Martin
par Michael

J’avais pour habitude d’aller passer l’après-midi sur la plage pour nudistes pas loin de mon hôtel. Une plage non officielle, où il fait bon vivre, et où on ne trouve que des hommes. Le lieu idéal pour faire des rencontres. C’est là que j’ai rencontré Martin, un luxembourgeois de 43 ans. Dès mon arrivée, il m’avait repéré, et il ne m’avait pas quitté des yeux pendant que je me déshabillais.
Moi, je m’étais contenté de regarder aux alentours, pour voir si je ne connaissais personne. Mais pas l’ombre d’un visage connu.
Je me suis allongé nu sur ma serviette, et j’ai commencé à lire mon magazine. Voyant que j’étais francophone, Martin s’est alors levé et approché. Poliment, il m’a demandé pour s’installer à côté de moi. Je sentais ses yeux glisser sur moi, et il me détaillait chaque partie du corps. Je n’étais pas en reste. Difficile de ne pas regarder son sexe qui, sans être en érection, avait déjà de belles dimensions. Après quelques minutes de conversation anodine, il m’a proposé d’aller se baigner. L’eau était excellente, et nous avons nagé quelques mètres, en contournant quelques rochers. Il s’amusait à m’éclabousser. Nous étions heureux comme des gosses.
Il m’a donné la main pour sortir de l’eau, et nous sommes allés nous réinstaller sur la plage. J’ai repris ma lecture, et je sentais sa main qui me caressait la cuisse, et ses yeux qui ne me quittaient pas une seconde. Je lui répondis par un sourire et un clin d’œil . En fin d’après-midi, je lui ai proposé de prendre un verre chez moi. Il ne s’est pas fait prier ! Il a trouvé mon appartement très beau, et bien rangé.

Lentement, il a pénétré un doigt dans mon trou, puis deux, enduits de lubrifiant, et il s’amusait à les tourner dans tous les sens, pendant que je suçais sa queue de plus belle. Il a lâché son foutre sans prévenir, et j’ai eu la bouche inondée. Mais le bougre n’était pas rassasié. Il a tiré un préservatif de la poche de son pantalon, et l’a déroulé sur son sexe toujours bien droit. Puis il s’est placé derrière moi, et a posé son gland à l’entrée de mon anus. Ma respiration s’est accélérée quand j’ai senti son membre qui glissait entre mes fesses. Il a progressé lentement, sans à-coups, avant de commencer ses va et vient. C’était géant. J’ai senti son liquide chaud jaillir dans mes entrailles. Il a continué ses va et vient, puis il s’est retiré, a enlevé le condom, et m’a donné sa bite à sucer.
Michael
Rien d’original; sinon que le narrateur possède un mesure-bite dans le l’œil !
trop belle histoire et bien écrite aussi plein de sensualité j’aurai aimer être a ta place
sans surprise et bien trop court