Femellisation
1 – Premier soir
par erttel123
Je suis un homme de 30 ans, mince, 1m75, ayant toujours eu du succès auprès des femmes, grâce à un visage assez fin (certains diront féminin). Je suis malgré cela assez réservé, et n’affiche pas au compteur un grand nombre de conquêtes.
Professionnellement, je ne m’en sors pas trop mal dans mon job de responsable de secteur dans une société de service informatique.
C’est dans le cadre de mon travail que m’est arrivée cette histoire vraie.
En visitant un jour un des clients réguliers de ma boite, je fus présenté au nouveau responsable administratif et financier, Mme Nathalie C., en charge du dossier informatique. Il s’agissait d’une femme entre 35 et 40 ans, assez sympathique et très professionnelle dans sa relation avec ses fournisseurs. Nous nous sommes rencontré une dizaine de fois lors des 3 mois qui ont suivi son arrivée dans l’entreprise.
Lors du dernier rendez vous, elle me proposa de le prolonger par un déjeuner, ce que j’acceptais. Nous partîmes dans ma voiture pour le restaurant, qui était à une dizaine de km de son entreprise. Lors du repas, je remarquais pour la première fois que son visage, loin d’être éblouissant, était très harmonieux, et qu’elle dégageait un charme certain ; lorsqu’elle s’absenta pour les toilettes, je réalisais alors qu’elle s’éloignait de moi que sa silhouette était très féminine, avec de belles et longues jambes surmontées d’une croupe rebondie, bien mise en valeur par son tailleur près du corps. Je me mis à penser à elle d’une nouvelle façon, m’imaginant la prendre en levrette, m’enfonçant dans ses fesses encadrées d’un porte-jarretelles sexy.
A son retour, je continuais la conversation, mais avec un autre ton, sans doute une attitude plus « entreprenante » ; si bien qu’au bout d’un moment, tout en dégrafant un bouton de son chemisier :
– J’ai l’impression que depuis quelques minutes, nous sommes passés sur un registre éloigné du contrat de maintenance !
– Heu…..
– Ne soyez pas embarrassé ; je me sens flattée que vous soyez attiré, et vous me plaisez aussi.
– Ecoutez, je suis navré de la confusion, je n’ai pas l’habitude de draguer, surtout dans mon boulot, mais oui, je vous trouve très attirante.
La conversation parti là dessus, et après 20 minutes de jeu, Nathalie me proposa de la retrouver chez elle le soir même, pour dîner. Evidemment, j’acceptais sans réfléchir. Dans la voiture, sur le chemin du retour vers sa boite, elle posa sa main sur ma cuisse, et remonta lentement vers mon entrejambe. Je vous laisse imaginer que je me mis à bander instantanément. Elle commença à me branler au travers de mes vêtements, avant de remonter vers mon ventre, puis mon torse. Elle glissa sa main dans ma chemise, et commença à faire rouler mon mamelon entre ses doigts ; j’adore cette caresse, et ne pus m’empêcher de soupirer d’aise.
– Dis donc, tu es sensible de seins ! J’adore ça.
Elle durcit alors la caresse, puis commença à me pincer carrément le sein. Loin de me repousser, ce petit supplice augmenta la cadence de ma respiration, et m’arracha un petit gémissement.
– Je pense que nous allons bien nous amuser ; vivement ce soir, me lâcha t’elle en arrêtant de me toucher.
Elle se repoussa sur son siège, et je la laissais à l’entrée de son bureau. En fin d’après midi, je rentrais chez moi me doucher et changer, en me frottant les mains à l’idée de ma soirée. Le souvenir de ses doigts sur mon mamelon me faisait bander comme un fou.
J’arrivais à l’adresse qu’elle m’avait indiquée avec un peu d’avance, et frappais à la porte.
Elle ouvrit la porte, et je ne pus m’empêcher de la déshabiller du regard. Elle portait une jupe courte, et un chemisier très près du corps, qui me fit réaliser qu’elle avait une poitrine très généreuse. Ses jambes étaient gainées de bas, et elle était posée sur des escarpins impressionnants, avec des talons aiguille d’au moins 10 cm. Moi qui adore les talons hauts, j’étais gâté !
Elle me fit installer dans le canapé de son salon, et me proposa un verre. J’acceptais son verre de martini. Elle s’installa en face de moi, dans l’autre canapé, avec son verre, et elle attaqua la conversation directement la ou nous l’avions laissée.
– Dis donc, tu es sensible des mamelons. C’est régulier chez les hommes, mais généralement ils le camouflent parce que ça fait un peu « gonzesse ».
– Oui, j’adore cette caresse et j’assume ma part de féminité, répondit-je en souriant sur le ton de la plaisanterie.
– Et jusqu’où va cette féminité ?
– Jusqu’à faire le ménage, dis-je en plaisantant, en déviant la conversation du sujet cul, car je ne voyais pas où cela menait.
– Et bien tu peux donc faire le service ce soir ?
– Bien sur, cela ne me gène pas…
– Même si je te demande de le faire nu ?
J’éclate de rire, et lui répond que non, cela ne me gène pas. Au fond de moi, je me dis tout de même qu ‘elle a des fantasmes un peu « lieu communs », mais bon, je ne suis pas super coincé, et j’aime bien m’amuser en baisant. Je me lève donc, et commence à me déshabiller, en esquissant des moues et des gestes de strip-teaseuse pour détendre l’atmosphère (et surtout, pour ne pas me prendre au sérieux).
– Mais tu fais çà très bien, on dirait que tu as travaillé ton effeuillage avant d’arriver ! Par contre, quel dommage que tu ais des fringues de mec ; ce serait plus fort avec une tenue adéquate !
– Excuse moi, mais je n’ai pas la garde robe pour cela !
– Mais moi oui !!!
– Oui, mais je ne vais pas…
– Tu ne vas pas quoi ? J’ai envie de m’amuser, tu as envie de t’amuser, nous sommes adultes, fais moi plaisir, dis oui et suis moi !
Elle me prit par la main, de l’autre, j’attrapais tant bien que mal mon pantalon que j’avais quasi aux chevilles, et la suivi dans le couloir. Elle poussa la porte de ce qui était sa chambre. La pièce était, comme le reste de la maison, très bien décorée, avec un très grand lit dans le fond, et un dressing assez profond sur le coté, dans lequel elle s’engouffra rapidement.
– Déshabille-toi entièrement, je vais voir ce que nous allons trouver pour toi.
Je m’exécutais rapidement, ma queue bien raidie par cette situation que je trouvais très excitante. Elle sortit du dressing, et me jaugea de haut en bas.
– Hoho, belle bite. Hum, tu n’es pas très poilu, mais malgré tout, cela ne va pas aller avec l’ensemble
– Que veux-tu, je ne peux pas les retirer comme mes chaussettes !
– Mais je peux y remédier, moi, si tu me suis dans la salle de bain.
– Ecoute, je ne sais pas si je suis super chaud pour me raser le torse
– Qui te parle de te raser, et seulement le torse ; j’ai des crèmes dépilatoires pour les urgences, alors suis moi, et je te promets beaucoup de plaisir si tu me laisses faire.
Je la suivis, assez dubitatif. Elle me mit dans la baignoire, debout, et me demanda de lever les bras et d’écarter les jambes. Malgré mes hésitations, je sentais ma queue plus dure que jamais, et en baissant les yeux, je voyais une goutte de sève perler au bout de mon gland. J’étais excité comme jamais. Elle commença à me tartiner le torse, le ventre, les cuisses, puis le reste des jambes, et hésitant, revint sous le dessous de mes bras.
– Hey, je vais avoir l’air de quoi si tu ne me laisse rien….
– Tais-toi, tu auras l’air de quelqu’un qui as pris son pied.
Elle saisit alors une paire de ciseaux, et commença à couper les poils de mon pubis, très courts. Puis, elle tartina de crème ce qui restait. Elle me demanda alors de me retourner, et fit l’arrière de mes jambes. Lorsque je fus bien « enduit », elle me demanda de m’accroupir, de me pencher en avant, et de bien écarter les jambes. Je me laissais faire, n’ayant plus rien à dire à ce point là. Elle commença alors à passer la spatule sur mes fesses (peu velues), puis dans ma raie, autour de mon anus, puis le périnée.
– Ne bouges plus, je pense que nous sommes bons. Reste ainsi 10 minutes, je vais préparer ta tenue, vilaine.
Elle venait de me parler au féminin, et je ne sais pourquoi, cela accéléra les battements de mon cœur.
Je l’entendais fouiller dans son dressing, le cul en arrière, les jambes écartées, et je me demandais ce que je faisais là. Ce matin encore, j’avais rendez vous avec une cliente, et 12 heures plus tard, j’étais dans sa baignoire, en train de me faire épiler jusqu’à l’anus !
– Es-tu allergique au cuir ?
– Au cuir ? Non, mais que….
– Tu verras ma chérie, tu verras, ne bouges pas.
Quelques minutes après, Nathalie entra dans la salle de bain, et commença à me rincer avec la douche. Avec une spatule, elle racla très minutieusement les moindres recoins, et paraissait très satisfaite du résultat. Elle me fit sortir de la baignoire, me donna un drap de bain et m’aida à me sécher entièrement. Un miroir en pied couvrait le fond de la salle de bain, et je voulais me retourner pour mesurer l’effet de mon traitement.
– Attends, ne te regarde pas tout de suite. Nous n’avons pas fini dans cette pièce !
Elle me fit asseoir sur un tabouret, et sortit des tiroirs de sa commode toute un attirail de maquillage.
– Ecoute, je me suis laissé aller jusqu’à là, mais si on doit encore passer 5 ou 10 minutes sur du fard à paupière, je….
– 5 à 10 minutes ? Je vais avoir besoin de plus de temps que ça ! Dans 20 minutes, tu seras la plus belle salope de nous 2 !
Ca y était, ma bite, qui avait rétrécit depuis l’épilation se redressa instantanément et mon cœur se gonfla d’excitation à ces mots. Ce que j’espérais entendre (sans le savoir) venait d’être dit ; me faire traiter de salope par une femme, qui employait jusqu’à là un vocabulaire neutre mit immédiatement le feu à mon …cul. Je me sentais tout à coup femelle, salope, pute, avec l’envie de me faire traiter comme telle, et bien sûr, de me faire baiser. Même mon cul me donnait la sensation de palpiter, de s’ouvrir.
Nathalie commença à me maquiller, s’appliquant sur les yeux, les lèvres, rehaussant mes pommettes. Elle m’augmenta la taille de la bouche avec un trait efficace, élargit mes yeux, allongea mes cils avec un de ces nouveaux mascaras. Elle effaça les imperfections de ma peau et ma barbe naissante (mais j’en ai assez peu) avec du fond de teint. A la fin, elle partit dans la chambre, et revint les bras chargés de vêtements féminins.
Elle éteignît les spots de la salle de bain, nous laissant éclairés indirectement par les lampes de chevet de la chambre. La lumière était très diffuse.
– Lève-toi, et tourne-toi.
Je m’exécutais, et elle passa par les chevilles une bande de cuir noir, qu’elle monta jusqu’à ma taille. Je réalisais qu’il s’agissait d’un corset en cuir, avec des attaches pour des bas et une série de lacets sur le devant et sur l’arrière. Elle commença à serrer les lacets, d’abord sur l’arrière, puis l’avant, et ajusta jusqu’à ce que je me sente oppressé.
– Ne t’en fais pas, le cuir se relâche, et il faut que ta taille soit fine pour que l’effet soit efficace.
Je me laissais faire, bien sûr.
Vinrent les bas, qu’elle fixa au corset, une micro culotte transparente noire qui ne cachait que mes bourses, puis une jupe taille basse noire qui devait faire 25 cm de longueur. Elle s’éloigna et regarda l’ensemble.
– Avec les chaussures tu seras une vraie femelle. Elle se pencha et saisit par une sangle des sandales qui me firent halluciner ! Des sandales sur des plateformes de 2 ou 3 cm, avec des talons aiguilles de 12 cm !
– Tu veux vraiment que je mette ça ? Jamais je ne pourrais marcher avec, ni même tenir sur place
– Ne t’en fais pas, fais moi confiance, je pressens en toi une femelle lascive qui sommeille.
Assis sur le tabouret, j’enfilais une, puis l’autre chaussure. Le crissement des bas sur les lanières de cuirs, la contrainte du corset, la sensation de la petite culotte dans ma raie du cul me maintenaient dans un état presque second. Je redressais la tête, une fois les sandales attachées autours de mes chevilles. Nathalie posa ses mains sur mes genoux, et lentement, m’écarta les cuisses. Le corset m’obligeait à me tenir très droit, voire cambré. Elle prit une brosse pour démêler les cheveux, l’enduit de gel, et me tira les cheveux en arrière, avec application.
– Tu n’as pas besoin de perruque. Ton visage est très fin, et le maquillage le rend très féminin. Tu es une belle femme.
Elle me tourna le visage vers le miroir, enfin ; et là, ce fut le choc.
Sur le tabouret se tenait une femelle absolue, avec de grands yeux, une taille fine, de longues jambes gainées et galbées, finissant sur des chaussures impressionnantes. Ma queue ne m’avait jamais donné l’impression d’être aussi tendue. Je m’excitais ainsi, et c’était un vrai choc pour moi. J’avais déjà enfilé des bas, ou des strings pour ressentir l’effet de la lingerie, mais là, j’étais totalement épilé, des pieds au cou, et le corset avait un effet « féminisant » incroyable.
Nathalie pris un tube de rouge à lèvres sur la commode, et me rosis, en les élargissant artificiellement, les mamelons. Je me levais et me mis face à cette femelle. Non seulement le corset affinait ma taille, mais en plus, il donnait l’effet d’élargir mes hanches et ressortir mon cul !
– Je suis une salope parfaite !
– Hé bien voilà ! Je savais que tu voulais cela. Je l’ai sentit dans ta drague au resto ce midi. Tu es au fond de toi une femelle, qui à envie de se sentir comme telle. De t’entendre parler ainsi, tu me fais mouiller à fond ! Regarde :
Nathalie souleva sa jupe, révélant des bas tenus par un porte-jarretelles, une peau fine, et puis sa chatte. Elle était totalement épilée, et le plus incroyable, du moins pour moi à ce moment, 2 petits anneaux étaient insérés de part et d’autre de sa fente, qui effectivement laissait échapper un filet de mouille. J’étais hypnotisé par les deux anneaux de métal qui traversaient les lèvres de Nathalie. Elle fit tomber sa jupe, et se retrouva, impudique, en face de moi. Sa chatte glabre augmentait l’effet de nudité. Elle entreprit de dégrafer son chemisier, qui rejoignit sa jupe sur le sol. Elle portait un soutien gorge à balconnet, qu’elle dégrafa lentement. Ses seins se découvrirent, et apparurent au bout des mamelons assez larges les mêmes anneaux que sur sa chatte. Ainsi nue devant moi, elle apparaissait totalement offerte, et les 4 anneaux attiraient irrémédiablement mon regard.
– C’est intrigant, non ? Tu aimes ?
– Cela te rend encore plus désirable.
– Lèche mes seins, j’adore qu’une femme me lèche.
Je m ‘empressais de coller mes lèvres sur son mamelon gauche ; ma langue vint instantanément tourner autour de l’anneau, glisser à l’intérieur, tiraillant le bout du sein. Ma main saisit l’autre sein, et je commençais à triturer l’autre anneau. Cela m’obligeait à me pencher en avant, et Nathalie commença, tout en gémissant, à me caresser le dos, puis les fesses. Elle tira sur la jupe et la remonta, mettant à nue ma croupe dans sa petite culotte. Je sentais ses doigts aller et venir dans ma raie, et bien sur, insister sur ma rondelle. Elle stoppa les caresses, me repoussa lentement, et me saisissant par la nuque, m’obligea lentement à m’accroupir. Elle glissa une de ses jambes entre les miennes, et m’écarta les cuisses au maximum. Campé sur mes talons aiguilles, je trouvais cette position stable, et ayant compris son désir, approchais ma bouche de sa fente. Je commençais alors à la lécher, d’abord lentement, puis de plus en plus frénétiquement. Elle recula peu à peu, s’appuya sur la commode, les hanches en avant. Je levais la tête une seconde pour la regarder dans les yeux.
– Regarde ce que je vois
Dans mon dos, elle fixait le grand miroir en pied ; je me retournais sans changer de position, et découvrais le dos d’une femelle accroupie dans une position lascive, les fesses bien mises en arrières, qui avaient sa tête entre les cuisses d’une autre.
– Baise moi avec ta bouche, tu fais ça bien ma salope !
Je retournais à mon (son) plaisir, suçant, aspirant, tournant autour de son clitoris, enfonçant ma langue le plus profond possible dans son vagin. Nathalie montait maintenant de plus en plus sur la commode, ses jambes ne touchaient plus le sol. J’eu soudain accès à son anus, et commençais aussitôt à le lécher, puis essayer d’introduire le bout de ma langue. Nathalie soupirait de plus en plus, commença à gémir de plus en plus fort, à balancer son bassin en avant avec de plus en plus d’intensité. J’adore ce moment, ou par sa bouche, on ressent tout le plaisir de la partenaire. Elle se laissait complètement aller, s’abandonnait totalement à sa jouissance, et ses gémissements se transformaient de plus en plus en cris de femelle en chaleur. Son orgasme arriva tout d’un coup, elle saisit ma nuque et poussa aussi fort que possible ma bouche (et ma langue) au plus profond d’elle même. Cela dura très longtemps, et j’étais très content de moi.
– Waouh ! C’était très bon. Tu lèches très bien ma chérie.
Elle se redressa et me saisie par la nuque, me releva et me roula une pelle d’anthologie. Puis me pris par la main, et m’amena dans la chambre. Elle me poussa sur le lit, et releva mes genoux en m’écartant les jambes. Avec un sourire, elle partit vers le dressing, et revint quelques secondes plus tard, avec dans les mains quelques objets. Je reconnu immédiatement un gode ceinture, entrevis un autre gode et sans doute un plug anal. Elle avait aussi une bouteille de lubrifiant. Elle posa tout cela au pied du lit, et me retira la culotte. Elle versa sur ses mains un peu de lubrifiant, et commença à me branler, enfin ! Elle allait et venait le long de ma tige, alternant les pressions et variant la vitesse, puis elle prit avec l’autre main mes bourses, qu’elle malaxa vigoureusement, à la limite de la douleur. A ce stade là, déguisé en femelle, ayant vu l’attirail ramené du dressing et réalisant la position sur le dos, je ne me faisais plus d’illusions sur la suite des opérations. Effectivement, sa main pétrissant mes couilles commença à coulisser sur le périnée, huilant l’ensemble, puis commença à flirter avec mon anus. Elle insista de plus en plus, puis posa carrément le bout de son index sur mon œillet. Elle poussa lentement, et le doigt rentra dans mon cul très facilement. La sensation était fabuleuse, et je n’osais pas dire un mot de peur de rompre le charme de cet instant. Elle commença à coulisser dans mon ventre, et stoppa sa masturbation pour saisir l’huile, qu’elle fit couler sur le bas de mes couilles. Son doigt captait le liquide, et l’introduisait peu à peu dans mon anus. Je sentis assez vite son majeur rejoindre l’index, et je me sentis soudain un peu plus envahi !
– Dis donc, tu es très élastique. Je crois que je vais essayer un 3ème doigt. OOOOuiii , ça rentre très facilement.
Nathalie me força ainsi avec trois, plus quatre doigts. Elle coulissait dans mes intestins très facilement, et je me surprenais moi même de cette capacité, et mon bassin se soulevait au rythme de ses pénétrations.
Elle retira ses doigts, et se saisit du plug, qu’elle enfonça lentement dans mon fondement. Puis elle saisit le gode ceinture et commença à s’harnacher.
– Non, je crois que l’on doit pouvoir prendre plus épais, vu la capacité de ton cul à « bouffer » de la queue.
– Oui, mais ce gode me paraît déjà très suffisant, non ?
– Bof, 4 cm de diamètre, je suis sure que tu peux faire mieux !
Et elle retourna dans son dressing, et revint avec un monstre !
La queue en latex accrochée au harnais en cuir devait faire 7cm de diamètre, et 25 ou 30 cm de longueur. Très réaliste, le gland me donnait l’impression d’être aussi gros qu’un abricot, et la hampe était parcourue de veines.
Nathalie s’harnacha et me regarda dans les yeux, avec un soupçon de cruauté.
– Je vais te baiser comme tu ne l’as jamais été, et tu vas hurler ton plaisir comme une femelle en rut !
Elle approcha le bout de cette queue de latex et commença à appuyer sur mon cul, frottant le gland énorme avec fermeté, ce qui excitait les nerfs de mon anus. Puis, de plus en plus précise, elle commença à exercer des pressions de plus en plus franches, en guidant le gode avec ses mains. Elle se concentra en força mes entrailles avec autorité. J’eu l’impression d’être envahi d’un coup par un pilon géant, et mon cul s’ouvrit d’un seul coup. Elle pénétra sur 15 centimètres d’un seul coup, mais de manière douce, puis s’arrêta 10 secondes avant de commencer à me besogner.
Envahi, en pleine extase, je commençais à gémir comme une chienne, mes hanches allant à la rencontre de ce membre monstrueux qui m’ouvrait à fond. Je saisis entre mes pouces et index mes mamelons, et commençais à me les triturer violemment. Nathalie me bourrait en rythme, poussant son bassin contre le mien, puis reprenant de l’élan, m’ouvrait le cul profondément. Affolée, je besognais mes seins à me faire mal. Ma partenaire se retira et me saisissant par les hanches, me força à me retourner. Je me retrouvais les genoux au bord du lit, calé sur les coudes. Plusieurs doigts m’envahirent brutalement, pendant que de l’autre main, Nathalie enserrait mes bourses, en renforçant vigoureusement sa poigne. Elle relâcha le paquet, ses doigts furent remplacés par la tige monstrueuse, et à nouveau, j’eu cette impression oppressante de me sentir partagée par cette queue énorme, qui rentra de 20 cm dans mon anus.
Elle recommença a me besogner, et profita de ma croupe offerte pour commencer à me claquer les fesses.
– Alors salope, tu aimes bouffer de la queue par ton petit cul ! Prends çà, et çà.
Elle frappait en cadence, tout en m’enfilant des 2/3 de sa tige. Mon cul balançait en cadence, et je devenais hystérique. Elle se retira au bout de 5 bonnes minutes, en sueur, me saisit par les cheveux, et sans ménagement, me fit pivoter et accroupir devant elle.
– Suces ma queue, sale pute.
J’enfonçais la tige au fond de ma gorge, essayant de pomper cette bite en latex du mieux que je pouvais. Elle me baisait la bouche avec de petits va et viens, et me demanda de me branler lentement, ce que j’entrepris sur le champ. En quelques allers retours, je sentis l’orgasme monter le long de ma tige, et un flot épais de sève sortit soudain de mon dard, inondant le sol, dégoulinant entre mes doigts. Elle retira le gode de ma bouche, et je portais sans aucun ordre ma main à ma bouche, lapant et avalant mon sperme chaud ; je poussais le vice jusqu’à m’accroupir sur le sol et lécher l’épais liquide répandu.
– Hum, c’est bien ma pute, t’es une bonne salope, nettoie ton foutre bien comme il faut. Elle me reprit par les cheveux, et sans aucune forme de tendresse, me roula une pelle à pleine bouche, mélangeant sa salive à mon foutre, jouant avec sa langue et le liquide épais.
Elle se recula et me cracha au visage le mélange tiède, puis me gifla et saisit mes mamelons, déjà douloureux, et me les tortura quelques secondes, m’arrachant des gémissements.
Elle me relâcha, me retourna, et me faisant pencher légèrement en avant, inspecta ma rondelle :
– Regarde-toi, me dit-elle en me désignant le miroir. Mon cul était béant, ouvert comme une chatte défoncée après un gang-bang.
Je pris mes fesses à pleines mains, et écartant mes globes, fit ressortir ce trou largement ouvert.
– Je pourrais y rentrer mon poing !
– C’est sûr, tu as un cul à fister. D’ailleurs, j’en profiterai dès que tu seras remise de cette partie.
A suivre…
Vraiment pas mal, cette montée en situation m’a fait bien bander