Pizzas magiques par Lazenby

Pizzas magiques par Lazenby

Je me nomme Lucas, j’ai 30 ans et suis célibataire mais j’ai une copine en ville, elle s’appelle Carole et ce soir-là j’étais partie chez elle, une jolie petite blonde avec des seins comme des obus. Elle me reçoit chaleureusement, on s’embrasse, on se pelote.

– On va dans ta chambre ? demandais-je tout excité.
– Y’a pas le feu, j’ai envie que tu me racontes une belle histoire bien cochonne, et si tu réussi à m’exciter bien comme il faut on s’enverra en l’air.
– Pas de soucis

Alors voilà !

C’était un repas de famille, on prenait l’apéro en attendant le livreur de pizzas

Autour de la table nous étions six. il y avait mon père Charles, 57 ans, ma mère Solange 55 ans, encore très bien conservée avec des fesses rebondies et des seins gros et biens ronds. Elle aime s’habiller encore sexy avec de beaux décolletés. Ma sœur Florence 37 ans aussi jolie que ma mère ainsi que son mari Richard 38 ans et leur fille Delphine 19 ans qui elle tenait autant de la mère que de la grand-mère.

On a sonné, c’était le livreur de pizzas.

– On n’avait plus de pizzas quatre saisons, alors la maison vous offre des pizzas magiques, on vous a fait 50 %…
– Il y a quoi dans la pizza magique ?
– Une surprise ! Je vous laisse, j’ai plein de livraisons à faire.

On a commencé à manger nos pizzas et soudain j’ai senti la jambe de ma mère se coller contre la mienne, j’ai aussitôt ressenti une chaleur me monter à la tête. Mon père se mit à raconter des anecdotes de sexe particulièrement osées, et plus il racontait plus ma mère appuyait sa jambe contre la mienne. à un point même que je croyais qu’elle faisait exprès pour la faire monter descendre contre ma jambe. Elle commença aussi à coller son bras contre le mien tout en mangeant sa pizza. Je n’en pouvait plus, je glissais discrètement ma main comme si j’allais me frotter la cuisse et je la posais sur le côté de la cuisse de ma mère. J’ai senti immédiatement sa réaction. Elle avait l’air d’aimer ce traitement car elle se collait davantage. Soudainement la main de ma mère se retrouva sur ma braguette. J’étais bandé au maximum et ma mère s’en aperçut car elle me fit un clin d’œil complice. Plus ma mère mettait de la pression plus ma main s’aventurait sur son entre-cuisse, jusqu’à toucher sa petite culotte..

Puis mon père se leva prétextant vouloir aller aux toilettes. Delphine s’écria alors :

– OHHH!!!! WOW !

Son père Richard lui a demandé qu’elle était l’objet de son émoi. Delphine répondit qu’une bosse déformait le pantalon de son grand-père. Richard répliqua :

– C’est normal avec ces histoires que racontent Charles, moi aussi ça m’a excité. Dis Delphine tu veux voir ma bosse de plus près en réel ?

Mon père éberlué n’osa pas répondre mais Richard revenait à la charge :

– Allez beau-père fais-lui ce plaisir, ça lui permettra de voir une bonne bite d’homme bien bandée !

Alors mon père s’exécuta, baissa sa fermeture éclair devant les yeux éberlués de Delphine et extirpa son sexe gros et dur. Une bien belle bite qui me fit saliver d’envie ! Richard demanda à Delphine si elle voulait lui toucher. Delphine timidement tendit la main vers le sexe dur à souhait. Delphine commença à caresser le membre de son grand-père. Mon père ferma les yeux pour sentir la sensation de la caresse de Delphine. Puis Richard se leva d’un trait et alla se placer à coté de Delphine, baissa son pantalon et dis à Delphine :

– Regarde la queue de ton père, elle aussi elle est belle !

Delphine regarda son père et lui sourit tout en prenant dans l’autre main sa queue hyper excitée

Pendant ce temps-là ma mère n’était pas restée inactive à la vue du spectacle offert, elle baissa ma fermeture éclair et sorti mon membre bien raide et le caressa avec ardeur, alors que moi j’avais déjà mes mains dans son décolleté pour lui caresser ses gros seins. Ma sœur était en face de nous avait baissé sa culotte et se caressait la chatte. Elle me dit alors :

– Lucas lève-toi, je veux voir ta queue se faire sucer par maman. Vas-y maman, sois cochonne suce bien la bite de ton fils.!

Je me levais d’un trait et présentais ma queue à la bouche de ma mère qui la goba aussitôt.

A l’autre bout de la table; Delphine était étendue au milieu des assiettes, elle suçait la queue de son père qui lui avait baissé sa culotte. Ma mère invita ma sœur à l’accompagner, elle se leva et au lieu de s’occuper de moi elle vint caresser le cul de ma mère. Florence dit à ma mère qu’elle avait envie de lui manger la chatte. Ma sœur appuyait sa langue sur le clito de ma mère. Pendant ce temps-là Delphine râlait; elle dit à ses deux partenaires :

– Je suis chaude come la braise, j’ai envie de sentir vos deux queues.
– Allons dans le salon nous serons beaucoup mieux. Proposa mon père

Ce que nous fîmes !

Mon père, Richard et Delphine avaient pris place sur le canapé tandis que moi je m’asseyais dans le fauteuil, ma mère se plaça à mes pieds voulant encore avoir ma queue dans sa bouche. Mon père coucha Delphine sur le côté et pénétra sa petite-fille tandis que Richard, son père lui présenta sa queue à sucer. Ma mère se leva et me dis qu’elle avait envie de se faire pénétrer par ma queue. Elle s’empala sur mon membre bien raide et demanda à sa fille de venir lui lécher le clito. Florence à quatre pattes vint sucer sa mère. Mon père avait une vue imprenable sur son cul. Il se leva et demanda à Richard de prendre sa place et se dirigea vers Florence en lui disant :

– J’ai envie de ton cul.
– Oui vas-y papa encule-moi, je la veux ta queue dans mon cul. Répondit Florence

Et mon père lubrifia bien l’anus de Florence et l’encula d’un coup sec. Pendant ce temps-là je pistonnais ma mère et je ne pouvais plus me retenir bien longtemps et lui dis que j’allais jouir. Elle me répondis :

– Fiston je veux gouter à ton jus.

Elle s’excusa auprès de Florence de la déranger, elle se leva et commença à me pomper avec vigueur. C’est à cet instant que je giclais toute ma semence dans la bouche de maman, qui la garda dans sa bouche puis alla embrasser Florence pour qu’elle puisse y gouter.

Mon père continuait de pistonner le cul de ma sœur et lui dis :

– Je veux te la mettre partout et finir dans ta bouche.

Ma mère insatiable alla rejoindre son gendre et sa petite-fille; elle a sorti la queue de Richard de la chatte de Delphine et la présenta à l’anus de celle-ci qui s’exclama :

– Oui papa encule-moi je la veux.

Richard ne put résister longtemps à ce traitement, ma mère le sentit jouir et sorti la queue gluante de sperme et de merde pour la mettre dans sa bouche pendant que Richard était pris de violents spasmes et envoyait sa purée. Ma mère se délectait. Mon père toujours occupé avec sa fille demanda à sa petite-fille de venir aider sa mère à gouter à sa semence. Et envoya trois ou quatre jets de sperme.

Après un petit break à coup de bon vin d’Italie, mon père a voulu m’enculer. Devant une si belle bite je ne pouvais refuser, j’ai commencé par bien la sucer avant qu’il me la foute dans le trou du cul. Et pendant qu’il me sodomisait Richard est venu devant moi pour m’offrir son sexe à sucer.

Après tout ça, nous sommes tous effondré de fatigue sur le plancher.

– Mais que nous est-il arrivé ? Demanda mon père quand il reprit ses esprits.
– Ce doit être les pizzas magiques ! Suggéra ma mère !
– Il faudra qu’on en recommande, alors !

Et voilà mon histoire.

– Ben dis donc tu en as des drôles de fantasmes ! Me dit Carole.
– Ça t’as excité au moins ?
– Ça on peut le dire !
– Alors on va dans ta chambre !.
– Mais bien sûr mon gros biquet !

Fin du délire

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11 réponses à Pizzas magiques par Lazenby

  1. Axel dit :

    C’est formidable de se faire sucer la queue par sa propre mère !

  2. Werber dit :

    On se suce et on s’encule en famille… Vive le sexe sans tabou

  3. Roudoudou des iles dit :

    Où est-ce qu’on peut commander de telles pizzas ?

  4. Lucien dit :

    C’est tellement confus qu’on ne sait plus qui baise qui, ce qui tue le fantasme du récit

  5. Guizot dit :

    Le sacrifice rituel, dont le repas collectif garderait la trace, serait à interpréter comme une mise à mort non criminelle, où se liraient tout à la fois l’aveu du meurtre originel et son rachat.
    On comprend dès lors que la représentation comme l’expérience du repas partagé sont surtout une opération sémiotique qui subordonne l’acte de manger à la mise en scène d’un événement: la table fera advenir soit l’harmonie, soit la discorde. Il peut arriver que le rituel ne fonctionne pas: que les codes ne soient pas respectés (découper la dinde avant que tous ne soient arrivés, insulter l’hôte, l’assassiner), que le convive ne mange pas (l’anorexique), qu’un étranger se mette à table sans y avoir été invité (le parasite, le revenant), qu’un trouble-fête déballe son sac (le secret de famille).

    • Eddy dit :

      Je ne sais pas trop ce que vous voulez nous raconter, mais j’ai bien l’impression que vous êtes hors sujet 😉

      • Breton dit :

        Partons de l’idée que le sexe ne doit pas être triste et prenons ce texte comme il est est : un gros délire permettant touts les fantasmes (inceste, bisex masculine et féminine…)
        Quand à l’ami Guizot et son commentaire farfelu, conseillons lui de pendre un peu d’Euphythose, c’est à base de plantes et ça calme bien.

  6. Baruchel dit :

    Un délire qui ne se prétend pas un chef d’œuvre de la littérature érotique mais agréable à lire pour qui apprécie les familles tuyau de poêle en partouze

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