Bonjour, je me nomme Éric, je suis un homme de 26 ans et je travail dans le
domaine de l’informatique. Il faut que je me confie à quelqu’un, que je
parle de ce qui m’arrive et ce quelqu’un se sera vous puisque vous avez
choisi de me lire…
Je suis l’exemple du citoyen moyen, un bon emploi, une petite voiture
presque neuve et une petite maison un peu à l’écart de la ville avec toute
la tranquillité qui l’accompagne. Ma vie est on ne peut plus belle, de plus
j’ai la chance d’avoir un physique agréable, j’ai les cheveux châtains, les
yeux bleu, je dois peser dans 72 kg (160 lbs) avec une taille d’1,80 m
(5,10).
Mais j’ai surtout la chance d’avoir à mes côtés une merveilleuse amie pour
partager tout ça, Karine, laissez moi vous parlez d’elle un peu. Karine est
une grande brune d’1,81m (5,10 p et le centimètre de plus elle y tient) avec
une agréable taille de 60 kg (135 lbs), mais outre son physique et ses 27
ans elle est d’une grande intelligence, d’un sens l’humour étonnant et d’une
gentillesse incomparable. Nous sommes très amoureux l’un de l’autre, très
complice je dirais, au lit Karine est une femme très chaude, j’adore faire
l’amour avec elle.
Voilà un parfait résumé de ce qu’est ma vie, alors vous vous dites sûrement
que c’est des plus banal et que je n’ai aucune raison de raconter tout cela
ici… Détrompez vous, vous êtes dans l’erreur, les choses on bien changées
dernièrement… Mais commençons par le début.
La plupart du temps je travaille de chez moi car je peux très bien diriger
le réseau de l’entreprise qui m’engage à distance, mais il arrive que je
doive me rentre au bureau pour faire des modifications ou autres choses.
Alors dont ce matin là je devais aller au bureau pour brancher un nouvel
ordinateur, je suis allé déposer Karine à sa clinique d’esthétique où elle
est esthéticienne et je me suis rendu au travail. Je salue tout le monde et
prend connaissance de ce que je dois faire, on a engagé une nouvelle
secrétaire et je dois installer son poste, je me rends à son bureau et
frappe à la porte…
– Bonjour je suis Éric le technicien je suis là pour votre ordinateur.
– Bonjour Éric, je me nomme Sara, merci d’être venu aussi vite.
Pour ne rien vous cacher, Sara est une jolie blonde (comme mon patron à
l’habitude de les aimer) elle porte un tailleur très ajusté à sa taille et
de hauts talons.
– Puis-je vous déranger quelques instants ce ne sera pas très long ?
– Bien sur, faite dont, je vous laisse la place.
Je passe derrière son bureau et me met à genou pour connecter l’ordinateur
au réseau, Sara demeure debout à mes côtés, c’est alors que par pur hasard
je lance un coup d’œil furtif à ses longues jambes, elles sont gainées d’un
nylon noir très opaque, mais qu’est-ce qui m’arrive, je n’arrête pas de lui
reluquer les jambes, je les admires, elles sont très belles, ce n’est pas
possible, mais une transformation s’effectue dans mon pantalon et pire
encore, dans ma tête. Je termine le travail et me relève, Sara me regarde
d’un air coquin, elle s’est aperçu que je la regardais, je suis bouche bé,
j’ai le souffle court et je sens la gène m’envahir, j’ai même de la
difficulté à soutenir son regard. Elle me détail des yeux, son sourire est
maintenant plus discret…
– Vous avez l’air malalaise Éric, ce sont mes jambes qui vous mettent dans
cet état ?
– Vos jam.b.es, eeee oui elles sont très belles vos jambes (mais qu’est ce
que je raconte).
– Et bien merci Éric mais ce n’était pas ma question.
– Je suis désolé mais je dois me remettre au travail, voilà ma carte si vous
éprouvé des difficultés avec vos jam… votre ordinateur.
Elle rigole et moi je me sauve, le plus vite possible, je ne comprends pas
ce qui m’arrive, sûrement un coup de folie, je dois couvrir une grippe. Je
prends le chemin du retour et ma tête se met à fabriquer toutes sortes
d’images, les jambes de Sara sont devenue une idée fixe, son regard, ses
questions, je me sens presque coupable de mes pensées. Arrivé à la maison je
décide de me détendre, je me fais une grand tasse de café chaud et m’assoie
devant mon ordinateur, je prend de grandes respirations, je décide alors de
me balader sur le Web sans trop savoir où je vais, le premier mot que je
tape sur mon clavier est nylon et je presse « enter », des dizaines de sites
apparaissent, je clique sur un au hasard, on y traite de fétichiste et de
domination soumission, tout ça me parait plutôt bizarre, c’est alors que je
décide de consulté la galerie de photos. Des centaines de photos montrant
des femmes superbes portant des bas culottes ou encore des bas attachés à un
porte-jarretelles, des sueurs froides me parcours le corps tout entier, je
regarde les photos toutes plus sexy les une que les autres, de longues
jambes parfaites habillées de nylon de différentes couleurs, je sens que ma
queue est maintenant dure comme de l’acier, pendant des heures je continue
de regarder ces photos magnifiques. Après avoir terminé ma navigation plutôt
chaude je me décide à prendre une bonne douche bien froide question de
refroidir mes ardeurs.
Karine rentra comme à l’habitude vers les 17h raccompagnée par une collègue
de la clinique.
– Chéri, je suis rentrée !
Quelle douce musique ce fut à mes oreilles, mais je ne pouvais oublier
toutes les choses qui s’étaient passé dans la journée, c’est alors que je me
suis levé pour aller l’embrasser à la cuisine, ça y est la folie me reprend,
je n’avais jamais de cette façon remarqué comment la femme de ma vie pouvais
avoir de belles jambes bien fuselées, d’un galbe presque parfait dans sa
tenue d’esthéticiennes très courte, je les admirais, assez longtemps pour
que Karine me demande…
– Qu’est ce que tu as à me regarder les jambes comme ça ?
– Rien, rien elles sont belle tu sais mon amour.
– Oh! Merci chéri, que de compliments ce soir.
Un sourire vain finir le tout et la soirée se déroula comme à l’habitude. Le
soir, alors que j’étais allongé sur le divan, j’entendis Karine m’appeler,
elle était dans la pièce de l’ordinateur, pensant que j’allais pouvoir jouer
les supers techniciens devant ma femme, quelle ne fut pas ma surprise de
découvrir sur l’écran le site que j’avais parcouru tout l’après-midi et tout
bonnement elle me demanda ce que je faisais sur ce genre de site.
– Eeee Je suis tombé sur ce site par hasard.
– Par hasard dis-tu.
– Oui croit moi, ce n’est rien.
– Rien, je trouve qu’elles sont plutôt jolies moi ces femmes.
– Eeee moi aussi.
– Tu sais qu’il s’agit d’un site fétichiste ?
– Non ? (je suis très mauvais menteur elle va s’en rendre compte)
– Et oui, un site fétichiste du nylon et des jambes féminines.
– Pourquoi tu me dis tout cela ?
– Parce que je pense que tu me mens !
J’étais de plus en plus honteux et comme si ce n’était pas assez voilà que
Karine me regarde en croisant les jambes d’une façon très provocante.
– Tu sembles vraiment très nerveux Éric, tu aurais autres choses à me dire
peut-être ?
– Possible.
– Alors qu’est ce que tu attends je t’écoute.
– Il m’est arrivé une chose plutôt bizarre cette après midi…
– Stop ! baisse ton pantalon !
Je n’avais jamais vue Karine me parler sur ce ton, et pourtant elle avait
l’air de s’amuser de cette situation, sans savoir pourquoi je fis descendre
mon pantalon.
– Le slip aussi Éric !
– Pourquoi tu me parles de cette façon ?
– Toute suite ! je n’ai pas que ça à faire.
Sans dire autre chose j’enlevai ce qui cachait encore mes parties intimes,
une queue dure et bien haute apparu, ce qui fini de me trahir. Karine
s’avança sur la chaise et saisi ma verge.
– Continue maintenant, qu’est ce qui s’est passé aujourd’hui ?
C’est alors que je me suis mis à raconter ce qui m’était arrivé au bureau et
aussi pour le site Internet. Karine n’avais pas lâché ma queue tout au long
de mon récit, mais sans plus, pas même un petit mouvement de va et vient.
– Éric tu te rends compte que tu as joui ? J’ai la main pleine de sperme.
Elle disait juste, sans m’en rendre compte j’avais joui en racontant mon
histoire.
– Remet tes vêtements, je vais nettoyer ma main et me mettre au lit j’ai
sommeil.
Rien, on ne fait pas l’amour, on ne parle pas plus de ce qui s’est passé,
décidément je n’y comprend plus rien, je me nettoie un peu avec un mouchoir
de papier et remet mes vêtements. Quand je suis arrivé dans la chambre,
Karine était couché mais ne dormait pas encore, elle ne disait rien, je me
suis couché à ses côtés et je me suis mis à penser, c’est alors que je
l’entendis me dire bonne nuit. Le lendemain matin à mon réveil Karine avait
déjà quitté, je sors du lit pour me rendre à la cuisine, une note laissée à
mon attention attendait près de la machine à café, elle est de la main de
Karine…
Bon matin mon amour j’espère que tu as bien dormi et surtout que tu t’es
remis de tes émotions d’hier soir… Aujourd’hui tu raseras tes jambes et tu
iras dans mes tiroirs te choisir une paire de bas culotte, je veux que tu
les portes sous tes vêtements toute la journée afin que je puisse t’admirer
ce soir à mon retour. Ensuite j’aimerais que tu retournes sur Internet et
que tu me trouves d’autres sites fétichistes ou encore de soumission
masculine, une dernière chose, j’apprécierais beaucoup que tu ne te
masturbes « plus » en mon absence !
Je t’aime, Karine
J’ai du la relire au moins dix fois pour être bien certain que c’était bien
ma Karine qui avait écrit ce message, mais on reconnaissait bien son
écriture, il n’y avait pas le moindre doute la dessus. Dans quoi m’étais-je
embarqué, comment en étais-je arrivé là ? Tout en prenant mon petit déjeuné
je me demandais si j’allais vraiment obéir aux fantaisies de ma tendre
moitié, je sentais le piège se refermer sur moi, le piège de mes désirs les
plus secrets, les plus nouveaux, un piège dont je ne pourrais plus jamais me
libérer. Après tout où était le mal dans tout ça, Karine et moi étions
amoureux, ni moi ni elle ne souffriraient de ces nouvelles expériences et
pourquoi pas ?
Après mon léger repas je me rendis dans notre chambre pour explorer les
tiroirs intimes de Karine, il y avait la toutes sortes de fins tissus ; des
bas, des collants de diverses couleurs, ses petites culottes, des soutiens
gorges et même quelques porte-jarretelles. Je pris dans mes mains une paire
bas culotte beige, comme c’était doux au contact de ma peau, cette fine
lingerie exclusivement réservée aux femmes, je la passais sur mon visage,
dans mon cou, rien ne pourrait m’empêcher maintenant de les mettre, l’envie
était trop forte pour pouvoir y résister.
Je décide alors d’accomplir mon premier devoir, celui de me
raser les jambes, je dois dire que je m’en sorti plutôt bien, non sans
quelques coupures, mais bien. Regarder mes jambes ainsi, lisse comme celles
d’une femme, me faisaient un peu bizarre. Il ne s’écoula pas beaucoup de
temps avant que je retourne à ma chambre pour enfin pouvoir enfiler les bas,
là j’ai du mal à vous décrire la sensation que me procurait le collant en
glissant lentement sur ma peau, milles frissons me parcourrait le corps tout
entier, ai-je vraiment besoin de vous dire comment ma queue était dure à cet
instant, elle me faisait mal tellement je bandais. Je décidais alors de me
placer devant la glace question de voir le résultat, beau, oui j’étais beau
à l’intérieur de ce magnifique vêtement, je pouvais voir mon sexe à sa
pleine taille à travers le collant, mes jambes semblaient si douces, si
parfaites. Non je n’allais pas remettre mes vêtements, j’allais seulement
mettre un t-shirt et demeurer ainsi jusqu’au retour de Karine. Je fini la
journée en parcourrant différents sites Internet sur les sujets que désirait
Karine, sans oublier de les ajouter à mes favoris.
L’heure du retour de Karine ne tarda pas à arriver, quand elle entra,
j’étais toujours devant l’ordinateur…
– Éric, vient ici !
Je devais être plus rouge qu’une tomate quand je me suis présenté devant
elle, Karine me regardait avec un sourire radieux, mais aussi légèrement
malicieux…
– Je vois que tu n’as pas remis tes vêtements, c’est très bien ça.
– Va m’attendre à genou dans le salon, je me change et j’arrive, j’ai un
présent pour toi mon chéri.
À genou elle m’avait demandé, même si cela m’avait surpris, je décidai de
quand même le faire pour connaître la suite des événements. Quand Karine
réapparu, elle était méconnaissable, tout d’abord ses cheveux étaient
retenus par un sévère et haut chignon, ensuite les seuls vêtements qu’elle
portait était un porte-jarretelles noir et les bas qui allait avec et pour
couronner le tout, de hauts talons aiguilles. Je n’avais jamais imaginé
Karine de cette façon, pas même dans mes rêves les plus fous, pourtant elle
me plaisait ainsi vêtu, elle ressemblait à une amazone ou une déesse grec,
si belle et si pure. Comme elle ne portait pas de petite culotte j’avais la
chance de pouvoir admirer une chose nouvelle pour moi, elle avait
parfaitement épilée sa chatte, son sexe m’apparaissait si doux, le fruit
défendu que j’avais maintenant plus que tout envie de boire.
– C’est bien Éric, tu suis mes instructions à la lettre.
– Comment me trouves tu, mon look te plais ?
– Oui beaucoup Karine, tu es superbe.
– Je suis contente que cela te plaise.
– Tu vois cette boite ?
– Oui ?
– C’est un présent pour toi …
Elle déposa le paquet sur le sol devant moi, sans savoir si je pouvais
l’ouvrir je levai le regard vers elle en attente d’une autorisation de sa
part…
– Oui tu peux l’ouvrir, son contenu est pour toi.
Je la regardais dans toute sa grandeur, j’en tremblais d’envie, j’avais sa
chatte à la hauteur de mon visage, oubliant quelques instants son sexe
lisse, je me mis à regarder la boite, que pouvait elle bien contenir,
j’ouvris la boite pour y découvrir deux choses, la première était un collier
de cuir ressemblant à ceux qu’on fait porter aux chiens, la deuxième chose
était une longue laisse de la même matière qu’était fait le collier.
– C’est pour moi ?
– Et pour qui d’autre veux-tu que ce soit ?
– Tu ne veux quand même pas que je porte ça ?
– Non seulement je veux, mais je l’exige !
– Toujours ?
– Bien sur que non voyons, seulement quand nous jouerons ensemble !
Sans attendre mon consentement elle saisi le collier et me le passa autour
du cou, ensuite elle y attacha la laisse et pour finir elle me retira mon
t-shirt de sorte que je me retrouve avec comme seul vêtement les bas
culotte. Elle alla s’asseoir sur le sofa non loin d’où j’étais, elle écarta
ensuite largement les jambes.
– Prend la poignée de la laisse et apporte la moi !
J’avançai à genou jusqu’à elle et lui remis la laisse entre les mains,
j’avais le sentiment que je n’avais pas remis que ça entre ses mains, mais
aussi l’acceptation de ma soumission envers elle, comme si je venais de
tisser le liens entre moi le soumis et elle ma maîtresse, cette maîtresse
dont j’étais follement amoureux. Karine me regardait droit dans les yeux,
d’une main elle tenait la laisse et de l’autre elle caressait sa chatte, à
l’aide de ses doigts elle faisait ouvrir ses grandes lèvres, mais ne me
quittais jamais des yeux.
– Ça te plaît toujours Éric ?
– Oui beaucoup Karine.
– Tu apprécies le spectacle ?
– Enormément
– J’espère parce que c’est tout ce que tu auras pour aujourd’hui, je vais
jouir et tu vas me regarder !
– Tu ne te toucheras pas, tu ne jouiras pas et tu ne me toucheras pas non
plus !
– Mais ce sera déjà beaucoup, parce que tu auras le privilège de m’admirer,
n’est ce pas Éric ?
– Oui Karine.
– Pardon, j’ai sûrement mal entendu ton appellation ?
– Oui Maîtresse…
Et voilà le sort en était jeté, les règles établies, sans pouvoir comprendre
comment j’en étais arrivé la, j’étais l’esclave de mes désirs, l’esclave de
mon amour pour elle et encore ce n’était là que le commencement…
Dave
Ah, bon, tout ça pour pas grand chose en fait !