Sept de pique par Hélèna Sevigsky

Sept de pique par Hélèna Sevigsky

Mais comment elle a fait ?

J’avais pourtant bien truqué le paquet de cartes !

– Si c’est pique ou trèfle, c’est toi qui commande et j’ai un gage, si c’est cœur ou carreau, c’est le contraire !
– O.K. !
– Tire une carte !

Elle le fait et tire un sept de pique.! Voilà une situation que je n’avais pas prévue. Que faire maintenant ? Je me dois d’être bon joueur à défaut d’être un mauvais tricheur.

– Bon, prends une douche, je donne un coup de fil et on y va. Me dit-elle.
– On va où ?
– Tu le verras bien.

Rapide description de Margot, ma compagne, fausse blonde, lunettes, quelques rondeurs, trente ans, joli minois, faut pas que je me plaigne. Elle travaille tout comme moi dans les assurances, mais pas au même endroit. Une belle coquine !

Je la laisse téléphoner, je n’essaie pas d’écouter.

Et à 15 heures, nous sommes descendus, on a pris un taxi, Margot a indiqué une adresse qui ne me parlait pas.

Arrivés sur place, on entre dans un immeuble, un peu d’hésitation, manifestement ma femme n’est jamais venue à cet endroit.

– C’est Margot et Gilles ! Annonce-t-elle dans l’interphone.

Mais chez qui m’emmène-t-elle, bon sang ?

Ascenseur, une porte sans indication avec juste un numéro, c’est entrouvert. Un chien aboie, une voix féminine autoritaire le fait taire.

Une femme nous fait entrer, une belle brune à la peau mate, entre quarante et cinquante ans, elle est revêtue d’une robe de chambre blanche. Depuis quand reçoit-on les gens en robe de chambre en plein après-midi ?

Nous voilà dans une petite salle où il n’y a pas grand-chose. Elle nous toise.

– Je suis maîtresse Florida. Toi l’esclave, tu te mets à poil et à genoux et tu nous attends. Toi Margot tu viens avec moi qu’on règle deux ou trois détails pratiques.

Mais où suis-je bordel ? C’est qui cette nana dont je n’ai jamais entendu parler. Bref comme je l’ai déjà dit je suis là pour jouer le jeu, je me fous donc à poil et attend le retour de ces dames.

Et les voilà qui reviennent, Florida enlève sa robe de chambre. Elle est superbe avec son bustier en vinyle noir.

– Toi tu ne bouges pas ! Me dit-elle. Et toi la morue, tu te fous à poil et plus vite que ça, espèce de chiennasse.

Quel langage !

Margot s’exécute, mais j’avoue ne pas comprendre. Ayant perdu au tirage de carte, cet après-midi, le soumis c’est moi, pas elle, c’est quoi ce délire ?

– Viens devant moi, grosse merde ! Lui dit-elle.

On est en pleine poésie !

Les deux femmes sont face à face, Florida dégage son bustier dévoilant une paire de seins de toute beauté, du coup, je bande comme un âne, mais les deux nanas m’ignorent complètement.

Florida se crache alors sur ses nichons, plusieurs fois de suite, jusqu’à ce qu’ils deviennent visqueux.

– Nettoie maintenant à grands coups de langues. Allez dépêche-toi, on n’a pas toute la journée !

Je sens Margot hésiter, puis elle y va, sa langue balaie les seins de la belle brune en insistant sur ses gros tétons durcis.

– Tu lèches bien, tu as une vraie langue de pute, Elle est bonne ma salive ? Elle te plait ?
– Oui !
– Oui qui ? Conasse !
– Oui, maitresse.
– Si tu as aimé ma salive, je vais t’en donner encore un peu, ouvre ta bouche de trainée !

Elle lui crache plusieurs fois dans la bouche, puis la gifle. Margot complètement passive ne bronche pas.

– Maintenant tourne toi que je vois ton gros cul… Oh, c’est pas mal du tout ça, t’as vraiment un cul à te faire de l’or.
– Hi ! Hi !
– Ecarte-moi tout ça que je goutte à ta rondelle… mais t’as fait quoi ? T’as pris une douche avant de venir ?
– Oui !
– Ben fallait pas, espèce de conne ! J’ai horreur des trous du cul qui sentent la savonnette.

Puis sans crier gare Florida lui introduit un, puis deux doigts dans le cul, et les fait bouger à fond les manettes. Elle les ressort et lui met sous le nez.

– Tu m’as sali les doigts, grosse truie dégueulasse, lèche-moi ça !

Je n’ai pas pu d’où j’étais me rendre compte de l’état exact de ses doigts, mais mon épouse s’est acquittée de cette tâche sans problème. Faut dire qu’on avait déjà joué à ce genre de petit jeu à la maison.

– Je reviens ! Nous dit Florida.

Je peux enfin parler à ma femme :

– C’est quoi ce délire ?
-Tais-toi, pédale, ne cherche pas à comprendre.

Florida revient avec un bonhomme cagoulé qu’elle tient en laisse… Le mec est gros et pas tout jeune.

– Tiens, je t’ai trouvé un client. Ça tombe bien, il aime changer de pute de temps en temps. Tu la trouves comment cette pute, Robert ?
– Elle me plait bien !
– Bon, toi la pute, je te pose les sous du client sur la cheminée ! Précise Florida, Comme ça se passe chez moi, tu n’as droit qu’à la moitié du prix de la passe. Allez, commence par lui sucer la bite et que ce soit bien fait !

Le mec a une jolie bite, Margot l’embouche. Ce n’est pas la première fois que je vois ma femme sucer une autre bite que la mienne, on a fait un peu d’échangisme, mais dans ce cas, on pouvait choisir. Là elle est en train de sucer un gros porc adipeux. Et c’est qu’elle s’applique, suçant le gland, léchant la hampe et gobant les couilles, procédant par de vifs allers et retours dans sa mignonne petite bouche.

– Alors gros cocu ! Me dit Florida qui m’adresse enfin la parole, ça te fait quel effet de voir ta femme faire la pute ?

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ? Et d’ailleurs elle n’attend pas de réponse.

– Alors elle est comment cette bite ? Demande Florida à ma femme.
– Délicieuse !
– Ça te plaît de faire la pute ?
– Oui, maîtresse.
– Ça te plait comment ?
– Ça me plait beaucoup, maîtresse !
– Tant mieux, lèche-lui le trou du cul, maintenant !

Le type se retourne, écarte ses fesses et offre son trou à ma femme qui y pointe sa petite langue vicieuse ! Elle a l’air ravie ! Quel spectacle !

– Il est comment son cul ?
– Délicieux !
– J’espère qu’il sent un peu la merde !
– Oui, un petit peu !
– Bon, change de position, il va t’enculer maintenant, non pas comme ça, mets-toi ici que ton cocu de mari puisse bien te voir.

Le gros patapouf se revêt d’une capote (encore heureux !) tandis que Florida tartine le troufignon de ma femme avec du gel. Et c’est parti, le gros pépère est vaillant et ne néglige pas sa peine, la pilonnant comme un piston de locomotive.

Margot commence à pousser des petits cris, elle va jouir la salope, elle va jouir sous les coups de boutoir d’un gros dégueulasse qui l’encule !

Effectivement elle jouit, Florida fait signe au bonhomme de se retirer, ce qu’il fait et il sort de la pièce. Ma femme est toute mouillée en bas, c’en est spectaculaire.

– Viens ici ma petite pute ! Tu m’as trop excitée.

Les deux femmes se rapprochent et se roulent un patin, mais pas n’importe quel patin, j’ai déjà vu des femmes s’embraser avec fougue, mais là c’est incroyable, ça bave, ça dégouline, elles sont déchaînées.

Florida se cale dans un fauteuil en relevant les jambes

– Viens me faire jouir ! Viens me foutre ta langue de pute dans ma moule de vieille salope !

Quel romantisme !

– Et toi tu te tournes, t’as pas besoin de voir ça !

Je ne vois rien mais j’entends, la Florida a joui avec une rapidité fulgurante.

Elle se relève, prend une cigarette, en offre une ma femme, moi je n’y a pas droit !

– J’ai envie de pisser ! Lui dit Florida, assis-toi par terre et ouvre ta bouche.

On a déjà, Margot et moi, joué à des jeux uro et même très légèrement scatos, mais je ne crois pas qu’elle ait déjà fait ce genre de choses avec une femme… mais bon comme c’est le jour des grandes découvertes…

L’air de rien, je me retourne, Margot à l’air toute contente de boire de la pisse, elle avale ce qu’elle peut, recrache le trop plein qui lui coule sur les seins qu’elle badigeonne.

– Ça t’a plu ?
– Délicieux !
– C’est bien, tout à l’heure je te chierais dessus.

La gueule que fait Margot, mais elle ne proteste pas.

– On dit, « oui maîtresse « !
– Oui maitresse ! Chuchote-t-elle.
– Ben dis donc ce n’est pas le grand enthousiasme, allez mets-toi en levrette, je vais te faire gouter ma badine ça va te motiver.

Et Florida se met à taper le joli cul de mon épouse.

– Je n’arrêterais que quand tu auras le cul tout rouge, tu as compris, grosse pouffe !
– Oui, tapez-moi, je le mérite !
– Absolument, ton pédé de mari ne va pas pouvoir te toucher les fesses pendant une semaine.
– Aie !
– Ça fait mal ?
– Oui, mais vous pouvez continuer.
– Relève-toi, et face à moi, je n’ai pas fini de te torturer.

Florida attrape les tétons de Margot, elle les tord, les tire, les pince..

– Regarde-moi ta pute, je la maltraite et elle mouille comme une éponge !

Florida reprend sa badine et lui tape sur les seins. Ça fait mal et ça fait des marques. Margot crie et des larmes coulent de ses yeux. Mais bon sang, pourquoi n’arrête-t-elle pas ce cirque ?

La dominatrice repose sa badine, balance une paire de gifles à mon épouse puis lui fait ouvrir la bouche pour lui cracher dans le gosier.

Et puis soudain les deux femmes s’embrassent goulument, tellement goulument qu’elles en bavent de nouveau.

– Sanka viens ici ! Ordonne Florida.

Sanka c’est le chien qui quitte son panier et viens rejoindre sa maîtresse en agitant la queue.

Florida demande à ma femme de caresser le chien. Je sens que l’affaire risque de virer zoophilie. Margot m’a confié un jour qu’elle essaierai bien avec un chien… Mais elle n’a jamais eu l’occasion de concrétiser ce fantasme.

– Maintenant caresse-le sous le ventre.

Ravi le chien se me met sur le dos, les pattes en l’air.

– Touche lui la bite !

Elle le fait et au bout de quelques instant la bite sort de son fourreau, rouge, raide, un peu visqueuse.

– Et maintenant tu lèches !
– Que je lui lèche la bite ?
– Je veux bien, mais je n’ai jamais fait ça.
– Il y a un début à tout, je vais te montrer.

Florida se penche vers la bite du chien et conne des petits coups de langue sur la verge, puis embouche carrément tout ça.

– Allez à toi de jouer !

Margot refait les même gestes que Florida. C’est dingue, ça de voir sa compagne sucer la bite d’un chien.

Au bout d’u moment, Florida fait stopper la fellation, puis enfile des grosses moufles sur la pattes de devant du quadrupède.

– En levrette, Margot, le chien va te couvrir !
– Je suis obligée ?
– Ce n’est pas comme cela qu’il faut raisonner ! T’es une grosse salope, n’est-ce pas ?
– Oui, je crois bien !
– Eh bien les grosses salopes, elles n’ont pas peur de se faire sauter par les chiens, au contraire, elles en redemandent. Alors maintenant assez de discussion, et en levrette !

Ma femme opte pour la position demandée, Florida en traine le chien qui ne tarde pas à comprendre que les trésors de ma femme sont à sa disposition, il se rue littéralement sur elle (je comprends alors le pourquoi des moufles) et il se met à la pilonner à une cadence infernale.

L’affaire a duré plusieurs minutes, jusqu’à ce que le chien regagne son panier après s’être vidé de son sperme.

– Et maintenant on va s’occuper de ce connard ! Dit Florida.

Je suppose que le conard, c’est moi ?

Elle me passe un collier de chien auquel est attaché une laisse et me fait avancer à quatre pattes jusqu’à la pièce d’à côté.

Me voilà dans un espèce de donjon, les murs sont peints en rouge et il a ici tout un tas de trucs pour immobiliser les esclaves qui s’aventurent dans ce lieu de débauche : une croix de Saint-André, des chaines, un chevalet, une chaise en fer dont le siège est percé…

Mais la vrai surprise c’est la présence de trois bonhommes nus et masqués à genoux, le cul relevé, l’un d’eux étant le grassouillet qui a enculé ma femme tout à l’heure. Quel salaud, celui-ci !

Sur un geste de Florida les trois pervers se relèvent et se positionnent en rang d’oignon face à nous. Elle me tire vers le premier à gauche.

Pas difficile de deviner ce qu’elle va me demander de faire. J’ai déjà en de rares occasions et sous l’effet d’excitations particulières sucé quelques bites. Mais bon, ce n’est quand même pas trop mon truc et là il en a trois.

– Tu vas leur lécher la bite ! Allez, grouille, je n’ai pas que ça à foutre, pédale !

Je cherche à croiser le regard de ma femme, elle est là, toujours à poil, avec ses marques de coups bien apparentes et son rimmel qui a dégouliné de ses yeux, je l’ai connu plus sexy.

– Fais ce qu’on te dit ! Enculé !

Je suis piégé, elle ne viendra pas à mon secours. Bien sûr dans l’absolu, personne ne me retient prisonnier, je pourrais prendre mes cliques et mes claques et quitter ce rassemblement de dépravés. Mais j’ai comme l’impression que Margot le prendrait très mal, et puis après tout je n’ai qu’a m’en prendre à moi-même, ça m’apprendra à tricher de travers.

J’ai la première bite devant moi, elle ne bande pas du tout. Pas bien grave, mes lèvres et ma langue devraient résoudre le problème. Finalement comme la bisexualité n’est pas vraiment taboue chez moi, je prends un certain plaisir coupable à faire grossir le machin dans ma bouche, je me recule légèrement pour voir le résultat, le type bande bien désormais, je suis un bon suceur de bite. Non mais dès fois !

On passe au deuxième, je commence à y prendre goût, puis me voilà devant le troisième, à ce régime-là, je vais devenir un vrai spécialiste.

Il se trouve que le troisième en question est l’infâme salopard qui a enculé ma femme. Et moi je suis là en train de lui faire une pipe. C’est quand même très humiliant comme situation !

Florida demande ensuite à ses trois esclaves de se retourner, de se pencher légèrement et d’écarter les fesses.

J’ai compris, mais je ne veux pas faire ça !

– Lèche, pédale, lèche-leur le trou du cul !

Ce n’est pas Florida qui me donne cet ordre, c’est Margot ! La salope ! L’immonde salope ! Elle exagère !

Et la voilà derrière-moi qui me frappe avec la badine de Florida.

– On t’as dit de lécher les culs, alors tu lèches ! Quand tu lèches le mien tu ne fais pas ta jeune fille, alors tu fais ce qu’on t’as dit, un cul de mec ou un cul de femme, ça a le même gout !

Oui mais la différence, elle est psychologique comme dirait le docteur Freud.

Je me demande un moment si Margot ne cherche pas la crise ? Non c’est idiot, si elle voulait me quitter, il y avait tellement plus simple. Alors je me lance… en fermant les yeux.

Je lèche le pourtour de l’anus sans enfoncer la langue.

– Mieux que ça ! Me crie Margot en y allant de sa badine.

J’essaie de m’appliquer mais j’ai hâte que ça finisse.

Ça y est j’ai léché mes trois trous du cul, je me sens salope, mais salope…

Nouveau coup de badine !

– En levrette, pédale !

Cette fois, c’est la phase sodo, je me marre parce que seul l’un des trois gus bande correctement, les autres vont être incapables de me pénétrer. Sinon ben, curieusement j’appréhende moins la chose que ce que je viens de faire avant. Ma chère et tendre épouse m’a plusieurs fois enfoncé des godes dans le cul et j’ai eu la faiblesse d’adorer ça, alors une vraie bite ce sera une première mais je suis prêt à assumer, d’autant que c’est un de mes fantasmes.

Sur les conseils de Florida, Margot vient branler celui qui a des meilleures dispositions. Elle le suce même un peu, je vous dis c’est une vraie poufiasse.

Le mec passe derrière moi, je sens qu’on me tartine mon cul de gel, je suppose qu’il s’encapote (je supposais bien). Et vas-y Léon, le voilà qui m’encule. Ça rentre bien, ça rentre même profond, et ça lime. Putain, c’est bon ce qu’il me fait cet enculé, non pardon l’enculé c’est moi !

L’esclave numéro deux vient devant moi, j’ai compris, il faut que je le refasse bander de ma bouche afin qu’il m’encule à son tour. Il y est arrivé, mais juste un peu, j’ai presque trouvé ça dommage. Par contre le troisième a été incapable de maintenir son érection. On n’a pas insisté.

Bon c’est fini ce cirque ?

Ben non, il a fallu que les deux pétasses avec un plaisir évident m’attachent sur chevalet et me rougisse le dos et le cul à coups de badine et de martinet après m’avoir torturé les tétons avec des pinces de sex-shop.

On me détache, Florida nous raccompagne dans la petite pièce, il y a un petit frigo que je n’avais pas remarqué, elle en sort une dizaine de saucisses de Strasbourg, puis prend deux verres à pied dans un petit placard. Elle pisse dans les verres.et nous invite à boire. Jusque-là ça va, mais que va-t-elle faire des saucisses ? Suspense !

Elle en prend une, se l’introduit dans le trou du cul puis l’expulse. Elle n’est pas ressortie très nette la saucisse, elle la donne à Margot, ma femme m’a déjà sucé la bite après une sodo un peu sale, donc ça ne la dérange pas trop, mais moi je n’ai jamais fait ça. La deuxième saucisse sort de son trou du cul, elle est pour moi.

Alors je ferme les yeux et je croque, je mâche et j’avale, en fait je n’ai rien senti de particulier.

Florida demande à mon épouse de se coucher sur le sol. Elle la chevauche.

– Tu sais ce que je vais faire ? demande-t-elle à Margot.
– Oui, maîtresse, vous allez me chier dessus.
– Tu te rends compte de l’honneur que je te fais ?
– J’y suis sensible !

Je rêve !

Un long boudin sort de l’anus de Florida et vient choir sur la poitrine de mon épouse. C’est fou de voir ça !

La domina détache un bout de l’étron, le lèche avec un regard vicieux avant de demander à Margot d’en faire autant.

Elle ne va quand même pas faire ça ? Si, elle le fait ! Et le pire c’est que ça me fait bander à ce point que ma bite en est douloureuse.

Elle me regarde, avec sa bouche entrouverte remplie de merde, elle me nargue.

– Je peux vous lécher le cul ! Demande Margot à Florida.

C’est pas vrai qu’elle en redemande ! Mais quelle salope ! Elle lui lèche le cul avec gourmandise. Elle me tire la langue, elle est dégueulasse.

– Alors elle t’a plus, ma merde ? Lui demande Florida.
– C’était un régal.

Florida s’amuse de voir ma bite bandée.

– Tu ne vas pas partir comme ça ! Robert, reviens par ici, l’esclave va t’enculer.
– Euh…
– C’est moi qui commande, encule-le et ne discute pas.

Ma bite est entrée comme dans du beurre dans le trou du cul de cet enfant de salaud.et excité comme un poux j’ai joui en moins de cinq minutes.

– Tu m’as bien enculé ! Me remercie le type.
– Je vous en prie, c’était un plaisir !

Faut toujours rester poli.

– Allez rhabillez-vous, la séance est terminée.

C’est ce qu’on fait, Florida a donné à ma femme des lingettes démaquillantes pour qu’elle s’arrange le visage.

Les deux femmes se roulent un nouveau patin avant que l’on prenne congé, moi j’ai juste droit à une poigné de main.

– C’est fini où il y a une suite ? Demandais-je à ma moitié .
– Non c’est fini, tu veux qu’on aille au restau parce que juste une saucisse ça fait peut-être un peu juste ?
– O.K. pour le restau, mais en fait je n’ai rien compris, pourquoi tu t’es fait dominer comme ça ? Tu la connaissais, la nana ?
– Oh, que de questions ! Tiens une brasserie alsacienne on y va, et je vais te raconter.

Dans la brasserie, Margot a demandé au maître d’hôtel un coin discret.

Flashback

Le récit de Margot.

Ça fait trois fois qu’on joue à son jeu idiot, les premières fois c’était drôle mais je crois qu’on a fait le tour de la question, il m’a exhibé dans des sous-sol de sex-shop, fait sucer des bites à la chaine, des doubles pénétrations, du pipi à gogo et des attachements pénibles. Alors je veux bien jouer une dernière fois, mais cette fois c’est moi qui vais gagner.

J’ai pensé l’accompagner chez une domina, mais je voulais un gros truc, qu’on l’oblige à sucer des bites et des culs, qu’il se fasse enculer, fouetter et toutes ces sortes de choses.

Je dégote quelques coordonnées de ces dames sur le net, et après quelques essais infructueux, je suis tombée sur cette Florida.

– Oui, on peut faire ça, mais ça va vous couter bombons ! me dit-elle au téléphone
– C’est combien « bombons » ?

Elle me l’annonce ! Je n’ai pas ce budget.

– Bon tant pis, c’était juste une idée comme ça, je vais essayer de trouver autre chose
– Attendez on peut peut-être s’arranger, vous avez quel âge ?
– 30 !
– Vous êtes quel genre ?
– Moi ? Fausse blonde, lunettes, normale quoi ? pourquoi vous me demandez ça ?
– Vous plaisez aux hommes ?
– Ben oui, je ne suis pas si mal…
– Et aux femmes !
– Non mais, c’est quoi ces questions ?
– Je vais vous proposer de passer me voir, juste pour voir comment vous êtes, si je vous me convenez je vous proposerais un arrangement.
– Quel arrangement ? Même à 50 % ce serait trop cher pour ma bourse.
– Non, je peux faire mieux que ça, mais répondez à deux questions. Avez-vous quelque chose contre le fait de faire l’amour avec une femme ?
– Non !
– Aimez-vous être dominée ?
– Si c’est un jeu et si on respecte mes limites…
– Oui, je connais le refrain, je vous donne mon adresse, vous pouvez passer quand ? J’habite dans le Marais.
– Tout à l’heure en sortant du boulot….

Elle m’a donné l’adresse d’un bistrot, le contact a été bon. Elle m’a demandé de la suivre aux toilettes, Nous sommes entrées toutes les deux dans une cabine et elle m’a demandé de me déshabiller, mais j’ai gardé mes sous-vêtements.

– Voilà ce qu’on va faire, vous venez avec votre mari, je commence par vous dominer devant lui, et après on exécutera votre programme. Vous ne me devrez rien, le prix ce sera votre domination, ça vous va ?
– Ça me convient très bien !

Fin du flash-back

– Mais pour les cartes ?
– J’ai acheté un bouquin sur les tours de cartes, j’ai compris comment tu faisais pour gagner, il suffisait que je fasse pareil…

J’en reviens pas, le serveur arrive.

– Ces messieurs dames ?
– La choucroute palette, il y a des saucisses ? Demande Margot.
– Non si vous voulez des saucisses, il faut prendre la choucroute saucisse ou la choucroute royale.
– Alors ce sera deux choucroutes saucisses, nous adorons les saucisses voyez-vous !
– Bien sûr, vous verrez elles sont excellentes.
– Dis donc tu aurais pu me laisser choisir ! Protestais-je.
– Tu sais bien qu’aujourd’hui c’est moi la chef !
– Je croyais que le jeu était terminé.
– Ah oui, c’est vrai ! Tu veux qu’on change ta commande ?
– Mais non !

FIN

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

6 réponses à Sept de pique par Hélèna Sevigsky

  1. Antatostus dit :

    Je donnerais cher pour subir à mon tour tous ces délicieux sévices.
    Merci à l’auteur de m’avoir fait bander bien dur !

  2. Chastaing dit :

    Le plaisir dans l’humiliation c’est vraiment mon truc !

  3. Bernardet dit :

    Quel festival ! L’auteur s’est déchaînée !

  4. Claire dit :

    Malgré l’abondance de pratiques évoquées, le récit ne tombe dans la facilité des récits « catalogue » bien au contraire et la plume légère le rend agréable tout en ne nuisant pas à son côté excitant

  5. Tremblay dit :

    Tout y passe, il manque juste un peu de fétichisme des pieds

  6. Tracie dit :

    Superbe histoire, j’ai adoré

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *