Rsumé : Sabrina, une jeune femme aux formes sculpturales a trop lu, dans son
adolescence, « Histoire d’O », le roman de Pauline Réage. Elle ne trouve plus
l’orgasme que dans la soumission absolue et sous le fouet. L’auteur, qui en
est épris, mais qui n’a aucune expérience dans le domaine du
sado-masochisme, tente par tous les moyens de la satisfaire. (voir le
premier épisode)
Les semaines qui suivirent nous permirent de progresser à grands pas dans
nos rapports sado-masochistes et de découvrir de nouveaux plaisirs. Chacun
le sait, l’ennui naît de l’uniformité et l’habitude est sans doute
l’assassin de bien des couples. Aussi étais-je constamment à l’affût de
nouveautés afin que notre liaison s’enrichisse de sensations nouvelles et de
plaisirs de plus en plus extrêmes. N’avions-nous pas mis le doigt dans une
sorte d’engrenage ? L’idée m’obsédait, mais je la repoussais, bien décidé à
profiter du temps présent. Carpe diem !
Sabrina me demanda d’installer un miroir dans notre « salle de tortures et de
plaisirs ». Je fis mieux : je couvris un mur entier de miroirs et cela nous
permit de nous regarder en pleine action : elle, suspendue, nue, subissant
le fouet et bondissant sous les coups et moi, nu aussi, sexe dressé, les lui
administrant. Elle adorait ce spectacle dont elle était l’actrice principale
et cela augmentait son excitation. Cela augmentait aussi la mienne car, même
lorsque j’étais derrière elle pour la flageller, je pouvais profiter du
spectacle délicieux de ses seins qui ballottaient au gré des coups de fouet
et guetter sur son visage l’arrivée de cet instant magique où la douleur
faisait place à la montée du plaisir et à l’extase.
Je rendis visite à un spécialiste du bondage qui m’initia à son art et, peu
à peu, je devins un expert en la matière. J’adorais habiller le corps nu de
mon esclave de cordes ou de chaînes. Je les faisais passer autour de ses
seins, entre ses fesses, entre les lèvres de son sexe et, ainsi ligotée,
Sabrina était à ma merci et je pouvais faire d’elle tout ce qui me plaisait.
Quant à elle, elle adorait être ainsi réduite à l’impuissance, au service
absolu de mon seul plaisir. Mes mains parcouraient son corps, le frôlaient,
l’enserraient, le sollicitaient, l’immobilisaient. Sabrina se laissait
aller, attendant dans une délicieuse anxiété, une excitante angoisse, les
premiers signes de la douleur que je me préparais à lui infliger, douleur
qu’elle saurait changer lentement en plaisir.
Souvent, quand elle était ainsi ligotée et sans la moindre possibilité de se
soustraire à mes désirs, je m’enfonçais voluptueusement dans chacun de ses
orifices et je les remplissais de mon sperme abondant. J’aimais surtout la
sodomiser d’autant plus qu’elle redoutait toujours cette pénétration en
raison de l’étroitesse de son cul et de l’épaisseur de mon membre. Mais, en
la possédant de cette manière parfois brutale et presque toujours
douloureuse, du moins en ses premiers instants, j’avais le sentiment de la
dominer pleinement, d’être vraiment le maître de son corps.
Un soir, je fis une nouvelle expérience. Je lui avais demandé de
s’agenouiller, nue, sur une table basse en chêne massif. J’avais lié ses
chevilles et ses poignets et je les avais attachés, en serrant bien, aux
deux pieds droits de la table de façon à ce qu’elle ne puisse plus bouger et
qu’elle offre, ainsi inclinée en arrière, ses cuisses, son ventre, sa
poitrine, son visage à ma convoitise. Une fois de plus, j’étais
littéralement fasciné par ce corps superbe et surtout par les deux globes de
chair aux proportions parfaites et dont les tétons commençaient à se
dresser. Je pris les seins à pleines mains et je me mis à les pétrir, à les
malaxer avec frénésie. Je les pressai l’un contre l’autre, puis je les
écartai et les serrai à nouveau. Je me mis à les mordre et à pincer les
tétons durcis avec mes dents. Sabrina gémissait et semblait apprécier. Je
pris le martinet et je jouai à faire glisser les lanières sur la peau.
– Frappe ! implora Sabrina dans un murmure
Alors les caresses se transformèrent en petits coups cinglants qui
arrachaient des gémissements à ma belle esclave. Il me sembla que, sous les
coups, ses seins gonflaient de plaisir et cela m’excita au plus au point.
Moi qui, jusqu’à présent, avait toujours épargné cette partie de son corps,
je me mis à la flageller jusqu’à ce que je voie apparaître sur le visage de
mon aimée les signes de sa jouissance. Alors, n’y tenant plus, je plongeai
dans sa bouche ouverte mon sexe dont la taille avait atteint son maximum.
Etroitement serré par ses lèvres, je me mis à la baiser avec la même ardeur
que si j’étais dans son ventre ou dans son cul. Quant à elle, elle me tétait
avec autant de voracité qu’un enfant au sein de sa mère jusqu’à ce que gicle
dans sa gorge un lait abondant qui n’avait rien de maternel.
Peu après m’être retiré de sa bouche, j’eus une impérieuse envie d’uriner.
Peut-être avais-je un peu trop forcé sur le champagne quelques instants plus
tôt. C’est alors que l’idée me vint de lui imposer l’humiliation suprême :
profitant de ce qu’elle était toujours fermement attachée, j’allais
l’utiliser comme urinoir ! Je m’entendis prononcer ces mots :
– Sabrina, mon amour, après la crème, tu as droit au champagne !
Sans doute crut-elle que j’allais lui servir une coupe de notre boisson
préférée, mais quand elle me vit me placer au-dessus d’elle et prendre mon
sexe entre mes doigts, elle réalisa ce que j’allais faire et elle s’exclama
:
– Ah non ! pas ça ! Tu n’oserais quand même pas …
– Tais-toi, esclave, ton maître a tous les droits ! Je veux que tu me boives
!
Après quelques instants, je me mis à pisser abondamment sur son ventre, sur
ses seins et sur son visage. Dans un sursaut de dignité, Sabrina tenta
d’échapper au jet, mais elle était trop bien attachée pour pouvoir s’y
soustraire. Comme elle refusait d’ouvrir la bouche, je lui pinçai le nez et
quand elle dut la réouvrir pour respirer, j’en profitai pour la lui remplir
de cette tiède pluie d’or. Elle suffoqua, en avala une partie, recracha le
reste et je trouvai très excitant de voir mon urine couler le long de ses
lèvres jusqu’à ses seins. En fait, la voir ainsi mouillée de pisse provoqua
une nouvelle et formidable érection. Je détachai mon esclave de la table
basse pour l’attacher sur le chevalet. Je saisis à nouveau le martinet et me
mis à flageller son dos et ses fesses sans la moindre retenue. Bientôt le
chant de ses hurlements berça mes oreilles, augmentant encore mon
excitation. Je mis ma main entre ses cuisses : elles ruisselaient de
plaisir. Je plongeai alors dans le canal étroit de son cul et je commençai
mes va-et-vient jusqu’à ce que la jouissance nous emporte tous les deux.
? Il me fallait trouver d’autres idées, d’autres formes de soumission,
d’autres douleurs, d’autres supplices si je ne voulais pas la perdre.
– A suivre –
Bernard.B@netcourrier.com
Je suis comme Sabrina et accepte toutes les humiliations. J’ai adoré ce texte
« toutes les humiliations », y compris scato et zoo ?
Oui !