Surprise-Partouse
4 – Orgie Bourgeoise
par Enzo
Au chapitre 1 : en sortant d’une fête, Angéla, Carole et Thibault m’emmènent chez ce dernier, la partie à quatre me fera sucer ma première bite et subir ma première sodo.
Au chapitre 2 : Thibault me fait faire la connaissance d’un couple d’Antillais, Gwladys et Simon. Partouze à 4 puis à 5 avec Carole
Au chapitre 3 : On prend les mêmes et on recommence mais on va plus loin, c’est un tout petit peu scato et voici Alain et Katia, un couple mature, qui s’en mêlent.
Mais on peut lire ce chapitre indépendamment
Un mois s’était écoulé depuis les événements relatés dans le chapitre 3. Un jour je reçois un coup de fil de Carole :
– Salut Vincent, comment tu vas ?
– Carole quelle surprise !
– Tu ne sais pas ? Tu te souviens de Katia et Alain, le couple de vieux vicelards qu’on avait rencontré chez les antillais ?
– Oui, je devais les rappeler, mais je ne l’ai pas fais.
– Ben ils m’ont embauché comme soubrette, je m’éclate, c’est super bien payé.
– Tu t’éclates ?
– Oui, enfin pas tous les jours, Mais, je participe à leurs petits jeux érotiques, c’est parfois très excitant.
– Tu me raconteras, on peut se voir un de ces jours ?
– Justement, ce week-end, est-ce que t’es libre ?
– Oui.
– Ça te dirait de venir chez eux, ils organisent une espèce de partie avec des amis.
– Bof !
– Elle est pas mal, Katia pourtant ?
– C’est vrai !
– Et puis il y aura Thibault… et moi.
Je me pointe donc le vendredi soir dans un riche pavillon de la banlieue ouest de Paris. Il pleut à torrent. C’est Carole qui m’ouvre en tenue de Bunny. Elle me fait la bise.
– Pas trop mouillée ? Entre ! Bon, je t’explique, ils vont recevoir un couple d’amis et ils veulent leur faire une surprise en mettant à leur disposition des gars et des filles qu’ils vont pouvoir dominer.
– Tu ne m’avais pas dis ça au téléphone.
– Ben non, je ne connaissais pas encore les détails.
– Je ne suis pas d’accord pour faire n’importe quoi.
– T’inquiètes pas, ce ne sont pas des sadiques, j’ai compris qu’au début ils vont te demander de faire un strip en duo avec Thibault, de le sucer devant eux et de te faire prendre … et puis tu auras une contrepartie financière.
Bon j’entre. Katia, la cinquantaine, grande brune, cheveux mi-longs et légèrement bouclés, très bronzée me reçoit en me faisant la bise, tout en me mettant la main à la braguette. Alain m’embrasse à son tour (sur la bouche, ce cochon) ainsi que Thibault le mignon blondinet.
– Nos amis vont arriver d’un moment à l’autre, ils se sont un peu perdus ! M’indique Katia.
Je remarque alors que son chemisier en voile noir, ne cache pas grand-chose de sa poitrine retenue par un soutien-gorge à balconnets. Elle s’est habillée d’une petite jupe noire qui laisse découvrir de jolies jambes gainées de bas résilles noir. Joli spectacle !
Elle s’aperçoit que je la déshabille du regard.
– Je te fais bander, un mon salaud ?
– Que voulez-vous, vous êtes si excitante !
– Et ça, ça te plait ! Répond-elle en soulevant sa jupe sous laquelle aucune culotte n’a été mise.
Je crois que je ne vais pas regretter d’être venu, mais Alain fait diversion en me proposant un whisky qu’il me vente pour être excellent, mais je n’ai pas envie de boire pour l’instant et me contente d’un jus de fruits. On papote de tout et de rien. Puis la sonnette de la grille retentit.
Le couple d’invités arrive.
On se présente, madame se prénomme Monique, fausse blonde aux yeux bleus, jolie visage, elle a au moins cinquante ans, mais parait fort bien conservée, elle est vêtue d’un petit haut en coton bleu ciel, légèrement décolletée, et d’un pantalon en vinyle noir. L’homme s’appelle Philippe, la cinquantaine, pantalon de toile et polo blanc de marque.
On se présente, on s’embrasse…
– Rappelle-moi où sont les toilettes ! Demande Monique à Katia, j’ai une de ses envies de faire pipi !
– Pourquoi aller aux toilettes ? Intervient son mari, je suis sûr que ces messieurs dames seraient ravis de te voir pisser.
– Vous croyez ? Répond Monique, mais comment faire ? On ne peut pas aller dehors, il pleut des cordes.
– Si vous en êtes d’accord, Carole va aller vous chercher un saladier. Reprend Alain.
– D’accord, mais, je vous en prie Alain, tutoyons nous !
Carole revient avec le récipient requit, tandis que Monique retire carrément son pantalon et sa culotte, exhibant sa chatte poilue devant toute l’assistance.
– Monte sur la table, Monique, nous verrons mieux !
– Hum, vous êtes cruelle avec moi. Vite, je ne tiens plus !
On l’aide à monter. Effectivement, il était temps, à peine en position c’est un geyser doré qui jaillit de son intimité. Le spectacle est magnifique. Une fois la miction accomplie, elle demande :
– Wha ! Ça fait du bien ! Ça vous a plu, j’espère ? Philippe, s’il te plaît, prends-moi un kleenex dans mon sac pour que je m’essuie !
– T’essuyer ? Mais je suis certain qu’une de ces jeunes personnes ne demanderait pas mieux que de te nettoyer avec sa langue !
– Et bien ça commence fort ! Commente la pisseuse ! Alors qui veut m’essuyer ?
– On te laisse le choix, propose Katia.
Elle choisit…. Devinez qui ? Votre serviteur ! Mais c’est tout sauf une corvée, elle s’assoit sur le bord de la table et je lui lape l’abricot. Il sent plutôt fort, mais ça ne me dérange pas, j’absorbe les gouttes d’urine, et c’est ma fois très bon !
– Colle bien ta bouche contre ma chatte ! Dit-elle, je crois bien que je vais pisser encore quelques gouttes.
Effectivement une petite pissette arrive au fond de mon gosier, je l’avale avec délectation. Puis je reprends mes léchouilles.
– Mais c’est qu’il lèche bien ce salaud ! Commente-t-elle
Ces mots m’autorisent à m’enhardir, je lèche maintenant le sillon de façon plus appuyé m’autorisant même à lui titiller le clito.
– Vas-y fait moi jouir !
La nana est super réceptive, au bout de moins de cinq minutes de mouvements de langue, elle éclate son plaisir. J’en suis tout chose !
– Faut-il que je remette ma culotte ? Demande Monique avec un faux air innocent.
– Je ne crois pas que ce soit nécessaire, répond Katia
– J’ai une question très cochonne, je peux la poser ? Reprend la première.
– Bien sûr !
– Si j’avais eu envie de faire caca, quelqu’un m’aurait aussi essuyé ?
– Je crois que ça n’aurait pas posé de gros problèmes.
– Si j’essayais…
C’est alors qu’Alain intervint :
– C’est comme tu veux, mais je te conseille d’attendre, rien ne presse et je vous propose de commencer la soirée par un petit apéro spectacle, ça devrait vous plaire à tous les deux… Asseyons-nous, Carole va faire le service.
Monique se place au milieu du canapé, entouré d’Alain et de Katia qui lui met la main sur la moule, tandis je prends place en compagnie de Thibault sur l’autre canapé où Philippe vient nous rejoindre.
– Voilà, ces deux jeunes hommes vont nous faire un petit numéro. Reprend Alain. Vous allez voir, vous ne serez pas déçus. Je les connais bien puisque j’ai eu le plaisir de me faire enculer par Thibault et ensuite j’ai joui dans le cul de Vincent !
– C’était en effet très excitant, ajoute Katia.
– Trinquons ! Lance Alain !
– Et vive les enculés ! Rajoute Philippe.
On boit en vitesse, les deux couples sont manifestement pressés de voir le spectacle. Alain met de la musique, un truc doux, un peu jazzy. Thibault et moi, nous nous mettons debout et face à face. J’ai en tête les instructions de Carole, assez simples en fait. Ça commence par ce que j’aime le moins, on se roule une pelle, je n’y peux rien, ça ne me fait ni chaud ni froid, puis je déboutonne la chemise de mon partenaire, afin de lui serrer les tétons, de son côté il soulève mon polo et me rend la politesse. J’ai déjà dit que j’adorais ce truc, qui me provoque des bandaisons d’enfer. On se les pince, on se les tire, on se les mordille. Je jette un regard furtif sur l’ambiance, Katia caresse carrément la chatte de Monique, tandis qu’Alain se contente de lui frôler la cuisse. De l’autre côté, Philippe se tripote la braguette, l’air ravi.
Je fouille dans la braguette de Thibault et lui sort sa belle bite toute bandée.
Je suis carrément dans le trip, et vais pour me pencher et la sucer, mais je suppose que nos deux couples de rigolos préféreraient sans doute que j’exhibe aussi la mienne de bite. Je laisse donc Thibault me baisser tout le bas, je le débarrasse à son tour de son pantalon et de son caleçon et du coup nous voilà tous les deux entièrement nus à l’exception de nos chaussettes.
– Je te suce d’abord ! M’indique Thibault en se mettant en position.
Ce n’est pas un problème, il suce trop bien, me délivrant de savants coups de langue bien placés. Je remarque qu’il pratique sa fellation « au bord » au lieu de m’engloutir… Je comprends que c’est pour le spectacle… on ne suce pas dans l’intimité comme on suce en s’exhibant… On en apprend tous les jours !
Sur les canapés, Monique, le sexe toujours occupé par la main de Katia, a dégagé la belle bite d’Alain qu’elle masturbe doucement. Philippe a lui aussi sorti son engin et se paluche tout seul. Un bien beau membre, j’espère que j’aurais l’occasion de le sucer, voire plus.
– A toi ! Me dit Thibault, se relevant.
Je m’accroupis à mon tour au niveau de sa queue et l’engloutis dans ma bouche avant de la sucer et de la lécher avec gourmandise.
– Hummm… c’est très excitant tout ça ! Proclame Philippe, j’irais bien les rejoindre.
– Ce n’est pas exactement ce qui était prévu, mais pourquoi pas, vas-y Philippe, on te regarde.
Le Philippe se déshabille à toute vitesse, et s’en vient tournicoter autour de nous, sa bite dressée comme un étendard. Abandonnant le sexe de Thibault, je me mets donc à sucer ce monsieur, il sent un peu fort mais ça ne me pose pas de problème. Thibault, lui, s’est placé de l’autre côté et lui lèche le trou du cul…
Mais voici que Monique, incapable de rester à sa place, nous rejoint, et tandis que Thibault continue de préparer le cul de son mari, je roule une pelle à sa femme, tout en lui retirant son haut, dégageant une belle poitrine un peu lourde que je lèche un petit peu… Et nous voilà tous les quatre emmêlés, je ne sais plus où donner de la tête entre Monique que j’essaie de peloter, les bites et les culs de Thibault et de Philippe. Me voilà soudain scotché après l’anus de Monique, que je déguste avec gourmandise, ça sent bon la fesse, ça sent bon le trou du cul. Du coup, j’introduis un doigt là-dedans.
– Je veux bien que tu mettes un doigt, mais tu lèches après ! Me dit-elle.
Ce n’est pas un problème ! Elle écarte maintenant le cul de façon obscène, après quelque doigtages, j’ai maintenant une envie folle de la sodomiser, le temps m’encapoter et me voici la bite dans son trou en train de la pilonner. Tandis que juste à côté, Thibault sodomise Philippe. La situation est trop excitante, je ne vois pas comment je pourrais m’empêcher de jouir, sinon en me retirant, c’est donc ce que je fais. Thibault interprète mal mon geste croyant qu’on veut échanger nos partenaires et prend donc ma place, tandis que Philippe m’invite à venir derrière lui.
– Je risque de ne pas tenir longtemps…
– C’est pas grave, viens !
Bon alors si c’est pas grave, j’y vais, j’essaie de me contrôler, mais voici un doigt qui s’introduit dans mon anus, c’est Alain. Je me laisse faire bien sûr. A côté Monique jouit comme une folle et Thibault se retire, la capote polluée et pleine de sperme, qu’il entreprend d’enlever, mais son épouse l’en empêche.
– Garde là, je vais la nettoyer, j’adore lécher les bites qui sortent de mon cul ! Dit-elle.
Je décharge à mon tour, laissant Philippe le trou béant. Alain est toujours derrière moi, et m’astique toujours l’anus. Il attend quelques instants puis m’encule à mon tour. Ça ne dure pas bien longtemps, tous les mâles sont écroulés.
Katia qu’on avait un peu oubliée a réquisitionnée Carole pour lui faire une minette. Elle interpelle Monique :
– Alors tu te régales ?
– Super !
– Tu aurais pu m’en laisser un peu !
– Tu n’aurais pas aimé, elle était un peu sale !
– Tu veux dire qu’il avait un peu de merde ?
– Oui, c’est ça il y avait un peu de merde !
– Ben justement, c’est amusant quand il n’y en a que juste un peu.
– Si ça te tente, met moi un doigt dans le cul et lèche.
– Ça me parait une excellente idée, répond Katia en plongeant son index dans le trou encore béant.
Elle introduit un second doigt, puis un troisième, exécute quelques mouvements de va-et-vient puis ressort tout ça, et commence à lécher avec délectation.
– Alors, elle est comment ma merde !
– Très bonne, ma chère… Continue comme ça, Carole, continue, ça vient, aaaaah.
– En ce qui me concerne, intervient Monique, il faut absolument que je fasse caca, comment je fais ? Je vais aux toilettes ? Quelqu’un m’accompagne ?
– Et si tu chiais ici devant tout le monde ? Propose Katia
– Ce ne serait pas moi la plus gênée…
– Carole va chercher une assiette, Monique va monter sur la table et nous faire un petit spectacle. Tout le monde est d’accord ?
Pas d’objection
Monique monte sur la table, s’accroupit au-dessus de l’assiette. L’envie était pressante, sans aucun préambule un long boudin sort de son anus et vient s’enrouler sur l’assiette.
– Maintenant prends ton assiette et viens me voir.
Katia a maintenant l’assiette sous les yeux :
– Une jolie merde, vraiment, félicitations ma chère ! S’exclame-t-elle avant de mettre sa langue en léger contact avec la matière.
– Qui veut m’essuyer ? Lance Monique à la cantonade. Toi ? Me propose-t-elle.
Délire pour délire, je ne me suis pas dérobé.
On reprend tous nos places tandis que Carole nous sert à boire.
– Ça fait du bien de se faire enculer ! Commente poétiquement Philippe.
– Moi je n’y ai pas eu droit ! Fait remarque Alain.
– La soirée ne fait que commencer ! Répond Monique… attend que Philippe récupère et il va te foutre sa grosse bite dans le cul.
– J’espère bien ! Ça faisait longtemps que vous n’aviez pas fait ça ?
– Non pas très longtemps… répond Monique, en fait il nous est arrivé une petite aventure il y a une dizaine de jours, mais je vais vous raconter :
à suivre donc avec » Le récit de Monique »
Enzo – novembre 2009
Ah ! On ne peut pas éditer son commentaire 🙁
J’ai oublié de dire que j’avais adoré ce texte, mais il faudrait peut-être maintenant que je lise toute la série
Le passage scato m’a remis en mémoire une vieille anecdote, c’était une soirée qui tournait en partouze où nous étions terriblement trop nombreux. Un moment une fille est monter faire caca sur la table. Résultat la moitié des gens sont partis 😉
Comme disait ma Tante Jacqueline, « c’est osé, mais ça m’a bien plu »
Un régal
Mais c’est que c’est super excitant cette chose là !