Expérience bi dans un train (Ondine, ma femme lesbienne et moi 1) par Elie01

Expérience bi dans un train
(Ondine, ma femme lesbienne et moi 1)
par Elie

Ma femme Ondine (30 ans) et moi (33 ans) formons un couple d’antillais vivant en Martinique.

Peu de temps après notre mariage (il y a 5 ans) j’avais remarqué que ma femme semblait manifester un intérêt pour la gente féminine. Elle regardait les autres femmes quelquefois avec insistance et me demandait quelquefois mon avis sur la beauté et l’élégance de certaine d’entre elles.

Ondine m’avait déjà maintes fois exprimé son attirance très limitée pour les hommes, son rejet viscéral pour leur coté macho et dominateur, leur manque de raffinement, de douceur, de finesse, d’harmonie et de sensibilité.

Le doute grandissait en moi sur son éventuel penchant pour les femmes, un jour je me suis jeté à l’eau en lui posant directement la question. Elle m’a répondu que la morale, la réputation, le  » qu’en dira t’on  » l’ont poussé à partager sa vie avec un homme, mais que si elle avait eu a choisir selon son cœur, ses désirs, son corps et sa logique elle aurait plutôt choisi une femme. Ondine continua en avouant qu’elle m’aimait pour tout le reste, qu’elle prenait tout de même assez souvent un peu de plaisir sexuel lors de nos rapports, que j’assumais très bien ma place d’époux, de protecteur, de guide, d’ami, de conseiller, de confident mais que son équilibre affectif, sexuel et émotionnel ne pourrait atteindre son aboutissement qu’avec une autre femme.

J’ais toujours été fervent convaincu que l’amour que l’on porte à un être ne doit pas être égoïste, possessif, ni intéressé. (Evidemment il ne faut pas avoir dès le départ construit la relation pour combler des  » vides  » personnels ou assouvir des besoins divers).
L’amour vrai doit susciter un souci permanent du bien-être de l’être aimée même si cela doit passer par des sacrifices personnels, des renoncements, la distance, la privation. Je préfère une femme heureuse, équilibrée et épanouie même si cela doit passer par une vie sexuelle et émotionnelle hors de mon couple plutôt que de la maintenir dans une prison, un carcan ou l’expression et les nourritures de son cœur et son corps seraient enchaînées.
Je le lui ai dit (plutôt redit car elle le savait déjà vue que nous communiquons beaucoup et sur tout) et j’ai ajouté que son être lui appartient avant tout et que c’est elle qui pilote le véhicule qui conduit son corps et son cœur. Qu’elle guide donc ces derniers vers les voies qui lui plait et que je serait toujours a son service pour l’aider, et même l’encourager, dans son cheminent vers le bonheur, l’équilibre et le plaisir sans qu’elle me soit redevable de quoique ce soit .

Ondine n’as pas été surprise par cette réponse car elle connaissait mes positions, mais vu la mentalité masculine rependue aux Antilles c’est inhabituel. L’homme est en général très possessif et dominateur vis-à-vis de SA femme. Il pense être a la hauteur pour combler sa compagne simplement parce qu’il essaye au maximum d’assumer en terme avant tout de virilité donc il vit très mal qu’elle aspirerait à vivre une relation avec un autre homme, voire une autre femme (alors là ce serait vécu comme un révélateur majeur, pour l’homme et son entourage, d’incapacité masculine plus grave que l’impuissance…!).

En fait rares sont les hommes qui se soucient de connaître et comprendre la nature féminine, le fonctionnement affectif, émotionnel et sexuel des femmes. Elles sont encore souvent utilisées comme objet pour apaiser des besoins et intérêts personnels.

Depuis que je lui aie donné cette carte blanche sans conditions le comportement de Ondine a changé. Déjà féminine dans sa vie, son look et ses attitudes, elle l’est devenu encore plus chaque fois qu’elle devait sortir ou recevoir ! Elle s’est mise à soigner son hygiène, son maquillage, sa coiffure, ses ongles, sa démarche…etc. Chaque détail de son corps et ses gestes était magnifié. Elle a redoublé de variété, harmonie et raffinement dans ses vêtements et sous-vêtements. Elle a changé de parfum pour une fragrance plus chaude et marquée. En Martinique, les femmes mettent rarement des bas et porte-jarretelles, pourtant Ondine en a commandé et, dans certaines occasion, suivant ses habits, elle les mets avec des talons aiguilles. Elle a acheté une dizaine de caraco qu’elle met sous un haut de tailleur (souvent ouverts) révélant le charme de sa poitrine ou des chemisiers très transparents qui révèlent le charme de ses soutiens en dentelle (d’ailleurs notre budget vestimentaire a explosé durant 4 mois !)

Ne faisant pas son âge (on lui donnerait 8 à 10 ans de moins) par une hygiène alimentaire, des vitamines et compléments divers, du sports et variétés de crèmes depuis plusieurs années, il me semble que depuis mon feux vert, Ondine est devenue encore plus maniaque et rigoureuse à ce niveau là aussi.

Au fil des mois je l’ai vu se métamorphoser progressivement. Elle respirait toujours plus la joie de vivre. Son regard était devenu plus pétillant et expressif. Il lui arrivait maintenant de chanter en prenant son bain, en cuisinant, en s’occupant de ses plantes !! Ayant la peau qui était par endroit plus crémeuse (au niveau du bassin, des seins et sous les bras) que basanée elle passait plus de temps à bronzer toute nue au bord de notre piscine (pas d’inquiétude pour les voyeurs car notre maison est isolée au milieu d’un immense terrain !). Ondine faisait de l’humour et, elle qui tenais auparavant des propos plutôt pessimistes sur divers sujets, elle semblait de plus en plus en proie à un optimisme débordant. Plus qu’épanouie elle paraissait Libérée !

Je savais qu’Ondine avait réussit à tisser, en deux ou trois mois, une ou plusieurs relations féminines car des femmes, inconnues de moi, l’appelaient régulièrement au téléphone. Ondine me disait aller à des rendez vous à l’hôtel pour des week-end, au cinéma, au restaurant, des journées shopping.

Cela a été confirmé car d’une part elle se mit à me raconter ses aventures, mais sans trop rentrer dans des détail, et d’autre part, parce que simplement elle m’a avoué avoir rencontré trois femmes dont une avec laquelle elle sort sans plus, une autre qu’elle fréquente par grande attirance et affinité sexuelle et la dernière avec laquelle, en plus du sexe, s’ajoute une communion de cœur et d’esprit grandissante.

Les histoires de ses aventures étaient courtes et peu précises mais des mots revenaient souvent exprimant la douceur, la tendresse, complicité, compréhension, l’écoute et aussi communion, symbiose, partage, don, intensité émotionnelle etc…

Etant informaticien donc plus averti qu’elle dans l’utilisation d’internet, il y a 2 ans Ondine m’a demandé de l’aider a trouver sur le Web un gode double très long, souple et hygiénique pour apporter la  » touche  » qui manquait à ses rapports avec ses  » amies « . Nous avons trouvé un modèle en  » gely « , rose transparent de 40 cm de long qui lui a tout de suite plu et que nous avons commandé sans hésitation. Lors de certaines sorties je la voit le plier et le mettre dans son sac, alors je lui lance agréablement :

 » humm je crois que les charmantes sirènes vont s’enlacer et tourbillonner jusqu’au feux d’artifice aujourd’hui !!!  »

Elle sourit et j’entrevoit un éclair dans son regard. Par contre au niveau de nos rapports sexuels je n’ai constaté aucune amélioration ni dégradation depuis sauf peut être une fréquence de moins en moins grande !! (Déjà qu’ils n’étaient pas fréquents !) Mais étant comblé par son rayonnement et sa féminité exacerbée, c’est supportable !

Ondine est toujours restée très discrète sur ces relations féminines et ne m’y a associé que six fois où il s’agissait d’une rencontre opportune à un moment où j’étais avec elle et où, peut être elle a perçu que sa partenaire était bi.

Je vais vous raconter la première (et une autre fois les suivantes car ce texte serait trop long !) :

Dans le train :

Informaticien dans une administration (ma femme est Nutritionniste) je suis amené a voyager souvent vers l’hexagone en stage ou mission. Il arrive que ma femme m’accompagne et nous profitons pour visiter les pays d’Europe le Week-end.

Nous étions dans un train pour 4 heures de voyage, 18 h a 22 h 30, seuls dans une partie d’un wagon où il y avait un petit salon. Vers 19 h 00 une femme entra dans la cabine lors d’un arrêt à une gare. Elégante, à peu près 1 m 60, mince, peut-être la trentaine, poitrine peu développée, robe moulante se terminant juste au dessus de ses genoux, blonde au cheveux long, yeux petits bleues et bouche aux lèvres pulpeuses bien relevées par un rouge à lèvres vif.
Ondine est métissée, assez mince mais avec un bassin large à souhait, poitrine développée, cheveux noirs brillants longs, petits yeux noirs, ce jour là elle avait un tailleur dont la jupe moulante lui arrivait à mi-cuisse.
La femme s’est assise sur un siége en face. Je recommençais à lire mon journal et Ondine fit de même après tout de même avoir longtemps laissé son regard posé sur notre passagère. L’élégance de cette femme et son aspect très soignée me laissait supposée qu’elle ne laissait pas ondine indifférente.

Assise juste a coté de moi Ondine se pencha vers mon oreille pour me dire qu’elle allait au toilette.
Ondine fut de retour à peine deux minutes après et glissa sa main dans la poche de ma veste comme pour y déposer quelque chose. Ayant interrompu ma lecture à ce moment là je vis qu’Ondine s’assit en écartant légèrement les jambes puis les refermant au point que sa jupe se plissa quasiment jusqu’en haut de ses jambes. Ses cuisses basanées, bien charnues et à la peau lisse et brillante se révélèrent au trois quart dans toute leur splendeur (elle n’avait pas de bas ce jour là !). J’ai eu beaucoup du mal à en détourner mon regard (et pourtant je les connais bien pour les avoir vues, caressés et embrassés plusieurs fois !!!).

Je n’avais pas encore compris le manège de ma femme (surtout que je ne lui connaissais pas ses habitudes !) mais quand j’introduisis ma main dans ma poche pour voir ce qu’elle y avait déposé : à ma grande surprise je perçu le contact avec un bout de tissu et, en esquissant un regard discret vers ma poche, je vis les dentelles et ficelles magnifiques d’un adorable string mauve !! Ondine n’avais donc plus rien sous sa jupe !!
Je la regardais, envahi par l’étonnement et, au même moment, je la vis écarter progressivement ses cuisses tout en continuant à regarder sa revue. Ses cuisses étant maintenant suffisamment écartées pour que notre passagère en face ait une vue imprenable sur le sexe d’Ondine (au fait : elle se rase la chatte mais pas totalement, car elle laisse juste les poils au dessus pour former un cœur ! c’est moi qui ait l’agréable tache de le lui dessiner et redessiner périodiquement au rasoir)

Faisant semblant de lire mon journal, je voyais ma femme abaisser sa revue pour que, sans trop avoir à relever la tête, ses yeux puissent se relever et s’abaisser répétitivement afin d’observer, je suppose, les réactions de notre passagère sur le siége juste en face d’elle. J’avoue moi-même avoir jeté un regard furtif sur cette femme et l’avoir vu se mordre la lèvre inférieure, le regard fixé sur l’entrejambe d’Ondine, puis elle a détourné un bref instant le regard, pour de nouveau le ramener vers la caverne de charme de ma femme.

Ondine à ouvert alors encore un peu plus les jambes, au point que sa jambe gauche toucha la mienne et un regard rapide me révéla que sa jupe était remontée encore plus pour être carrément plissée au niveau de ses hanches, me faisant découvrir les poils les plus long peut être de son pubis rasé en forme de cœur. A ce moment là les intentions de ma femme ne laissaient plus de doutes.

La vue de son intimité exposée et la conscience d’un désir, probablement sexuel, qui devait l’animer entraînèrent un début de réaction de ma verge. Je tentais de refouler cette érection car me sachant non défavorisé par la nature quant à la taille de mon sexe -24 cm de long et 5 cm de diamètre en érection – je préfère donc éviter l’érection dans un pantalon et en public car elle est forcement visible ! Méfiez vous ! Cela n’a pas que des avantages! Par exemple pour le rapport anal qu’ondine a toujours refusé estimant, après une tentative qu’elle a trop mal,(ma bite étant trop grosse).

Au bout d’un petit instant après je vis qu’Ondine avais relevé la tête et regardait la passagère, les yeux animés d’un mouvement répétitif vers la tête puis vers le bas ventre de cette femme. Ensuite Ondine détourna la tête vers la droite ou la gauche comme en un mouvement d’impatience pour revenir regarder la passagère et faire son même jeu du regard et ceci au moins six fois. Je me suis demandé si elle ne voulait pas que cette femme lui rende la pareil en lui révélant également son entre jambe !

A une ou deux minutes d’intervalle je jetai un regard furtif vers cette femme. La première fois ses cuisses étaient bien serrées comme au début, mais, à ma grande surprise la deuxième fois elle étaient presque aussi grande ouvertes que celles d’Ondine, révélant une bande de tissu rouge prise dans un somptueux sillon formé par 2 petits renflements de chair crème.

La situation entraîna que je fut envahi par un début d’excitation violente qui me donna une érection incontrôlable que je tentai de masquer avec le bas de mon journal. Un coup d’œil alors vers mon épouse (dont le regard était fixé sur l’entrejambe de sa conquête) me permit de constater sur ses lèvres étaient envahies par un sourire mêlé de douceur et satisfaction profonde au milieu de son visage exprimant vraiment admiration, plénitude et remerciement.

Je ressenti dans la respiration d’Ondine des inspiration fortes et prolongées comme traduisant un désir puissant. La femme en face avait dû comme moi percevoir cela car je vis, d’un petit coup d’œil vers elle, un visage à la fois étonné et troublé.

Pensant que ma présence gênait je me suis levé, en essayant de cacher ma bosse à mon bas ventre et en disant :

 » j’arrive au toilette chérie, à tout a l’heure « .

Les 2 femmes ont refermé leurs cuisses d’un mouvement brusque, et je suis sorti de la pièce.

Plus de 5 minutes après je reviens et trouve les deux femmes assisses côte à côte, enlacées, bouche contre bouche, les mains de l’une dans l’entrejambe de l’autre.

J’amorce, surprit, un retour en arrière en formulant des excuses. Mais ma femme me rappelle en disant :

 » mais non chérie, tu peut rester, tu ne nous gène pas ! Au contraire ! Je lui ais tout expliqué rapidement ! Et comme elle est bi et qu’elle sait que tu es compréhensif, cool et gentil, ta présence ne nous gène pas ! Allez reste et admire si tu veux !  »

Elles continuèrent leurs ébats où elles s’étaient arrêtées. Je m’assieds devant elles sur le siége en face, mais cette fois sans lire mon journal et en regardant franchement. Ondine releva au dessus des seins la robe moulante de la femme, puis quitta sa bouche pour entamer, en s’accroupissant devant elle, une succession de baisers doux aux oreilles, cou, seins, ventre, cuisses de la femme. Puis Ondine se releva et repris le même parcourt mais avec sa langue et en prenant plus de temps, ave délicatesse, surtout au niveau du cou et du nombril. Elles remonta vers les petits seins et pris les mamelons entre ses lèvres, puis elle fit une succession de  » mordillons  » et  » léchons  » sur ces pointes de seins magnifiquement bien proéminentes, sûrement durcies d’excitation, arrachant donc à son amante des gémissements de plaisir.

Alors la tête d’Ondine alla s’enfouir entre les cuisses ouvertes de la passagère.

Ondine lui nettoya longuement l’intérieur des cuisses avec sa langue quand la femme, cambrée sur son siége, attrapa la tête d’Ondine pour la plaquer sur sa vulve. Là je suppose qu’Ondine entama, dans la chatte de sa partenaire, un  » travail  » de langue attentionné d’après les montées et descentes lents de sa tête.
Est-ce pour m’exciter ou pour avoir une posture plus convenable, Ondine, tout en continuant à lécher les parties intimes de la femmes, releva sa croupe me révélant ainsi ses deux paumes de fesses couleur miel de campêche (arbre des mangrove des Antilles dont le miel est plutôt marron clair) en dessous desquelles j’apercevait le sillon de sa chatte entre les deux lèvres un peu charnues et nettement plus brunes. Cela suffit à augmenter au maximum une érection forte qui m’avait repris depuis déjà un bon moment face à ce spectacle lubrique.

La femme s’en est certainement aperçu car elle lança :

 » Ton mari à l’air d’en avoir une bien faite et bien dure, dit ? « .

Ondine se releva et se retourna pour voir, peut-être, qu’est ce qui justifiait cette remarque, car elle me savait incapable de sortir ma verge en érection dehors comme çà sans qu’elle m’y invite et de plus devant une inconnue ! Voyant la bosse provocante sur le pantalon elle répondit :

 » Non seulement bien faite mais je t’assure toujours dur a volonté ! En plus il la nettoie, la parfume pour que j’aie toujours plaisir à l’approcher de ma tête ! Il y passe de la crème pour que la peau soit toujours très douce à la bouche. Et puis comme je préfère les femmes, on n’a pas de relations sexuelles souvent donc il a des réserves et peut, lors d’un seul rapport, faire trois ou quatre  » rounds  » presque l’un après l’autre !!  »

Son amante avait surpris Ondine par la question qu’elle lui lança :

 » On peut vérifier ? On a encore 2 heures de trajet ensemble, autant ne pas s’ennuyer à trois ? Qu’en pensez-vous ?  »

Ondine me regarda avec un regard mêlé d’interrogation et de surprise. J’ai levé les épaules et dit :

 » c’est toi qui décide chérie ! C’est ta conquête, fait comme tu veux, je te suis !  »

Ondine s’avança vers moi et à ma grande surprise ouvrit la braguette de mon pantalon, y plongea la main et sortie ma verge bien gonflée et tendue vers le plafond. Elle plongea encore sa main toujours si douce dans mon slip et fit ressortir mes deux bourses qu’elle laissa retomber, bien visibles sous ma bite. Et Ondine lança à sa partenaire :

« La voilà ! Elle te plait ? Tu peux venir y goûter si tu veux …. Mais pendant ce temps je vais prendre mon pied avec toi !!  »

Et son amante de répondre :

 » Un peu qu’elle me plait !! Déjà qu’on ne voit pas souvent de bite d’homme en vrai et en plus de beaux spécimens comme ça !! Et bien dure déjà sans qu’on ait à la préparer !! Mais je vais pas me faire prier pour venir la prendre de partout car une bite de black j’ai jamais essayé !!  »

Et puis en se levant et venant vers nous, la femme lança en se déhanchant :

 » Ehhh !! Ce soir j’ai la totale !! Première expérience lesbienne et première expérience black !!  »

Ce qui suscita notre surprise à Ondine et à moi !

Comme de peur qu’on se rétracte la femme jeta sa tête vers ma bite en s’agenouillant devant moi et l’enfonça goulûment dans sa bouche. Ondine lui lança :

 » eh bien doucement ma puce elle va pas s’en aller !! Méfie toi si tu y vas trop fort il va venir vite mon mari, car il est trop longtemps sevré !!  »

En disant cela Ondine tira sa jupe mais garda son haut toujours resté ouvert sur ses deux monts de délice. Puis elle se coucha sur le dos de la femme en malaxant ses seins d’une main et le haut de la vulve de l’autre d’un mouvement de gauche à droite rapide. La femme qui avait adouci son va et vient sur ma verge se mit alors à resserrer l’étreinte de ses lèvres et sa langue, crispée sous l’excitation d’Ondine.

 » Houla ! Tu mouilles plus et plus épais que sous ma langue tout à l’heure chérie !!  » Dit Ondine en relevant deux doigts humectées d’un liquide visqueux et légèrement blanchâtre sur la peau basanée de sa main.

Alors Ondine releva la croupe de la femme qui, maintenant, léchait ma bite pour peut être me soulager et ne pas provoquer trop vite mon explosion. Puis Ondine plaça sa tête derrière la croupe de la femme (que je n’ai pas encore eu le plaisir de contempler !) et plongea littéralement le nez et la bouche dans le sillon des fesses. Il me semble que cette situation dura plusieurs minutes, la femme alternant  » léchons  » de la verge et pipe sublime, Ondine travaillant alternativement œillet des fesses et chatte de son amante d’un soir, tout cela dans un chant de soupirs et gémissements étouffés.

C’est la femme qui changea le rythme doux de cette échange en entamant un va et vient d’enfer de sa bouche sur ma bite. Je sentis venir rapidement un éclair de mes bourse vers ma verge en remontant vers ma colonne vertébrale, puis l’explosion en un feux d’artifice de sperme. Peur être pour éviter que je ne me retire volontairement ou par mégarde, la femme empoigna mon bassin qu’elle a retenu pour éviter que ma bite sorte de sa bouche.
J’avoue que cette attitude m’a un peu surpris car Ondine a horreur de recevoir le sperme dans sa bouche et j’ai pris l’habitude de me retirer pour éjaculer à l’extérieur de la bouche !
Ondine justement s’est brutalement relevée et lança :

 » Non !! Tu as tout avalé !! Comment tu aimes ça à ce point !?  »
 » Ah oui !! Super !! Celui là est épicé…parfum un peu fort…exotique ! …….pas mal aussi !! Et puis il y en avait beaucoup !! C’est vrai il ne doit pas décharger souvent ton mec !!! Je me suis régalé !!  »

Ondine, peut être jalouse pris la main de la femme et l’attira a elle en disant :

 » Évidemment mon mari se gave de germe de blé et farine de manioc pour avoir beaucoup de sperme !! Attends !! Tu parles de se régaler et tu n’as pas encore goûté à mon nectar a moi, viens !!! Et fais moi mouiller comme toi tout à l’heure !!  »

Sa partenaire plongeant sa tête vers la chatte d’Ondine réponds :

 » Mais tu est déjà toute dégoulinante et chaude !!!  »

Ondine renchérie :

 » Oui !! Mais fait moi encore plus inonder ta bouche, ton nez, ouiiii !! Fait moi incendier tes doigts, brûler ta langue !!! N’hésite pas à allez chercher en douceur mon petit mont au fond de mon vagin… tu sais … le col de l’utérus où il y a la petite fente … et puis caresse-le, malaxe le…. Que je puisse exploser dans les étoiles… allez chérie !! Fait moi fondre !!  »

La femme s’est alors penché en avant pour commencer à travailler l’intimité d’Ondine de sa langue visiblement experte car Ondine poussa des cris brefs et aigus que je ne lui connaissaient pas !!

Penchée, cette femme me présentait enfin sa croupe d’une adorable couleur crème. Des monts envoûtants avec une peau veloutée. En dessous j’apercevais les deux renflements roses et dentelés de sa chatte. Le spectacle était vraiment irrésistible et je me levai pour entamer une avancée vers cette femme. Ondine avait compris ce qui m’arrivait et trouva la force de me regarder, les yeux embrumés par un ou des orgasmes. Elle me fit signe de la main que je pouvais y aller ! Elle me donna ses feux verts. Est-ce pour me faire plaisir ? Est-ce pour attiser l’excitation de sa partenaire qui alors se libèrerait encore plus et donc pourrait la faire jouir elle au summum ? Est ce pour que la fête soit totale pour nous trois ? Je ne lui ais pas demandé par la suite et je pense qu’il y avait un peu des trois raisons.
Peut être sous l’impulsion de l’accord d’Ondine et excité à l’idée de ce que j’allais vivre et offrir comme plaisir de suite, ma bite retrouva sa dureté quasi instantanément.

J’aurais donc tout de suite pu pénétrer la grotte de délice de la femme, mais j’ai eu envie de goûter le nectar suprême de son orchidée rose aux pétales de dentelle déjà toute aromatisée de la salive d’Ondine. Je vis s’écoulant à la sortie des petites lèvres de la chatte exposée de cette femme une perle étincelante de sa cyprine ? Ou de la salive d’Ondine ? Ou un mélange des deux ? Peu importe je l’ai aspirer en passant ma langue sur les pétales de cette fleur toute chaude. Ma bouche fut envahie par une saveur indescriptible rappelant de lait de coco mélangé à de la vanille le tout épicée. Oui un régal qui me poussa à introduire toute ma langue dans la fente afin de laper tout le reste du précieux nectar abondant offert pour cette orchidée rose.

J’ai fait redescendre ma langue vers le début de sa vulve là où se loge le clito. J’ai joué dessus avec le bout de ma langue et donner des petites aspirations avec mes lèvres. Ensuite toujours avec le bout de ma langue un peu plus haut vers le pubis j’ai entamé un va-et-vient sur un petit bâtonnet dur sous la peau. La femme s’est contractée deux fois et a gémit plusieurs fois. Etrangement Ondine a également gémit !

Ensuite je suis repassé sur la chatte et remonté vers le sillon des fesses. Une odeur envoûtante m’a envahi alors, mélange du parfum de cette femme, de celui d’Ondine qui y est passé tout à l’heure, de l’odeur intime de cette femme, de la salive d’Ondine, et du parfum particulièrement suave de l’œillet des fesses.

Pris dans un tourbillon lubrique, d’autant que les gémissements de ses femmes étaient de plus en plus rapprochées et forts, j’ai caressé avec insistance son sillon et son œillet avec ma langue et en la mettant en pointe je l’ai introduit presque totalement dans le trou. La femme a relevé la tête en poussant un grand soupir de plaisir puis est retombée en introduisant ses doigts dans le vagin d’Ondine qui poussa un  » OUiiii  » révélateur .

Après quelques allers et venues dans la caverne serrée et plissée entre les collines idylliques des fesses de la femme, je suis redescendu humecter abondamment sa chatte de ma salive ainsi que son vagin également avec une langue ouverte et profonde. Ma langue l’a senti brûlante et prête peut être à exploser. Voulant ressentir les contractions de son muscle du vagin sur ma bite lors de son orgasme, j’ai amener ma bite vers sa vulve, bien caressé pendant une ou deux minutes l’entrée de sa chatte, le clito, l’oeillet des fesses avec le gland de ma verge pour accroître son désir de pénétration.

Et puis je l’ai empalée en progressant sans précipitation progressivement jusqu’au fond de son vagin. Elle se redressa de nouveau mais en poussant un cri rauque durant toute la pénétration. Mais, avant qu’elle termine son râlement, Ondine avait ramené la bouche de la femme vers sa bouche comme pour aspirer son cri de plaisir.

Puis Ondine m’a demandé de reculer. Elle a fait la femme se coucher sur le dos et Ondine en me fit signe de la pénétrer de nouveau. Ce que je ne tardai pas à faire entamant un va-et-vient sans précipitation.

Ondine alors a chevauché sa conquête pour placer sa vulve sur la bouche haletante de la femme et entamer un mouvement de haut en bas puis avant arrière de son entre jambe sur la bouche de son amante.
Ma verge semblait en feu dans le vagin de cette femme. J’ai l’impression de pénétrer un four et en même temps elle était humide au plus haut point qui fait que malgré je remplissais totalement le diamètre de son vagin j’allais et venais avec une aisance presque décevante ! !

Je crois que, comme elle l’avait dit avant nos ébats, cette première expérience double excitait cette femme au plus haut point. Je me suis heurté à plusieurs reprises au fond de son vagin ce qui lui a arracha un ouille étouffé par la chatte et les fesses d’Ondine.

Lors du dernier heurt au fond, je me suis arrêté et resté immobile comme ça sans bouger. J’ai ressenti nettement deux contractions de son vagin ce qui entraîna un durcissement de ma bite toujours immobile. Et puis son vagin s’est durcit alors fortement autour de ma bite. Il l’a emprisonné dans une étreinte forte, non seulement empêchant tout va-et-vient mais stoppant nette une éjaculation sur le point de faire exploser tout mon bas ventre. La femme s’est crispée emportée par son orgasme. La conscience peut être que son amante était en train de jouir a fait basculer les dernières retenues d’Ondine qui s’est également contractée, ravagée par des secousses intérieures.

Le vagin de la femme s’est relâché libérant ainsi ma bite qui resta plantée au trois quart bien au fond et lâchant d’un seul coup ma jouissance en une éjaculation en longs jets puissants qui arracha à la femme une succession de  » ouille ! Ouille !! Ouille !  » au rythme des jets de sperme qui devaient percuter le fond de sa grotte d’enchantement.

Nous restâmes ainsi un peu vidées par l’intensité de nos ébats …

Un voix dans l’interphone annonçant l’arrivée prochaine de notre destination nous sorti tous d’une semi torpeur (due aussi à la fatigue d’une journée remplie qui s’achève).

Après avoir retrouvé nos habits et un brin de toilette l’un après l’autre nous avons embrassée notre amante d’un soir qui n’a cessée de nous remercier, nous complimenter et espérer nous revoir. Nous avons tout de même dans cet espoir, échangé nos adresses (Ondine a accepté, ce qu’elle ne fait jamais m’a-t-elle dit pour des femmes avec lesquelles elle n’a pas encore eu une expérience intime. Elle veut savoir si l’autre femme lui plait physiquement, si son felling lui convient, si il peut y avoir harmonie, émotion, échange, plaisir vrai, réciproque, etc…– ce devait être le cas de cette femme !– avant de donner son adresse. …sinon c’est du temps, de l’espoir perdu) Lors d’un prochain voyage peut être ou si notre amante d’un soir passe par la Martinique ….

Depuis cette expérience à trois notre relation a quelque peu changée. Ondine m’implique plus dans sa vie sexuelle et voit, je crois, d’un meilleur œil une relation de tant à autre bi, mais plutôt dans la combinaison deux femmes ou plus et un homme. Mais toujours avec une fréquence énormément plus grande de ses rapports purement lesbiens.
Il n’en reste pas moins que je l’aime et l’aimerais toujours !

A bientôt pour l’une des cinq autres aventures qu’Ondine m’a permis de vivre avec elle, si celle ci vous a plu, faite le nous savoir! :

A la plage
A la cascade
Le fameux bain de minuit antillais avec 3  » sirènes  »
Chez la couturière
Soirée incroyable avec 4 fées
Ondine et moi restons à votre écoute pour tout contact
elie.risil@wanadoo.fr

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2 réponses à Expérience bi dans un train (Ondine, ma femme lesbienne et moi 1) par Elie01

  1. Zoé dit :

    Un texte remarquablement intelligent (en plus d’être follement excitant)

  2. Viviane dit :

    Très bien écrit avec des descriptions superbes, le passage sur les odeurs rectale m’a envoûte

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