En vacances avec ma sœur et son copain.
par christy
J’étais en vacances avec Elodie ma jeune sœur, 22 ans et son copain Vincent. J’ai 32 ans. Nous étions dans la maison de nos parents dans le midi. Mon mari était lui au boulot. Elodie qui est très coquine me taquinait : C’est vrai que ça me touchait et en plus comme ils faisaient du bronzage intégral, je voyais la grosse queue de Vincent et j’enviais Elodie…
Ce jour là alors que nous étions sur la terrasse à bronzer, Elodie, très coquine me dit qu’elle allait me montrer quelque chose que je n’avais jamais fait en amour. Elle chuchota à l’oreille de Vincent qui s’absenta un long moment.
Environ une heure plus tard le spectacle commença. De toute évidence Vincent allait faire l’amour à Elodie devant moi, là sur le matelas pneumatique.
Sa grosse queue allait et venait dans la chatte de ma jeune sœur. Elodie est menue et cela faisait vraiment une grosse bite dans un petit cul. Vincent la ramonait avec des mouvements de grande amplitude. Elodie relevait les cuisses très haut et en dessous du piston qui lui ramonait le vagin, je voyais l’anus de ma sœur. Se faisait-elle sodomiser ? Vu l’anneau plissé et musclé que formait son anus, la réponse était oui.
Secouée par les mouvements de Vincent, Elodie gonflait son anus et elle lâcha même de petits pets. J’étais dans un tel état d’excitation que je commençais à me caresser la chatte en pensant au sphincter anal d’Elodie, gobant la grosse bite de Vincent. La bite de Vincent s’entoura tout à coup d’une bague blanchâtre et visqueuse : il éjaculait à reflux dans le vagin de sa copine. Nadine n’avait pas vraiment joui. Bon alors c’était ça leur truc?
Vincent alors s’ajusta au plus profond dans le vagin d’Elodie et ne bougea plus. Seules ses fesses étaient atteintes de contractions de temps à autre. Réalisant qu’il se passait quelque chose, je m’approchais en m’astiquant la chatte toute poisseuse de mouille. Autour de la bite de Vincent, un écoulement de plus en plus abondant se mit à s’échapper du vagin d’Elodie, toujours encombré de la bite de son copain. Vincent embrassait Elodie qui miaulait en se tordant de plaisir. Sur le périnée de ma sœur s’écoulait la pisse de Vincent, entrainant des grumeaux de sperme de l’éjaculation de tout à l’heure. Du sperme il y aurait fallu plein mon vagin, pour éteindre l’incendie qui y régnait.
Sacrée Elodie ! Elle m’avait mis dans un tel état et j’étais tellement excitée que j’en pissais de plaisir dans mon slip de bain. Cela me dégoulinait sur les cuisses, tandis qu’Elodie se relevait, pinçant les grandes lèvres de son sexe avec ses doigts. Puis face à moi elle lâcha ses grandes lèvres et, dans un bruit obscène, le contenu de son vagin s’échappa et cela fit comme une bouteille que l’on retourne la tète en bas. Elle aussi avait les cuisses ruisselantes de pisse et cela la fit rire de découvrir mon état. Le problème est que je n’avais pas joui et dans un état second je réclamais mon dû.
Elodie avait donné l’ordre à Vincent d’aller reboire une grande bouteille d’eau minérale. Quand il revint, il rebandait presque déjà et je n’eu aucun mal à le faire bander à mort à nouveau en le suçant. Elodie en riant me disait de ne pas insister sinon j’allais me faire « graisser les amygdales » et qu’après il allait me les rincer à la pisse. Cette évocation me faisait mouiller de plus belle, ma mouille me coulait le long de mes cuisses, c’était bon. Je lâchais la queue de Vincent qui me dit de m’allonger sur le matelas pneumatique encore tout chaud et encore tout mouillé. Je vous le répète, nous étions si excitées Elodie et moi que ça ne me faisait rien de me faire baiser par son copain devant elle. Heureusement que mon vagin ruisselait de mouille et de pisse car ça aurait été presque un second dépucelage, tellement la bite de Vincent était grosse. Je mordais mes lèvres quand il me pénétra mais très vite ce fut extra.
J’avais de l’électricité dans la colonne vertébrale tellement le gland de Vincent repoussait loin le fond de mon vagin. Il à bientôt joui en moi, et son sperme à apaisé mon vagin, mais pas autant que la délicieuse inondation du chaud liquide qui suivit. Que c’était bon de se faire pisser dans la chatte. J’étais inondée mais heureuse. Du coup j’ai profité de la largesse d’esprit de ma sœur pour me faire dilater l’anus par Vincent. La sodomie par une bite pareille, je ne vous dis pas. …c’est l’orgasme assuré. Je dois vous avouer que j’ai profité un « max » de ces « colossales » sodomies tout en me faisant pisser dessus ensuite par ma sœur et Vincent. Rien que d’y penser mon anus se contracte de plaisir. Inutile de vous dire que depuis j’en ai parlé à mon mari qui lui aussi n’a pas hésité à me pisser dans la chatte ou le cul en me faisant l’amour.
Au moins l’auteur possède un style ! Quant à dire qu’il est bon, je ne me prononcerais pas !
Au second degré c’es assez tordant
pas mal malgré le style un peu bizarre
On lit de ces choses parfois : « J’avais de l’électricité dans la colonne vertébrale tellement le gland de Vincent repoussait loin le fond de mon vagin ». Ça c’est de la littérature. Sinon c’est pas si mal !
Pas mal, ce petit texte ! J’adore les jeux de pipi. J’aime bien qu’on me pisse sur la bite et dans la bouche