aime jouer, me faire deviner si le haut de ses cuisses sont couvertes ou non…. Et cela me faisait joliment craquer

La veille, je lui avais parlé de mes émois devant une femme qui faisait pipi et de manière naturelle (bien qu’un sourire très coquin aux lèvres….), elle prit le chemin des toilettes, suffisamment lentement pour que je la suive à destination…. Là, elle se retourna, souleva sa jupe qui cachait en fait les serpentins d’une magnifique porte jarretelle et s’assit sur les toilettes.

« Monsieur, je vais être gênée » me dit-elle avec la plus grande hypocrisie.

Elle portait un string rouge avec des petites dentelles, assorti à l’ensemble de ses sous-vêtements. Je savais qu’elle devait avoir le soutien-gorge de la même couleur sous le chemisier…. Doucement, elle écarta son string de l’index pour laisser le champ libre au jet qui n’allait pas tarder…. Ma verge était prête à exploser et je crains un instant que je ne puisse retenir ma semence, tant l’image était belle, tant Colette était désirable.

« Embrasse-moi » minauda-t-elle.


Je m’exécutais. Elle sentait « magie noire » notre parfum fétiche…. Nos langues s’emmêlèrent avec délice. C’est le moment qu’elle choisit pour se libérer et uriner sans aucun complexe ni tabou…. Le bruit caractéristique du jet me fit un électrochoc et je portais la main entre mais jambes…. Colette entreprit de me masser l’entrejambe. C’était particulièrement sublime….

« Volontaire pour m’essuyer monsieur ? » ….

J’obtempérais…. Et tamponnais délicatement son sexe humide…. J’étais sur mon petit nuage. Colette minauda et m’embrassa à nouveau. Et là, impudique sur ses toilettes, la jupe relevée, ses bas plongeant dans ses escarpins, elle reprit le massage de mon membre raidi.

« Je devrais peut-être le libérer pour lui laisser libre court, ne crois-tu pas ma douce ? ».

Elle ne l’entendait pas comme cela. Elle reprit son baiser en faisant courir sa langue sur la mienne et sa main sur mon sexe…

« Non, je te garde prisonnier, je veux que tu lâches ta petite giclée dans ton caleçon….. »

Elle rit de bon cœur devant mon désarroi à garder mon sexe emprisonné. Ces paroles étaient intentionnellement osée et sa main très experte…. Je ne parle même pas de sa langue qui explorait ma bouche…. N’en pouvant plus, je me laissais partir en criant…. J’inondais mon shorty. C’était bon, délicieux. Ma semence coulait le long de ma jambe…. Colette se releva, remis sa jupe en place comme si de rien n’était et entreprit d’ôter mon pantalon et mon shorty…. Puis, avec la douceur et la délicatesse d’une chatte, elle entreprit de me laver….

Une fois mon sexe nettoyé, en berne pour un moment, elle le prit entre ses doigts et déposa un baiser sonore et humide sur le gland….

« Je n’ai pensé qu’à lui tout le temps que je faisais pipi….. ».
« hé !! Je suis jaloux !! ».
« hé bien venge toi, je connais une petite chatte qui ne cherche qu’à se faire câliner….

Nous quittâmes la salle de bain et ses toilettes qui venaient d’être le théâtre d’un jeu délicieux avec ma douce compagne, et nous rejoignîmes notre chambre à coucher où, pour la remercier de s’être ainsi offerte, je prodiguais à une chatte avide d’amour, un long supplice armé de ma langue….

Après-midi divin, une nouvelle fois, je peux vous l’assurer…..

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