La métamorphose
1 – La fête de la musique
par lotrebord
C’était le jour de la fête de la musique. Nous habitons un pavillon en banlieue et étions allés nous balader à Paris pour écouter les groupes et orchestres de rue. C’est devant Beaubourg qu’Hélène a reconnue une ancienne camarade de classe. Nous avons tous les deux la quarantaine et ma femme avait perdu de vue son amie depuis la fin ses études. J’ai proposé que nous allions prendre un pot et c’est installés à une terrasse de café que nous avons commencé à bavarder.
Ma femme occupe un poste de cadre dans une entreprise de publicité, Je suis pour ma part patron d’une petite agence immobilière et Geneviève nous appris qu’elle était déléguée médicale d’un important laboratoire pharmaceutique. Ma femme est brune, des yeux noirs et des cheveux longs. Son amie est blonde, cheveux mi longs et toutes deux sont aussi jolies l’une que l’autre. Après avoir parlé du passé, puis du travail, nous avons parlé de nos vies. Nous n’avons pas d’enfant et profitons de la vie, sorties, soirées et voyages. Geneviève avait été mariée puis divorcée et croquait la vie à pleines dents, ne refusant aucune expérience sexuelle nous avoua t’elle, aussi bien, avec les hommes qu’avec les femmes..
– Moi, je n’ai jamais osé dit Hélène.
– Tu devrais répondit Geneviève.
– Moi, je n’y suis pas opposé dis je et tu devrais inviter Geneviève à diner prochainement à la maison.
Bien qu’elle ait rougi un peu, Hélène accepta et le rendez vous fut pris pour le samedi suivant.
Sur le chemin du retour, je demandais:
– J’ai bien senti que les propos de Geneviève ne t’ont pas laissée indifférente. Vrai ?
– Oui, c’est vrai.
– Aimerais-tu faire l’amour avec elle ? Moi ça me plairait. Te voir nue dans ses bras.
Pendant que nous y sommes, caresses toi en pensant à elle.
Hélène commença à remonter le bas de sa robe d’été sur ces cuisses. Sa robe s’ouvrait sur le devant. Je lui demandais de défaire les boutons et d’écarter ses cuisses. Elle ouvrit sa robe jusqu’au niveau des seins puis fit glisser ses doigts sur son string.
– Il te gène. Enlève-le.
Elle le fit descendre, le retira, le posa sur mon pantalon et plus libre de ses mouvements, elle commença à gémir en faisant aller et venir ses doigts dans sa chatte.
– Pour qui fais tu cela ma salope?
– Je le fais pour Geneviève. Je veux jouir avec elle.
Je lui tendis son string et lui ordonnais de le faire disparaitre dans son con puis de penser très fort à elle.
En rentrant chez nous, j’allais ouvrir le portail, rentrais la voiture et lui ordonnais de quitter sa robe et de marcher nue vers la maison avec son petit bout d’étoffe dépassant de son minou.
Une fois rentrés, elle se tourna vers moi et dit:
– Fais comme Geneviève fera, déshabilles toi.
Je me mis nu et, à genoux devant elle, la tenant par les fesses, extirpais ce petit morceau de dentelle qui disparu dans ma bouche. Je le suçais comme un bonbon puis le posais sur mon sexe en érection.
– Je veux que tu la remplaces, je veux jouir sans ton sexe. Utilise ta langue, tes doigts ou ce que tu trouveras, mais pas ta queue de mâle.
– Bien maîtresse, dis-je…mais je vais d’abord faire ta toilette comme on le fait avec les putains, avant de te lécher.
Penchée au-dessus de la baignoire, elle offrait son cul que je savonnais avec un gel douche avant de le rincer et de mettre un peu de baume Nivéa pour le parfumer. J’en fis autant sur sa chatte, trop fournie à mon goût. Jusqu’à maintenant, je n’ai pas réussi à lui faire épiler cette partie de son corps. Revenus dans le salon, elle se mit à genou dans un fauteuil pour m’offrir sa croupe.
Je l’entendis me dire :
– Lèches moi le cul salope,
Cet ordre eut l’effet d’un excitant et je fis au mieux pour introduire ma langue dans son anus. Elle se trémoussait, elle finit par gémir en me disant :
– Oh oui ! Geneviève, encore. Lèches aussi ma chatte, bois mon jus.
Avec un doigt enfoncé dans son petit cul et en aspirant son clitoris, je finis par la faire jouir. Ensuite, je me mis au-dessus de son visage, lui ordonnais d’ouvrir la bouche et éjaculais sur sa langue. Le sperme coulait sur son visage, elle était belle.
– Embrasses moi Alain, fais ma toilette salope dit-elle.
J’obéis, l’embrassais à pleine bouche, léchais son menton, ses lèvres et avalais mon sperme.
– Je vois que tu aimes ça dit-elle. Tu veux faire de moi une gouine… et bien, un jour je ferai de toi un pédé. Dis-moi que ça te plairait.
Après avoir hésité un peu, je finis par lui dire :
– Oui, si tu l’ordonnes. Quand Geneviève viendra, je veux que tu portes une robe d’été et rien dessous.
– Promis, je vais tout faire pour lui plaire.
Ensuite, il fut temps de dormir.
Geneviève vint le samedi suivant. Elle avait mis un short et un chemisier. Hélène, comme elle l’avait indiqué, portait une robe d’été, légère et rien en dessous. Comme cette robe n’avait pas de ceinture, chaque fois qu’elle se penchait, on pouvait apercevoir ces seins et même sa toison brune.
Geneviève en l’embrassant, remarqua aussitôt son parfum : Opium de Dior et, avec un petit sourire complice lui dit :
– Tu es vraiment désirable…
– Toi aussi Geneviève. Tu sais, Alain a l’esprit très ouvert, tu verras.
Chaque fois que ma femme passait près d’elle, Geneviève ne manquait pas une occasion de l’effleurer, de la caresser au travers du tissu.
La conversation se porta rapidement sur nos envies, nos fantasmes.
– Sais-tu Geneviève que tu as fait fantasmer Hélène après notre rencontre ? Elle m’a ordonné de faire avec elle l’amour comme si j’étais toi. Sans utiliser mon sexe.
– Et vous l’avez fait ? Racontez-moi.
– Alain a voulu que je sois nue en voiture pour rentrer.
– Toute nue ?
– Oui, enfin presque car il ma ordonner de cacher sur moi mon string, non, pas sur moi, en moi.
– Oh ! Ma chérie, tu m’excites. Et ensuite ?
– Il me l’a ôté, avec ses dents et sa bouche et l’a mâchonné pour s’imprégner de mon parfum. J’aurai voulu que ce soit toi.
– Viens m’embrasser Hélène. J’ai envie de toi. Tu veux bien Alain ?
– Bien sur que je veux bien. Je te l’offre. Mais avant, je veux vous voir nues ensemble.
Geneviève dégrafa son corsage, fit glisser son short et apparue nue dans sa splendeur. Elle était épilée.
– Geneviève, que préfères-tu : une femme avec un minou épilé ou non ?
– Epilé, dit-elle, comme le mien. Embrasse le Hélène dit elle en tendant son ventre.
Hélène se mit a genou et passa sa langue sur, puis dans le sexe de son amie.
– Alors, tu sais ce qu’il te reste à faire avec Geneviève. Avec moi, elle n’a jamais voulu mais je suis sur que tu sauras la convaincre.
Hélène avait enlevé sa robe et se laissait caresser par Geneviève qui l’embrassa d’abord dans le cou, avant de prendre ses lèvres. Ses mains palpaient les fesses de ma femme et son ventre. Elle se mit à genou pour lécher ce ventre et de nouveau debout, lui affirma entre deux baisers qu’elle serait beaucoup plus attirante avec le pubis sans poils.
Hourra ! Hélène accepta.
– Comme je voyage beaucoup, j’ai toujours une trousse de toilette en voiture. Alain, va la chercher, elle est dans le coffre. Je vais m’occuper de toi tout de suite chérie. Suis-moi dans la salle de bain.
J’aurais voulu être là, je les entendais rire, chuchoter. Cela prit une demi-heure. Elles revinrent nues, aussi épilées l’une que l’autre. Hélène avait seulement en plus un suçon, juste au dessus de sa fente. Elles se tenaient par la main.
– C’est ma marque de propriété, dit Geneviève.
– Installez vous têtes bêches pour un 69 que je vous admire. Après, je m’en irais dans une autre pièce, si vous le désirez.
Ce fut un 69 magnifique. Elles se tenaient les fesses, mordillaient les lèvres de leurs chattes et jouir ainsi devant moi.
– Laisses-nous notre chambre demanda Hélène. Déshabille-toi, branle-toi devant nous et vas te coucher dans la chambre d’ami.
– Oui, branles- toi devant nous appuya Geneviève.
Je me mis nu et debout, commençais à me caresser.
– Regarde cette pute, ça lui plait de s’exhiber…il faudra un jour qu’il m’obéisse.
– Je jouis rapidement et me retrouvais avec la main et le ventre inondés de sperme.
– Fais ta toilette salope. Regardes Geneviève ce qu’il va faire ce pédé. Je suis sûr qu’il aime ça.
Je léchais ma main, ne laissant rien puis essuyais mon ventre avant de porter ma main à ma bouche. Ayant fini, je fus prié d’aller dormir et j’entendis ma femme dire à sa maîtresse :
– Je suis sur qu’il aimerait être enculé.
(à suivre)
Un bon texte à ceci près que je suis toujours surpris quand dans un récit un mec avale son propre sperme. Comme si le stress post éjaculatoire n’existait pas !