Depuis quelques mois je sors avec Nathalie. Rien de que du très soft jusqu’à présent. Des ballades, des sorties au ciné, de temps à autre un baiser ou une caresse plus appuyée, mais pas grand-chose de plus. Je dois dire que pour mes 18 ans, étant puceau, je m’en contente, bien que le désir d’aller au-delà soit toujours présent. Mais une timidité maladive m’empêche d’aller plus loin, bien que des fois je me sens encouragé par Nathalie. Elle a aussi 18 ans. Elle est très mignonne, blonde aux yeux verts. Le temps de ses études, elle habite chez une de ses sœurs, Corinne, de 14 ans plus âgée que nous. Au premier regard, on devine que Corinne est bien la sœur de Nathalie. On a l’impression de voir Nathalie à 32 ans… Elle est exactement comme elle, un peu plus grande, très mince, le même visage, les mêmes yeux, tout aussi blonde, et tout aussi mignonne. Corinne habite au centre-ville, seule avec sa sœur depuis un peu plus d’un an… Leurs parents habitant la campagne, à 50 km de là, les deux sœurs passent la semaine et pas mal de week-ends dans cet appartement. Elles sont devenues très complice grâce à cette cohabitation.
Je me rends très souvent chez elles, pour passer l’après-midi, ou pour aller chercher Nathalie, la plupart du temps en débarquant à l’improviste.
Justement, un samedi en fin d’après-midi, je décide de faire un petit saut pour aller voir Sophie. Je sais qu’elle bosse son droit pour l’examen de lundi. Je me dis qu’elle doit commencer à en avoir marre, et je vais lui proposer de se faire un ciné.
C’est Corinne qui m’ouvre. Elle est pieds nus, et je la trouve particulièrement sexy aujourd’hui. Elle porte un tee-shirt blanc moulant ultra-court qui laisse apparaître son nombril et dessine ses petits seins. De la façon dont ils bougent, je sais qu’il n’y a rien d’autre sous le tee-shirt. Son short en jean est vraiment mini et, vu comme il a l’air usé, je pense que ça doit faire un moment qu’elle le porte. On se fait la bise. Je ne sais pas si c’est la chaleur, ou si je commence vraiment à être en manque, mais j’ai l’impression que ses bises sont plus appuyées, plus sensuelles que d’habitude. Je lui trouve d’ailleurs un air étrange. Elle me dit que Nathalie est dans sa chambre, je m’y rends donc.
Je la trouve sous une montagne de bouquins. Elle est également pieds nus, son tee-shirt est très ample, et il me semble bien qu’elle non plus ne porte rien dessous. En guise de pantalon, elle a le bas de son pyjama d’été, très fin et presque transparent. J’arrive à voir le dessin de sa culotte à travers. Je m’approche, et elle m’embrasse, de façon bien plus appuyée qu’à l’habitude, explorant ma bouche avec sa langue. Ce n’est pas pour me déplaire, comme le prouve la bosse sous mon pantalon. Je lui explique que je passais la prendre pour se faire une toile. Elle me répond qu’elle n’a pas trop envie de sortir. Elle aimerait terminer son chapitre, elle en a encore pour une heure. Elle me propose de rester pour souper, et puis de passer une soirée tranquille, à regarder les cassettes vidéo que Corinne a louées. Je décide donc de rester, et je file à la cuisine pour aider Corinne à préparer le repas.
Elle est en train de faire un couscous, les mains dans le bol de semoule. Elle me demande de l’aider à l’égrainer. Nous voilà donc à quatre mains dans le saladier. La semoule grasse du beurre, la chaleur et la moiteur sur ces mains, nos doigts qui se frôlent, qui se serrent de temps en temps, tout cela n’est vraiment pas fait pour réduire la bosse dans mon pantalon. Je trouve même que Corinne a une façon sensuelle d’égrainer cette semoule, et que vraiment elle me » caresse » les doigts bien plus que nécessaire… Nous nous rinçons les mains, et elle me demande de bien vouloir désosser les morceaux d’agneau cuits. Je ne suis pas un grand cuisinier, et bien sûr, au troisième morceau la fourchette glisse et je me retrouve avec un bout de l’agneau qui gicle sur une de mes cuisses avant de toucher terre… Corinne désolée se précipite sur moi, une éponge à la main, et commence à me nettoyer le pantalon. De la voir ainsi, à genoux devant moi, en train de me frotter la cuisse, ça redouble mon érection. Evidemment, elle s’en aperçoit, et me lance
» Eh bien dis donc, ça te fait de l’effet on dirait… »
Ce qui ne manque pas de me faire devenir écarlate. Et pour accroitre d’avantage ma gêne, elle ralentit le frottement, qui se transforme en caresse, à peine en dessous de mon sexe. Puis elle lâche l’éponge, et commence à caresser ma bite par-dessus le pantalon. Je suis partagé entre la gêne, le plaisir, et le fait que c’est la sœur de Nathalie. Mais je me laisse faire, incapable de faire le moindre mouvement. Elle caresse maintenant la zone gonflée avec la paume de la main en me disant
» Petit cochon, tu as l’air vraiment tendu la dessous, ça a l’air de te plaire…mais que dirait Nathalie… »
Puis elle se lève en riant et me donne un petit baiser sur les lèvres et sort de la cuisine. Je suis resté de marbre, ne sachant plus quoi faire. Je n’avais jamais vu Corinne comme ça, et j’étais loin de me douter qu’une chose pareille aurait pu arriver. Je termine mon travail, puis je vais rejoindre Nathalie. Corinne est en train de mettre la table au salon, et me regarde passer en souriant. Je lui rends son sourire, et en passant à côté d’elle, je prends mon courage à deux mains et lui caresse les fesses. Elle ne me dit rien et continue de mettre la table, en me souriant. Dans ma tête, je me dis que peut-être bien un jour ce sera elle, et non pas sa sœur, qui va me dépuceler… Nathalie est toujours dans ses bouquins et me dit qu’elle n’en a finalement plus pour longtemps. Je m’asseois sur son lit et essaye de penser à autre chose pour débander. Finalement Corinne nous appelle à table.
Le couscous est merveilleux et très épicé. A tel point que Corinne est obligée d’ouvrir une deuxième bouteille de vin, vu la vitesse à laquelle la première a été descendue. Le repas se passe très bien, et nos rires deviennent de plus en plus nerveux. L’effet du vin commence à se faire sentir et nous sommes tous trois très joyeux. Je sens de temps à autre le pied de Corinne me caresser le mollet, et je n’arrive plus à la regarder normalement sans penser à sa caresse de tout à l’heure. Nathalie s’est rapprochée de moi et se fait de plus en plus sensuelle. Puis elle m’embrasse à pleine bouche, comme elle ne l’avait jamais fait devant sa sœur. Je suis un peu gêné, mais l’ivresse aidant, je lui rends passionnément son baiser. Nous restons ainsi de longues secondes, collés l’un à l’autre. Ce n’est que Corinne qui nous sépare par sa remarque
» Eh bien les deux tourtereaux, ça c’est du baiser. Tu en as de la chance Nath. Moi ça fait un petit moment qu’aucun garçon ne m’a embrassée comme ça « .
» Tu veux qu’il t’embrasse ? » lui dit-elle
Je n’en crois pas mes oreilles. Nathalie propose à sa grande sœur de m’embrasser…
» Pourquoi-pas, si tu me le prêtes un peu « .
Puis elle se lève et vient s’asseoir sur mes genoux. Elle attrape mon visage à deux mains et commence à m’embrasser, tout aussi fougueusement que sa sœur juste avant. Evidemment, je participe pleinement à ce baiser, et nos langues jouent, sous le regard de Nathalie. La situation est un peu étrange pour moi, mais tellement excitante. Je commence à bander très fort dans mon pantalon, et Corinne s’en aperçoit.
» Tu vois, il a l’air d’aimer aussi quand je l’embrasse. Regardes-moi ça, Nath »
Puis elle se lève, et lui montre la bosse sous mon pantalon. Je sens mon visage virer au rouge, et je regarde Nathalie en souriant. Elle me rend mon sourire, et m’embrasse à nouveau, tout en caressant ma bosse.
» Mais oui, ça à l’air vachement tendu la dessous… »
Puis Corinne dit en riant
» Si tu veux, sœurette, je connais un moyen d’apaiser ça « .
Nathalie rit à son tour, et moi je suis aussi embarqué dans ce fou rire collectif. Pas de doute, le vin fait son effet… Puis Corinne me dit
» Faut pas avoir peur tu sais. Tu fréquentes Nath depuis un moment, mais tu ne sais pas tout sur elle… ni sur moi ! »
Puis s’approchant de Nathalie, elle lui caresse le visage tendrement, comme elle le fait souvent. A les voir côte à côte toutes les deux, je me dis qu’elles se ressemblent vraiment. Puis tout d’un coup, je vois Nathalie qui prend le bras de sa grande sœur pour qu’elle se penche vers elle, lui passe une main sur la nuque, et rapproche le visage de Corinne du sien. Puis elle commence à l’embrasser sur la bouche, très tendrement, par petits baisers, de plus en plus longs, pour finir en un long baiser passionnel. Je suis stupéfait…et diablement excité ! Je les savais proches, mais pas autant. A la fin du baiser Corinne me dit :
» Tu vois, on sait aussi s’occuper quand tu n’es pas là « .
Puis elle enlève son tee-shirt et laisse apparaître ses petits seins fermes et blancs comme du lait. En voyant cela, sa sœur en fait autant et me dit
» Nous ne sommes jamais allées bien loin dans nos attouchements, mais ce soir ça va changer. J’attendais une occasion comme celle-là, pour pouvoir te partager avec Corinne, comme j’ai toujours tout partagé. J’espère que ça ne te choque pas. »
Je la rassure, en ajoutant que ça me plait même assez. Puis je l’embrasse de nouveau à pleine bouche, en lui caressant les seins, bientôt rejoint par la grande sœur. Cette dernière est déchaînée, elle lui lèche les tétons comme si elle voulait lui sortir du lait, faisant grandir ses pointes, qui durcissent comme de l’acier. Nous nous embrassons tous trois, nous léchant les visages, jouant avec les seins. Je suis enchanté de pouvoir enfin concrétiser avec Nath, et encore plus ravi que sa sœur participe. Puis Nath me dit :
» Enlève moi tout ça, tu es trop serré dans ce jeans »
Je m’exécute rapidement et me retrouve nu comme un ver, debout devant elles. Corinne se débarrasse de son short et Nath ôte son pantalon. Puis les deux sœurs, sans se consulter, s’agenouillent devant moi et commence à jouer avec mon sexe.
» N’allez pas trop vite, je ne pourrais pas tenir longtemps vu mon état »
Comme seule réponse, c’est Nathalie qui me regarde et sans quitter mon regard, commence une lente fellation, pendant que Corinne s’occupe de mes bourses. C’est si bon, je sens une douce chaleur s’emparer de moi. Après quelques vas et viens, Nath dit à sa sœur
» Vas-y, à toi l’honneur, tu es la plus âgée. Fais-le jouir »
Ces mots crus de la bouche de Nath augmentent mon excitation quand je vois Corinne se ruer sur ma bitte et l’engloutir au plus profond de sa bouche. Nath la regarde me pomper frénétiquement en souriant. Ses yeux vont de sa sœur à moi, guettant le moment de ma jouissance. J’essaye de me retenir, mais la succion de Corinne est bien plus forte, alors je lui dis :
» Attention, je vais venir « .
Je pensais que Corinne allait se dégager, mais il n’en est rien, et au contraire elle aspire de plus en plus fort, jusqu’à que j’explose et projette mon sperme dans sa bouche. Elle avale les deux premiers jets, et retirant mon sexe de sa bouche, reçoit les deux suivants sur son visage et ses seins.
» Hum. Ca faisait trop longtemps que je n’avais pas goutté de la semence d’homme » me dit-elle. » Viens Nath, nettoies-moi mon visage « .
Nathalie commence alors à lécher méticuleusement chaque centimètre du visage de sa sœur, avalant la moindre goutte de sperme, lui nettoyant joues, lèvres et seins. Les deux sœurs sont excitées au possible, et moi-même devant ce spectacle, je sens mon sexe se dresser de nouveau.
» Assieds toi et regarde nous » m’ordonne Nathalie.
Je m’exécute et vais me lover dans le fauteuil. Corinne se couche sur le tapis, et Nath se positionne sur elle, en 69. Puis elles commencent un jeu de langues d’une façon si experte que plus aucun doute n’est possible sur leur relation. Je vois leurs corps se tortiller de plaisir sous les coups de langue, et j’entends les râles monter. Pendant ce temps, j’ai entrepris une lente masturbation depuis ma position de voyeur. Tout d’un coup Corinne se raidit et je la vois se cambrer, plaquant sa vulve contre la bouche de Nath. Puis elle pousse un cri de jouissance étouffé. C’est donc la petite sœur qui a fait jouir la grande en premier. Ni tenant plus, je me lève et me place derrière Nath, la relevant un peu pour qu’elle prenne la position à genoux, et la pénètre d’un seul coup. Je rentre dans elle avec une facilité déconcertante, son sexe est autant trempé de la salive de sa sœur que de sa propre mouille. Je commence à la pistonner rapidement, avec Corinne juste en dessous de nous, qui me lèche les couilles au passage. Après de courts instants, Nath qui était déjà proche de l’extase entre dans une jouissance profonde. Je la sens se raidir, je sens son sexe qui se resserre avec contractions rapides, puis elle s’écroule sur sa sœur. Je me retire, un peu frustré de ne pas avoir joui, quand Corinne me dit :
» A moi, défonce-moi « .
Elle se dégage de sous sa sœur et se met à quatre pattes devant moi, son petit cul à ras de ma bite. Je ne me fais pas prier et commence une lente pénétration. Apparemment, son excitation n’est pas encore retombée et elle s’enfonce d’un coup sur mon sexe. Je reprends alors le mouvement interrompu avec Nath, sentant le corps de Corinne réagir à chaque enfoncement de ma bite. Ses gémissements sont de plus en plus sonores. Je commence aussi à râler et à respirer plus profondément. Je n’en peux plus et je sens mon sperme qui va quitter mes bourses, alors j’accélère le mouvement et la pénètre encore plus violemment et nous jouissons ensemble. Puis nous nous écroulons à côté de Nath et nous nous embrassons tous, tendrement. Cela a été le début de quelques folles nuits de plaisir. Peut-être vous raconterai-je la suite si je m’en sens le courage.
Tom
Moi aussi je me suis tapée ma sœur (et pas qu’une fois) et j’en garde un excellent souvenir
moi, j’aime bien les cochonnes
une des plus charmantes histoires lues sur votre site, site que je trouve tout à fait épatant !
dommage que la photo montrent des femmes si peu désirables et si peu charmantes
merci en tout cas pour votre site et très bonne continuation ..
A
Frangine coquines, j’adore !
Pas désirables ? Question de goût ! Moi je me taperais bien un bon petit trio avec ces belles brunettes 🙂