La bourgeoise de la plage par Marie-Paule Perez

La bourgeoise de la plage par Marie-Paule Perez

Marie-Paule, 35 ans, célibataire, brune aux yeux bleus. Cadre supérieure dans un boite de crédits hypothécaires.

Au boulot, je passe pour une femme sérieuse et inaccessible, toujours tirée à quatre épingles, tailleurs strict, chignon et lunettes à grosse monture.

J’ai toujours refusé les avances de mes collègues, mais accepté celles de mes supérieurs quand je pouvais y trouver avantage, et à condition que la relation reste furtive, je ne suis la maîtresse de personne. Maintenant ça va, j’ai une bonne situation et ne monterai pas plus haut !

Dans ma vie privée, je suis toute différente, nymphomane et bisexuelle, j’aime sucer des bites, des chattes et des trous du cul, je ne déteste pas me faire faire des petites misères avec un martinet ou des pinces, j’aime me faire humilier par des hommes ou par des femmes, mais c’est toujours moi qui mène la barque. Je n’ai pas de tabou, j’aime la pisse et j’ai mes périodes où je me laisse aller à la scato.

Je n’avais pas encore expérimenté la zoo, mais l’idée me faisait fantasmer. Pour passer à l’acte il m’aurait fallu un chien, je n’avais pas de chien. Trop de contraintes…

Le passage à l’acte eu lieu pendant mes vacances. Je vais donc vous raconter cet épisode qui a été un tournant dans ma vie sexuelle. Mais pas tout à fait comme vous pourriez le penser !

C’était un magnifique jour d’été au bord de la grande Bleue Le climat était des plus agréable, soleil, un léger vent rafraîchissant, le sable chaud et la mer.

Il n’y avait plus grand monde sur la plage naturiste. Je m’étais installée à environ un mètre du bord de l’eau, étendue sur ma serviette de bain et enduite de crème solaire profitant du beau temps qui s’offrait à moi. Au bout de quelques minutes, je me décidai à aller me baigner un peu. L’eau était très bonne. Ni trop froide, ni trop chaude, en somme à la température idéale pour se baigner. Avant de quitter la plage, je me mis à me faire sécher avec la chaleur naturelle. Une fois que cela fut fait, je remis mon petit haut et mon paréo autour de la taille et réunis toutes mes affaires et pris tranquillement le chemin du retour.

J’aurais bien fumé une cigarette, mais je n’en avais plus.

J’avise deux nanas qui prennent le soleil en clopant. Bizarre ces deux-là, l’une, fausse blonde, la cinquantaine mais bien conservée, semble être une bourgeoise friquée si j’en crois sa quincaillerie de bijoux et ses piercings aux tétons. L’autre est une jeune blackette très souriante.

Une jolie paire de gouines vicieuses ! Me dis-je.

– Bonjour ! Je peux vous demander une cigarette ?
– J’aime bien la façon dont tu nous regardes ! Me répond la bourgeoise.
– Pardon ?
– Tu nous trouves jolies ?
– Oui, vous êtes de très belles femmes.
– Tu vas avec les femmes, parfois.? Me demande-t-elle avec un œil coquin.
– Ça m’arrive ! J’aime bien ! Pourquoi ?
– T’es mignonne je t’ai vu à poil tout à l’heure, t’aimerais qu’on se caresse ?
– Pourquoi pas ?
– Assis-toi entre nous deux.

Je le fais et Guylaine, la bourgeoise me met carrément sa main sur mon téton droit par-dessus mon petit haut, et me le titille.

– Je peux plus fort ?
– Oui, oui !
– Un peu maso, un peu soumise, non ?
– Un peu tout ça ! Un peu salope aussi.

Et la voilà qui me roule un patin, pendant que Maud, la blackette s’attaque à mon autre téton.

Incroyable comment elle embrasse, la Guylaine, j’en ai de la bave sur le menton.

– Je te cracherais bien sur ta petite gueule d’amour ! Me dit-elle
– Si tu veux ! Répondis-je en ouvrant le bouche.

Elle me crache dans la bouche, j’avale sa salive en la regardant d’un air de défi.

– Petite vicieuse !
– Si tu le dis !

Elle lève son bras gauche.

– Lèche-moi mon aisselle, j’aime bien qu’on me le fasse.

Pourquoi pas, ça change !

– Ça sent un peu fort, non ? Me dit-elle
– Oui, mais ce n’est pas désagréable. Répondis-je
– Tu aimes les odeurs intimes ?
– Oui, j’aime bien !
– Le pipi ?
– Aussi !
– T’aimerais me lécher le trou du cul ?
– Pourquoi pas ?
– Ça te dirai qu’on t’emmène chez nous, et que tu sois notre petite soumise. Comme ça pour jouer un peu pendant une heure ?
– Ça peut se faire !
– T’as des tabous !
– Non mais je ne veux pas qu’on m’attache, pas de trucs trop violents, pas de sang..
– La fessée quand même ?
– Fessée, martinet, oui !
– Ça colle, viens ma biche ! Dit-elle en se levant, se passant son paréo et en ramassant ses affaires. Pluto ! Viens ! Où il est Pluto ? Pluto !

Et je vois un chien qui déboule, un labrador beige qui remue la queue joyeusement. Ça promet !

Bon, je suis ces dames, Guylaine me fait la conversation. Elle m’apprend que Maud est à la fois sa soubrette, sa dame de compagnie et son amante. Sinon elle ne se dévoile pas trop, moi non plus.

Madame possède un luxueux appartement de vacances sur le front de mer, ce n’est pas très loin.

On arrive et on se débarrasse de suite des paréos.

– Bon, on va s’amuser disons une heure, et après… ben après on verra, ça te convient ?
– Pas de problème.

Guylaine se tourne m’exhibant ses jolies fesses qu’elle écarte afin de me dévoiler son petit anus brun..

– Viens lécher, tu me diras ce que tu en penses !

Voilà qui ne me dérange pas du tout, je pointe ma langue vers ce charmant endroit et je lèche, découvrant un gout légèrement acre.

– Alors ?
– Délicieux !
– Ça ne sentait pas un peu la merde ?
– Juste un peu ! Ça ne me dérange pas !
– T’es vraiment une salope ! Tu veux boire quelque chose ?
– Oui je veux bien.
– Maud, prépare-nous à boire, moi faut que je fasse pipi. Tu le veux mon pipi ?
– Oui !
– Quel enthousiasme ! Je suppose que pour toi, boire du pipi n’est pas une punition ?
– Non, j’aime bien !
– Le caca aussi ?
– Là, c’est un peu plus compliqué. Disons que de temps en temps ça peut m’amuser, mais dans le cadre d’un jeu de domination, je peux accepter sans problème.
– Donc tu vas accepter ma merde ?
– Sans problème ! Répondis-je avec un air de défi
– Et la lécher !
– Pourquoi pas ?

Guylaine demande un verre à sa soubrette et pisse dedans avant de me l’offrir à boire.

– Humm, délicieux ! Commentais-je en avalant ce doux breuvage.

Guylaine me toisa, s’approcha très près de moi et m’attrapa les tétons qu’elle me tordit avec force.

– T’aimes ça, hein ?
– Oui.
– Maud, vas me chercher des pinces à linges !

Chic j’adore ce genre de petites misères, la bourgeoise m’en fixe une sur chaque téton, puis sur mes grandes lèvres. Et là ça fait un peu mal, mais je supporte, on est maso ou on ne l’est pas ! Ma tortionnaire s’amuse un peu à les faire bouger, elle les tire, les tord, les serre plus fort en les pinçant entre son pouce et son index. Bref, elle me tourmente, la douleur que je transcende me donne des frissons de plaisir, je dois être bargeot ! Et en plus je mouille.

– T’es vraiment une salope ! Qu’elle me dit.
– Ça n’a pas l’air de te déplaire que je sois salope !
– Et arrogante en plus !

Et voilà que je reçois une gifle, j’attends la seconde, non pas de seconde, je suis déçue !

Il se passa ensuite une séquence insolite, Guylaine demanda à Maud de lui cracher sur les seins. En voilà une idée ! Toujours est-il que la blackette s’en donne à cœur joie, envoyant une dizaine de crachats sur les beaux nénés de la bourgeoise, à ce point qu’il ne tardèrent pas à être entièrement recouvert de salive gluante et écumante.

– Et maintenant tu me lèches tout ça ! M’ordonna-t-elle.

Pourquoi pas, c’est nouveau, ça vient de sortir, je m’excite en léchant ses seins gluant de bave et en insistant sur ses gros tétons que j’aspire de ma bouche..

– Hum, tu me fait mouiller ! Minaude la bourgeoise. Maintenant tourne-toi, pose tes mains sur le petit meuble et tends bien ton petit cul, Maud va te donner 20 coups de cravache.

Un peu d’appréhension quand même, j’espère qu’elle ne va pas me démolir !

Elle cingle fort, ça fait mal, j’essaie tant bien que mal de supporter la douleur et de la sublimer, je crie, des larmes me viennent au coin des yeux, mais je me laisse faire. J’aime avoir mal… et je mouille.

La flagellation est terminée, personne ne m’a dit de me retourner, mais je le fais quand même, Guylaine est affalée dans un fauteuil en train de se palucher, elle pousse des petits cris de plus en plus rapprochés et finit par jouir en faisant un boucan du diable.

Elle émerge, un peu hagard.

– Pluto, viens, viens lécher ta maîtresse ! Dit-elle.

Le chien doit avoir l’habitude, l’instant d’après il était entre les cuisses de la bourgeoise en train de laper son jus. Puis sa tâche terminée il s’en va dans un coin en remuant la queue.

– T’as déjà sucé la bite d’un chien ? Me demande Guylaine.
– Ah, non, je n’ai jamais fait ça !
– Et ça te dirait ?
– A vrai dire je n’en sais rien, j’ai vu des vidéos, c’est assez fascinant. mais si tu me demandes le faire, je veux bien essayer.
– Bien sûr que je vais te demander de le faire, une bonne chienne comme toi, ça doit sucer les chiens. Viens près de moi, viens, ma salope.

J’obéis, je sais que je vais le faire et je suis déjà tout excitée à l’idée d’accomplir cet acte « contre nature ». Guylaine est passé derrière le chien, lui a pris sa bite dans la main et la sort d’entre ses pattes de derrière. Elle approche ses lèvres et se met à sucer ce bout de chair baveux.

Franchement je préfère avoir affaire à belle bite de mec, ici je ne vois pas bien ce qu’il y aurait comme petit plus. Sauf que le plus en question n’a rien à voir avec l’esthétique mais avec le tabou ! Je m’apprête à sucer la bite d’un chien ! Ce n’est pas le truc à tout le monde !.

Guylaine après s’en être mis plein la bouche me repasse l’organe comme s’il s’agissait de l’acte le plus banal du monde, et hop, ça y est je le fais. J’ai le machin dans la bouche, je le lèche et je le suce, je suis la reine des salopes !

On se roule un patin avec Guylaine, on a toutes les deux le goût de la bite du chien dans la bouche et je trouve ça génial, c’est dingue non ?

Maud en profite pour sucer le chien à son tour, puis réclame sa part de baiser.

– Maintenant, tu vas te faire sauter par Pluto !
– Euh, peut-être pas aujourd’hui… tentais-je de temporiser.
– Ah, oui ? Quand alors ?
– Je ne sais pas, on pourrait peut-être se revoir…

Je n’ai pas vu arriver la gifle.

– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci.
– Merci qui ?
– Merci Guylaine.

Nouvelle gifle

– Non, on dit, merci ma maîtresse adorée !

N’importe quoi ! Mais je reste très joueuse.

– Merci ma maîtresse adorée !
– Tu es là pour m’obéir, n’est-ce pas ? Pour obéir à ta maîtresse adorée ?

Elle me crache plusieurs fois de suite sur le visage, j’en ai partout sur le nez, sur le menton… Je fais le geste de m’essuyer.

– Non, défense de t’essuyer ! Alors tu vas le faire ?

Bon j’ai compris, elle veut absolument que je me fasse sauter par le chien, ça ne va me tuer d’essayer.

– Bon OK, je vais me faire baiser par le chien, montre-moi comment on fait.
– Ah te voilà raisonnable ! Maud : démonstration !

Maud quitte un moment la pièce, puis revient avec deux gants de toilettes, qu’elle enfile sur les pattes de devant du quadrupède..

– Ben oui, normalement on lui met des chaussettes, mais on n’emporte pas de chaussettes au bord de la mer ! Commente-elle.

Maud se met ensuite à quatre pattes, puis enduit sa main gauche de sa mouille afin d’attirer le chien, qui vient lécher. Lentement elle déplace sa main vers ses fesses. Le chien vient lécher, puis tout d’un coup la pénètre.

Spectacle fascinant !

Guylaine me demande de me mettre en levrette aux côtés de Maud, celle-ci parvient à se détacher des assauts du clébard et se relève. Guylaine attire le chien vers mon cul…

Et ça y est, j’ai la bite du chien dans ma chatte. Quelle sensation, physiquement ce n’est jamais qu’une pénétration même si elle est très rapide (c’est le moins qu’on puisse dire) mais psychologiquement c’est fabuleux, je suis en train de me faire baiser par un chien. Je plane, je suis sur un autre planète.

Au bout de quelques minutes le chien s’est calmé, et est parti roupiller dans un coin.

– Alors, c’était bon ? me demande Guylaine.
– C’était une première.
– Tu le referas ?
– Si j’ai l’occasion, pourquoi pas ? Salope un jour, salope toujours !
– Ce qui est génial c’est de prendre la bite du chien dans le cul, mais c’est un tout petit peu compliqué, il faut avoir l’anus bien ouvert ! Tu aimes te faire enculer, toi ?
– Quand c’est bien fait, oui !
– Maud, rentre donc un doigt dans le cul de cette salope !

Je me prête volontiers à cette délicieuse fantaisie, la soubrette fait aller et venir son doigt à une allure frénétique.

– On dirait qu’elle a le cul plein ! Commente la soubrette.
– Fais-moi voir ! Demande Guylaine

Maud sort son doigt maculé de matière, le montre à sa maîtresse, puis le lèche.

– Hum, elle est bonne sa merde! Commente-t-elle.
– A moi maintenant ! Dit Guylaine qui à son tour m’enfonce un doigt qui ressort merdeux.

Elle le lèche avec une gourmandise non feinte.

– Tu ne vas pas garder ce caca dans ton cul ! Fais-nous une jolie petite crotte.

Moi je veux bien, mais je fais ça où ?

Maud se couche par terre, Guylaine me fait signe de m’accroupir au-dessus de sa bouche.

– C’est que je vais faire pipi aussi ! Précisais-je
– On s’en fout, fais-lui sur la gueule à cette chienne !

Je n’ai jamais été très loin en scato, sans doute par manque d’occasion, me limitant à nettoyer quelques culs pas bien nets.

Je suis accroupie au-dessus de Maud, la chatte à quelques centimètres de sa bouche. J’ouvre les vannes et ma pisse dégringole, j’essaie de contrôler mon débit, mais je n’y parviens pas, Maud avale en toussant. Il y a plein de pisse par terre.

Et maintenant je dois chier, je me retourne, je pousse, ça vient, non ça ne vient pas, je pousse encore, ça y est, l’étron va sortir. Il y a un vrai plaisir à se libérer de son caca, mais ici les circonstances sont particulières. Par réflexe je chercher quelque chose pour m’essuyer le cul.

Je me retourne, c’est spectaculaire, Maud a plein de merde sur le visage et reste ainsi. dans un attitude extatique.

Je me redresse. Guylaine vient alors de poser délicatement son pied nu gauche sur la bouche de sa soubrette. Puis elle change de pied, et s’en va s’affaler dans un fauteuil.

– Viens Marie-Paule, viens, ma salope, viens me lécher mes jolis pieds. Je crois que viens de me les salir, je vais quand même pas rester comme ça,!

Au secours ! Est-ce que je vais être capable de faire ça ? Le pied est à quelques centimètres de mon visage, je pointe ma langue, la fait toucher la merde. Pour l’instant ça va, je m’enhardis, je lèche davantage, puis fait signe à Guylaine que je ne souhaite pas continuer.

Elle a l’intelligence de ne pas insister C’est Maud qui prend ma place et qui lui nettoie consciencieusement ses panards.

Guylaine lui intime ensuite l’ordre de nettoyer le sol souillé de merde par endroit. La soubrette se met à quatre pattes et entreprend de lécher tout ça. La bourgeoise me confie alors une badine en me demandant de frapper Maud et de l’insulter.

Je suis maso, pas dominatrice et ce qu’on me demande ne me dis rien que vaille. Me voilà comme un conne, la badine dans la main, me demandant ce que je dois faire.

– On t’as dit .de me frapper, alors frappe-moi, conasse ! M’apostrophe Maud.

Alors je me suis lancé, et j’ai frappé à la volée son joli cul couleur de chocolat au lait. Cela a duré plusieurs minutes aux termes desquelles la soubrette s’est redressée mettant ainsi fin à cette cuisante fantaisie.

Je suis excitée comme je l’ai rarement été. Maud veut m’embrasser… M’embrasser après ce qu’elle vient de faire, avec ce goût dans la bouche… Pourtant j’ai accepté ce baiser, j’ai la chatte en feu. Maud s’en est aperçue, elle se baisse, sa langue vient me lécher la figue, je tremble d’excitation, elle s’approche de mon clitoris, elle l’a juste effleuré, j’ai jouis comme un bête.

On m’a proposé une douche et un soda light.

Je vais pour prendre congé. Guylaine me propose de nous retrouver au restaurant.

– C’est moi qui paie ! Me précise-t-elle.

Je n’ai pas envie de raconter ma vie autour d’une assiette, j’ai donc décliné. Et au moment de quitter les lieux, Maud a trouvé le moyen de me glisser un papier dans les mains.

J’attends un peu d’être éloignée pour en prendre connaissance. Il y a un numéro de téléphone et cette phrase « téléphone-moi pour un truc »

Intriguée, je téléphone de suite en cachant mon numéro

– Oui, c’est Marie-Paule.
– D’accord, rappelle-moi dans 10 minutes, je vais sortir faire une course.

J’ai donc fait comme ça !

– Juste une question ! Me dit-elle. Ça te dirait d’embaucher une soubrette comme moi ?

En voilà une idée qu’elle est drôle !

– T’as envie de changer de patronne ?
– En fait oui, elle me paie bien, mais j’en ai marre de supporter sa bipolarité…
– Je suis désolée, j’aime bien les jeux de domination mais comme soumise.
– S’il n’y a que ça, on peut s’arranger ! La soubrette qui fait des petites misères à sa maîtresse, ça existe aussi !

Du coup je vois les choses autrement.

Voilà maintenant deux ans que Maud est à mon service ! Et qu’est-ce qu’elle m’en fait baver, mais j’y trouve largement mon compte ! Ah et puis j’ai acheté un chien, un labrador noir gentil comme tout, il s’appelle Smooty. Et c’est moi qui le promène.

Fin

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13 réponses à La bourgeoise de la plage par Marie-Paule Perez

  1. Kriss Baxter dit :

    Un petit bijou de perversité comme je les adore

  2. Berlingot dit :

    Joli scenario, cocktail de perversités, bandaison garantie

  3. Nina dit :

    Dans mes moments de grande excitation, je suis capable d’être aussi cochonne que Marie-Paule, j’aime être soumise et humiliée, la scato et la zoo ne me rebutent pas.

  4. Peggy dit :

    C’est en effet assez fantastique

  5. Mélanie dit :

    Surprenant y compris dans sa conclusion… et surtout bougrement excitant

  6. fantasmeur100 dit :

    Ouah!! C’est bien hard et très excitant::

  7. Brunet dit :

    De bien belles salopes ! J’ai adoré !

  8. Argormoi dit :

    Je suis tout a fait d accord avec le commentaire de Chastaing..
    belle histoire sans exagération

  9. Elmer dit :

    Joli fantasme !

  10. Danielle dit :

    Fallait oser !

  11. Lucia dit :

    Tout ce que j’aime, super excitant !

  12. Chastaing dit :

    Domination, jeux de dames, scato, zoo… Tout ça… On aurait pu craindre la surenchère mais l’auteur ne s’en sort pas si mal !

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