Le clos doré par Choidanladate
4- L’orgie
Jacqueline m’avait complètement transformée, j’étais devenue un volcan prêt à exploser et surtout sans me retenir… J’étais devenue sa femelle lubrique exécutant ses ordres sans concessions. Je venais de lui demander comme une chienne en rut d’être baisée par cet homme que je venais de rencontrer il n’y à pas une heure. J’étais là, à quatre pattes, pataugeant dans mon pipi, mon cul offert à cet inconnu, les doigts de ma maîtresse en bouche, ne pensant qu’à une chose :
Etre pénétrée sans ménagement…
Patrick se leva et Jacqueline dirigea ma tête vers sa queue trempée par mon urine pour que je l’embouche. Je lui prodiguais de grand coup de langue tout le long de son sexe comme on lèche une glace en plein été qui coule par la chaleur sur long du cornet. Dégustant avec un immense plaisir ce pieux souillé, j’étais fière de ma prestation et je savais que Jacqueline me récompenserait pour m’être complètement abandonnée.
– Relève toi ma belle ! Me dit ma maîtresse
En me levant je la remerciais, elle me fit un clin d’œil et me guida vers la sortie pour remonter vers le bar.
– Est tu prêtes à continuer ?
– Oui, j’ai le feu aux fesses
– Ce n’est pas une réponse ça !
– Pardon maîtresse…Je suis prête à vous obéir …
– Bien, alors nous allons voir si tu l’es vraiment…
Je connaissais bien cette intonation de voix et je savais que ma jouissance allait être longue et violente… Nous retrouvions les couples que nous avions laissés à notre table avant notre visite touristique… Je m’aperçu qu’ils avaient échangé leurs partenaires, et que les esprits étaient bien chauds au vu de la déformation des pantalons de ces messieurs…
– Et bien vous en avez mis du temps pour vous faire belle !!!
– Il y avait du monde dans les toilettes… répondit Jacqueline
– Vous êtes sur qu’il n’y avait rien d’autre ??
– L’essentiel c’est d’être revenue non ?
– Oui effectivement…ont étaient impatients
En baissant mes yeux pour éviter leurs regards, je remarquais que l’une des compagnes avait mit sa main dans le pantalon de son voisin, et celui-ci m’invita à s’asseoir sur ces genoux…
– Cela ne vous gêne pas j’espère, moi c’est Paul
– Non si cela ne gène pas votre amie ??
– Absolument pas… Je dirais même au contraire… me fit-il avec un grand sourire.
Je recommençais à avoir chaud, mais je me sens bien avec la vue sur Jacqueline souriante. Ayant décalé ces genoux je me retrouve les deux cuisses écartées avec vue panoramique sur mon sexe pour celui qui voulait voir, j’aurais eu un panneau « baisez-moi » à la main ça n’aurait pas eu plus d’effet. Sa main droite sur ma taille et l’autre sur ma fesse gauche qu’il caressait doucement, je sentais des petits frissons me parcourir le corps.
– Vous avez une poitrine superbe
– Merci
Je rougis un peu et j’entrepris de remettre correctement mon chemisier mais avant que j’aie pu mettre la main dessus, Paul me précède et passe la sienne.
– Laissez je vais vous aider
– Euh… beu
Directement il se met à me caresser les seins et délicatement et titille même la pointe.
– Ne soyez pas timide, vous avez des seins magnifiques
– Mais c’est que…
– Vous devriez les laisser respirer…
Et d’un coup de main agile il dégrafa mon chemisier pour les faire sortir, je regardais vers la direction de Jacqueline était allé derrière le bar et qui à mon grand étonnement avait les seins à l’air et semblait gigoter comme si elle se faisait prendre en levrette… ??. Paul commençait par me faire de petits bisous dans le cou puis me mordillait le lobe de mon oreille. Je sentais le va-et-vient de la main de Sandrine derrière mes fesses, je tournais ma tête vers elle et je la voyais les yeux pétillants de désir…
– Profitez du plaisir ! Me dit-elle en me faisant un clin d’œil.
Je sentis la main de Paul qui me caressait de nouveau la fesse mais sous ma jupe cette fois-ci, et il l’a releva bien de façon à dévoiler ainsi mon intimité et les trois autres ne se gênaient pas pour regarder mon minou avec insistance. Cette impudeur de ma part, intérieurement m’excitait et je sentais une douce chaleur envahir à nouveau mon bas ventre.
– N’est-ce pas qu’elle est belle ? Indiqua Sandrine à ses compagnons
– C’est sûr » répondent ils en cœur.
Je sentis sa main descendre de ma poitrine pour venir pétrir mon sexe trempé, j’écarte machinalement les cuisses afin de lui faciliter la tache. Il passe lentement son doigt entre mes deux lèvres mouillées et caresse mon clitoris, ne pouvant plus résister, je me laisse aller en m’appuyant contre son torse en fermant les yeux. Une main vient à nouveau caresser un téton, j’entrouvre les yeux et vois le plus jeune de la troupe à coté de moi, il enlève directement mon chemisier et pétrit ma poitrine avec ces deux mains.
Paul m’embrasse à pleine bouche, un autre larron s’agenouille devant moi et commence à me brouter le minou avec vigueur. Sa langue explore l’entrée de mon intimité complètement trempée en mordillant mon clitoris tout en caressant et humidifiant mon anus. La main de Sandrine avait quitté la queue de Paul pour mon sexe, écartant ainsi mes grande lèvres au maximum aidant mon broute minou à s’exécuter.
– Oh oh pardon …j’ai envie… d’aller au petit coin !
Ces paroles à peine terminées, le brouteur de minou se retire, Paul me soulève un peu et Sandrine ajuste son sexe à l’entrée du mien et il me relâche en m’enfilant d’un seul coup. Je sens son gros membre chaud m’envahir et je lâche un râle de plaisir.
– Ohh oui comme elle me remplie bien…
J’écarte les jambes au maximum et me laisse aller pissant devant ces salauds. On m’attrape alors par les cheveux et un autre sexe de bon calibre force ma bouche, que je me mets à sucer avec plaisir.
– Regardez-moi cette petite chienne, elle pisse en se faisant baiser !!
Paul s’applique à me faire des suçons dans le coup et un autre sur la poitrine. Je sens le désir bestial monter de plus en plus et je continue à sucer et à branler leurs verges avec passion pendant que je me fais limer comme une malade et pendant que les autres me regardent et me caressent tout le corps.
La grosse queue que je suçais allait et venait lentement puis s’accéléra et éjacula dans ma bouche, j’étais dans un tel état de transe que j’avalais toute la semence, lui suçant tout jusqu’à la dernière goutte.
– T’es vraiment une bonne salope (me dit l’homme que je venais de boire)
Je sens à l’explosion de chaleur qui envahit mon ventre que Paul vient de jouir à son tour, j’écarte les cuisses au maximum et lève légèrement les jambes afin de sentir au mieux l’homme qui est en train de me baiser.
Mais deux autres m’attrapent me mettent sur la table ventre à plat et me lubrifie l’anus avec leur salive comme l’avait fait Jacqueline à la maison.
Ils commencèrent à forcer l’entrée avec leurs doigts et sans ménagement et ils m’enculèrent à tour de rôle en me triturant les seins, faisant saillir mes tétons comme jamais je ne l’aurais cru…
Après un début franchement douloureux, j’écartais de plus en plus mes jambes et le plaisir se faisant j’écartais mes fesses avec mes mains afin que tous viennent remplir mon petit trou. Ils enfilaient leur queue sans délicatesse puis ils me retournent, me mettent assise sur l’un d’eux, prise par mon petit trou pendant que l’autre bien membré laboura ma chatte et qu’un troisième s’enfonça dans ma bouche. Remplie par tous mes orifices, jamais je n’avais été comblée de cette façon.
– Alors ma petite pute est farcie au jus d’homme ?…
C’était la voix de Jacqueline… Je tourna ma tête vers elle et je l’aperçu entièrement nue…
– Tu ne réponds pas à ta maîtresse ?
– Heu si… Enfin oui…maîtresse…
J’étais fière qu’elle me voit dans cet état, dégoulinante de sperme et surtout les pattes écartées maintenues par mes baiseurs…
– Comment apprécies tu ma promesse ?
– Je n’aurais jamais pensée à avoir autant de plaisir…
– As tu soif ?
– Oui…maîtresse
Elle monta sur la table, s’accroupie dos à mon visage et juste au-dessus de ma bouche, sa main était sur son sexe comme si elle retenait quelque chose et elle me dit :
– Je veux que tu avales tout, montre à ces males que tu es une bonne pute.
– Oui maîtresse comme tu le désires…
Elle retira sa main et un premier gros paquet visqueux et chaud sortit de sa vulve, elle poussait pour que cela sorte encore. La salope me faisait boire le sperme des deux mecs qui l’avait baisé sur le comptoir… Puis un autre filet de jute venait se répandre sur mon visage.
– Nettoie bien ma petite chienne !!!
– Slup slup hum oui… merci… maîtresse… Je me délectais de son offrande.
– Bien ma belle tu vas encore donner du plaisir à mes amis…
– Comme vous le désirez maîtresse…
J’avais les fesses offertes et Sandrine m’introduisit un gode plutôt volumineux dans la chatte. Après plusieurs aller-retour je me suis mise à jouir comme jamais, je sentais des ondes violente de plaisir monter en moi…Je leurs criais tel une chienne en rut :
– Baisez moi….oui encore… fouillez mon cul… AHH…je vais pisser ohh ohhhh je piiissse
Je giclais violemment comme un mec, Jacqueline étais près de ma chatte et récupéra le jus qui sortait de mon con aidée par Sandrine, pour venir ensuite me le verser en bouche. J’avalais cela avec délice en tremblant de tous mes membres tellement cela avait été violent. Les quatre hommes partirent en me remerciant et posant chacun leur tour un baiser sur mes seins puis Paul avant de quitter la pièce lança :
– Il faudrait la présenter au big boss
– Mais c’est prévu…(répondit Jacqueline en souriant)
N’ayant pas le temps de réfléchir à ce qui venait de ce dire, que la femme du patron me relevait de la table pour m’embrasser à pleine bouche.
– Je m’appelle Isabelle, on c’est rencontrée dans les toilettes…
– Oui je me souviens…
– Tu es vraiment belle…
– Merci vous aussi…
Pat se mit derrière moi et me chuchota à l’oreille :
– Mets-toi à genoux et tends ton cul de salope et nettoie Isabelle…
– Oui monsieur
Je me mis en position et Isabelle me présenta sa chatte qui était toute baveuse, elle prit ma tête et l’approcha prêt de son sexe. Je sentis un coup sec sur mes fesses, cela me fit sursauter, Pat était en train de me mettre des claques sur les fesses.
– Qu’est ce que tu attends pour lui brouter le minou ? « shlak shlak » Voilà ce que mérite une petite pute comme toi…
Mon cul me brûlait de douleur, je sortais ma langue pour laper son sexe poisseux, elle me maintenait bien la tête pour m’en mettre partout sur le visage. Pat s’occupait de mon petit trou, il cracha dessus et m’enfonça sa grosse queue. La douleur fut si intense que je ne pus m’empêcher de crier tellement il était énorme et mon petit cul commençait à être endolori par tous ces assauts…. Puis ses va-et-vient très lents me firent sentir chaque centimètres de sa queue, glissant en moi avec douceur ce qui a commencé par se transformer en vague de plaisir et plus il augmentait son rythme et plus j’ouvrais mon cul pour qu’il me pénètre profondément et plus il me défonçait, et bien sûr plus je prenais mon pied au point de jouir de ce côté là aussi.
Jacqueline était en retrait et se faisait lécher par Sandrine tout en faisant des commentaires sur ma prestation :
– C’est une bonne chienne…écoutez là gémir…
– Inhh inhh ouii
– Tu aimes t’en prendre plein le cul
– Oh ouiii ouii
– Je te l’avais dit que tu aimerais ça ma petite salope !
– OUIIIII encore encore
– Regardez-moi cette petite bourgeoise… demander qu’on l’encule…
– Faite moi jouirrrr… je vous en supplie
Pat en bon étalon me pilonnait bien profondément et ces garces l’excitaient encore plus en m’insultant. Isabelle m’empoigna fortement les cheveux et me pissa sur le visage, cette salope ne rêvait que de ça depuis que je l’avais vue uriner dans les WC. J’étais trempée par son urine cela à eut pour effet de m’exciter encore plus et j’hurlais de plaisir tellement la queue de Pat me faisait du bien. J’aurais voulu à ce moment là qu’il me déchire tant j’étais envahie par un plaisir intense au bord de l’évanouissement et d’un coup je sentis un flot de foutre inonder mon cul, une vague de chaleur intense m’envahis, mon assaillant venait de décharger en criant comme une bête.
Il se retira et alla s’asseoir pour reprendre des forces, Jacqueline m’aida à me relever et m’embrassa tendrement en me prenant dans ces bras. Cette position fit que le foutre commença à couler de mon cul béant pour glisser sur mes cuisses, je l’indiquais à Jacqueline et elle s’agenouilla pour le récupérer dans sa bouche, elle aspira tous ce que j’expulsais de mon cul.
– Hum ché bon …ouvre ta bouche que l’on partage…
J’ouvris grand ma bouche et elle déversa la semence de Pat et certainement mélangée à celle des autres aussi…, puis elle m’embrassa à pleine langue déployée. Isabelle et Sandrine avait rejoint Pat sur sa chaise et se mirent à le sucer en bonnes esclaves qu’elles devaient être. Après avoir encore échangé quelques mots entre nous, Jacqueline me rhabilla d’un simple imper et nous sommes reparties dans notre maison. Tout le long du chemin je sentais le reste de la semence de mes assaillants couler entre mes cuisses, j’avais peur de rencontrer quelqu’un du village et qu’il s’en aperçoive. En rentrant je voulus prendre une douche mais Jacqueline s’interposa et me proposa de me coucher dans cet état car elle adorait me sentir, puant le sperme et l’urine, elle m’indiquait qu’elle voulait jouir en respirant mon odeur de petite fille sale… Ce qu’elle fit rapidement tellement l’excitation avait été forte car elle m’avoua que j’étais la seule à lui donner autant de plaisir même sans que je la touche… on s’endormit l’une dans l’autre avec une très forte odeur de baise qui planait dans la chambre…
A suivre …
choidanladate21@hotmail.fr
L’orgie continue, cet épisode est mieux structuré que le précèdent, la faiblesse réside sans doute dans les dialogues pas trop vivants