C’était en juillet dernier, durant mes semaines de vacances. Je revenais, à
pieds, par les ruelles, d’une soirée entre amis, il était environ minuit. Je
regardais le ciel étoilé, la lune était pleine et il n’y avait aucun nuages
à l’horizon. Tout à coup, l’image de Marie, une fille que j’avais regardée
toute la soirée me revint…
Il faut dire que Marie est magnifique, de beaux cheveux blonds, deux yeux
langoureux et une poitrine voluptuese… Étant on ne peut plus excité par
cette image, comme je le fus toute la soirée, et étant déçu de n’avoir eu le
courage de lui demander pour une aventure, je m’arrêtai dans un coin et
commençai à me masturber…
Je baissai ma braguette et sorti mon membre en érection, cela faisait un bon
bout de temps que je ne l’avais vu si grosse, je commençai donc à la frotter
tranquillement quand j’entendis un bruit. Je m’arrêtai et bientôt, j’aperçus
une ombre apparaître sur le coin du mur ou j’étais accoté. L’ombre
s’approcha, par réflexe, normalement, j’aurais fait semblant d’uriner, mais
là, je restai, le pénis bien en vu (pour ce qu’on pouvait voir à la seule
lueur de la lune) et recommençai à le caresser. Une voix masculine,
provenant de l’ombre, me chuchota :
– Je peux me joindre à toi ?
– Ouais, si tu veux. (J’avais répondu oui à un homme!)
– Bien…
L’homme vint et baissa sa braguette, il en sortit un engin que je trouvai
magnifique. C’était probablement le premier que je voyais « en direct » de
toute ma vie, à part le mien et ceux que l’on aperçoit lorsque l’on prend sa
douche dans un gym, et je me donnais le droit de juger de la beauté de cette
chose.
Nous nous masturbions depuis déjà un moment quand il me demanda s’il pouvait
me faire une fellation. J’acceptai. Quand je sentis cette douce et chaude
sensation, mes genoux se fléchirent, et un frisson parcourut mon dos. Il
descendit complètement mes jeans qui était, à ce moment, à mes genoux. Puis
j’éjaculai et ensuite il remonta pour venir m’embrasser tout en me caressant
le torse et le ventre…
Je me dis que je ne pouvais que lui rendre la pareille, alors je le saisis
et le collai au mur, puis je descendis et mis son merveilleux pénis dans ma
bouche. Il devait faire au moins 8 pouces (20 cm) et il sentait tellement
bon, une odeur enivrante, une odeur que je me surpris à aimer pour la
première fois, l’homme… J’essayai de l’engouffrer mais je m’étouffai vu la
grandeur de ce doux et juteux monument de chair… Il vint assez rapidement,
gémissant et me caressant le derrière de la tête pour contrôler mon
mouvement. Son sperme était délicieux, légèrement amère mais tellement
suave…
Puis il me demanda de me mettre face au mur, j’acceptai. Il fouilla dans sa
poche et en sorti un condom, je le su car il jeta l’enveloppe juste au bas
du mur, près de mes pieds… Je sentis une chose forcer l’entré de mon anus.
Il me demanda de me pencher. Je ne protestai point et exécutai sa directive.
Je me surpris à ne pas refuser cette pratique, probablement à cause de
l’excitation ou d’une certaine sensation de soumission que j’avais envers
lui. À vrai dire, en amour, je suis souvent soumis, voulant que le plaisir
de l’autre passe avant le mien… La chose pénétra dan mon rectum, cela tira
un peu, mais après quelques instants, la douleur passa. Il comprit
probablement que c’était une première pour moi, puisqu’il ralentit
considérablement ses actions. Je compris que c’est son index qu’il
m’introduisant quand je sentis sa mais se coller contre la fente formée par
la séparation de mes fesses…
l’entrée de ce sanctuaire inviolé avant ce jour. Je sentis un liquide tomber
près de mon anus. Je me dis que c’était probablement sa salive, il voulait
lubrifier le tout du mieux qu’il pouvait. Puis il défonça lentement cette
porte. Je sentais une grande douleur et une plainte lascive s’échappa de ma
bouche, il me dit :
« Ne t’inquiète pas, la douleur partira bientôt. » puis il poussa un peut plus
et s’immobilisa.
La douleur, tellement intense, diminua peu à peu, pour, après un instant,
quand il commença à faire un va-et-vient lent et continu, laisser place à un
plaisir magique. Il accélérât, je lâchais des gémissements de bonheur, il
s’arrêta un instant, se retira et vint se placer près de ma bouche, il
enleva son condom, qu’il lança plus loin, et me dit de le sucer, chose que
je fis avec plaisir. Quand il éjacula une quantité si immense, phénoménale
de sperme jaillit et me coulât sur le torse, mon T-shirt ayant été enlevé
auparavant, pendant la pénétration, pour essuyer la semence qui luisait sur
ma poitrine, n’ayant ni linge ni papier, il lichât le tout, me titillant les
mamelons tout en même temps, c’était si bon..
Nous nous sommes rhabillé, embrassé fougueusement et puis quitté. Je lui
demandai son nom entre deux baisers et le départ, cet homme s’appelait
Michel.
Nous ne sommes plus jamais revus. Quelques fois, l’été, je retourne à
l’endroit où je l’ai rencontré, espérant le revoir. À l’endroit où j’ai été
initié au plaisir masculin et où j’ai appris que l’on pouvait être attiré
par les femmes mais aussi adorer faire l’amour avec un homme sans pour
autant être homosexuel, car je n’en suis pas un, je suis un bisexuel et
fier; Je le sais, maintenant.
Mathieu Québec
Une première fois complétement fantasmé, mais après tout, pourquoi pas