Cannes, juillet 1997.
Il n’était que 9 heures du matin mais il faisait déjà plein soleil sur la
Croisette.
De retour dans notre chambre d’hôtel après le petit déjeuner, quel ne fut
pas notre étonnement de surprendre la femme de chambre en train de fouiner
dans notre armoire à vêtements… tenant déjà à la main quelques dessous
particulièrement affriolants dont Martine (ma femme) aime tellement se parer
pour sortir.
Très confuse d’avoir été prise ainsi » la main dans le sac « , la soubrette
se défendit d’avoir voulu nous voler quoi que ce soit et nous assura en
balbutiant n’avoir agi que par attrait pour cette belle lingerie dont elle
rêvait tant et qu’elle aussi aurait bien aimé pouvoir porter…
En outre, rouge de honte, elle nous supplia de ne pas avertir la direction
de l’hôtel ; craignant à juste titre d’avoir des ennuis et de perdre son
emploi.
Une lueur coquine naquit immédiatement dans les yeux de Martine qui déclara
tout de go à l’indélicate employée :
» Et bien soit, nous ne dirons rien… mais en échange de notre silence,
nous vous imposons de revenir demain matin revêtue de ce splendide body de
dentelle largement ouvert à l’entrejambes… »
Et de joindre le geste à la parole, Martine lui remit le délicieux dessous
particulièrement transparent.
» Vous serez certainement très sexy avec cela ; Michel et moi nous
occuperons de vous et vous ne le regretterez pas… » ajouta-t-elle en
faisant un petit clin d’œil et en sortant vicieusement la langue qu’elle se
passa sur les lèvres.
Notre visiteuse se confondit encore en plates excuses puis, prit le body et
s’enfuit aussitôt sans demander son reste.
Rien ne nous assurait que la jeune femme (au demeurant plutôt mignonne)
accepterait les termes de notre tacite contrat mais nous espérions tout de
même bien qu’elle reviendrait…
» Si elle est aussi sensuelle qu’elle ne le paraît et qu’elle n’est pas trop
farouche entre nos mains, je te garantis que nous passerons un excellent
moment » m’assura Martine déjà visiblement tout excitée à l’idée du parfait
trio que nous pourrions former.
Martine est, il faut le préciser, tout à fait bisexuelle et prend, de ce
fait, autant de plaisir que moi à introduire (sans mauvais jeu de mots !)
une jolie personne très ouverte dans nos ébats amoureux.
Le fait qu’elle soit aussi voyeuse et exhibitionniste ajoute encore au
caractère torride de nos rencontres et relations…
Ce soir-là, Martine et moi firent l’amour intensément en pensant déjà à ce
que pourrait être notre excitante rencontre du lendemain…
A l’heure convenue, on frappa à la porte.
Notre coquine de la veille entra et dit doucement : » Bonjour, je m’appelle
Léa et je me livre à vous pour que vous me baisiez tous les deux ! »
Avançant dans la chambre, elle défit en un tour de mains sa micro – jupe en
coton noir et retira son chemisier transparent qu’elle laissa tomber à ses
pieds.
Comme convenu, elle portait bien le body que Martine lui avait offert…et
imposé de mettre.
Ses formes ainsi révélées, elle était particulièrement émoustillante et
franchement désirable…
La blancheur de la dentelle contrastait avec son teint de méditerranéenne :
une belle peau mate et splendidement bronzée mettait en valeur un corps bien
proportionné : pas très grande mais avec des formes pleines et des courbes
splendides qui lui donnaient une silhouette épanouie.
Ses beaux seins lourds et voluptueux se dressaient fièrement ; en leur
centre, les mamelons foncés étaient déjà tout érigés sur de larges aréoles
brunes…
Un ventre parfaitement plat et, plus bas, une toison pubienne abondante et
très sombre rappelait des cheveux noirs de jais qui lui tombaient
harmonieusement sur les épaules.
Un cul resplendissant mais parfaitement rond et bien ferme ; attirant comme
une belle pomme à croquer : très appétissante !
Elle portait à la cheville gauche une chaînette en or qui donnait à sa fine
cheville un air absolument féminin.
Lentement, elle se retourna et nous exhiba, sous la fesse gauche, un petit
tatouage représentant un cornet de crème glacée .
» C’est parce que, moi aussi, j’adore qu’on me lèche et me suce » nous
révéla-t-elle avec un petit air coquin qui nous faisait déjà fondre…
Gardant ses petits mocassins vernis qui terminaient si gracieusement de
splendides jambes visiblement très douces, elle fit quelques pas, arriva au
lit, se coucha lascivement sur le dos et écarta largement ses cuisses déjà
relevées pour nous révéler impudiquement son intimité : sa fente ténébreuse
semblait déjà s’humecter de désir…
Elle dit alors calmement : » Venez maintenant, j’ai très envie de vous ! »
Cette fille s’était offerte à nous au delà de toutes espérances.
De plus, elle représentait un contraste saisissant avec Martine : grande,
mince, blonde, peau laiteuse et le sexe complètement épilé alors que Léa
était plus petite, brune, avec des formes généreuse et bien fournie
partout…
Sans plus attendre, Martine se débarrassa de son peignoir de bain.
Entièrement nue elle aussi, elle s’approcha doucement de Léa et lui chuchota
tendrement à l’oreille : » Tu es belle et tu sens bon, ma chérie. J’ai très
envie de toi car tu m’excites beaucoup : on va te passer bon moment ensemble
! ! »
Alors qu’elle prononçait ces paroles, Martine entreprit de retirer à Léa son
body devenu encombrant.
Elle fit d’abord glisser les fines bretelles sur ses épaules pour découvrir
ses seins magnifiques.
Elle saisit ceux-ci délicatement, les caressa et les malaxa avec amour.
Sans plus attendre, elle embrassa les deux magnifiques globes de chair, en
emprisonna les pointes dressées entre ses lèvres brûlantes de désir et les
suça si intensément qu’elle y laissa l’empreinte de ses dents.
Lorsqu’elle se retira après de longues et intenses minutes , je pus les voir
tout mouillés de salive ; cela commençait à devenir excitant! !
Moi qui brûlais d’impatience d’intervenir au plus tôt, je n’eus pas le cœur
d’interrompre cette délicieuse montée de plaisir saphique et fus contraint
de rester un simple spectateur passif de cette scène en me masturbant
doucement sur le fauteuil…
Martine m’avait fait un signe discret qui signifiait » reste en dehors de
cela pour le moment ! ».
Elle progressait rapidement et avait déjà atteint le bas – ventre de notre
nouvelle amie, roulant le mince vêtement pour dévêtir Léa plus promptement
et commença à la masturber furieusement.
» Ta chatte est déjà toute mouillée, Léa. Laisse moi goûter à ton nectar de
salope en chaleur… » dit-elle en lui passant la main sous les fesses pour
saisir sa croupe et approcher davantage le mont de Vénus de sa désirable
partenaire.
Comme mu par un aimant, son visage s’approcha encore du sexe de Léa et vient
s’y coller de telle sorte que sa bouche put aspirer goulument le petit
clitoris quelle venait de dégager délicatement avec deux doigts.
Bientôt, je ne distinguai plus que la langue de Martine pénétrant
profondément dans la fente trempée de Léa ; celle ci soufflait, gémissait et
donnait à son bassin le rythme envoûtant de la possession…
Ce ne fut plus alors que de ravissants bruits de léchage et de suçion
qu’interrompaient seulement les soupirs d’une exquise jouissance qui ne
tarderait pas à éclater …
Martine s’activait sur le petit bouton rose de Léa qu’elle dévorait comme un
enfant savoure une friandise.
Apparemment, celle-ci éprouvait beaucoup de plaisir aux caresses buccales de
ma femme et ne manquait pas de le faire savoir : » Oh, je t’en prie Martine,
pompe – moi à fond mais n’oublie pas mon petit trou de derrière « .
Martine ne se fit pas prier …
Sans arrêter un seul instant de lécher avec délice l’entrecuisses de Léa,
elle glissa un doigt entre les fesses de sa compagne…
D’une langue habile, elle humecta parfaitement ce passage serré et y
présenta son majeur pour constater avec ravissement que Léa approchait
d’elle même son anus du doigt dressé…si bien qu’elle vint littéralement
s’empaler sur celui-ci…
Martine la pénétra sans ménagement et apprécia le fait que son petit trou se
dilatait tout naturellement au fur et à mesure qu’elle s’y enfonçait !
Très vite, c’est tout le doigt de Martine qui avait déjà disparu dans
l’étroit canal…
Martine décida alors de prolonger ce délicieux supplice en esseyant d’y
introduire un deuxième doigt de nature à remplir davantage encore ce
précieux endroit…en attendant qu’il soit occupé par un visiteur de plus
gros calibre !
Cette manoeuvre sembla décupler le plaisir de Léa car l’effet fut immédiat :
elle se cabra et, poussant tout son corps en avant, dit avec passion : » Tu
es géniale Martine, laisse-moi te branler à mon tour ! »
» Oh oui Léa, bouffe – moi vite le minou » répondit – elle impatiente.
S’étant immédiatement renversées, les deux lubriques entamèrent alors un
délirant 69…
Jambes entremêlées, saisissant à pleines mains le formes de leur égale, ces
deux félines avaient le visage visé au sexe de leur partenaire et les deux
corps ne firent bientôt plus qu’un seul amas de chair mu par le plaisir.
Je distinguais des doigts qui, sortant d’une chatte pour rentrer aussitôt
dans un cul, étaient immédiatement happés par des bouches gourmandes…
» J’aime le goût de ton précieux nectar sur ma langue » déclara Léa.
» Et moi j’adore celui du mien mêlé à ta salive » ajouta aussitôt Martine.
Le rythme de leurs ébats s’accélérait : les deux amies étaient au bord de
l’orgasme…
Aucun tabou, elles changeaient tour à tour de position et ne reculaient
devant aucune audace sexuelle…
Elles semblaient se procurer tellement de plaisir l’une à l’autre que
j’aurais fini par me croire inutile si Martine n’avait soudainement pensé à
souffler entre deux râles de satisfaction : » Léa, je crois que tu es
suffisamment chaude, C’est Michel qui va te baiser maintenant ! »
Je n’y croyais presque plus…
Pour tout dire, j’aurais déjà joui plusieurs fois devant un spectacle si
émouvant si je ne m’étais pas retenu…
Voilà déjà près d’une heure que ces deux chattes en chaleur se caressaient,
se léchaient, se broutaient le minou et se doigtaient le vagin et le cul
sans retenue.
Je ne me fis pas prier plus longtemps et pus apprécier la tendre complicité
qui m’unit à Martine : ma compagne avait déjà préparé notre invitée de telle
sorte que celle – ci était » mise en position » pour me recevoir.
Espérant sans doute commencer par une traditionnelle fellation en bonne et
due forme, Léa fut un peu surprise que Martine lui demande de rester couchée
sur le ventre, de se rapprocher du bord du lit, de poser les pieds par terre
pour se présenter ainsi, les fesses largement écartées, entièrement offerte
à mes désirs…
Et de fait, j’arrivai aussitôt, le sexe fièrement dressé et entreprit de la
sodomiser sans autre forme de procès.
» Léa, je vais t’enculer et tu vas en mouiller de plaisir ! » lui dis-je
avec fermeté.
Tandis que Martine tenait le derrière de Léa largement ouvert pour dégager
son petit orifice froncé et faciliter mon introduction, je dirigeai d’une
main habile mon sexe dur comme du béton entre les reins de Léa.
Ainsi prise par derrière, elle ne tarda pas à laisser exploser sa joie en
criant de plus belle : » Ah mes amis, quel pied, quel pied ! »
Je m’enfonçai donc d’un seul coup entre ses fesses et appréciai le fait
qu’elle était déjà parfaitement lubrifiée par la salive de Martine.
Celle – ci s’était baissée pour lécher la partie de mon sexe qui ne rentrait
pas dans les fesses de Léa et en profita pour faire coulisser deux doigts
dans son vagin tout en pressant ses seins de son autre main.
Léa était aux anges.
De fait, Martine se déplaça alors pour offrir sa chatte gluante à la bouche
avide de Léa ; celle – ci s’empressant d’y enfouir sa langue au plus profond
!
La suite fut plus excitante encore…
Mes va et vient dans l’arrière-train de Léa s’accélérant à une vitesse
démentielle, j’arrivai assez rapidement au bout de mon plaisir : » Mes
amies, je vais jouir… » dis-je promptement.
» Retire – toi vite et éjacule – moi en pleine figure ! » me supplia Léa…
Aussitôt dit, aussitôt fait : je ressortis mon mandrin de son cul, le
dirigeai vers son visage , me concentrai brièvement et me libérai
soudainement en crachant ma chaude semence à la face de Léa…
Celle – ci happa littéralement ma queue pour se l’enfoncer au plus profond
de la gorge alors que Martine essayait vainement de pouvoir avaler quelques
gouttes de ma précieuse liqueur.
Ayant pris un peu de repos, ces deux femelles dépravées décidèrent de
s’entendre de concert pour m’offrir un spectacle pour le moins réjouissant.
Côte à côte sur le lit, elles se mirent à quatre pattes pour me présenter
leur croupe généreusement offerte.
Etant revenu à un état de turgescence tout à fait respectable, je pris un
plaisir fou à les pénétrer successivement en levrette ; mon sexe passant de
l’une à l’autre sans la moindre difficulté…
Adorable différence supplémentaire entre mes deux proies ; alors que je
connaissais Martine comme large et spacieuse, le conduit vaginal de Léa
était plutôt étroit et enserrait parfaitement mon sexe.
De plus, elle se servait diablement bien de ses muscles internes pour
contracter divinement son tunnel d’amour.
C’était vraiment magnifique de pouvoir ainsi labourer deux femmes si
complices.
Les deux compères riaient comme des folles alors que je les limaient de plus
belles.
Léa eut alors l’idée de se » superposer » à Martine pour m’offrir deux sexes
d’autant plus accueillants qu’ils étaient placés juste l’un au dessus de
l’autre…
Visage contre visage, seins contre seins et chatte contre chatte.
Ces deux splendides corps féminins m’étaient offerts et je pouvais me
glisser dans l’un et l’autre avec le plus complet ravissement.
Curieusement, elles eurent un violent orgasme en même temps…au moment
précis ou j’explosais moi-même et me répandais abondamment sur leurs fesses
rebondies…
Assez fatigués – mais jamais repus – nous pensions en rester là lorsque,
visiblement insatiable, Léa souffla encore pleine de désir : » Mes amis, je
n’avais jamais joui aussi fort ! Faites – moi encore des tas de choses très
cochonnes…Et puis, vous savez, vous pouvez me soumettre à tous vos
caprices, je serai très obéissante… »
» Quoi, on ne t’a pas suffisament défoncé la chatte et le cul ? ! Tu en veux
encore, hein ? ! » interrogea Martine.
» Mais tu es une vrai nympho délurée….Bon, très bien, on va te faire
grimper au plafond ! »
Martine s’empara aussitôt d’une paire de bas avec laquelle elle attacha les
poignets de Léaqui se laissa faire docilement.
L’obligeant à s’agenouiller devant moi, elle lui introduisit mon sexe dans
la bouche avec pour mission de lui faire retrouver toute sa vigueur dans les
plus brefs délais…
Entravée de la sorte, Léa ne put se servir de ses mains pour m’amener au
plaisir ; mais je dois avouer qu’elle y parvient tout de même très bien.
Visiblement très habituée à cet exercice, elle n’hésita pas, après s’être un
peu attardée à mouiller tout le contour du gland avec le bout de sa langue,
à remonter tout le long de mon membre excité.
Après quoi, elle s’empara de mes couilles qu’elle goba comme de délicats
œufs de chair…
Lorsqu’elle poussa la tête pour tenter de se frayer un chemin vers mon anus
qu’elle renifla d’abord voluptueusement, je ne savais déjà plus trop à quoi
m’attendre…
Mais au moment où je sentis sa petite langue mouillée s’insinuer entre mes
fesses, je ne me tins plus et lui dis en éjaculant de toutes mes forces sur
la bouche et le menton: » Tiens, voilà pour toi, grosse pute ! » lui
lançai-je en pleine figure.
A l’inverse de tout à l’heure et alors que c’est Léa qui entrouvrit les
lèvres pour pouvoir me boire, c’est Martine qui se précipita pour avaler
goulûment mes longs jets de sperme…
Décontenancée, Léa sembla un peu frustrée mais se réjouit bien vite lorsque
Martine lui retransmis l’exquis liquide qu’elle avait jalousement gardé en
bouche…
Ce baiser passionné d’où dégoulinait mon foutre mélangé à leur salive était
des plus émoustillant…
Et leur langue qui s’entrelaçaient comme deux serpents me donnait envie de
remettre cela au plus tôt…
Martine grognait de plaisir.
Tenir ainsi Léa, totalement soumise et très docile, à sa merci, semblait la
stimuler au plus haut point.
Elle la détacha quelques instants mais ce ne fut que pour mieux la lier à
nouveau ; aux barreaux du lit cette fois !
Martine ouvrit un tiroir de la commode et en sortit un splendide
god-ceinture d’un élégant latex rose qu’elle attacha aussitôt à sa taille.
Entre-temps, elle avait aussi chaussé de fines chaussures de cuir à très
haut talons.
Ses seins étaient maintenant emprisonnés dans un brillant soutien de skai
aux bouts ouverts sur les mamelons.
Je dois encore préciser qu’elle fréquente parfois quelques chaudes
lesbiennes dans de fines parties de S/M dont je suis irrémédiablement exclu.
Et, à cette fin, Martine dispose de quelques ustenciles spécifiques à ce
genre de pratiques dont elle comptait bien faire profiter Léa également.
» Je vais t’embrocher comme une sale gouine ! » hurla Martine en infligeant
une retentissante fessée à Léa…
Un peu dépassée par les événements et ne s’attendant peut – être pas à
pareil traitement, elle supporta assez mal ce premier contact plutôt violent
et se plaint d’avoir eu mal…
» Encore quelques bonnes claques sur ton gros cul et tu sauras apprécier la
douleur » lui répondit Martine qu’on ne tenait plus…
C’est alors qu’elle décida de pénétrer sans plus attendre Léa avec son
volumineux engin…
Un coup dans le vagin, un coup dans l’anus … le god allait et venait comme
un véritable phallus.
Et Martine possédait Léa comme un homme eut put défoncer une faible femme
sans défense.
Chevauchant sa victime à quatre pattes sur la moquette de la chambre,
Martine palpait violemment les seins de Léa qu’elle malmenait avec un
plaisir évident.
Après avoir obligé Léa à lui baiser les pieds et les chaussures, à lui
lécher le bout des seins à travers le skai de son soutien ouvert, Martine,
au comble du plaisir, obligea même sa soumise à sucer le gros pénis
artificiel avec lequel elle venait de l’enculer …
Suprême humiliation, la pauvre fille avait ainsi à recueillir au plus
profond de la gorge le goût âcre de ses propres sécrétions…
Fort secouée, Léa subissait donc les assauts répétés de Martine entre ses
jambes et l’exquise douleur de ses fessées qui lui rougissaient le
postérieur.
Moi, de mon côté, je me disais que je ne tarderais pas à intervenir.
Pour que le bonheur fut complet, Martine décida d’utiliser aussi un
splendide chapelet de boules chinoises en inox .
Reliées entre elles par un gros fil nylon, le jeu consiste à les introduire
d’abord progressivement une à une dans l’orifice de son choix pour les
égrainer ensuite le plus lentement possible au moment de les en ressortir…
Parfaitement jouissif, ce plaisant supplice peut déchaîner des irradiations
de plaisir depuis le creux des reins jusqu’au milieu du dos…
Léa apprécia énormément ce traitement car, dilatant son anus pour faciliter
le retrait des boules, elle cria de plaisir en mouillant comme une véritable
fontaine…
Je dis alors que je devais uriner et que j’aurais bien aimé pouvoir le faire
en arrosant notre ridicule esclave…
Léa fut aussitôt amenée à la salle de bain où nous l’étendîmes, les mains
entravées, dans la baignoire.
Couchée sur le dos, les jambes largement écartées, nous lui avons bandé les
yeux avec une serviette de bain pour que la surprise fût totale…
» On ne m’a jamais pissé dessus ! » protesta – t – elle .
Alors que je parvins à diriger mon jet d’urine sur tout son corps (et,
surtout, volontairement sur son pubis), Martine eut l’extraordinaire chance
de devoir elle aussi se soulager presque au même moment …
Sans la moindre pudeur, elle s’assit sur le visage de Léa et inonda celui-ci
de sa chaude douche dorée..
Ne pouvant voir la scène, celle-ci comprit rapidement ce qui se passait et,
à la limite de l’étouffement, fut bien vite contrainte d’ouvrir la bouche
pour recueillir ce chaud et odoriférant liquide…
Elle eut d’abord une première répulsion qui lui donna l’impression qu’elle
allait vomir, puis changea radicalement d’avis et se mit à boire avidement
le chaud liquide…
Lorsque Martine eut vidé sa vessie et que les derniers gouttent
jaillissaient de son entrejambes, Léa parvient à articuler : » Oh, je t’en
supplie Martine, ne t’en vas pas tout de suite ; j’aimerais tellement te
nettoyer la vulve avec ma langue…S’il te plaît, donne – moi ton sexe à
lécher ! »
» T’es vraiment une belle garce ; tu te conduis comme une véritable traînée
! » lui reprocha Martine
» Oui, et avec vous, j’ai envie de dépasser mes limites… » justifia Léa
pas gênée pour un sou.
« Je te laisse quelques minutes pour bien me rincer le con avec ta salive
puis on va te doucher et te parfumer pour que tu sois à nouveau baisable…
»
Nouvelle partie de plaisir : tandis que Léa s’appliquait à lécher
consciencieusement l’entrejambe de Martine, j’en profitai pour lui brouter
méthodiquement le sien…
C’était divin.
Après cela, nous avons alors procédé à la toilette de Léa ; en ce qui me
concerne, je me suis chargé de lui savonner vigoureusement l’entrefesses que
je venais de déguster ; ce qu’elle sembla apprécier tout particulièrement
puisque recommença immédiatement à gémir d’aise.
Martine, de son côté, ne se lassait pas lui frotter les seins déjà tout
gonflés de plaisir.
Bien lavée, soigneusement séchée, Léa fut encore discrètement parfumée aux
endroits » stratégiques » : cou, aisselles, creux des seins et des genoux,
anches , intérieur des cuisses, pli de l’aine et , bien entendu, raie des
fesses jusqu’à l’anus…
Ainsi apprêtée, Léa fut ramenée dans la chambre où elle fut immédiatement
contrainte à nous attendre et à nous attendre…
Attendre parce qu’elle ne pouvait rien faire d’autre ; se retrouvant
complètement entravée, attachée sur une chaise avec les bras dans le dos et
le string que Martine avait porté la veille en guise de baîllon dans la
bouche…
Entendre parce que, pendant se temps – là, devant nous rafraîchir nous
aussi, Martine et moi avions décidé de faire l’amour sous la douche… et
que nous avons pour habitude de ne rien dissimuler de nos ébats : laisser
entendre les hurlements de joie de Martine ; véritable jouisseuse – crieuse
.
Il faut dire que, d’où nous l’avions laissée, Léa ne pouvait absolument pas
nous voir et que seuls nos cris, donc, lui parvenaient.
Nous imaginions aisément la frustration de cette chaude jeune femme,
attachée de telle sorte qu’elle ne pouvait même pas se caresser en nous
attendant.
Et nous nous jubilions d’autant plus que Martine n’avait pas manqué de
laisser à Léa deux petites accessoires pour l’aider à mieux supporter notre
absence : un gros god fiché jusqu’à la garde au plus profond de son vagin et
un autre plus fin mais plus lisse presque entièrement introduit par
derrière.
Inutile de préciser qu’ainsi envahie, Léa ne restait que difficilement
assise ….
Après quelques moments de tendresse et d’intimité à deux, Martine et moi
sommes revenus dans la chambre.
Nous y avons retrouvée Léa à nouveau trempée ; tant de désir que
d’impatience…
Nous défîmes d’abord son baîllon ; ce qui lui permit de respirer un peu.
Dans la position où elle se trouvait, le haut de sa poitrine perlait de
sueur et de grosses gouttes avaient même coulé entre ses seins avant de
dévaler son ventre pour inonder son nombril…
Emu par tant de grâce, je m’approchai d’elle et dardai ma langue pour
prolonger ce sillon humide partant tout droit de son ombilic pour se perdre
au plus profond de son ombreuse vallée…
Sans attendre, je noyai ma langue dans son intimité.
Elle ne put cacher sa satisfaction et nous annonça de sa voix la plus câline
: » Détachez-moi, maintenant…je voudrais encore faire l’amour avec vous !
! »
Je lui retirai les gadgets de plastique qui lui distendaient les deux
orifices à la limite de la douleur et la soulevai tendrement dans mes bras
pour la porter jusqu’au lit.
Dès que Léa fut étendue, Martine vient la câliner amoureusement en
s’attachant à lui caresser la chatte avec une infinie douceur.
Avec une beaucoup de tendresse, elle recommença à lui lécher le sexe en
insistant sur l’intérieur des grandes lèvres de Léa et, moi, j’embrassais
notre conquête à pleine bouche ; avant de repasser son adorable goût de
jeune femme à la mienne par d’autres baisers brûlants…
Nous avons donc reformé ce parfait triangle amoureux qui avait déjà si bien
fonctionné…
Les heures passèrent et la nuit entière nous parut finalement bien trop
courte pour explorer tout l’appétit et la disponibilité sexuelle dont Léa
nous fit la preuve…
Il est vrai que nous avions rarement rencontré de jeune femme à la fois
aussi expérimentée et aussi imaginative….
Quand elle sortit de la chambre au petit matin, elle avait la mine ravagée
de ceux qui sont fourbus mais comblés par de nombreuses heure d’insomnies et
de plaisir.
Nous nous sommes longuement embrassés et étreints tous les trois comme de
jeunes tourtereaux obligés de se quitter en de déchirants adieux.
Des adieux touchants et sincères pour nous….
Nous quittâmes l’hôtel vers midi.
Au moment de régler la note à la réception, nous vîmes s’entrouvrir une
porte indiquée » Direction »
Et à ce moment, stupeur , ce fut Léa qui nous apparut !
Dans un strict tailleur gris, soigneusement coiffée et maquillée, elle nous
rejoignit pour nous serrer la main en disant simplement : » En tant que
directrice de cet hôtel, je vous souhaite un bon retour au pays et espère
que vous aurez passé un agréable séjour dans notre établissement. A l’année
prochaine, j’espère… »
Nous en sommes restés le souffle coupé, incapables de prononcer la moindre
parole.
Comme dernière image, nous garderons celle de Léa refermant délicatement la
porte de son bureau … non sans nous avoir adressé un dernier petit clin
d’œil complice en se passant la langue sur les lèvres.
Nos vacances étaient terminées.
PHM phm@mail.be
09/97
Première publication sur Vassilia, le 28/10/2001
La psychologie des personages n’est pas très fouillée, pas fouillé du tout on va dire, mais qu’est ce que c’est bandant
Malgré quelques invraisemblances (le twist final est incohérent) la lecture de ce texte très hard m’a fortement émoustillé