– Il me faut une photo de toi, habillé en femme, sinon, on arrête cette
correspondance et tu n’auras jamais l’occasion de me rencontrer !
Tel était le terrible contenu du mail arrivé dans ma boîte à messages ce
jour là. Il émanait d’une maîtresse avec laquelle je correspondais depuis
quelques temps. Elle précisait aussi que cette (fichue !) photo devait être
de très bonne qualité (c’était souligné dans le texte !!) et qu’elle ne se
contenterait pas d’un polaroïd « à la va-vite » où on ne distinguait que de
vagues formes et beaucoup d’ombres…
J’étais coincé mais je désirais ardemment aller plus loin avec cette
mystérieuse (et virtuelle !) dominatrice. Cela faisait en fait trois
semaines que je correspondais, par écran de PC et INTERNET interposés, avec
maîtresse MYRIAM. Comme de coutume dans ce genre d’histoire, elle avait
daigné me répondre après que je lui ai adressé une belle et longue lettre de
soumission. En retour, je recevais de façon périodique des ordres précis que
je m’étais engagé à respecter de façon scrupuleuse. Au début, il s’agissait
de choses assez simples, pour ne pas dire anodines, pour un homme fanatique
de domination féminine. Il ne me déplaisait pas le moins du monde, par
exemple, de porter des sous-vêtements féminins en dessous de mon costume
trois pièces. Aucun collaborateur (ou collaboratrice, d’ailleurs !) ne se
doutait un seul instant du subterfuge. La préparation de mon rectum faisait
également partie des ordres réguliers que je recevais. Ce fut de façon
graduelle que j’appris à dilater mon canal anal, à l’aide de mes doigts
avant de recevoir l’autorisation de le faire avec un godemiché. En ce qui
concerne l’acquisition du matériel nécessaire à ce type d’activité, j’avais
eu recours à des achats par correspondance. La société en question se
vantait d’être très discrète et je reçus, en effet, à chacune de mes
commandes, un petit paquet très anonyme. Il contenait chaque fois différents
objets indispensables à mon apprentissage de soumis. C’est ainsi que j’avais
eu l’occasion de commander quelques cassettes dites pornographiques axées
sur la domination féminine. Je voulais connaître un scénario ou l’autre,
même si au cinéma, c’est pas comme dans la vie… Ce fut par cet intermédiaire
que je me procurai aussi mon premier gode (pompeusement nommé spécial anal),
ainsi qu’une tenue de soubrette qui me faisait fantasmer depuis des lunes.
Mais une photo de moi, travesti en nana, et de bonne qualité, en plus !, je
me voyais mal la commander par correspondance…
Je fis alors quelques essais tout seul, avec peu d’espoir de réussite, je
dois l’avouer… Face à un miroir, je pris, avec mon appareil photo polaroid,
plusieurs clichés de ma personne. Le résultat était loin d’être concluant….
La qualité était proche de zéro et j’allais irrémédiablement me faire
recaler avec ce type de flou artistique… .
Il ne me restait pas beaucoup de temps. J’avais beau retourner le problème
dans tous les sens, je ne voyais pas de solution. Personne n’était au
courant de mes penchants pour ce type de relation et pourtant, il devenait
évident qu’il me faudrait passer par un (ou une !) intermédiaire pour cette
tâche pas vraiment ordinaire.
Je me décidai donc de contacter, en désespoir de cause, une ancienne copine
de classe qui s ‘appelait VIRGINIE. C’était une fille qui avait toujours eu
les idées assez larges en matière de sexualité. A l’époque déjà, elle
n’avait rien fait pour dissimuler sa bisexualité et nous nous étions déjà
croisé dans des soirées du genre arrosées…pour ne pas dire décadentes …Elle
me paraissait, à cet instant, la personne la plus indiquée pour cette
mission tout à fait spéciale. C’est dans un registre des anciens étudiants
de l’école que je trouvai ses coordonnées. Je pris mon courage à 2 mains et
me jetai à l’eau…
Après l’échange des banalités d’usage, j’en vins au sujet de mon appel, ou
en tous les cas, j’essayai de m’en rapprocher de manière plutôt malhabile.
-Je voudrais te demander quelque chose de délicat, dis-je.
-Et en quoi puis-je t’être utile ?
-Voilà, c’est pas très compliqué : Il faudrait juste prendre quelques photos
de moi.
-Rien que ça, mais pourquoi fais-tu appel à moi pour ça ?
-C’est à dire que ce sont des photos un peu spéciales !
-Je pige pas !, En quoi sont-elles spéciales ces photos ? Ce sont peut -être
des photos cochonnes, c’est ça ?
-Et bien, ma foi, en quelque sorte, oui, c’est ça dont il s’agit et je dois
me déguiser, en plus.
-Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? alors, soit tu m’en dis plus, soit
tu vas te faire voir ailleurs, mais arrête de tourner autour du pot !
-D’accord, d’accord, t’énerve pas, s’il te plait, je vais t’expliquer. J’ai
rencontré une femme ou, en fait, je vais bientôt la rencontrer et avant de
se voir, elle veut avoir certaines photos de moi.
-Je commence à comprendre, mais ça a été pénible, dis donc. Elle veut juger
de la marchandise, en quelque sorte.
-Exactement, tu ne crois pas si bien dire Virginie. Maintenant, si cela
t’embête, dis-le-moi tout de suite et je m’arrangerai autrement…. Ca,
c’était un véritable coup de bluff, puisque je n’avais, en pratique, aucune
solution de rechange…
-Non, non, c’est OK. Tu peux passer demain soir à 20 heures, si cela
t’arrange. Je ferai cela pour toi en souvenir du temps passé
-OK, à demain Virginie.
Je ne pris pas le temps de préciser qu’en outre, je devais me travestir…
Chaque chose en son temps…
Il est probablement inutile de dire que je passai la journée du lendemain
dans un état de fébrilité inhabituel. Je n’arrivais que difficilement à me
concentrer sur le boulot et, dans l’après-midi, n’y tenant plus, j’allais
même me masturber frénétiquement dans les toilettes du service. J’étais
tellement excité que cette branlette fut rapidement expédiée et je fus
calmer pendant au moins 15 minutes…
Je me pointai à l’heure dite chez Virginie. J’avais fourré mes accessoires,
ainsi que l’appareil photo dans un sac de sport. Son appartement était
joliment agencé et garni avec goût. Virginie était un beau brin de fille, de
grande taille ( un peu moins d’1m80), cheveux noirs coupés mi-longs, avec
des reflets brillants, des petites lunettes d’intellectuelle posée sur son
nez droit et un large sourire carnassier (et pulpeux !). Ses seins
émergeaient d’un tee-shirt rouge tandis que ses petites fesses étaient
délicieusement moulées dans un jeans serré. En la suivant dans la pièce, je
remarquai de suite que l’élastique de sa petite culotte dépassait
ostensiblement de son LEVIS taille basse…
-Assieds toi et explique-moi tout parce que je t’avoue que je n’ai pas
encore très bien compris ton histoire de photos !
-Bien, voilà, c’est pas très compliqué, en fait.
-C’est pas vraiment ce que j’avais cru comprendre par téléphone, en tous les
cas !
-C’est vrai, je n’ai pas été très clair ; donc, résumons-nous : il
conviendrait de prendre quelques photos de moi » déguisé « . J’ai aussi
apporté mon appareil photo.
Tout en m’écoutant, elle farfouillait dans mon sac et en sortit, de façon
cérémonial, ma tenue de soubrette, mes bas en résille et mon
porte-jarretelles.
-Et bien ma cocotte, tu m’avais caché ça !! Et ça te branche de
t’habiller en gonzesse ! ; j’ignorais la chose, même si je me suis douté
qu’il s’agissait d’un truc dans le genre quand tu m’as appelé ! Ceci-dit, je
trouve ton ensemble très mignon et je suis certaine qu’il te va à ravir.
-Euh, oui, oui, dis-je en bredouillant, légèrement dépassé par la tournure
des événements…
-Je vais même t’aider à être plus vrai que nature
-C’est sympa de ta part Virginie, mais je veux pas abuser de ton temps !
-Non, non, y a pas de problèmes, j’insiste et je sens que cela va m’amuser ;
Et puis d’ailleurs, si tu n’es pas d’accord, je ne fais pas les
photos…Allez, déshabilles-toi tout de suite..
-Ou ça ?
-Ben, ici, bien sûr ; tu ne vas tout de même pas faire la timide maintenant
! Au galop, j’ai dit à poils !!!
-Je me suis levé et ai commencé alors un timide déshabillage progressif,
sous le regard un brin narquois et amusé de Virginie qui ne perdait pas une
miette du streap-tease (improvisé). Après avoir laissé tomber le caleçon sur
mes chevilles, je me hasardai à la regarder dans les yeux.
-Pour le streap, t’es pas très doué, y a pas à dire ! Bon, c’est pas grave,
on est pas là pour ça. Tourne un peu sur toi-même que j’examine la
marchandise, s’il te plait !
Je m’exécutai et fit un tour complet sur moi-même. Je ne pouvais dissimuler
que la situation commençait sérieusement à m’exciter : ma verge pointait à
90 degrés !
-Allons bon, c’est qu’elle bande ma petite Stéphanie ; qu’est-ce qui te
fait cet effet là ? C’est moi ou bien le fait d’être à poils devant moi ?
Après tout, peu importe. Par contre, j’aime autant te prévenir que ta
pilosité de mâle est fort peu appétissante. Une bonne domestique ne doit pas
se présenter avec autant de poils autour dans tous les coins et ne parlons
pas de poils pubiens. C’est franchement très moche !
Je bafouillai quelque chose du genre : » je m’en doute » !
-Viens dans la salle de bain, je vais arranger ça !
Comme un petit toutou, la floche à l’air, je la suivis dans la salle de
bain.
-Installe-toi sur ce tabouret et ne bouge plus. Je vais te faire une
coupe maison !.
C’est à l’aide de plusieurs rasoirs jetables (et à sec !) qu’elle m’extirpa
rapidement, d’un geste décidé, tous les poils excédentaires présents sur mon
thorax, mes jambes, mes fesses, etc. Dans le feu de l’action, elle frôlait
constamment mon sexe tendu, sans avoir l’air de lui accorder la moindre
attention… J’étais comme un patient avant une opération, dans les mains
d’une infirmière.
-Tu sais que ta toison pubienne est trop fournie et n’évoque en rien la
beauté d’un triangle féminin
-Oui, oui, je sais Virginie. Je le fais parfois tout seul chez moi.
-Je vais aussi être obligée d’arranger ça, mais tu m’en diras des nouvelles
!..
Elle se remit à l’ouvrage et tailla allègrement dans mon losange pubien.
Elle ne se gênait pas alors pour écarter mon pénis durci qui la gênait dans
ses mouvements.
-Regarde, je suis sympa, je te laisse une toute petite touffe de poils
au-dessus du sexe. C’est plutôt symbolique, of course !! Mets-toi à quatre
pattes maintenant !
La proposition ne laissait aucune place à la discussion et je me plaçai de
facto dans la position adéquate.
-Il faut enlever les poils du périnée et de l’anus ; je crois que c’est
indispensable, compte-tenu de ce qui t’attend…
C’est ainsi qu’avec énormément d’application, Virginie s’attaqua à cette
partie de ma pilosité intime. Elle ne fit aucun commentaire avant d’avoir
terminer sa tâche.
-Voilà, c’est terminé, tu peux te lever et enfiler ta tenue de petite
salope maintenant.
Ce que je fis prestement tandis que ma maîtresse du jour quittait la salle
de bain en me lançant :
La logique était respectée : j’étais travesti en servante et accomplissais
le travail d’une servante. J’étais enfin au service d’une femme, très jolie
qui plus est ! . A nouveau à quatre pattes, j’exécutai cette tâche de façon
prompte et efficace avant de rejoindre Virginie dans le salon.
-Viens par ici, Stéphanie ; manifestement, rien qu’à en juger par la
taille de ton zizi de gonzesse, tu prends ton pied pour le moment, n’est-ce
pas ?
-Oui, maîtresse, je dois bien l’avouer !
-Et bien, c’est à mon tour maintenant !
-Bien sûr, maîtresse
-Tu enfiles ce bandeau sur les yeux et quand je te le demande, tu me lèches
la chatte.
Dommage pour le bandeau, me suis-je dit tout bas ; j’aurais vraiment bien
aimer voir son sexe. Dans ma position de soumise, je n’avais pourtant guère
le choix et n’ai évidemment formulé aucune objection.
-Je vais aussi t’attacher les mains : il n’est pas question que tu me
touches avec les mains, c’est bien compris !!
C’était en effet tout aussi clair, pour ne pas dire limpide !. J’étais donc
bel et bien privé de la vue et du toucher de son sexe. Un autre bandeau
entrava rapidement mes deux poignets dans le dos.
-Mets-toi à genou, petite chienne !
A partir de ce moment, je fus contraint de deviner les faits et gestes de ma
maîtresse. Je crus deviner qu’elle enlevait son pantalon, mais le fond
musical (DIRE STRAITS, private investigations) m’empêchait de distinguer de
façon plus nette les sons. Cinq bonnes minutes passèrent avant que je puisse
sentir sa présence tout près de moi et entendre, enfin, le son de sa voix.
-Lèches ça !
Avant d’avoir pu réaliser ce dont il s’agissait, mon nez et ma bouche
étaient recouverts d’une étoffe légèrement humide et odorante.
-C’est ma petite culotte, alors fais-lui honneur !
l’enfonçant dans chaque repli du tissu. Certaines zones étaient carrément
mouillées et proféraient un parfum d’urine fraîche. Virginie avait très
certainement du s’essuyer la vulve avec sa culotte avant de me la coller sur
le visage. D’autres parties étaient plutôt poisseuses et je supposai à cet
instant que ma » préparation en soumise » ne l’avait pas laissée tout à fait
indifférente… (encore un fantasme de soumis, sans doute…).
-C’est bon, arrête et lèches -moi pour de vrai maintenant ! Si tu
n’arrives pas à me faire jouir avec ta langue, ça va être ta fête… !
En grand amateur de minette, j’ai fait tout ce que j’ai pu, ami lecteur (et
lectrice), je vous le promets ! J’ai véritablement ventousé son sexe de mes
lèvres avant d’explorer avec ma langue chaque recoin de son intimité. Il n’y
a pas un centimètre carré de muqueuse intime qui a échappé à mes efforts de
succion. Ss poils étaient regroupés sur son pubis tandis que ses grandes
lèvres en étaient dépourvus. Dans la mesure où j’y avais accès, j’ai étendu
mes explorations linguales à son périnée, ainsi que le pourtour de son anus.
Je m’enivrais littéralement de son arôme intime et quand elle se cabra
brutalement, comme tétanisée, en plaquant violemment ma face sur son pubis,
je sus qu’elle avait joui..
C’est en rentrant dans mon appartement cette nuit là que je m’aperçus que
l’on avait oublié de faire ces satanées photos ; Mais étaient-elles encore
bien nécessaires.. ?
Stéphanie
Le style est alerte, ça se lit bien et ça fait bander la chose.