Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 3 – Le dernier tabou

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 3 – Le dernier tabou

J’avais beau me dire que la séance prévue avec ma mère ne serait pas une corvée, j’angoissais néanmoins.

Un tabou aussi fort que celui de l’inceste ne peut disparaître aussi facilement qu’une envolée de moineau..

Bien sûr, dans l’absolu, rien ne m’obligeait, je pouvais tout simplement me déclarer « non prêt » et remettre cette folie à plus tard, je pouvais aussi me défiler en invoquant une migraine toute diplomatique… Bref les scénarios de fuite ne manquaient pas.

Malgré moi, des images se formaient dans mon esprit. Cécile avait été on ne peut plus explicite en me disant :

– Je veux que tu l’encules devant moi !

Comme acte déviant, ça se pose là, non ?

Mais mon cerveau visualisait l’acte. Ma bite bandée entrant dans l’anus forcément accueillant de ma mère… Et cette évocation me faisait bander.

Et puis le reste, Cécile avait évoqué devant moi jusqu’où allait le dévergondage de ma mère… Jusqu’à faire des choses scato ou sucer le sexe d’un chien. La salope !

Au fait ma mère, parlons-en un peu, elle vient d’avoir 50 ans, très brune, bien conservée, de belles formes. A la maison, la nudité n’était pas taboue, et il n’était pas rare que je croise ma mère ou mon père à poil, Mais n’allez pas croire qu’ils étaient exhibitionnistes, non, ils ne se cachaient pas, c’est tout.

N’empêche que quand j’ai vu mon père avec la bite bandée comme un arc, je fus saisi d’un trouble étrange. Et quand ma mère se rendait aux toilettes sans en fermer la porte, me faisant entendre le bruit de son pipi tombant dans l’eau dormante… Oh là là ! Quel émoi !

Alors oui j’ai un peu fantasmé sur ma mère, mais cela n’a jamais constitué une obsession, des fantasmes, j’en avais d’autres et puis il avait la barrière du tabou…

Ma mère est cadre supérieure dans une société agro-alimentaire, inutile de vous dire qu’elle gagne bien sa vie. Mon père lui gère un magasin de chaussures c’est donc ma mère qui comme on le dit « fait bouillir la marmite »

Apparemment mes parents s’entendaient bien, Nous étions trois enfants, deux garçons et une fille, j’étais la cadet et les autres maintenant sont « casés ».

Il y avait peu de conflits à la maison, juste quelques rares prises de gueule. Mes parents faisaient, chambres à part. Depuis quand ? Je n’en savais rien, En fait j’avais plutôt l’impression qu’ils se contentaient de coexister, ils ne prenaient même plus leurs vacances ensemble.

Je supposais que ma mère devait avoir un amant, et mon père une maîtresse. Grand bien leur fasse, ça ne me regarde pas !

Mais revenons au présent.

– La séance c’est à 10 h 30, m’informe Cécile. Mais j’ai demandé à ta mère de venir une demi-heure avant, comme ça vous pourrez discuter un peu.
– Ah ?
– Ben oui, ce sera mieux comme ça, non ?
– Sans doute ! Répondis-je sans grande conviction.

En fait je trouvais que l’idée n’était pas si judicieuse que ça. Il y avait un pas à franchir, et pour moi le meilleur moyen de le franchir était ne pas perdre de temps genre « Je me lance et si je bloque, je laisse tomber l’affaire ». Mais bon je suppose que Cécile savait ce qu’elle faisait.

A 10 heures ma mère arriva, tailleur strict et tout sourire. Lucie, la petite bonne nous installe dans le salon et apporte un thé pour ma mère et un café pour moi.

– Madame Cécile me fait dire qu’elle vous attend tous les deux à 10 h 30 dans le donjon. Vous devrez descendre complétement nus et vous agenouiller à votre arrivée.
– Comme d’hab, quoi ! Répondit ma mère.
– Oui et voici vos colliers de chien.. .

Elle attendit que la soubrette ait quitté les lieux avant d’entamer la conversation.

– Nous voici réunis dans des circonstances un peu particulières.
– Oui, c’est vrai ! Approuvais-je bêtement.
– Mais retiens bien l’essentiel :Personne ne nous oblige ! On fait ce qu’on veut, nous sommes des adultes responsables.
– Oui bien sûr !
– Tu n’es guère bavard !
– Je t’écoute !
– En fait, nous n’en parlions pas à la maison, mais j’ai toujours aimé le sexe.
– Normal, non ?
– D’après toi comment ais-je fais pour devenir cadre de direction ?
– Tes compétences, je suppose ? Répondis-je alors que je me doutais bien de la réponse qu’elle allait me faire.

Elle se mit à rire ! J’aime quand ma mère rit, son beau visage s’éclaire !

– Des compétences, je crois en avoir, oui ! Mais ça ne suffit pas toujours, alors disons que j’ai sucé quelques bites, le chef de service, quelques fondés de pouvoir, quelques mecs influents. Ça n’a pas vraiment été une corvée, j’adore sucer de bonnes bites

Entendre ma mère employer des mots vulgaires, ce quelle ne faisait pratiquement jamais à la maison me provoqua un début d’excitation, elle s’en rendit compte et enfonça le clou.

– Surtout Perronet ! J’adorais le sucer, il avait une très belle bite, je le suçais souvent à fond et j’avalais son foutre, c’était délicieux !

Elle me raconte ça avec une décontraction étonnante, de la même façon qu’elle me dévoilerait une recette de cuisine.

– Parfois il m’enculait sur le bureau, quand il ressortait sa bite, il me la faisait nettoyer, ça ne me dérangeait pas.
– Eh bin !
– Je te choque ?
– Non, choqué n’est pas le mot !
– C’est quoi le mot, alors ?
– C’est un peu bizarre, en fait ça m’excite, ce que tu me racontes.
– C’est vrai, ça, laisse-moi vérifier.

Et voilà que ma mère porte sa main sur ma braguette, du coup je bande complétement en un temps record. J’aurais aimé qu’elle aille plus loin, mais elle retire sa main. En ce moment j’ai vraiment envie de la baiser.

– Avec ton père il y a longtemps qu’on ne fait plus rien ensemble, alors j’ai été voir ailleurs. Reprend-elle. J’ai toujours eu des tendances un peu maso. Pas si facile que ça de trouver quelqu’un avec qui concrétiser d’autant que je me méfie des mecs dominateurs, j’en ai croisé quelques-uns, ça ne m’a pas branché plis que ça. Et puis j’ai rencontré Cécile sur Internet. Et oui Cécile n’est pas une amie d’enfance, c’est une prof qui arrondit ses fins de mois en organisant des parties fines très spéciales et ça me convient parfaitement.
– C’est la journée des grandes révélations !
– Comme tu dis ! Et en ce qui me concerne il y a longtemps que je fantasme sur toi, en fait depuis le jour où je t’ai surpris en train de te branler dans la salle de bain, tu ne m’as pas vu, mais moi je me suis caressé la moule en te regardant !

Comment elle parle !

– Et toi tu as fantasmé sur moi ? Me demande-t-elle.
– Oui !
– Raconte !
– Ben on était tout nu, tous les deux, tu me suçais le sexe et après je te sodomisais.
– Emploie des mots crus, mon chéri, c’est tellement plus excitant !
– Alors tu me suçais la bite et après je t’enculais comme une chienne !
– C’est mieux ! Donc pas d’ambiguïté à 10 h 30 on descend ?
– Ça marche !
– On est un peu en avance, on peut déjà se déshabiller, comme ça tu pourra me caresser un peu, d’accord ?

Bien sûr que je suis d’accord.

On se déshabille de conserve, je bande comme un fou, excité de voir ma mère tout près de moi complétement nue. Je pose ma main sur son bras, elle a la peau d’une douceur incroyable, Ma main bifurque vers sa poitrine….

– Je peux te caresser les seins ?
– Juste un peu ! Il faut se réserver pour en bas !
– Alors je te fais juste un bisou !

Ma langue s’approche du téton !

– Garnement ! Lécher les seins de sa mère ! Plaisante-elle. Tu n’as pas honte ?
– Ben non !

Sa main vient se poser sur ma bite, elle effectue quelques mouvements de branle, mais n’insiste pas. Son visage s’approche du mien, on se roule une pelle. Non je ne rêve pas, je viens de rouler une pelle à ma mère !

C’est l’heure !

On s’attache nos colliers de chien autour du cou, on descend.et on s’agenouille.

Oh là là ! On n’est pas tout seuls. Je ne saurais les noms de ces messieurs dames que plus tard, mais pour la bonne compréhension du récit, présentons-les dès maintenant :

Henri et Baptiste sont deux grands blacks, montés comme des mulets, Odile est une superbe femme, grande perche brune très souriante avec une magnifique paire de seins dont les tétons sont ornés d’énormes piercings noirs, elle tient à la main un gros labrador beige qui a l’air de se demander ce qu’il fait là. Cécile toute vêtue de vinyle noir et Lucie en tenue de soubrette d’opérette complètent le tableau de cette bande de dépravés… dont je vais faire partie !

– Odile ! Fais-toi lécher le cul par cette pute ! Ordonne Cécile.
– Avec plaisir !
– Il est comment ton cul ?
– Je ne me le suis pas lavé…

Ma mère lèche le trou du cul de la géante avec une gourmandise non feinte, tandis que Baptiste s’approche de moi la bite en avant.

– Suce ! M’ordonne Cécile

Le contraire m’eut étonné. Moi je veux bien, ma réticence à sucer de la bite n’existe plus depuis cette fameuse partouze (voir le chapitre précèdent). Le problème c’est que je n’ai pas une si grande bouche que ça, et qu’il m’est impossible d’y mettre tout ce paquet ! Alors je triche, je lèche la hampe, je suçote le gland, c’est doux, velouté, pas mal du tout et quand ce connard voulant me forcer me l’enfonce dans la bouche, je fais en sorte de l’envoyer à l’intérieur des joues avant que Cécile le prie de calmer ses ardeurs.

Puis les deux blacks m’attachent sur une chaise. Cécile vient me voir et m’indique que si je veux me retirer, il me suffira de prononcer le mot de sécurité qui ce soir sera « Phacochère ».

– Alors il était comment le cul merdeux de ma copine ? Dis-le-moi, sale gouine !
– Il était délicieux, maîtresse.

Cécile la gifle avant d’ordonner :

– Ouvre la bouche, poufiasse.

Cécile lui crache dans la bouche, Odile lui fait la même chose et Lucie est invitée à en faire de même..

– Tu te rends compte ! Quelle déchéance ! Accepter de se faire cracher dessus par une boniche ! Pas de quoi faire la fière ! Morue !

Ma maman, est attachée, la poitrine contre une croix de Saint André. Cécile et Odile s’emparent chacune d’une cravache et se mettent à lui fouetter le cul et le dos lesquels s’ornent vite de belle zébrures écarlates.

Puis on la fait se retourner, mais avant de faire jouer de la cravache les deux dominas, lui accrochent des pinces sur les tétons, puis sur les lèvres vaginales, et pour faire bonne mesure elles ajoutent des poids. Et c’est ainsi suppliciée, que les cravaches viennent cingler son ventre ses cuisses et ses seins.

Ma mère pleure, mais en même temps son visage exprime une sorte d’extase.

On la détache.

– En levrette, grosse pute !

Pas compliqué de deviner ce qu’il va se passer. Baptiste est devant et lui donne sa bite à sucer. J’espère pour ma mère qu’il sera moins brutal qu’avec moi. Henri est derrière ma mère, la bite magnifiquement bandée et après lui avoir lubrifié l’anus il la pénètre sauvagement.

Quel spectacle de voir ainsi ma mère faire la chienne, une bite dans la bouche, une autre dans le derrière, et je bande, et je bande, ça en devient douloureux d’autant que je n’ai pas la possibilité de me toucher.

Henri jouit assez vite, les deux hommes permutent leur position, ma mère lui nettoie la queue après qu’il ai retiré sa capote. Il se retire de sa bouche et lui éjacule encore quelques gouttes sur son visage. Elle ne s’essuie pas. Baptiste n’a pas joui dans son cul, mais sentant son plaisir proche, il se précipite et viens gratifier ma mère de longues et épaisses giclés de sperme.

Elle se relève, pantelante, Odile la rejoint et les deux femmes s’embrassent goulument, Odile n’hésitant pas à lécher le sperme qui macule son visage.

– T’aimes ça les bites, hein ! Quand il n’y en a plus, tu en veux encore !
– Oui !
– Dis-le mieux que ça !
– J’aimes les bites, je suis une salope !
– Accroupis-toi devant ma chatte, je vais te pisser dans la bouche.

C’est qu’elle avait une grosse envie, Odile.

– Je ferais bien caca, mais je me réserve pour tout à l’heure…
– Chic alors ! Répond ma mère d’un air de défi !
– T’es vraiment une grosse salope !
– C’est bien vrai ça !

On nage en plein romantisme !

Odile réveille le chien qui roupillait comme un bienheureux, le caresse un peu et le fait s’allonger sur le flan.

– Viens ma salope, viens sucer la bite du chien !
– Non ! Intervient Cécile !

Ah ? Que se passe-t-il donc ? Veut-elle m’épargner ce spectacle que je ne suis pas certain d’apprécier ?

– Non rapprochez-vous un peu d’Olivier, je veux qui voit bien sa mère sucer le chien.

Je me disais aussi …

Odile a commencé à lécher la bite du labrador, puis laisse sa place à ma mère qui engouffre l’organe avec gourmandise.

C’est vraiment une salope !

– Dis donc toi la boniche ! Pourquoi tu fais la gueule ? Dit Cécile en apostrophant Lucie.
– Je ne fais pas la gueule madame.
– Si ! Ça ne plait pas de voir cette salope sucer la bite d’un chien.
– Oh, Si Madame !
– Alors qu’est- ce que tu attends pour la rejoindre, conasse !

La femme de ménage vient alors aider ma mère à lécher le chien. Mais cinq minutes après Cécile interrompait la scène.

– En levrette la pute, et cul bien relevé, le chien va te prendre.

C’est pas vrai qu’elle va accepter de faire ça !

Odile humecte le cul de ma mère avec sa propre mouille et guide le chien qui finit par comprendre, et qui se met à la baiser avec frénésie ! Quel spectacle, c’est vraiment la totale. D’autant que ma mère ne tarde pas à glousser de plaisir sous le coups de butoir du quadrupède.

Au bout d’un moment, Lucia remplace ma mère dans le rôle de la chienne. Elle aussi à l’air d’apprécier.

Je sais que maintenant le moment fatidique approche, on me détache. Je ne sais trop quoi faire, mais ma mère, elle le sait, et sans autre forme de procès vient me sucer la bite tandis que ses mains délicates viennent me tortiller me tétons.

Putain qu’est-ce qu’elle suce bien, d’autant que pour mettre un peu de piment dans cette fellation incestueuse, elle m’introduit un doigt dans le trou du cul et le fait aller et venir.

– Attention, je vais jouir !

Ma mère stoppe sa fellation, me laissant récupérer, je la caresse et cette fois je m’octroie la permission d’embrasser ses jolis seins.

Elle se laisse faire, me pince encore un peu mes petits bouts de seins, m’embrasse fiévreusement, puis vient se mettre en levrette.

– Viens, mon fils, viens enculer ta mère !

Alors je l’ai fait, toute honte bue, l’affaire a été rapide mais je me suis fait un point d’honneur à la faire jouir.

Pendant ce temps Cécile se faisait faire minette par Odile et quand ce fut terminé, la grande brune fit coucher Lucia à même le sol et lui chia un énorme boudin sur le visage.

– J’espère que tout le monde est content, ceux qui veulent pendre une douche, c’est là-haut, on se retrouve tous à midi pour la bouffe….

Le coq au vin mitonné par Lucia fut délicieux, nous étions six à table, l’ambiance était bon enfant et nous n’avons pas parlé de sexe… car comme disait ma grand-mère, le sexe c’est formidable, mais il n’y a pas que ça dans la vie.

Fin

,

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

6 réponses à Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 3 – Le dernier tabou

  1. Nina dit :

    Ila fait fort Sylvain sur ce coup là ! Jen suis toute retournée !

  2. Caprice dit :

    Fabuleux récits qui jette le tabou de l’inceste aux orties

  3. Beluga dit :

    Un style agréable au service d’un festival de perversion inouï !

  4. Lucia dit :

    Eh bien on peut dire que l’auteur s’est lâché ! Quelle sensation mes amis !

  5. Mélanie dit :

    La totale, quoi ! Pas si sûre que tous les lecteurs adhérent à l’ensemble des fantasmes évoquées dans ce récit, moi j’ai bien aimé.

  6. Chastaing dit :

    Quel festival, j’en suis toute retournée

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *