Histoires de bons plaisirs -15 – À fesses que veux-tu… par Verdon
L’autre jour, comme je m’occupais tendrement des petites fesses de ma chère et délicieuse Ernestine, ne voilà-t-il pas qu’elle me dit :
– Mais toi tu es un obsédé de la fessée !…
Tiens ! C’est nouveau. Comme si c’était la première fois que je lui attendrissais le bas du dos.
Elle me charrie, c’est sûr, car elle me connaît de longue date et ce n’est pas aujourd’hui qu’elle découvre mes penchants qui sont loin de la décevoir.
Les fesses étant un des attraits les plus érotiques du corps humain, j’ai de bonnes raisons pour leur accorder de l’attention et leur procurer beaucoup d’affection.
L’endroit est joli, charnu, souvent provoquant et moins entaché de pudibonderies que les autres parties du corps. Beaucoup d’expressions dans le langage familier mettent le mot ‘cul’ en exergue sans que ça fâche quiconque. Certes de façon un peu cavalière mais flatteuse, ne dit-on pas aussi d’une personne sympa, qu’elle a une jolie croupe, du ‘répondant’, voire un beau cul ! et je ne suis pas sûr que toute femme à laquelle on fait ces belles remarques en soit vraiment outrée, si non un peu charmée.
Une petite tape sur la fesse d’une amoureuse qu’on serre dans ses bras, ça resserre les liens. C’est une marque d’affection. Pour celles qui acceptent qu’on touche à cette partie sensuelle de leur intimité, c’est un signe de rapprochement, un début de connivence, une flatterie, une reconnaissance. C’est l’endroit où l’on peut se permettre avec son assentiment, de la complimenter chaudement et nombreuses sont celles qui ne s’en formalisent pas, bien au contraire. Il semble même qu’elles aient parfois ce besoin de prendre la chose comme une petite injonction leur permettant tout en faisant semblant de s’offusquer, de se livrer à de joyeuses libéralités.
Ça peut être aussi pour un macho sa façon de montrer en milieu mondain, qu’il est le propriétaire de la dite flattée et donc (soi-disant) le seul à se permettre de telles frivolités sur son postérieur… jusqu’au moment toutefois où en comité restreint il va l’abandonner à des mains empressées pour jouir de la voir sombrer allégrement dans quelques turpitudes beaucoup moins délicates.
D’autre part, assouplir le cuir d’une pimbêche au cul un peu rétif n’est-ce pas une gentille façon de la décider finalement à s’offrir aux bontés de son mari toujours prêt à la consoler des faveurs un peu cuisante d’une main étrangère !
Je décris souvent ce petit geste dans les aventures que je raconte, et je sens que vous les lisez avec plaisir, alors n’êtes-vous pas autant que moi amateurs de fessées ? Aller, ne soyez pas hypocrites ! Ce n’est pas grave, ce n’est pas une maladie, et puis ces Dames ne sont-elles pas les premières à faire tout ce qu’il faut pour mériter quelques menues tendresses ! Sans compter que quand il s’agit de fesser une indocile paire de fesses elles ne sont pas les dernières à s’appliquer à la tâche.
C’est vrai que mon Ernestine si elle bougonne toujours un peu quand je la renverse sur mes genoux, c’est par principe, c’est pour jouer à la dame offensée. Et moi j’aime bien son petit jeu qui consiste à bouger son popotin pour m’empêcher soi-disant de la taquiner, alors je suis un peu plus sévère…
Avec le tranchant de ma main je descends tout doucement le long de son dos, puis dans la raie culière… je la fais languir… et ‘paf’ un petit coup sur le gras du charnu ! ça la fait sursauter, elle grogne un peu, alors je recommence jusqu’au moment où elle se laisse faire volontiers et je vois bien que ça lui plaît, la chipie ! Sûrement qu’à se faire ainsi chauffer le cul ça lui excite la libido. Le plat de la main qui la taquine, n’est-ce pas le signe avant-coureur d’une envie de sentir quelque chose de plus important investir le tendre défilé ! Et plus d’une coquine n’avoue-t-elle pas que « flatterie d’un côté donne rivière à l’opposé ! »‘
D’ailleurs, quand elle vient me voir avec son p’tit cul en bandoulière, ce n’est pas pour lui faire prendre l’air qu’elle me le montre… non, non je la connais, c’est plutôt pour se le faire tripoter le croupion ! Même que si je ne le regarde pas, elle sait s’y prendre, elle va me faire une bêtise : un petit pet par-ci, une tasse qu’elle renverse par-là, une remarque désagréable sur mon travail, un tas de fines grossièretés destinées à mettre à mal ma patience et valoriser son postérieur. Elle me traite de con la furie !..
Alors là, c’est sûr…il me faut la calmer la grognasse, elle va y avoir droit… et que feriez-vous, vous autres à ma place?….
…. Eh bien c’est ce que je fais :
Je me l’attrape, je me la fous sur les genoux, je lui relève son cachemaille et zou…
Oh mais attendez !… Quel beau cul ! Le beau morceau putain ! granuleux comme le zeste d’une peau d’orange. fendu en deux comme un fruit bien mûr… Certes pas très gras mais bien assez large pour ma main cajoleuse. Ça pend un peu dessous la fesse, mais c’est moelleux, doux, c’en est gracieux et capiteux, un peu trop pale, ça crie famine… bon ne vous en faites pas je vais lui en donner, moi, des vitamines et des couleurs !
Elle est marrante, quand elle appréhende la punition elle serre les fesses comme un vrai casse-noisette. Pour sûr je n’y mettrais pas mes couilles dans la raie de son cul ! C’est du bois je vous dis !….
Elle attend la claque la chipie… Mais là alors non, je ne vais pas me casser les paluches sur son cul… non, je me calme, je la caresse tout doux, elle se détend, elle souffle et même elle redresse insolemment la tête avec cette expression de défit… et Vlan… voilà qui est bien mérité !…. Crapule va !
– Salaud, petit con ! Qu’elle me dit avec raison.
Ah oui !… Eh bien encore une gratis sur le cul et elle fait un bond comme un cabri la chichiteuse, et même encore une autre….
Elle se rebiffe Ernestine, me traite de tous les noms et s’en reprend encore une autre… la tête sur le canapé et le cul qui saute au plafond… Waouh ! Qu’il est beau le cul de ma grenouille!
Bon ce n’est pas bien méchant, je ne vais quand même pas l’abîmer la coquine, ça l’amuse, elle est bonne, elle est tendre, elle consent, alors puisqu’elle s’assagie on repasse aux caresses.
Une bise dans le cou et ma main qui compense en dessous de son cul. Que c’est chaud cet endroit ! Une caresse à l’anus, humm ! C’est tout chaud et humide! Elle aime mon toucher, elle miaule un petit coup, la voilà détendue et qui mouille… je vous l’avais bien dit… coquine va !
Alors je la baise, tendrement, en levrette. Oui c’est bon en levrette, ça permet de lui tambouriner les fesses en même temps à grands coups de pubis. Elle ronronne, elle se fait toute coulante d’humeurs et de tendresse, elle coule.
– Je t’aime mon amour qu’elle me dit. Ramollissant sa croupe elle s’ouvre tout grand comme une fleur et mes poils pubiens qui lui chatouillent l’anus lui déclenchent un immense frisson et une grande jouissance.
Ensuite elle se détend, elle m’offre bien son cul pour que je le flatte, pour que je le bouffe. Elle me veut amoureux de son p’tit trou meurtri, elle s’ouvre, elle veut ma langue, des bises sur l’anus. C’est qu’il n’a pas vieilli le mignon, certes un peu fripé mais beau et appétissant tout comme le croupion d’un chapon à Noël. Un clin d’œil à l’amour. C’est craquant !
C’est un régal, elle me montre son petit trou anal buriné par le temps et de nombreuses bites. Imprégné de ces bonnes odeurs qu’ont les femmes en l’endroit tant elles ont engrangées des liqueurs différentes sous les assauts vigoureux d’innombrables amants.
Que c’est bon toutes ses vieilles choses qui n’ont jamais déméritées. Je la lèche de con en cul et ça me fait bander et bien sûr elle a droit ma Belle dévergondée à une bonne sodo joliment quémandée. Apprêtée en sa chatte inondée de sa mouille, ma pine se dresse face à son p’tit bijou.
Ça s’ouvre, c’est large et souple… Je rentre, c’est facile, je sors elle me veut, aussi je retourne au four, mais putain qu’elle est bonne ! Qu’il est tendre son petit trou, chaud, accueillant ! Je pousse, j’entre, je pénètre…je ressors…
– Oh ! Oui, va-s-y qu’elle me dit…
Je la tapote un peu… elle n’est pas mécontente. Aussi je m’y remets, elle ronronne et s’ouvre davantage, et c’est encore meilleur.
– Tu aimes ça, petite vicieuse que je lui dis en m’enfonçant profondément dedans sa boîte à claques… c’est bon, elle a le cul bien chaud la vilaine divine!
– Dis-moi tu la sens bien ma quéquette dans ton petit cul ?… C’est bien chaud là-dedans. C’est bien bon ma salope !
Je lui pince les tétons, humm ! Elle resserre sa rondelle…
– Oui, c’est bon, continue croque-moi la pine avec ton cul… c’est divin, régale-toi ma biche… serre-le ton p’tit trou !
C’est fou ce qu’à son âge elle est encore douée côté de son mignon. Il s’ouvre le morfale pour avaler ma pine et c’est elle qui fait maintenant le travail. Elle s’encule à fond puis doucement se retire jusqu’à laisser jaillir avec un petit » floc » mon gland encore tout fier mais encombré de sombres vilenies que son colon recèle, la garce. » Oh la cochonne elle a sa cage à bite encore pleine de caca ! « . Mais elle n’est pas bégueule et sait qu’après l’ouvrage elle fera le ménage en limant bien l’outil, couchée vice versa tandis que sur sa couenne elle aura, c’est normal, les derniers témoignages de ma satisfaction.
Et puis je vais lui lécher la rondelle, lui coller mes lèvres sur sa ventouse. Elle mérite bien cela, elle est si belle, si charmante et ça lui fait tant plaisir. Il est chargé d’histoire son anus. Que de queues, que de langues, que de doigts, que de bonnes folies ou de dures sodomies, de tendresses féminines et de godes monstrueux lui ont fait à ce trou ce que je lui fais ce soir avec autant de joie! Et comme elle écarte bien ses fesses ça me permet de lui enfoncer ma langue profonde.
Une fois finies toutes ces bonnes attentions, et après avoir vidangé bruyamment dans la cuvette des cabinets ses indélicatesses et mes chaudes politesses, elle se lève pour se laver le cul en même temps que ma pine qu’elle cajole.
Pour la détendre mon Ernestine, je la dépose sur la table de massage que je me suis fournie exprès pour elle. Et je la caresse la chérie, je la masse du haut en bas, les épaules, les dos, les fesses bien sûr. Oh oui les fesses elle adore. Elles sont moelleuses, gélatineuses, je les écarte, je les referme, je lui passe de la crème de partout depuis les pieds et jusqu’aux seins sans oublier dans la raie de son cul les rivages rosés de son petit œillet que ma pine ardente a légèrement froissés. Le terrain est glissant et… pouf ! Voilà un doigt qui tombe dans son beau piège à bite… elle est contente ma greluche !
Je lui gratouille le cuir chevelu, et le giron aussi, elle décompresse et elle s’endort les bras balans et les tétons dressés comme des groseilles.
Oh quelle est mignonne ma chérie endormie ! Elle fait semblant c’est sûr, elle savoure, elle profite, c’est normal, elle a droit au repos, elle l’a bien mérité.
Il n’y a pas à dire, une petite fessée de temps à autre ça vous les bonifie et ça vous les assagit ces petites Dames ! …Enfin, celles qui veulent…
Vous allez sûrement penser que je suis un mauvais garçon qui fait du mal aux dames.
Mais pas du tout, je ne fais cela que si ça les amuse. Et sans brutalité, avant on se met d’accord. Et puis si ça ne marche pas je range mon attirail et j’envoie l’impassible butiner autre part. D’ailleurs une fois je me suis fait rembarrer par une garce qui avait le cul plus haut que ses cuisses mais qui pourtant s’est foutue en pétard par ce que j’avais fait atteinte à son pétulant fessier en le tapotant gentiment et sans sa permission paraît-il (mais qu’est-ce qu’elle foutait donc à poil dans mon salon ?).
– Pas touche ! Qu’elle m’a dit ou je me barre… c’est réservé à mon mec.
Eh bien je l’ai renvoyée à son mec et je ne suis pas sûr qu’il ait eu la main aussi respectueuse que la mienne.
À part cela, chacune fait ce qu’elle veut avec son gagne-pain. Il faut savoir ce qu’on veut. Mais quand on fait joujou ensemble il faut bien se dire qu’on n’est pas de marbre, pas plus elles que nous les gars.
Aussi un peu de fermeté ça ne fait de mal à personne, demandez à Ernestine. D’ailleurs vous savez bien qu’il y a des messieurs qui se laissent prendre à ce jeu. Se faire fesser par une femme ça ne leur déplaît pas. Ça les stimule. Peut-être un retour de jeunesse, qui sait ! Sûrement une envie d’être humilié, d’être une chose, d’être traité de tapette, de se soumettre… et en général ils sont fessés plus brutalement… certaines se vengent et pourquoi pas !
J’avoue qu’il y a longtemps, (mais ne le dites à personne), je me suis fait malmener par un couple qui par ailleurs était charmant. Je suis tombé dans un guet-apens. Madame s’est défoulée sur mon cul avec une batte de lavandière la salope, pendant que je suçais la bite de son homme qui me coinçait sur un lit. » Bien mérité vous allez dire ! « ….
Ah les salauds ! Ils étaient costauds tous les deux. Me faire ça à moi, un honnête homme !…bon c’est vrai que je bandais quand même. Ben on peut être honnête et n’en aimer pas moins les bonnes choses, car putain il avait une bonne pine le mec et inutile de vous dire ce qu’il en a fait….et ce fut une après-midi bien remplie, je vous le dis.
Ensuite on s’est chouchouté pendant toute la soirée. Elle m’a pommadé le cul et elle a fait ça si bien que, comme j’étais jeune et en super forme à l’époque, je lui ai rendu plein de politesses à son envers avec l’aide de son mari. Ce fut une bonne revanche car il y avait matière à festoyer sur son épais charnu dont on a profité tous les deux. Certes elle a un peu crié, m’a dit que je l’avais trop grosse (bon elle n’était pas bigleuse…), que j’étais un salaud… bof et son mec alors quand il me la mise elle ne m’a pas consolé pour autant ! Mais une bite au cul et l’autre dans la bouche on ne l’a plus entendue et elle n’en serrait pas moins son cul la gourmande.
– Tu vois comme elle aime ça ! Qu’il m’a dit son chéri en me grattant les couilles. Inutile de vous dire que ça m’a boosté le nœud ses bonnes manières. C’est fou ce que ça fait du bien d’enfiler une Nana alors que son mec vous gâte le troufignon !
– Oh c’est bon, que je lui crie…
Et là elle l’ouvre son cul, je vous le jure, alors je me la bourre franco de port et d’emballage et gratuit ras mes couilles je lui mets le paquet. Il paraît qu’elle a crié…
– Ben c’est sûr, quand on aime ! qu’il ajoute le mari.
Moi je ne vois que son cul et ses jambes en détresse et puis je la contente jusqu’à sa rémission. Elle s’assoit sur le lit, épuisée mais ravie elle embrasse son mari.
D’ailleurs, lui aussi il a droit à mes joyeusetés. Ça plait à sa Belle ravie de voir mon nœud lui torpiller l’évent. A cheval sur son mec elle pousse des cris de joie et pisse comme une génisse, sur son crâne chauve et sur son dos, même que ça lui coule dans la raie du cul et jusque sur ma pine qui fait floc, floc dans son trou de balle !
En se redressant elle m’éclabousse le nez la cochonne, un bon pipi très fort de mature en chaleur, alors je lui lèche la chatte pendant que j’achève son mari. Une sacrée pacholle, bien grasse, onctueuse, savoureuse avec de grosses lèvres comme des ailes de papillon.
– Eh bien puisque tu aimes cela, fais-moi aussi le trou qu’elle me dit l’insolente en se retournant pour me montrer son cul malpropre…
– Oh la cochonne !
Et je peux vous assurer qu’ils m’ont bien apprécié tous les deux. C’était vraiment un couple de qualité.
Ainsi, voyez-vous, la fessée ça mène à tout entre gens bien honnêtes et sincères.
Elle était toute contente ma bonne Ernestine en cette fin de soirée. Elle avait eu ce qu’elle désirait et ma belle histoire en bonus.
– Toi tu sais bien t’occuper du cul des Dames qu’elle me répète encore en me quittant, toujours poursuivie par son joli charnu fendu d’un large et délicieux sourire.
– Oui je sais, tu me l’as déjà dit souvent, mais que les culs des bonnes vicieuses comme toi.
– Allez, va à la niche que je lui ai dit, en lui tapotant le cul, si j’ai de bonnes manières c’est parce que tu as la matière.
Ah ! Le coup d’œil insolent de la raie de son cul dans l’embrasure de la porte quand elle quitte la pièce !….
Je vais en rêver encore toute la nuit….
Elle va me rendre fou cette Nana….
(19.11.21)
J’ai adoré
Une défense et illustration de la fessée qui m’a beaucoup plu !