Mes tranches de vie 1 – Le commencement par Fant77

Mes tranches de vie
1 – Le commencement
par Fant77


Il est 14 h ce vendredi, et je décide alors d’aller faire une ballade en VTT dans la forêt proche de mon domicile.

Je me dirige vers la salle de bain, prends une douche, j’admire mon corps dans la glace, eh oui je suis un peu narcissique, je regarde ma verge légèrement en érection, et décide de lui donner un peu plus d’ampleur, j’enfile mon cockring et l’effet est quasi immédiat. Elle prend des proportions beaucoup plus importante, elle me fait mal, mais j’aime ça, doucement je fais glisser la peau du prépuce sur le gland, pour le faire apparaitre. L’érection est tellement forte, que la peau glisse difficilement, elle blanchie tellement l’étirement est important, à mi gland, elle bascule d’un coup, m’arrachant un petit cri de douleur mêlé d’un certain plaisir.

Quelques contractions du périnée et mon gland grossi encore plus, devenant parfaitement lisse, la peau du frein est devenue blanche, à la limite de la rupture. Je sors alors de ma salle de bain, me promenant nu dans mon appartement, le sexe ballotant à droite et à gauche, mais formant une belle courbe vers le haut, l’abus (avec bonheur) de certaines pratiques ont définitivement déformé ma verge, la rendant beaucoup plus grosse que la moyenne, mais revers de la médaille, plus courte de plusieurs centimètres, et formant une belle virgule orientable à souhait.

Je me dirige vers mon dressing room, qu’elle tenue vais mettre aujourd’hui ?

Une grosse envie d’exhibition s’empare de moi, le cuissard et le maillot serré, ou la combinaison ?

J’opte pour la combinaison noire, le haut se termine par des bretelles et le bas par un short, j’avais enlevé précautionneusement le premier jour cette espèce de matelas d’entrejambe. J’enfile le vêtement légèrement trop petit, il me colle à la peau, je l’ajuste, mes tétons dressés par l’excitation son parfaitement visible sous les bretelles, j’oriente ma verge sur le coté droit, elle décolle terriblement le fin tissu, je me rends à nouveau devant la glace de la salle de bain, constate avec plaisir que la forme de ma verge est parfaitement visible. Etre nu et habillé à la fois !

J’enfile les chaussettes et les chaussures spéciales, emporte au passage un sac banane pour y mettre des accessoires et sors de mon appartement ainsi vêtu. J’emprunte les escaliers pour me rendre à la cave, et y prendre le vélo. Je descends machinalement les marches, je n’entends pas les mots qui montent vers moi. Bref j’attaque le dernière volée de marche qui m’amène au rez-de-chaussée, et là qui vois je ?

Mon voisin et une de mes voisines ! D’un coup leurs yeux me fixent, je ne comprends pas tout de suite pourquoi, telle une star je continu ma descente, et là le premier commentaire fuse !

– Eh bien Jean tu es très en forme aujourd’hui ? M’adresse Marie !
– On peu vraiment le dire, lance Jean Pierre dans la foulée.

Je suis au milieu de l’escalier, et je viens seulement de comprendre, une bouffée de chaleur monte en moi, et curieusement, ce n’est pas un sentiment de honte qui s’empare de moi, mais plutôt de fierté, évidemment cela se traduit immédiatement par une excitation intense, qui fait ressortir encore un peu plus mon sexe.

Les joues un peu rouge, Marie m’adresse un « Ou va tu comme ça ? »

– Faire un peu de VTT, cela va me faire du bien !

Je passe devant eux et entame la descente vers la cave, je sens leur regard sur moi, la le spectacle doit être complet, car mon maillot étant un peu petit, la couture me rentre profondément dans la raie des fesses séparant parfaitement ces dernières. Ce qui me vaut de temps en temps des irritations, du fait du rasage quotidien de cette zone. Cette exhibition involontaire m’a excité comme jamais, et pour reprendre un terme consacré, je bande comme un âne, j’ai très mal, je sens que mon cockring rentre profondément dans mes chairs.

Et je fini par charger mon vélo, dans la voiture qui est sur le parking au pied du petit immeuble.

3 heures après, je reviens de ma séance de vélo, un peu déçu de ne pas avoir fait la rencontre attendue lors de mon parcours. Je coupe le contact, et en un instant je me mets à penser à la séance d’assouvissement que je vais me faire, les actions, les gestes, les paroles arrivent à profusion dans mon esprit. Je m’excite seul mentalement et là arrive un phénomène naturel je repars en érection. Mes yeux se portent sur mon entre-jambes, ma verge cherche à traverser le tissu de mon maillot. Je distingue clairement mon gland, le cockring me fait extrêmement mal, mais j’aime ça. Je sors de ma voiture, prends le vélo, et me rue vers la porte d’entrée.

J’ouvre la lourde porte en fer, et me retrouve dans le premier couloir, les caves de l’immeuble sont desservies par un couloir en forme de T, le couloir vertical dans le lequel je me trouve, est celui dans lequel abouti l’escalier de l’immeuble il est en liaison directe avec l’entrée de l’immeuble. Au bout de ce dernier se trouve une autre porte qui donne dans la barre horizontale d’un couloir d’environ 1,20 m de large, celui qui mène réellement aux caves.

Je pousse la dernière porte, fait rentrer mon vélo, ouvre la porte de cave de mon appartement, range le vélo dedans, je me retourne alors pour fermer la porte et là je voie Marie qui rentre dans le couloir. D’un coup j’ai très chaud, elle se dirige lentement vers moi, me fixant des yeux, elle n’est vêtue que d’une brassière rose ultra moulante et d’un mini short tout aussi près du corps, d’une paire de socquette blanche et de basket de la même couleur. Je l’avais déjà vue ainsi vêtue et je la trouvais très excitante.

Marie à la cinquantaine passée, un corps de jeune fille, petite, cheveux blond décolorés, coiffée à la garçon, une poitrine menue accompagnée de tétons très saillants, de superbes jambes, et un fessier d’une rondeur à damner un saint. De plus elle a un regard perçant, à chaque fois, j’avais l’impression qu’elle savait ce que je pensais. Je l’ai souvent vue accompagnée d’hommes différents, dans la modeste résidence ou nous vivons on parlait d’elle comme une croqueuse d’hommes voire pire. En fait je pensais que comme moi, elle à un besoin plus important de sexe que les autres. J’ai eu bien des séances de plaisirs en sa présence virtuelle, bref j’ai toujours fantasmé sur cette femme. Et là elle est en face de moi, dans une tenue sexy en diable.

Je suis étonné, je reste là debout, elle s’arrête, d’un geste rapide elle ôte son short et le jette derrière elle. Immédiatement je ressens une pulsion très forte, ma verge est cette fois ci dans une érection totale, je l’admire, je regarde fixement son pubis, une fine bande de poil orne ce dernier, je remarque aussi que ses cuisses ne se touchent pas à cet endroit.

Elle tend les bras, me fait pivoter, et m’adosse au mur, prestement elle saisie les bretelles de ma tenue, les fait glisser de chaque coté de mes épaules, et ma combinaison se détend brutalement arrêtée dans sa descente par mon sexe en érection. Elle s’accroupie, et d’un coup baisse sans ménagement mon vêtement jusqu’aux chevilles, ce qui à pour effet d’entrainer un mouvement de haut en bas de ma verge terriblement gonflée.

Elle me regarde, sa main droite se referme délicatement sur ma verge, comme pour en juger de la taille et de la dureté, sa tête s’approche de mon gland, je vois sa langue sortir et lécher ce dernier comme un glace. Puis elle se redresse d’un coup, lève une jambe, et essaie de se pénétrer toute seule, je l’aide en me baissant un peu, maintenant ma verge à légèrement entrouvert ses lèvres, je les sens humides, elle descend doucement, s’empalant sur mon sexe, un soupir de bonheur s’échappe d’elle.

Je la sens terriblement excitée, son regard devient vague, elle part, quatre aller et retour suffisent à lui donner un orgasme, elle pousse un râle profond. Elle se dégage et me dit : « allonge-toi ! »

Je ne suis même pas déçu de cette relation ultra-courte, et je m’allonge par terre attendant ma délivrance. A peine allongé, elle se met à quatre pattes au dessus de mon sexe, de sa main gauche elle redresse ma verge toute luisante, se positionne au dessus, se caresse les lèvres avec et s’empale à nouveau, cette fois elle descend jusqu’à mon pubis, elle profite de toute la modeste longueur de ma verge. Elle mouille beaucoup, le contemple la scène, je ne vois que son sexe monter et descendre sur ma verge, je ressens un peu sa chaleur interne, les odeurs de sa lubrification, ce spectacle m’excite et contribue grandement à maintenir mon érection. Elle ne dit rien, seul des gémissements ou des râles viennent d’elle, je vois son ventre se creuser, elle halète, elle se penche en arrière me saisir les chevilles avec ses mains, cette position tord ma verge à l’envers de sa gracieuse courbure et cela me fait très mal, ses fesses viennent écraser mes testicules devenues bien rondes par le plaisir et le cockring, si elle savait comme la douleur m’excite encore plus, nous sommes en sueur, nos corps brillent, ces odeurs m’excitent au plus point.

Elle s’arrête, ma verge totalement pénétrée dans son vagin, sa tête bascule en arrière, elle fait de petit va et viens très rapide en s’aidant de ses jambes, puis d’un coup s’enfonce totalement et ressort aussitôt en poussant un énorme cri de plaisir, ma verge retombe sur mon pubis, Marie est totalement penchée en arrière et pousse maintenant des petits cris, son sexe est grand ouvert face à moi, et arrive ce que je n’ai encore jamais vu, une éjaculation féminine, un flot de liquide s’échappe de son sexe et viens m’inonder le ventre et le torse. Elle se redresse, me regarde fixement ses yeux me dévorent, elle se couche sur moi, et redescend, tout en faisant agilement rentrer à nouveau ma verge dans son sexe. Mon dieu me dis-je ! Elle en veut encore, vais-je résister ?

Marie effectue alors des allers et retour, je sens le frottement de ses poils sur mon pubis taillé à raz, ses poils sont rugueux, elle continue toujours et je pense joui à nouveau. D’un coup elle se dégage de la pénétration, se lève, prend son short de la main gauche, quitte le couloir et me laisse là. Je suis assez surpris ! Mais qu’ais je fais ! Je me redresse, je vois ma verge agitée de soubresauts, tente une masturbation profitant de l’apport de son liquide vaginal, mais rien n’y fait.

Il m’est déjà arrivé de subir cela avec certains partenaires, mais c’était surtout en fait pour me voir m’humilier devant eux dans une masturbation. Mais là Marie m’a abandonné. Je finis d’enlever ma combinaison, referme la porte et cave, et me dirige nu vers mon appartement. Je suis tellement excité que je n’ai plus du tout honte de rencontrer quelqu’un, au contraire car j’ai une énorme envie de jouir. Une fois dans mon appartement, je tente à nouveau une masturbation, mais cela est impossible, le contact de ma main m’excite encore plus, et la douleur me courbe en deux, alors je décide d’abandonner, et d’exécuter des tâches ménagères tout en me vidant l’esprit, deux heures plus tard, je ne suis plus du tout en érection, j’ôte mon cockring, constate que ce dernier à laissé une trace profonde.

Et j’entreprends à ce moment de calmer l’excitation qui ne tarde pas à revenir.

Merci de vos commentaires pour la suite.

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Une réponse à Mes tranches de vie 1 – Le commencement par Fant77

  1. Werber dit :

    Comment ce récit aussi excitant qu’un reportage sur la cueillette des melons a-t-ll pu être accepté par votre comité de lecture ?

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