Le clos doré
5 – La révélation
par Choidanladate
Au petit matin je me réveillais dans les bras de Jacqueline, l’odeur forte de la veille planait encore dans la chambre. Je me levais et alla directement sous la douche, puis je préparais le petit déjeuner espérant réveiller ma maîtresse avec l’odeur du café et du pain grillé. Il faisait un beau soleil sans nuage et devant ma tasse de café je repensais à mon aventure d’hier après midi quand j’entendis Jacqueline émerger. Elle alla comme moi directement sous la douche, puis arriva belle et rayonnante pour prendre son petit déjeuner.
– Bonjour ma belle (me dit-elle)
– Bonjour, tu as bien dormie ?
– Oui superbement bien et toi ?
– Oui très bien… à tes côtés…
– Je boirais bien un thé avec deux tartines…
– Mais cela va être un plaisir de servir madame…
Juste avant de la servir je m’approchais d’elle pour lui donner un baiser sur la bouche comme si c’était mon compagnon. Elle me sourit en posant sa main sous ma robe de chambre pour atteindre mon sexe. Elle fit glisser son majeur sur ma vulve déjà toute humide, puis le porta sur ses lèvres en me regardant dans les yeux.
– Tu es insatiable…
– Non je t’aime…
Après cette pause petit déjeuner nous nous séparâmes pour vaquer à nos occupations. Je ne cessais de penser à Jacqueline, j’en étais même à me demander si je ne devenais pas complètement lesbienne… Il est clair que l’absence de Jean-François n’arrangeait en rien mes pensées… voir les facilitaient…
Je décidais d’aller en parler à Jacqueline sur-le-champ. Arrivée devant chez elle, la porte était entre ouverte, elle était au téléphone et je l’entendais parler :
– Oui elle est prête, tu ne seras pas déçu !
Jacqueline se retourna machinalement vers moi et fut surprise de me voir, elle écourta sa conversation et avait l’air plutôt fâchée.
– Cela fait longtemps que tu écoutes ma conversation ??
– Heu non je venais juste d’arriver
– Que veux-tu ? Me dit-elle d’un ton sec
– Il faut que je te parle de quelque chose…
– Je n’ais pas le temps !!
– S’il te plait….
– Tu es terrible
– Je n’en peu plus, il faut que tu saches…
– Quoi !!
– Je suis amoureuse de toi !
Jacqueline eut un temps d’arrêt, et ne put s’empêcher de réfuter mes avances en m’expliquant que tous cela n’était que du plaisir sexuel. Mais je sentais bien que quelque chose l’embêtait, elle avait l’air troublée et c’étais la première fois que je la voyais autant ce « débattre » alors que d’ordinaire elle m’aurait balayée en deux temps, trois mouvements et renvoyée dans mes pénates…
– Je te trouble…
– Non ! D’ailleurs cet après midi je veux que tu viennes me voir à la grange !
– Et si je ne voulais que du sexe… être ton esclave… (Je n’étais pas très rassurée car si elle décidait de ne plus me voir j’en souffrirais encore plus…)
– Tu seras punie pour ça !!
– Hum hum cela montre de l’intérêt…
– Je te prépare une belle surprise ma chérie…
– Waouh en quel honneur ?
– Tu verras, sois prête vers 15h
– Ok…maîtresse
Je repartie toute gaie, car je savais qu’elle n’était pas restée insensible à mes avances et sans doute qu’elle voulait y réfléchir toute seule avant de me donner une réponse plus tard.
La matinée fut longue en attendant le rendez-vous… j’ai maintenu la pression sexuelle en me caressant sans jamais me faire jouir et c’est excitée comme une chienne en chaleur, la chatte complètement trempée que je suis allée chez Jacqueline.
– Toc Toc Toc
– Attend dehors j’arrive
Elle descendit rapidement. Comme elle est belle habillée dans sa robe noire moulante et fendue jusqu’au haut de ces cuisses ! Elle attrapa ma chevelure et m’embrassa fiévreusement, tournoyant sa langue fraîche et baveuse dans ma bouche. Je m’embrasais fiévreusement, mes mains parcouraient son corps et je pouvais presque sentir son cœur au bout de mes doigts.
– Viens on va dans la grange…
– Hum oui Maîtresse
– Je vais t’attacher et te bander les yeux, tu es d’accord ??
– OUIII j’adore tes jeux…
Elle me banda les yeux et m’attacha les mains dans le dos puis me mit un collier autour du cou, relié à une lanière en cuir.
– Tu veux jouir comme hier petite salope ??
– Oh oui maîtresse…
– J’ai convié à ma petite fête une cinquantaine de personnes! Mais nous avons en plus un invité d’honneur…
– Comment est-il ?
– Je pense qu’il te plaira, mais je ne t’en dis pas plus car c’est une surprise.
– Bien maîtresse.
Arrivés à la grange, Jacqueline m’attacha à une grosse poutre en bois située au milieu de celle-ci…
– Tu vas rester là un petit moment, car tu seras le clou du spectacle.
– Oui maîtresse
– Tout le monde pourra venir te toucher, te tripoter et faire ce qu’il à envie, en revanche, tu ne devras pas dire un mot aux personnes qui t’accosteront sauf si tu as soif ! C’est bien compris !
– Oui maîtresse
– Ecarte tes cuisses !! Je veux que l’on puisse user de toi sans difficulté. Tu vas jouir ma chérie, je te le promets…
Jacqueline s’en alla, et me voilà offerte comme une esclave sur la place publique, j’entendais des râles de tous les cotés, des femmes rigolaient à pleine bouche.
Imaginez-vous à ma place… Complètement nue, les yeux bandés, attachée à une poutre avec plein de monde autour de vous sans pouvoir les voir… Seulement les entendre et attendre qu’ils viennent vous utiliser à leur gré…
J’entendais des pas s’approcher, des mains venaient palper mon corps, des doigts pinçaient mes tétons. Je sentis une baguette tapoter le long de mes cuisses pour finir sa course sur mon sexe. Une bouche téta mes mamelons et une langue parcourut mon cou, je sentais ma chatte qui dégoulinait au fur et à mesure des caresses que l’on me prodiguait.
J’entendais leurs commentaires :
– Quel belle esclave ! Oui une belle pouliche
– Regardez là… elle ruisselle de plaisir…
Puis les gestes devenaient de plus en plus précis, une femme enfonça ses doigts dans ma chatte et me chuchota à l’oreille « alors petite esclave tu prends ton pied avec mes doigts?? » Je ne devais pas répondre mais l’inconnue savait y faire. Je m’enfonçais fortement sur sa main pour lui montrer que cela me plaisait, puis je sentis un claque sur mes fesses qui me fit sursautée et j’entendis une voie d’homme :
– Cambre-toi esclave… que je te fourre avec ma grosse queue !
Il mit du mou à mes liens pour que je puisse m’exécuter et m’enfila d’un coup sec. Je ne pu m’empêcher de lâcher un soupir de plaisir. Un autre attrapa ma tête et enfonça sa bite dans ma bouche pour que je la suce. Ils ne se gênaient pas pour gicler là où ils se trouvaient, mon cul ne tarda pas à être introduit sans ménagement. Pourtant traitée comme une vulgaire capote, je me transformais en pile électrique à chaque décharge de semence. Je me faisais prendre et reprendre par tous les trous au fur et à mesure des passages de mes inconnus, prise par-devant et par derrière avec la satisfaction de me donner un nouvel orgasme à chaque pénétration. Ils me pelotaient comme si j’étais leur boule anti-stress, j’étais pleine de leur foutre, cela ne cessait de couler le long de mes cuisses. Une femme s’approcha de moi et me dit :
– Accroupie toi et fais sortir le jus d’homme que tu as dans ton cul
– Regardez-moi cette esclave comme elle est pleine…
Je poussais le plus possible pour éjecter la semence en moi, elle devait sans doute avoir un récipient pour récupérer le jus car je les entendais dire :
– Mais il va en falloir un autre tellement ils l’ont remplie…
– Hum humm mm je forçais comme une mule
– C’est bien ma chérie, je vais te rincer maintenant…
Je sentis un jet chaud sur mon visage, puis un autre sur mes fesses, la femme était en train de me pisser dessus et sans doute qu’une autre ou un autre en faisait de même sur mon cul.
– Ouvre grand ta bouche ! Me dit-elle
– Ahhh
– Bien, maintenant avale mon champagne esclave !!
J’étais en transe et j’avalais avec délectation le jus de cette femme, le jet sur mes fesses s’arrêta et fut remplacé par un gros calibre directement dans ma chatte, j’ai cru m’évanouir en sentant l’engin me remplir. J’étais pénétrée par il me semble un gros gode surdimensionné, la femme s’essuya bien contre mon visage et leur dit :
– Vous pouvez continuer notre esclave est vidée et nettoyée…
J’étais honteuse de réaliser qu’elle avait raison…, mais l’excitation était plus forte. Mon clitoris et mes seins étaient gonflés à bloc et mon cul ouvert réclame son dû, je voulais qu’ils me baisent tous et toutes, je voulais jouir de leurs perversités mais surtout que je sois leurs reines de plaisir.
Je ne sais pas combien il y avait de personne autour de moi mais ce qui était sûr, c’est que je n’étais pas la seule à se faire baiser car les gémissements me venaient de tout horizon.
Et cela recommença de plus belle, je me faisais à nouveaux remplir par tous les trous comme une outre et n’en pouvant plus me retenir de crier de jouissance, je désobéis à Jacqueline en incitant mes assaillants à y aller encore plus fort car la chienne qui était en moi avait faim de coup de queue et de leurs semences…
– Allez-y baisez moi…DEFONCEZ MOI LE CUL…
Et là comme par magie, je sentais la chaleur des corps s’amplifier, leurs allées et venues s’accélérer comme si ma voix avait lancé le départ d’une course pour me remplir de leur jus. Je ne saurais dire combien se sont vidé les couilles dans mon con et mon cul mais ce qui est sur c’est qu’a chaque pénétration j’entendais un « flouch flouch ».
D’un coup une voie lança :
– ARRETEZ VOUS !
Un silence de plomb vint en un instant.
– METTEZ-LUI UNE CULOTE !
Cette voix ne m’était pas inconnue, mais je n’arrivais pas à y mettre un nom. Je sentis que l’on me mettait une culotte en latex qui moulait bien mes formes pour que je reste remplie de leurs semences.
– La surprise arrive ma belle…
C’était Jacqueline qui me l’avait mise en se frottant sur moi, cela me rendit encore plus heureuse quand je remarquais qu’elle en portait une aussi.
– Tu es fière de moi ??
– Oui ma belle…
– Que va-t-il se passer ???
– Ne sois pas impatiente… As-tu soif ??
– Heu oui
– De l’eau ?
– Du thé c’est possible ??
– Oui tu l’as méritée ma chérie.
Elle détacha mes liens et tira sur ma laisse pour que je la suive les yeux encore bandés.
– On va où ?
– Dans la maison… que tu te reposes 5 minutes et que tu boives ton thé.
– Je t’aime Jacqueline…
– Je sais ma belle, mais attend la fin de la soirée avant de…
– Quoi, je ne comprends pas…
– Laisse tomber, tu comprendras plus tard…
– Assied toi !
– Voilà c’est du thé froid
– Merci maîtresse
– Je veux que tu boives tout !
– Oui oui bien sûr
– Il y en à 3 litres !
– Mais je ne suis pas un chameau…
– Bois quand même !
Au bout d’une demi-heure j’avais bu un peu plus de deux litres…
– Alors ma belle ?
– Ben c’est dur
– Force-toi !!
– Je veux bien mais ma vessie ne va pas tenir…
– Qu’est-ce que tu peux être naïve !
– Tu n’aimes pas ??
– Si… mais… allez ont y retourne…
Aussitôt mon breuvage avalé que Jacqueline me guidait de nouveau vers la grange, on entendait des rires et encore des gémissements. Cette pause n’avait pas vraiment atténuée mon envie bestiale de sexe. Arrivée devant la porte, une grosse voix demanda que l’on me retire le bandeau que j’avais sur les yeux. Ce que fit Jacqueline. La lumière m’éblouissait, je voyais des ombres partout dans la grange, des corps enlacés, des femmes à quatre pattes à même le sol tenues en laisse me faisaient comme une haie d’honneur.
– Approche-toi
– Jacqueline me poussa pour que j’avance
– Non, je veux te voir avancer comme une chienne… A quatre pattes
Je regardais Jacqueline qui me fit un signe de la tête pour que je m’exécute.
– Bien ! Maintenant avance vers moi
Encore un peu aveuglée, j’avançais en zigzaguant. Je sentais le foutre voyager dans ma culotte en latex et cette sensation recommençait à m’exciter.
– ARRETE TOI
– JACQUELINE VIEN ICI !
Je la regardais s’approcher d’une espèce de grande table basse, tout près de l’homme qui donnait des ordres. Je n’arrivais pas à voir qui cela pouvait être car il était derrière un gros spot lumineux.
– ALLONGE-TOI DESSUS ET OUVRE BIEN LA BOUCHE
– Bien Monsieur
– JE TE RECOMPENSE POUR AVOIR EDUQUER NOTRE ESCLAVE
– Merci Maître
– AMMENEZ LA SUR LA TABLE
Deux hommes m’attrapèrent et m’installèrent accroupie au-dessus du visage de Jacqueline, puis ils découpèrent ma culotte en prenant soin de mettre mes mains devant mes orifices.
– MAINTIENT LES BIEN FORT, JE NE VEUX PAS QUE TU LES RETIRE AVANT QUE JE TE LE DISE…. M’CI
J’étais stupéfaite, cet homme connaissait mon petit nom. Mais le thé commençait à faire son effet et cela rajoutée à ma position accroupie je sentais que je n’allais pas tenir longtemps avant que cela inonde le visage de Jacqueline. Déjà que je sentais que le sperme qui s’échappait de mon sexe et de mon cul passer entre mes doigts… A coté de nous deux femmes qui portaient une vasque chacune, remplie d’un liquide épais. Je suppose que c’était la récolte des jus qui étaient en moi auparavant et certainement dans d’autre femme…
– MESDAMES, MESSIEUX JE VAIS VOUS PRESENTER CETTE NOUVELLE ESCLAVE.
– ELLE SE NOME M’CI ET VIENT DE PARIS.
– BOURGEOISE … ET TRES COINCEE…
La salle se mit à rire.
– Elle à bien changée cria un homme dans la foule
Je ne savais pas quoi faire, ni que dire car cet homme me connaissait vraiment bien, la lumière aveuglante commençait à s’estomper et d’un coup je reconnaissais JEAN-FRANCOIS. Instinctivement je retirais mes mains de mes orifices pour les porter devant mes yeux honteuse de me montrer comme cela devant mon compagnon, oubliant complètement que j’allais me vider sur le visage de Jacqueline.
– Tu as honte M’CI
– Oui Jean-François…Pourquoi fais-tu cela ?
– Parce que je sentais que tu étais une vraie chienne de plaisir… Et que tu ne me l’aurais jamais montré si je te l’avais demandé… Alors qu’avec Jacqueline…
En quelques secondes j’avais complètement oubliée qu’elle était en dessous de moi, mais je repris rapidement mes esprits car je sentais le sperme s’échapper de mon sexe. Je baissais la tête pour la regarder, son visage était maculé de ma récolte, elle sortait sa langue pour ne pas en perdre une goutte comme une chatte qui nettoie ses babines pleines de crème.
Je lui chuchotai :
– Je vais tout lâcher pour toi, car malgré ce que tu m’as fait… je t’aime…
– Vas y vide-toi sur ta maîtresse M’CI me dit Jean-François
Je me suis mise à le regarder dans les yeux et en même temps j’expulsais le foutre de tous mes orifices, le spectacle était très apprécié au vu des queues qui commençaient à se redresser. Jacqueline s’agrippa à mes hanches pour me nettoyer, me léchant profondément, pointant sa langue dans mon sexe dégoulinant de foutre puis s’attardant sur ma rondelle qui s’ouvrait mécaniquement à ces douces caresses laissant s’échapper de mon cul des flots épais de jus d’homme. Jean-François se faisait sucer par une superbe blonde en me regardant me vider sur Jacqueline, je n’étais pas jalouse car ce salaud m’avait fait découvrir le plaisir sexuel et surtout Jacqueline… L’une des femmes qui portait un masque le renversa sur mon visage, laissant le sperme couler sur tout mon corps, sur mes seins en direction de mon bas ventre pour finir sur ma maîtresse.
Il tapa dans ses mains et tout le monde s’approcha de nous pour nous caresser, les uns étalant le foutre sur tout le corps de ma maîtresse, les autres fouillaient mon intimité pour récupérer ce qui n’était pas encore sortie pour me le mettre en bouche. En regardant autour de la table, l’orgie avait reprit un peu partout, les queues c’étaient redressés pour honorer toutes les chiennes en chaleur qui c’étaient mise à me caresser.
Jean-François arriva enfin prêt de moi sa queue bien raide et il m’embrassa.
La femme qui le suçait l’avait suivie et elle se mit à le masturber devant moi. N’y tenant plus, je me suis baissée pour le prendre en bouche, je le suçais avec délectation jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche. Jacqueline était toujours en train de me fouiller avec sa langue et déclenchait mes orgasmes comme elle le désirait. J’étais comblée de plaisir, comment je ne pouvais pas l’être…, j’étais libre de tous mes plaisirs devant mon compagnon et je savais qu’il ne me jugerait pas ma conduite. Ma vessie me rappela qu’il fallait que je vidange car sinon elle allait éclater et je demanda la permission.
– Jean-François j’ai envie de faire pipi…
– Mais fais, vas-y ! Jacqueline adore ça et d’ailleurs elle n’attend que ça cette salope !
Et là sans plus aucune retenue, j’ai relevée mon bassin, j’ai regardée Jacqueline dans les yeux et je lui ais dit :
– CHAMPAGNE MAITRESSE…
Mon jet est venu directement dans sa bouche grande ouverte, puis d’autres femmes sont venues entre mes cuisses pour s’abreuver de mon urine, j’ai cru que jamais je n’allais m’arrêter de pisser tellement le jet restait droit et puissant. Certain en profitait pour me mettre leurs doigts dans mon cul, ce qui coupait le jet immédiatement, mais cela revenait de plus belle. A peine ais-je fini de faire pipi que Jean-François me fit me relever pour prendre la place de Jacqueline et elle ma place.
– C’est à ton tour de me brouter ma chérie…
– Humm tu es vraiment perverse
– Oui et c’est pour cela que tu m’aimes !
Déchirant sa culotte de latex comme moi auparavant, elle se vida sur mon visage, éjectant tout d’un bloc. Elle prit la tête de la blonde pour qu’elle vienne lécher mon visage souillé par Jacqueline. Ce qu’elle fit avec délectation je dois le dire. Elle prit le deuxième vasque et ce le vida elle même sur sa poitrine, inondant par la même occasion la blondasse.
Enfin après un nettoyage bien appliqué de sa part, la maintenant fermement par la nuque elle lui pissa dessus. Le spectacle… de mon point de vue, me rendait heureuse, son jus coulait aussi sur mon visage et cette femme s’empressa de venir boire directement dans ma bouche, plongeant sa langue langoureusement comme si elle me léchait la chatte, ce qui me procura un nouvel orgasme violent.
La soirée se termina en hurlement de jouissance de notre part car Jacqueline et moi-même avons eu l’honneur d’être baisée l’une à cotée de l’autre, sodomisée à tour de rôle par tous les mâles encore vaillants puis tellement que nous étions ouverte au plaisir des profondeurs, que les quatre derniers qui n’avaient pas goûtés à notre « hospitalité » se sont permis de venir nous enfoncer par deux, leurs pieux énorme dans notre cul respectif.
Le premier enfonça juste le bout de son sexe frayant le passage au deuxième à chacune de nous, puis doucement ils ont commencé un va et vient infernal tout en douceur et de plus en plus vite. Les jalouses qui nous mataient ont même aider nos pointeurs en crachant sur nos rondelles et en écartant au maximum nos fesses pour qu’il puisse aller au plus profond de notre fondement. Ce qui tous cela mélangé nous a fait hurler de jouissance juste avant de nous effondrer sur le sol épuisée de plaisir, les jambes tremblantes et nos cul dégoulinants du foutre de tous nos assaillants. Nous avons eut quand même la force de rentrer, Jacqueline et moi en titubant, tellement nous ne sentions plus notre arrière train. Nous sommes allée dormir encore une fois enlacée l’une dans l’autre sentant le sperme à plein nez. Jean-François est resté sur place avec la blonde qui l’accompagnait car elle n’a pas arrêtée de le traire de toute la soirée à son grand bonheur.
Après quelques mois de cette méga orgie, j’ai quittée Jean-François pour vivre avec Jacqueline. Certes nous participons encore à de grande partie SM tout en croisant parfois Jean-François, mais la vraie révélation n’étais pas que j’aime le sexe mais que :
J’aime les femmes ! et surtout ma maîtresse : JACQUELINE
FIN
Bises à toutes et tous…
choidanladate21@hotmail.fr
Le chapitre de trop !
L’idée de faire revenir Jean-François pouvait à la limite être exploité mais pas de cette façon !
Quel festival, j’ai maintenant la bite comme un gourdin
Très chaud et très humide. j’ai apprécié