Initiation extrême par Dilomf
RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES
Bonjour, voici comment j’ai découvert les joies et plaisir de la relation scato.
J’avais 19 ans lorsque je la rencontrai. Elle c’est Hélène, pas très belle, pas très intelligente mais 30 ans et lorsque qu’une femme de cette âge s’intéresse à un minot comme moi, je saute sur l’occasion. Elle est entrée dans ma vie pour quelques mois uniquement mais m’a ouvert des horizons que j’avais jusque-là ignorer.
Notre relation était uniquement sexuelle, basée uniquement sur le plaisir. La procédure de nos rencontres était toujours la même, elle m’appelait pour savoir si j’étais libre, me donnait un rendez-vous chez elle ou dans un bar et nous baisions comme des bêtes jusqu’à ce que nos corps soient repus de plaisir.
Un jour elle me laisse un message pour me donner rendez-vous dans un bar, je me présente à l’heure dite et elle est là, habillé très classe dans une jupe et tailleur. Je savais par expérience que cette tenue cachait des dessous extrêmement affriolants. Après avoir pris un verre et discuter de choses et d’autres, nous nous rendons chez elle. Là nous nous embrassons mais elle me repousse fermement.
– Bon j’en ai un peu assez des baises sans but, j’ai décidé d’y mettre un peu de piquant, veux-tu être mon esclave ?
– Ouais, si tu veux.
– Bien alors à partir de maintenant tu m’appelleras Maîtresse et tu m’obéiras, es-tu toujours d’accord ?
Je sentais à sa voix qu’elle attendait ma réponse avec une certaine anxiété, comme si elle craignait que je refuse ce jeu qui ne pouvait aller bien loin, au moins le croyais-je.
– Oui, cela me va.
Elle me demanda alors de me déshabiller entièrement, de croiser les mains derrière la tête ce que je fis. Elle prit ensuite tout son temps pour me détailler, laissant glisser ses mains sur mon corps, soupesant mes couilles, les caressant tendrement, me branlant doucement. Bientôt ma queue se mit à donner des signes de vie, se redressant fièrement. – Bien maintenant que tu es quelque peu échauffé, penche-toi en avant » . Elle passa alors derrière moi, je sentais ses mains sur mon dos qui suivaient ma colonne, doucement comme si elle comptait le nombre de vertèbre, arrivée au bas de ma colonne, elle glissa un doigt dans ma raie culière, frôla mon anus sans s’y attarder, attrapa mes bourses qu’une fois de plus, elle caressa doucement puis alla s’asseoir dans le canapé ou je la rejoignis.
– Qu’est-ce que tu fais là ? Me lança-t-elle sur un ton n’acceptant pas la réplique.
– Ben je suis venu pour continuer ce que tu as commencé.
– Je vois que tu n’as pas tout compris, reprend la position ! et comme j’hésitais un peu… Plus vite que ça esclave !
Je me relevai pour me repositionner comme précédemment.
– Bon puisque tu ne m’obéis pas, que tu ne m’appelles pas Maîtresse et que tu réponds sans que je t’en ai donné la permission je vais te punir, cela va t’aider à mieux enregistrer ce que je te dis.
Je l’entendis fouiller dans un tiroir puis elle me demanda
– Combien de coups penses-tu que cela mérite ?
– 5 coups ! .
CLAC, une douleur sur les fesses, je ne pouvais pas voir ce qu’elle tenait à la main mais j’avais parfaitement entendu un sifflement avant la douleur, j’en déduisis donc qu’elle se servait d’un instrument.
– Tu dois m’appeler Maîtresse, à chaque fois que tu t’adresses à moi, ça te fera 5 coups en plus, compris ?
– Oui… Maîtresse.
– Bien et que je n’ai pas à te le rappeler, et maintenant compte !
Le premier coup de cette série me surpris par sa douceur
– Un.
– Comment, je n’ai rien entendu, tu ne me remercie pas de la peine que je prends à t’éduquer, on reprend à zéro
CLAC,
– Un, merci
– Merci qui ? on reprend à zéro !
Petit CLAC sur mes fesses
– 1 merci Maîtresse
– Voilà, tu commences à saisir, c’est bien
Petit CLAC,
– 2, merci Maîtresse.
CLAC
– Ouïe, 3 merci Maîtresse !
Au fur et à mesure que je comptais, les coups se faisaient de plus en plus dur. A sept elle s’est arrêtée, mes fesses me brûlaient et je les contractais le plus possible pour moins sentir la douleur. Je croyais qu’elle allait s’arrêter alors je me suis relâché et elle a profité de cet instant pour m’asséner le huitième coup. Enfin arriver à dix, elle m’autorisa à me relever mais pas à retirer mes mains.
– Te souviens-tu de la conversation que nous avons eu à propos des fantasmes, tu m’as avoué que tu nourrissais celui de te faire enculer, c’est toujours d’actualité ?
– Oui –
De nouveau CLAC sur mes fesses déjà endolori,
– Oui qui ?
– Oui Maîtresse !
Bien alors nous allons voir cela tout de suite. De nouveau elle farfouilla dans un tiroir derrière moi.
– Retourne toi !
Sur le meuble était posé un plug que je jugeai de bonne taille, sorte de ballons de rugby en taille plus réduite posée par la pointe sur un socle. *
– Je vais te l’enfoncer dans le cul, et comme je veux qu’il y reste, je vais le fixer par des sangles à la ceinture que je vais te passer à la taille, toujours d’accord ?
– Oui Maîtresse !.
Elle me donna donc une ceinture que je passais à même la peau puis elle me demanda de me mettre à quatre pattes, le dos bien cambré. Elle se mit devant moi et je pus la voir mettre du lubrifiant sur l’objet puis se mit derrière et le présenta devant mon anus. Je ne pus résister à la contraction lorsque je le senti approcher de mon trou, le froid du gel me surpris. Elle tenta une première fois l’intromission mais je résistai
– Détends toi, cela va aller, doucement, ça y est, il entre !
Disant cela elle le poussait toujours plus loin, je sentais mon anus se dilater pour laisser passer l’objet. Un instant j’ai cru qu’il ne pourrait aller plus loin sans me déchirer puis d’un seul coup je l’ai senti bien en place. Maîtresse Hélène a passé les sangles dans le plug et dans la ceinture puis m’a dit de me relever. Je le sentais en moi, corps étranger au plus profond de mon être, violant mon intimité. Un plaisir diffus mais bien réel m’envahissait au fur et à mesure que je le sentais mieux, que je l’appréhendais mieux. Elle est retournée s’asseoir sur le canapé et m’a demandé de me poster devant. Elle me demanda de remettre les mains derrière les mains derrière la tête et commença une fellation toute en jouant avec le peu de jeu que les sangles donnaient au plug. Ah ! Cette langue divine qui jouait avec mon gland, glissant dessus pour provoquer des sensations inoubliables. Et ce plug qu’elle faisait jouer dans mon cul. J’allais jouir quand elle s’arrêta.
– Non, continue ! Osais-je.
Une fessée magistrale enfonçant le plug encore plus loin accueillit ma demande.
– Tu ne demandes jamais plus rien pour toi, compris ?
– Bien maîtresse !
– Allonge toi par terre dans la salle de bain, mais avant retire le tapis de bain
J’y allais, sentant à chaque pas le plug bouger dans mon cul. La situation devenait de plus en plus délicate, je sentais qu’il était poussé vers l’extérieur par une envie qui devenait de plus en plus pressante mais je fis ce que m’avais demandé ma maîtresse. Elle ne tarda pas à apparaître à la porte, nue également. Je pus alors voir que contrairement à nos précédentes rencontres, elle s’était rasé le sexe ce qui me permit de voir le haut de son sexe. Quel bonheur de voir cet objet de désir, de convoitise. Elle se pencha vers moi, m’embrassa puis me donna ses seins à sucer. Quel régal que de sentir leur douce chaleur contre mes lèvres, le téton qui se dresse affectueusement sous mes coups de langue
– Tire la langue..
Et me voilà la langue tirée au maximum pendant que ma Maîtresse fait glisser son corps dessus. C’est étrange, je vois son corps défiler doucement au-dessus de moi, ses seins, sa poitrine, son ventre son nombril et me voici avec la langue sur son sexe, Il est ouvert par le désir et humide, je lèche avidement le liquide qui en nimbe les lèvres, chatouille le clitoris. Elle commence à s’éloigner alors je lève la tête pour suivre le mouvement mais Maîtresse Hélène m’attrapa par les cheveux et me plaqua la tête au sol. Elle ferma les yeux et je ne tardais pas à sentir un jet chaud sur mon visage. L’odeur qui en provenait ne laissait aucun doute sur son origine. J’ouvrais la bouche pour protester quand un deuxième jet arriva droit devant, sous la surprise j’avalais un peu de liquide qui s’avéra fort bon, presque sucré. Maîtresse Hélène surveillait au-dessus de moi mes réactions et quand le levais les yeux vers elle, je pus lire dans son regard une satisfaction certaine de me voir m’abreuver à sa source.
– C’est bien, avale, je vais aller doucement !
Par petits jets elle commença à se vider sur moi, dans ma bouche sur mon visage mais la pression a dû se faire trop forte à un moment car elle se mit à uriner sans discontinuité pendant ce qui me parut une éternité. Elle avait dû boire énormément en attente de ce moment. C’est à ce moment-là que je réalisais que son plan devait avoir été penser et préparé longuement à l’avance J’adorais entendre le bruit que cela faisait, comme une fuite dans un tuyau sous pression.
Malheureusement, je ne pouvais pas regarder. J’aurais aimé voir sa fente ouverte libérant ce flot tumultueux. Une fois que cela fut finit, quand j’eus avalé ce que je pouvais elle m’embrassa à pleine bouche, lécha mes lèvres à la recherche des gouttes d’urine qui y serait encore. Puis elle me donna de nouveau son sexe à lécher. Je ressentais un grand bonheur à nettoyer ces lèvres ou perlaient quelques gouttes, à jouer avec le clitoris, à arracher à ma Maîtresse quelques râles de plaisirs. Mais sans doute ne souhaitant pas que je prenne trop de plaisir dans cette activité, elle se releva et me demanda d’en faire de même.
– Alors ce plug, apparemment, tu le supportes bien ?
– Cela commence à faire mal, ça pousse Maîtresse !
– Bien tu n’as pas oublié, tu es en progrès, tu pourras peut-être jouir avant que l’on se quitte, mais ça pousse, tu veux dire que tu veux… chier ?.
Elle savait que les mots vulgaires me mettaient mal à l’aise, sans doute les restes d’une éducation un peu stricte.
– Oui Maîtresse ! Avouais-je timidement.
– Bien, alors nous allons voir cela tout de suite, attends-moi ici, à quatre pattes au milieu de ma pisse, comme un chien qui attendrait sa maîtresse !
Aussitôt qu’elle me le demanda, je m’exécutai.
– Il m’a semblé que tu as aimé, alors tu vas lécher ce qui est par terre –
Je m’usais donc la langue à lécher le carrelage. Autant l’urine chaude est bonne, surtout quand elle provient de sa Maîtresse, autant l’urine refroidie n’est pas ma tasse de thé mais je m’appliquais à faire ce qu’elle m’avait demandé, ayant trop peur de me faire de nouveau punir, car qui sait ce qu’elle inventerait de nouveau. Elle revint au bout de quelques minutes, harnaché d’un gode de taille plus réduite que le plug, elle défit les lanières qui le retenait encore dans mon cul et le sorti tout doucement..
– Il faut que tu serres les fesses au moment où il va sortir complètement, je ne veux rien voir sortir de ton derrière d’autre que ce plug… bien parfait, maintenant je vais t’enculer, petite chienne ! .
Disant cela elle me rentra le gode d’un seul coup entre mes fesses serrés. Cela me fit mal sur le moment mais elle se mit à aller et venir. Je pouvais sentir le mouvement sur mon anus qui se tendait vers l’avant et l’arrière. Mon intérieur était tout remué. Quelle exquise sensation !
– Attention, je vais sortir, serre les fesses !
Une nouvelle fois je m’exécutai, toujours à quatre pattes, Elle se planta devant moi et m’ordonna de sucer.
– Mais Maîtresse, il est sale !
– Oui et alors, tu as bien bu ma pisse, alors tu vas nettoyer ta merde, exécution !.
Timidement, je léchai le bout tout couvert de la merde sorti tout droit de mon cul. Elle m’attrapa par les cheveux
– Je t’ai dit de sucer, pas de suçoter ! Et elle m’enfonça le gode dans la bouche.
Sur le moment, un haut le corps que j’eus du mal à réprimer m’envahit puis je fis abstraction de ce qui était sur le gode pour me consacrer sur le fait que je le suçais. L’odeur était acre, forte et la matière chaude. Elle se mit bientôt à aller et venir dans ma bouche comme précédemment dans mon cul. Elle sortit de ma bouche et frotta le gode sur mon visage, y étalant la merde que je n’avais pas prise dans la bouche. Tout à ma fellation, j’en oubliai mon derrière qui se détendit pour laisser échapper les matières fécales qu’il retenait depuis si longtemps. Maîtresse Hélène voulu reprendre place derrière moi et découvrit le tas échappé de mes intestins.
– Petit salopard, tu as chié dans ma salle de bain, tu vas me le payer, fais demi-tour !
Toujours à quatre pattes je me retournai pour me retrouver la tête au-dessus de ce bel étron. Elle glissa de nouveau le gode en moi et me demanda de mettre mes mains dans le dos. Dans cette position, elle appuya sur ma tête jusqu’à ce que je sois dans ma merde. Elle allait et venait en moi, m’écrasant que les chairs molles et odorantes que j’avais eu l’indélicatesse de déposer sur son carrelage. Elle m’attrapa la verge et se mit à me branler. Je ne tardai pas à bander comme jamais mais une fois de plus elle s’arrêta avant que j’aie pu jouir. Les coups de boutoir dans mon cul se faisaient de plus en plus rapide et chose surprenant que je ne m’expliquais pas, Maîtresse Hélène semblait sur le point de jouir elle-même. Pour moi le plaisir était toujours aussi fort, je n’aurai jamais imaginé que de se faire sodomiser soit aussi agréable, à ceux qui n’ont jamais essayé, je vous le conseille. A l’instant où elle jouissait, elle me tira la tête en arrière et me la rabattit face contre terre droit dans ma merde étalé. Puis elle se figea tout au fond de moi avant de se retirer.
– Ouahou !!! Tu m’as fait jouir petite merde, c’était vraiment bon ! .
Disant cela elle retira le gode et je vis alors que de son côté il y avait une petit protubérance, qui, je le devinais lui avais provoqué tout ce plaisir.
– Bien maintenant à moi de chier, allonge-toi sur le dos. Elle se positionna au-dessus de mon sexe, face à moi, penchée vers l’arrière. Je vis son anus se détendre, s’ouvrir pour laisser passer un bel étron brun qui vint s’écraser sur mon sexe à moitié dressé. Elle en libéra un deuxième de bonne taille qui suivit le même chemin que le premier.
– Branle toi dans ma merde !.
Je pris mon sexe dans la main et commença à me branler lentement, étalant la merde encore chaude sur mon membre qui reprenait des proportions correctes.
– Attends !-
Et je la vis se pencher et me prendre dans sa bouche. Sans aucune appréhension, sans hésiter, elle engouffra mon sexe plein de sa merde entre ses lèvres. Elle me pompait, m’avalait. Quand elle se redressa, ce fut pour m’embrasser à pleine bouche. Je sentis l’odeur sur sa langue, sur ses lèvres et le contact de la merde sur ses lèvres. Elle me caressa le visage étalant la merde qui s’y était collé pendant qu’elle me sodomisait puis retourna me sucer. Je n’osais pas bouger de peur qu’elle ne s’arrête, elle me pompait toujours plus vite, toujours plus loin, recrachant par moment une salive brune qui allait se mélanger avec ce qui était sur mon sexe. Puis elle descendit sur mes couilles et entreprit de les sucer tour à tour.
– Bien assez joué, branle-toi maintenant et jouis dans ta main !
Je m’exécutai sans attendre, soulageant ainsi la pression qui faisait rage en mon bas ventre. Il ne me fallut pas bien longtemps avant de jouir dans ma main comme elle me l’avait demandé.
– Et maintenant avale ton sperme !-
J’approchais la main de ma bouche, renâclant quelque peu à lécher le sperme en lui-même et surtout la merde sur lequel il reposait, tâche blanche au milieu de toute cette marée brune. Puis d’un seul coup je me jetai dessus et l’avalais avidement comme si c’était la meilleur des nourritures.
– C’est bien, tu vas faire un vraiment bon esclave mais pour le moment nous allons prendre une douche, vient avec moi ! .
Ainsi se termine cette histoire de la découverte du plaisir d’être esclave ainsi que de la scato. Bien sûr j’ai revu Hélène en de nombreuses autres occasions mais cela pourrait faire l’objet d’une autre histoire si vous le souhaitez. Dites-moi ce que vous en pensez à dilomf@yahoo.fr.
Postface du webmaster : Voici la première histoire contenant de la scato explicite qui a été publiée sur Vassilia. Il s’agit d’un choix délibéré. Après avoir pas mal hésité, nous avons décidé que ce fantasme avait droit de cité sur notre site. Nous avons veiller à en éviter les excès et les surenchères provocatrices, (mais sans non plus édulcorer, la scato reste de la scato). Comme pour le SM, notre choix privilégie uniquement le ludique et le consensuel. Nous ne nous sommes jamais laissé envahir et si l’uro est présente dans environ 50 % des contributions de ce site, nous n’entendons pas dépasser les 10 % pour la scato !
Excellente histoire scato qui m’a bien fait bander la bite
Bonne progression de la situation, très excitant
excellent !
Je n’avais jamais lu ce texte.
Certes le passage à la scato parait un peu rapide mais on va dire que le monsieur avait des dispositions 😉
En tout ça je me suis régalé, j’ai l’impression de devenir de plus en plus cochonne. Merci Vassilia ♥
Je n’ai rien contre la scato, mais là, il pousse un peu loin le bouchon (si j’ose dire)