Le cul de Stéphanie par Sylvain_Zerberg
RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES
6 heures du matin ! Enfin le programme se mit de nouveau à fonctionner !
– Je n’y croyais pas ! Me dit Stéphanie
– Moi non plus !
– Ça mérite une bise !
Elle me la fit, mais chastement, Stéphanie n’est qu’une collègue, elle n’a pas l’air farouche mais je n’ai jamais tenté quoique ce soit, sans doute parce que l’occasion ne s’était jamais présentée. Cette panne informatique nous réunissait tous les deux pour la première fois…
Stéphanie était une fille de 25 ans, environ 1 m 70, châtain, les yeux verts, elle avait une poitrine magnifique en forme de pomme (95 C), mais ce qui me plaisait le plus chez elle c’était son gros cul, elle avait deux fesses bien rondes et fermes, Elle était habillée aujourd’hui d’une jupe assez courte et d’un chemisier avec un beau décolleté.
Ça faisait 15 heures qu’on essayait de réparer ce fichu machin, un plantage définitif aurait été catastrophique pour la société qui m’employait, mais sans doute aussi pour moi.
Rien dans le ventre, juste un peu de liquide, complètement crevés ! Il nous fallait malgré tout attendre l’arrivée de la première équipe pour leur passer quelques consignes qui nous paraissaient hasardeux de ne le laisser que par écrit… Encore deux heures à tirer et après dodo…
– J’ai mal partout ! Me confia Stéphanie.
– Tu veux un massage ?
– Tu sais faire ça ?
– J’ai des mains de fées, tu sais !
Je commençais par lui frotter le dos, elle en position assise, après quelques minutes de ce massage, elle se décontractait tout en fermant les yeux. De ma place, j’avais une vue plongeante dans son décolleté
– Je te masse devant ?
– T’as pas peur de prendre une baffe ?
– Si un peu ! Alors je le fais ou pas, ça te ferait du bien !
– Obsédé ! Se contenta-t-elle de répondre avec un curieux sourire.
Elle n’avait pas dit « non », alors mes mains descendirent vers son décolleté et je commençais à lui peloter les seins à travers le soutien-gorge, elle se laissa faire, et ne dit rien quand je fis sauter les bonnets pour attraper plus facilement ses gros tétons. Elle poussa un râle, ouvrit les yeux, leva son visage et me fixa avec un grand sourire, puis elle se leva et m’embrassa langoureusement. Je lui massai alors les fesses, passa une main sous sa jupe et je lui caressai sa chatte, la trouvant si mouillé que sa culotte était d’ores et déjà bien trempée.
Elle mit sa main sur ma bite qui était tendue à l’extrême, dégrafa mon jeans qui chuta sur mes chevilles, sortit ma queue de mon caleçon, et me masturba avec tendresse, elle se mit à genoux puis me suça. Elle joua avec mon gland et mes couilles pendant cinq bonnes minutes, elle me lécha, m’aspira les testicules. Je lui dis que j’allais jouir, pensant qu’elle allait se retirer, elle accéléra le mouvement et j’éjaculai de longs jets de sperme dans sa bouche, elle continua de me sucer pour me nettoyer. Je la pris par la taille, la posa sur le bureau, relevai sa jupe, enlevai son string et lui mangea la chatte, elle dégageait une odeur forte qui m’enivrait. Je lui titillai le clitoris, le mordit, le suçota, je lui mis deux doigts dans son vagin bien lubrifié, faisant des va-et-vient tout en lui jouant avec son clito, elle ne put se retenir de jouir comme une folle, me dégoulinant le visage de son miel.
Je l’ai pénétré d’un coup, elle gémissait à chaque coup de rein que je donnais, elle ne put empêcher son corps d’onduler sous la jouissance qu’elle ressentait, en même temps, je lui malaxais les seins dont les tétons se dressaient fièrement.
Je décidai de la retourner et de satisfaire son petit trou du cul.
– Arrête, ça ne doit pas être très propre par-là ! Me dit-elle.
– Il n’y a rien de sale en amour ! Répondis-je, agitant ma langue à l’entrée de son anus et découvrant effectivement un goût légèrement acre.
Je la pénétrais d’un doigt, elle poussa des petits cris appréciant manifestement la chose.
– Mets-moi un deuxième doigt, mais mouille-le bien !
Je ressortis alors celui qui s’activait, le trouvant bien pollué !
– Il est comment ton doigt ?
– Il est un peu marron !
– Ça va ? Ça ne te dégoûte pas ? Demanda-t-elle.
– Pas du tout, ça aurait plutôt tendance à m’exciter.
– Gros cochon ! Lèche, alors !
Je le fis sans problème, le goût n’était pas si désagréable que ça !
– Tu aimes ça lécher ma merde, hein salaud ?
– C’est vrai que c’est excitant !
– Humm, fallait me le dire que tu avais des goûts comme ça, on aurait pu s’amuser…
– C’est que ce n’est pas facile à placer dans la conversation…
– Bon alors il vient ce deuxième doigt ?
Je lui enfonçais ainsi un second, puis un troisième doigt dans l’anus, puis n’y tenant plus je me saisis d’une capote, je mis mon gland à l’entrée et poussa d’un coup sec, elle se crispa sous la conjugaison de douleur et du plaisir. Après plusieurs minutes de ce travail, je sentis la jouissance monter en moi, elle savait que j’allais éjaculer, je ne pus me retenir plus longtemps, je déchargeais dans son cul, puis me dégageais, retirant la capote maculée de merde !
– Tu m’as bien enculé mon salaud, mais maintenant, je crois que j’ai envie de faire un beau caca, ça t’intéresse ?
– Hummm, bien sûr que ça m’intéresse !
– Bon alors viens on va s’enfermer dans les toilettes, ça nous évitera d’en foutre partout, et puis on sait jamais si quelqu’un avait l’idée de venir en avance…
Aux toilettes, elle me fit me déshabiller.
– Voilà je vais m’accroupir au-dessus de ton visage et je vais commencer par pisser, on fera le reste après ! Allez, ouvre bien la bouche, tu vas voir comme elle est bonne ma bonne pisse bien chaude, ma bonne petite pisse de salope !
Cette ambiance dingue me faisait déjà rebander, je me retrouvais avec son sexe odorant à quelques centimètres de ma bouche, je l’ouvris, avala les premières gouttes, mais le reste déborda, Stéphanie éclata de rire.
– C’était bon !
– Délicieux !
– Bon maintenant on va passer aux choses sérieuses ! Lèche-moi un peu le trou du cul, j’adore !
Je le fis, c’était de plus en plus âcre, mais aussi de plus en plus excitant… Un moment elle péta, ce qui la fit éclater de rire.
– Allez je pousse, n’enlève pas ta langue !
Je n’avais jamais été jusque-là, j’appréhendais un peu, mais j’étais pris à mon propre piège. Après tout c’est moi qui avait commencé, l’anus s’élargit, une masse brune apparut en son centre, je continuais à lécher, puis l’étron se faufila à l’extérieur à toute vitesse pour finir par dégringoler sur mon visage, j’en avais sur les lèvres, je léchais un peu. Je croyais l’affaire terminée quand un second étron rejoignit le premier.
– Tu apprécies, j’espère ! Demanda-t-elle !
– Regarde comme je bande !
– C’est vrai qu’elle a l’air en forme ta bite… Tu en verras beaucoup des nanas qui te font des beaux cacas comme ça ? Mais maintenant tu me nettoies avec ta langue, c’est quand même plus agréable qu’un papier à cul non ?
J’étais tellement excité que je ne réfléchissais plus, je lui nettoyais le pourtour de l’anus comme si j’avais fait ça toute ma vie. Je finis par me relever après m’être débarrassé difficilement des matières accumulées sur mon visage qui s’acharnaient à laisser des traces !
– Il nous faudrait une douche !
– On ira la prendre chez moi me lança Stéphanie… Quel trip, allez viens m’embrasser !
Drôle de baiser puisque je ne m’étais même pas rincé la bouche de l’urine avalée et de la merde léchée, mais quelle excitation et en ce qui la concernait l’affaire avait l’air de l’émoustiller un maximum. Elle se mit à me contourner et à me peloter les fesses, quelques trop brefs instants, elle m’introduit à son tour un doigt dans l’anus !
– Tu sais que tu as des petites miches de pédé ! J’ai bien envie de te présenter à mon copain pour qu’il t’encule… ça te dirais ?
J’ai dû lui répondre que pour l’instant j’avais plus envie d’aller faire un gros dodo qu’autre chose, mais une petite voix intérieure, sans doute un petit diable, me soufflait coquinement « pourquoi pas ? »
© Sylvain Zerberg
Texte réintroduit en 2004 dans sa version non censurée.
J’ai adoré ton histoire!
Moi aussi, j’aime les gros cacas bien durs… On dirait une sodomie à l’envers!
Continue, chéri !
Bisous.
J’aimerais bien avoir une collègue comme Stéphanie. Pas facile de trouver des partenaires qui partagent ce fantasme
J’ai connu une situation telle qu’elle est décrite au début du récit. je vous assure qu’à 6 heures du matin après une nuit de stress sans sommeil, j’avais plus envie de me pieuter que faire une partie de jambes en l’air.
Le récit, cette invraisemblance mise à part aurait été bien si l’auteur n’avait pas eu l’idée de nous imposer ses fantasmes scato
C’est indiqué tout en haut du texte qu’il contient de la scato ! Vous n’aviez pas vu ? 😉
Un peu rapide, mais ça se lit bien pourvu qu’on soit un peu branché sur ce genre de fantasmes