Self bondage par Bernard_L

J’ai cinquante ans, je suis marié, ce qui ne m’a jamais empêché de continuer
à pratiquer et à apprécier au plus haut point les plaisirs des jeux
érotiques solitaires.

Toutefois je n’ai aucun goût pour les petites masturbations à la sauvette et
j’ai toujours aimé m’organiser des mises en scène qui réclament du temps et
de la tranquillité. Je dois dire que dans ce domaine l’exploration du Web
m’a ouvert des perspectives insoupçonnées jusqu’alors.

C’est ainsi que j’ai un jour découvert sur un site une rubrique
traitant de « self bondage » où l’auteur expliquait comment il est possible de
goûter seul cette sensation d’être immobilisé par des liens et quelles
précautions prendre pour ne pas courir le risque de ne plus pouvoir se
défaire de ses liens. Je me suis aussitôt juré de profiter de la première
absence de ma femme pour expérimenter ce nouveau jeu.

Ce soir là, j’ai donc équipé mon lit pour pouvoir m’y attacher nu, pas
vraiment attaché car mes mains et mes pieds seraient simplement passés dans
des anneaux de cordes juste assez étroits pour ne pas pouvoir s’en libérer
trop facilement.

Après avoir placé deux pinces métalliques sur mes tétons (ce qui m’arracha
un gémissement de douleur) je me suis étendu, bras et jambes écartés, nu,
les yeux bandés, le corps complètement étiré car j’avais espacé au maximum
les anneaux de corde.

Je suis resté ainsi écartelé pendant pas mal de temps, goûtant cette
sensation nouvelle d’être offert, immobilisé et totalement nu. Je
m’imaginais subissant cette torture humiliante en public et cela me mettait
vraiment dans tous mes états : je tremblais d’excitation et de la douleur
des pinces sur mes tétons et je bandais si fort que mon sexe en était
presque douloureux je pouvais le sentir se raidir encore plus dans des
spasmes de plus en plus rapprochés.

Je ne pouvais plus tenir et j’essayais encore de retarder au maximum le
moment où j’allais enfin libérer une de mes mains pour me soulager, le
moindre contact sur mon sexe gonflé allait libérer mon plaisir.

A bout de résistance affolé d’excitation j’ai tenté maladroitement de me
libérer sans y parvenir et j’étais en train de me contorsionner ce qui ne
faisait qu’augmenter la douleur due aux pinces lorsque soudain j’ai senti
que je commençais à jouir avec une violence que je n’avais jamais connue
jusqu’alors, tout mon corps se tendit comme un arc tandis que de longues
giclées de sperme jaillissaient sur mon ventre et que je m’abandonnais au
plaisir en gémissant. Je dois dire que lorsque je suis retombé inerte,
apaisé, et avoir finalement libéré ma main sans plus de difficulté, il m’a
fallu un certain temps pour réaliser que j’avais joui sans même avoir eu
besoin de me caresser, juste sous l’effet de mon excitation.

Je suis encore resté ainsi un long moment les jambes toujours attachées puis
j’ai commencé à caresser mon sexe sur mon ventre tandis que j’enfonçais de
temps à autre mon doigt gluant de sperme entre mes lèvres le faisant aller
et venir doucement tandis que je sentais la liqueur épaisse et salée couler
au fond de ma gorge; après un premier mouvement de dégoût cette sensation
commençait à me procurer un vif plaisir. Plaisir que je mis à son comble en
me livrant au même jeu avec mon anus, le dilatant de plus en plus jusqu’à
pouvoir y introduire deux puis trois doigts tandis que je me branlais de mon
autre main jusqu’à un nouvel orgasme qui ne se fit pas attendre bien
longtemps.

Ce fut vraiment une expérience curieuse et très intense, bien au-delà de ce
que j’aurais pu imaginer… et je dois vous avouer que le plaisir éprouvé à
le raconter ici ne l’est guère moins, alors j’attends avec impatience vos
commentaires

(Si vous avez aimé et que vous êtes tenté d’essayer soyez tout de même
prudents…)

bernard.l_@caramail.com

Note du Webmaster : nous remercions l’auteur qui nous a permis de publier
ce texte devenu difficile à trouver. Nous rajouterons à sa conclusion
qu’avant d’essayer vous même ce genre de chose, nous vous conseillons
vivement de lire cet
autre texte.

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