Mes vacances au cap d’Agde
2 – La baie des cochons
par epicure09
Samedi 1er octobre; 10 jours que l’anticyclone est sur la France, déversant soleil et chaleur que nous n’avions pas eu en juillet.
En bout de plage naturiste, entre Agde et Marseillan, existe un bout de sable coincée entre la mer et les dunes .C’est le rendez-vous des libertins, concentration de couples à la recherche de leur alter ego, mais aussi d’hommes seul en quête de plaisirs furtifs.
Tout ce petit monde est rassemblé sur quelques mètres carrés, attendant le moment pour déchainer leurs pulsions.
Je fais partie de ces hommes seuls aujourd’hui, ma compagne n’ayant pu m’accompagner. Allongé à quelques mètres de l’eau, je suis moi aussi en position de voyeur, matant les couples qui commencent à s’échauffer, se caressant, s’exhibant, se badigeonnant avec sensualité de crème solaire.
Tout près de moi, un couple d’Allemand passe la vitesse supérieure. Le mari embrasse sa femme, descend vers son pubis et commence à la lécher avec ardeur, sous les yeux intéressés des voisins de serviette. Ils doivent avoir la quarantaine, pas mal physiquement, visiblement ravi de se livrer au regard des autres.
Après quelques minutes de ce manège érotique, le mari se couche sur sa femme et commence à la pénétrer…C’est le signal… Très vite, les hommes seuls se rapprochent s’accroupissant tout près des deux corps enlacés. Bien sûr je ne suis pas en reste, me mettant juste derrière l’homme, pratiquement entre les jambes de l’allemande. J’ai une vue superbe sur leurs entrejambes, la bite teutonne défonçant le vagin de sa moitié.
Levant les yeux, le spectacle est assez incroyable. La femme est maintenant entourée de bites, une grappe d’hommes est sur elle. Il cerne sa tête d’un faisceau de phallus, certain bien érigés, d’autres flasques. Ces derniers tentent de bander, et les mecs se branlent comme des fous.
Pas du tout inquiète par ce déferlement, la vacancière empaume les tiges tendues, les branlant vigoureusement. Un petit malin réussit à lui mettre son engin dans la bouche ; sans hésiter, elle le tète comme un veau sa mère.
Bientôt, c’est le déferlement. Les hommes se mettent à cracher leurs spermes inondant la face, les cheveux, le thorax de la belle vicieuse.
Et moi, me direz-vous, qu’est-ce que je deviens ? Toujours derrière le mari, j’assiste au bain de sperme, puis à l’éjaculation du mari sur le pubis de sa compagne. Alors qu’il se retire, je lui montre un préservatif sorti de mon sac de plage. D’un signe de tête, il me fait comprendre que la place est disponible.
Quel bonheur de la baiser. Elle est douce et chaude, mouillée par le plaisir et l’éjaculation de son homme.
Soudain, venue en rampant entre les jambes des voyeurs agglutinés, un mec en tee-shirt, entre deux âges, des binocles de professeur sur le nez, se jette sur notre chérie et lèche à grands coups de langue tout le sperme répandu. Il est consciencieux, ramassant des lampées de jus séminal .Il absorbe avec délectations, nettoyant son visage, ses seins, bouffant une quantité incroyable de liquide.
Le spectacle est dantesque, étonnant, irréel. Superbe de vice!
Une fois bien propre, notre compagne se redresse et me fait comprendre qu’elle veut s’assoir sur moi. Elle se plante sur ma queue, nous sommes tous les deux face à face, imbriqués l’un dans l’autre .Je perçois des mains qui lui caressent le cul, touchant ma bite. Des doigts pénètrent nos culs, déclenchant chez elle un nouvel orgasme .Je l’accompagne dans la jouissance, remplissant ma capote.
C’est fini, elle a son compte, faisant comprendre aux mâles qu’ils stoppent leurs attouchements.
Et là, toujours avec mon sexe débandant en elle, elle se met à me faire un câlin, me bisouillant le cou, m’embrassant avec douceur, me remerciant dans sa langue pour le plaisir partagé. Elle se lève, aidé par son mari et tout naturellement va se baigner pour nettoyer son corps souillé.
Je reste à demi assis sur le sable, encore sonné par mon orgasme, la queue toujours capuchonnée du plastique usagé.
J’ai beaucoup de gratitude envers cette nana, elle nous a livré son corps sans pudeur, s’abandonnant totalement à la masse lubrique, pour finalement trouver un peu de douceur dans mes bras ébahis.
Ah, vraiment, merci l’anticyclone !
Je suis (du moins je me croyais) hétéro. C’est uniquement par curiosité que je me suis retrouvé dans le coin gay du Cap. En fait j’étais fasciné par le spectacle, toutes ces bites, et ces mecs qui se sucent, qui se caressent, qui se sodomisent… Je me suis mis à bander. Et quand un mec m’a touché la bite, je n’ai même pas protesté, il m’a un peu branlé, il m’a demandé si je suçais, je ne sais plus ce que je lui ai répondu mais je me suis enfui… pour mieux revenir le lendemain. Car en rentrant je ne pouvais chasser les images de ce coin gay, j’en ai rêvé toute la nuit. Et donc ce lendemain, j’ai franchi le pas, c’était bon.
Sur 13 intervenants en commentaire, deux font intervenir leur mère, un autre fait intervenir son père.
J’avoue ma grande perplexité !
Arrivé par hasard au coin gay du Cap, je vois des mecs se sucer, j’interpelle mon copain : « Tu serais capable de faire ça ? » « Oui ! » qu’il me répond ! Il l’a fait ! J’étais sur le cul !
Au cap toutes les perversions sont permises. Ma mère m’avait soufflé un petit scénario qui l’excitait d’avance. J’ai suivi ses conseils et on a déambulé, on est tombé sur un mec avec une belle queue qui se branlait doucement en attendant l’occasion. « C’est ma mère, c’est une vraie salope, tu veux qu’elle te suce ? » Bien sûr il était d’accord, il l’a baisé comme un fou, mois je me branlais, J’ai proposé après au mec de me sucer, mais ça ne l’intéressait pas. Pas grave j’ai été jusqu’u coin gay et je me suis soulagé dans le cul d’un vieux cochon.
On ne connaissait pas le coin, c’était la première fois au Cap, j’étais avec ma mère. On s’est retrouvé dans le coin gay, on a regardé et ça nous a excité. Au bout d’un moment ma mère m’a dit :Si ça te fait envie, vas-y ! » Du coup je me suis approché d’un petit groupe, je me suis fait sucer et ensuite c’est moi qui ai sucé plusieurs bites. Au final je me suis fait enculer. Ma mère n’en perdait pas une miette et se branlait la chatte
Et t’a joui comment ?
Ma mère m’a sucé à fond !
Moi je m’allonge en me caressant la bite, très vite un mec déboule, s’il ne me plait pas je fait juste un signe négatif de la main, sinon je le laisse faire ! Je peux vous dire que je me suis bien amusé
C’est l’été dernier que je suis allé pour la première fois au Cap D’Agde , on m’avait raconté pour le coin coquin et sa partie gay. Je ne suis pas gay mais j’ai j’avais déjà eu l’occasion de sucer quelques bites dans des soirées entre étudiants. Les choses se sont déroulées assez vite, dans la clairière gay, il y avait du spectacle, un vieux se faisait enculer et autour ça matait et ça se branlait, mais j’arrivais à la fin, les deux mecs se sont relevés, et un jeune homme blond aux longs cheveux m’a chopé la bite. « Tes mignon, toi tu plairais à mon père ! » il m’a fait bander et appelé son père. Il avait une belle bite, je l’ai sucé, je me suis régalé. Quand il m’a proposé de m’enculer je lui est dit d’accord mais en précisant que c’était le première fois. Et donc le type m’a enculé en suçant la bite de son fils. Incroyable mais vrai.
Dans les dunes de la Baie des cochons , c’est là que j’aime me retrouver . J’y ai meme joui dans une chatte remplie de sperme . Cette coquine était chaude comme j’aime .
J’ y suce aussi , on me suce ….on se fait plaisir .
Je recherche des groupes de couples bi et célibataires bi qui coquinent .
Et après avoir bien mater tous ces couples qui baisent, je me dirge vers le coin gay ou quelques vieux cochons comme moi vont m’aider à me soulager
J’y suis allé l’an dernier et après avoir joué les voyeurs assez longtemps mes pas m’ont amené dans le « coin gay ». un mec se faisait enculer devant 5 ou 6 bonhommes qui se branlaient la bite. je me joins à eux, et un vieux barbu me montre sa queue et me demande si je suce. Que croyez-vous que j’ai fait ? ben je l’ai sucé ! pardi ! Je me souviens encore de ses grosses couilles ! Et c’était délicieux !
Le cap d’Agde c’est le paradis et si on est un peu bisexuel comme moi, c’est un double paradis
T’as raison ! Moi quand je vais au Cap, je reste une bonne heure dans le coin coquin à me branler en regardant les gens baiser et partouzer, puis je me dirige vers le coin gay. Il y a toujours des bonnes bites à sucer et je n’en m’en prive pas, et s’il y en a un qui veut m’enculer, je lui offre volontiers mon petit trou, j’adore ça.
Une tranche de vie