Le printemps
4 – Un Chaud Week-End
Par Lovelace
Quand j’arrive à la maison, ce vendredi soir, Anne est déjà arrivée. C’est elle qui m’ouvre la porte et de quelle façon !
Elle est toute de noir vêtue, une guêpière en cuir, seins nus, bas et escarpins sensuelle à souhaits !
– Bienvenue chez vous, monsieur.
– Merci, Anne.
J’entends la voix d’Alice émanant du salon :
– Qui est-ce, Anne ?
– Votre époux, madame.
– Très bien, occupez-vous de lui, bichonnez-le ! Je le veux impeccable !
– Bien, madame. Si vous voulez bien me suivre, monsieur ?
Anne me précède dans les escaliers, ce qui me permet d’admirer ses belles petites fesses rondes qui balancent devant mes yeux à chaque marche gravie.
Arrivés dans notre chambre, elle s’occupe de me déshabiller entièrement, puis me conduit à la salle de bains. D’abord, j’ai droit à un rasage, mes joues piquent en raison de ma barbe naissante. Puis elle me dirige sous la douche, fais couler abondamment l’eau sur mon corps et entreprend de me savonner de la tête aux pieds. Elle s’attarde longuement, un peu trop du reste, sur mes parties génitales. Elle ne peut s’empêcher de tripoter mon sexe, le décalotte pour bien laver le gland, la couronne, tous les plis.
– Monsieur a une vraiment belle verge ! Longue et grosse ! Madame doit être comblée ?
– C’est elle qui l’a souhaitée ainsi.
– Je sais, monsieur. Elle me l’a dit mais, dans le cas présent, la vue est bien plus explicite que les mots !
A force de ce traitement, mon sexe s’allonge, évidemment.
– Humm ! Monsieur est sensible à la qualité de mon lavage ?
– On le serait à moins, Anne.
Finalement, elle rallume la douche et me rince. Me voilà absolument propre, de fond en comble, c’est le cas de le dire puisqu’elle est allée jusqu’à me nettoyer l’anus !
Nous retournons dans la chambre et elle m’habille d’un de mes Kimonos japonais.
Nous redescendons vers le séjour où m’attend Alice, langoureusement étendue dans un canapé, vêtue d’un déshabillé en satin ivoire.
– Voilà monsieur, Madame ! Il est comme vous le souhaitiez.
– J’en suis sûre, Anne. Vous avez certainement fait attention au moindre détail, comme pour moi ?
– Tout à fait, madame. Il n’est pas un seul endroit que je n’ai pas lavé.
Je m’installe dans le canapé en vis à vis, satisfait de ce début de soirée.
– J’apprécie beaucoup ; dis-je. Dommage que je ne bénéficie pas de ce traitement de faveur tous les vendredis !
– Tu sais, chéri, si tu avais çà tout le temps, tu ne l’apprécierais plus ! Anne servez-nous donc l’apéritif.
– Bien sûr, madame. Que prenez-vous ?
– Un jet 31, merci.
– Un whisky pour moi, dis-je.
Anne s’absente en cuisine chercher les glaçons. Elle revient, bien sûr les mains vides, Place les verres entre ses cuisses, pond deux cubes par verre et verse les breuvages. En tendant son verre à Alice, elle feint de trébucher en se prenant le talon dans le bord d’un tapis.
– Petite sotte ! Vous avez failli renverser le verre sur moi !
– Je suis désolée, madame, je ne l’ai pas fait exprès !
– Je ne veux pas le savoir ; apportez-moi la tapette et tournez-vous.
Anne s’exécute et, droite comme un I, tend ses fesses à Alice. Cette dernière lui assène cinq coups par fesse ce qui a pour effet de rougir les deux globes laiteux.
Anne étant face à moi, je remarque sur son visage l’expression d’un mélange de plaisir et de douleur, ne pouvant définir lequel l’emporte sur l’autre.
– Merci, madame ! Dit Anne, comme s’il s’agissait d’une récompense.
– Çà ira pour cette fois ! Maintenant, demande Alice en s’asseyant, venez ici me soulager.
Anne s’avance, s’accroupit entre les cuisses d’Alice, les caresses du genou à l’entrejambe, avant de s’aventurer jusqu’à la fente entre-ouverte. Puis elle y pose ses lèvres et commence une alternance de caresses manuelles et buccales. Alice ferme les yeux, le plaisir l’envahit et en quelques minutes, jouit arrosant copieusement de foutre, la bouche d’Anne qui ne peut tout avaler.
– Ha, mais enfin ! Petite idiote ! Vous ne savez vraiment rien faire correctement ! Vous serez corrigée, pour çà ! En attendant occupez-vous de mon époux, j’ai besoin d’être envahie !
– Pardonnez-moi, madame, je me suis laissée surprendre. Je m’occupe tout de suite de Monsieur !
Je me lève et m’approche d’Anne, toujours accroupie. Elle délace le cordon du pantalon qui glisse à mes pieds. Elle prend délicatement, d’une main mon sexe qu’elle met en bouche et de l’autre me prend les couilles qu’elle malaxe doucement. Elle glisse sa langue entre le prépuce et le gland faisant le tour de celui-ci, comme s’il s’agissait de le décoller, puis s’attarde sur le frein, aspire le membre qui bien entendu s’allonge et grossit sous l’effet de la succion, mais tout en prenant soin de ne pas le décalotter. Anne est vraiment devenue une experte en pipes ! Lorsqu’elle estime que ma queue est suffisamment rigide, elle se tourne vers Alice et la lui montre :
– Il vous convient comme çà, madame ?
– Très bien dit Alice en se retournant en position de levrette. Guidez-le en moi, maintenant.
– Devant ou derrière, madame ?
– Mais que vous êtes bête ! Où m’avez-vous préparée ? Devant ou derrière ?
– Devant ! Excusez-moi, madame, c’était évident !
– Cessez de vous excuser. Allez, allez, introduisez !
Anne caresse la vulve offerte, écarte les lèvres et guide de l’autre main mon sexe tendu, dans la chatte offerte. C’est délicieux, je me laisse faire, Anne tenant toujours mon sexe à la base le fait aller et venir dans le divin écrin. Elle ressort la verge, prenant soin de tirer la peau en avant afin de recouvrir le gland et pénètre à nouveau jusqu’à ce que, mon sexe étant en totale érection, la peau du prépuce bute sur la couronne, le gland étant totalement gonflé. Elle accélère le mouvement, à l’écoute des gémissements d’Alice, jusqu’à l’explosion de l’orgasme. Là, elle retire ma queue et se précipite pour lécher le foutre avant qu’il ne coule plus avant.
– Haaaa ! Cette fois-ci c’était bien ! C’est ce que j’attends de vous, ma petite Anne ! Ne me décevez plus !
– Je vous le promets, madame. Que fais-je de Monsieur, maintenant ?
– Laissez-le reposer un instant. Nous verrons après.
– Après quoi ? Demandé-je.
– Après avoir puni cette demoiselle pour ses manquements, quand elle s’est occupée de moi.
Direction la salle de muscu. Un espalier couvre une partie d’un des murs, Alice entreprend de l’y attacher, bras et jambes écartés. Sa position ne me laisse pas indifférent. Elle est attachée assez haut sur l’espalier, son sexe épilé exposé à nos regards ne masque aucun détail. Le long capuchon saillant, le gland du clitoris qui déborde de son prépuce, les petites lèvres ridées débordant largement les grandes lèvres gonflées, l’entrée du vagin, rose foncée, brillante d’humidité, la petite est excitée ! Alice fixe des pinces à torchons sur les petites lèvres ce qui provoque un léger couinement de son esclave. Elle y accroche des plombs de pêche ; les lèvres sont étirées. Elle fait de même pour les tétons. La mise en place terminée, elle se saisit d’une cravache et commence à la tapoter sur les cuisses accentuant par instants la force des coups, ce qui fait réagir Anne. Les sursauts font bouger les poids qui tirent douloureusement les lèvres et les tétons. Les coups de cravache sont maintenant donnés sur le ventre et les hanches, puis sur les seins pour finir, plus doucement, sur la vulve offerte. Ce qui me surprend, c’est que Anne mouille abondamment ! Cette séance l’excite et m’entraîne dans son plaisir ! Ma verge se tend j’ai des fourmillements qui me parcourent le corps. Alice aussi semble prendre son pied.
– Alors, petite garce, tu feras attention à l’avenir ?
– Oui, madame, c’est promis je m’appliquerai ! Répond Anne.
– Bon, çà va aller pour cette fois ; mais si tu recommence, je te promets que la sanction sera plus forte !
Alice se tourne vers moi et, bien sûr, remarque mon braquemart tendu !
– Hà, hà ! Çà te fais de l’effet, hein ? Vieux salaud !
– Contre toute attente, oui !
– Détaches-la et mets-la à plat ventre sur la planche à abdos, ligotée, les fesses au bord, bien écartées.
Anne se retrouve à nouveau dans une position obscène exposant outre son sexe, son anus légèrement oblong et lisse. Un joli petit trou très habitué à s’en prendre !
– Puisque tu es en forme, encules-la !
– Comme çà, à sec ?
– Bien sûr ! Je veux voir l’effet de ton chibre sur sa rondelle !
J’approche et commence une pénétration en douceur, mais Alice m’arrête.
– Plantes-la ! Allez ! Pas de fioritures !
Alice écarte les deux globes, l’œillet s’entre-ouvre et donc, sans ambages je m’enfile jusqu’aux couilles.
Anne crie sous cette grosse pénétration et se mord la lèvre inférieure. Sur les injonctions d’Alice, je ressors et recommence, plusieurs fois, jusqu’à ce que la rondelle soit bien dilatée et reste béante !
Alice me repousse :
– C’est bon, çà suffit ! Sinon, elle risque de prendre son pied !
Elle détache Anne, la place accroupie devant moi :
– Allez, lèches-le, je veux qu’il soit aussi propre qu’après sa douche.
Anne s’exécute, passe sa langue dans tous les plis. Enfin, Alice la relève et lui retire les pinces.
– Çà va mieux ? Demande Alice.
– Çà va très bien, madame. J’ai bien apprécié la leçon.
– Bon ! Alors nous pouvons passer à table !
Pour le temps du repas, Anne est dispensée de sa condition servile. La conversation portera sur nos vies respectives depuis le nouvel an. Nous lui racontons comment nous avons commencé à dévergonder notre voisine, Marie. La bonne humeur est de mise, nous nous amusons beaucoup.
– En tout cas, je prends mon pied à jouer les esclaves ; je ne suis pas spécialement maso, mais ces jeux, soft, m’excitent beaucoup ! Merci, Alice.
– Pour ma part, j’ai un peu l’impression aussi d’être soumis. Dis-je.
– Et çà te dérange ?
– Non pas du tout ! Tu es une bonne ordinatrice, c’est plutôt très agréable.
– Hé, bien, puisque nous avons terminé le repas, nous allons reprendre ! Mon but, si je dois l’avouer, c’est de faire en sorte qu’Anne soit dans un état de grande excitation, entièrement électrisée, à la limite permanente de l’orgasme, mais sans l’atteindre !
– Et si c’est réussi ?
– Si c’est réussi, alors on te libèrera de toute cette tension !
Nous décidons de continuer en nous servant de certains de nos jouets. Pour commencer, Alice glisse un plug anal de bonne taille dans le cul d’Anne et des boules de geisha devant. Ainsi parée, elle va s’occuper de notre plaisir à Alice et à moi.
Tout commence par une remise en service de nos sexes au moyen de caresses «bucco-manuelles» ! Puis, je m’allonge sur la table basse du salon, Alice me chevauche. Elle s’emballe assez rapidement et m’arrose de foutre en lâchant son deuxième orgasme. Le premier était dû aux habiles coups de langue d’Anne. Mais ce soir, ma femme est déchaînée ; il lui en faut plus ! Elle reste plantée sur moi et Anne s’évertue à lui ramoner le cul au moyen d’un gode. Elle ne résiste pas longtemps à cette double pénétration et se laisse aller une troisième fois.
Histoire de récupérer, elle s’assoit dans un fauteuil.
– Pour le plaisir des yeux, mon chéri, j’aimerai que tu te fasses mettre, toi aussi.
– Que ne ferai-je pour te plaire ! Lancé-je.
Je me mets à quatre pattes, fesses tournées vers elle. Anne enfile un gode ceinture et après m’avoir préparé la rondelle avec du gel, m’enfile ! D’abord avec de longues et lentes pénétrations, puis, petit à petit, raccourcissant l’ampleur de ses mouvements de reins, elle accélère. Alice, devant la vision de cette sodomie, mes couilles et ma queue ramollies battant entre mes cuisses, ne peut s’empêcher de se caresser.
– Tu m’excite, mon salaud ! J’adore te voir te faire mettre !
– Et moi, j’aime bien me faire ramoner !
– Attendez, Anne. Vous allez nous défoncer en même temps !
– Bien, madame !
Anne saisit un double dong et, nous positionnons dos à dos, l’enfile dans nos anus, le faisant coulisser de l’un à l’autre.
Il ne nous faut pas cinq minutes pour entendre à nouveau Alice crier son plaisir.
Devant cette longue séance de pénétrations multiples, Anne se trouve dans un état proche de la transe, d’autant que les boules de geisha font également leur effet. Elle n’en peut plus la pauvre, totalement électrisée, parcourue de frissons qui lui donnent la chair de poule. Il ne faudra pas grand chose pour qu’elle explose, Alice le sait et la place, à genoux sur le canapé. Elle s’empare de ma queue ramollie, la remet en forme et l’introduit dans la fente détrempée. Je n’ai effectivement pas longtemps à bouger pour que, dans un long feulement, elle exprime un orgasme énorme, lâchant toute la tension retenue depuis le début de la soirée. Son foutre est d’une abondance jamais atteinte ! Alice s’en délecte et en récupère pour enduire l’autre orifice qui ne demande qu’à être comblé. Elle me reprend le membre à pleine main et place mon gland devant le l’entrée étroite. Je glisse avec délectation dans le conduit et ne peux m’empêcher de balancer de grands coups de reins. Mes couilles claquent sur la vulve d’Anne qui creuse les reins, rejette la tête en arrière et crie son plaisir trop longtemps contenu.
Moi non plus je ne peux plus contenir quoi que ce soit et j’explose au fond du cul dilaté. Je me retire et recule m’avachir dans un fauteuil, mes jambes ne me soutiennent plus !
Alice regarde le trou béant, guette le sperme qui ressort et le récupère à petits coups de langue.
Rompus mais ravis, nous montons nous coucher ensemble, sans demander notre reste !