Dumigron à Sevilla
par Dumigron
Attention, âmes sensibles ! Ce récit contient pas mal de scato
Hier soir, j’étais invité à une soirée dans une salle louée à Sevilla par Fédérico Ibanez, un copain artiste peintre. C’est un jeune créateur de 22 ans, il est brun, bronzé, possède de fines moustaches à la Freddy Mercury, il a une jolie bite et des petites fesses musclées avec un trou du cul qui est un régal pour les suceurs de fions. Il peint des corps d’hommes nus sur des fonds psychédéliques.
Comme tous les artistes, il a un petit grain, il a récemment écrit au Vatican pour proposer au conservateur de la chapelle Sixtine d’en repeindre la voûte. Il en est à la quatrième confirmation et fulmine de ne pas avoir de réponse en faisant de grands gestes avec les bras :
– C’est oune complot ! C’est oune complot contre les vrais artistes !
L’ambiance était chaude tout comme le temps ! Les modèles ayant servi à son inspiration et ses réalisations étaient là, se promenant à moitié à poil parmi les invités. Il y en avait des bruns, des blonds, des noirs, des asiatiques… quelques femmes aussi ainsi que des transsexuelles. Toute cette population de joyeux obsédés gravitant autour de moi et le champagne aidant, mon sexe se mit rapidement en érection dans mon jean. (J’étais venu en décontracté, basquets, jean, tee-shirt moulant).
Tout se passait bien, la soirée avançait dans la nuit, des DJ’s prometteurs tentaient de survolter l’atmosphère qui se fit plus intimiste au fil du temps Les modèles dansèrent sur des podiums pendant que nous nous trémoussions à leurs pieds, sauf pour les plus hardis ou plus exhibitionnistes qui les rejoignirent sur les podiums.
Une exhibition étaient prévue, un magnifique black monta sur le podium, finit de se déshabiller et jouât avec sa grosse bite qui se mit à grossir démesurément, puis il se tourna et nous fit des mouvements en se trémoussant avec son cul, il s’écarta ses globes fessiers et s’introduisit un doigt dans son trou du fion sous les applaudissements frénétiques de l’assistance excitée. Il ne quitta pas la scène et fût rejoint par un asiatique nettement moins bien monté, mais mignon. Si sa bite n’avait rien d’une bête de concours, son cul sans poil et enduit d’huile était bien bandant. Il se pencha pour sucer la bite du black. Quand celle-ci eut atteint une rigidité optimale, il se tourna, s’écarta le fion et aida son complice à le pénétrer. Joli spectacle, mais j’aurais volontiers pris la place de cet asiatique.
Je me rends aux toilettes, il y a un petit attroupement autour d’une fausse blonde aux yeux bleus coiffée avec une queue de cheval et complètement à poil, qui accroupie, se fait pisser dessus par trois mecs. Elle a la bouche ouverte et avale tout ce qu’elle peut. Elle me fait signe de rejoindre le groupe. Pas de problème, je sors ma bite et je l’arrose. Assez vite les bites s’arrêtent de pisser, alors la nana choisit l’une des queues et commença à la sucer… et comme ce n’était pas la mienne je sorti des toilettes.
Je me tamponne dans une créature rousse aux seins nus dont j’ignore si c’est une transsexuelle ou une femme. Elle me demande si je veux gouter à sa bite. Répondant par l’affirmative, la rousse soulève sa longue jupe en crêpe et m’exhibe un magnifique gode-ceinture. J’ai beaucoup de perversions mais pas encore celle de sucer du plastique, par contre je veux bien l’objet dans mon cul. J’explique tout ça à la petite dame qui n’attend pas que j’ai fini de lui répondre, me fais me retourner, m’administre quelques tapes sur les fesses, puis s’introduit dans mon fondement. Ce doit être une spécialiste parce qu’elle ne se débrouille vraiment pas trop mal, même si ça ne vaut pas une bonne bite bien en chair. Je l’aurais bien enculé à mon tour, mais quand elle fut lassée de me pilonner elle jeta son dévolu vers la blonde qui sortait des toilettes. Pas bien grave…
Je suis retourné aux toilettes un peu après, forcément quand on boit, on pisse, je m’approche de l’urinoir et mon voisin me propose de me la tenir, ce que j’accepte volontiers, quelques secondes plus tard, il se baissait pour me sucer tout en avalant une partie de ma pisse. Une fille dans le fond dit quelque chose à la cantonade, je n’ai pas compris le début, mais pour la suite elle demande si des gens sont intéressés. Je rejoins donc cette énigmatique personne qui explique qu’elle va chier par terre, mais que si un volontaire veut bien lui servir de réceptacle, ce serait encore meilleur. J’ai failli y aller mais me suis fait bruler la politesse par une belle femme mature qui très vite s’est allongée par terre après s’être débarrassée de ce qui lui restait de vêtements. La fille s’est accroupie au-dessus des seins de la mature et à commencer à chier un long boudin qui se détacha et tomba sur ses nichons. La chieuse avança de dix centimètres faisant chuter le second étron qui lui dégringola sur le visage. La fille se releva et demanda un volontaire pour lui nettoyer le cul de sa langue, rapide comme l’éclair, je fu le premier sur le terrain et m’empressais de lécher tout cela, sa merde avait fort bon goût. Pendant ce temps-là la mature se tartinait le corps avec la matière de sa main gauche tout en se branlant de la main droite et en demandant si on pouvait lui pisser dessus afin de rendre tout cela plus fluide.
Il était quatre heures du matin quand je me suis écroulé dans un sofa (en cuir) dans un coin. Juste derrière celui-ci dans une zone non éclairée deux invités, une transsexuelle black et un blondinet un peu efféminé se branlaient mutuellement et tranquillement. Ce dernier qui me voyait mater depuis cinq bonnes minutes, m’invita à les rejoindre, je vins à leur côté, me laissant déshabiller par ces deux pervers à grosses bites. Mon sexe étant bandé au maximum, la trans black qui se prénommait Georgia me branla rapidement mais sensuellement puis avala mon sexe de tout son long, j’étais aux anges, l’autre, Felipe passa derrière moi, me frotta son sexe sur mes fesses puis s’agenouilla pour me sucer ma rondelle afin de me lubrifier pour me pénétrer d’un doigt puis deux, puis trois. Que c’était bon !
Mon cul se trémoussait de plaisir et mon sexe était prêt à exploser mais les deux se retirèrent à temps pour ne pas me faire éjaculer si vite. Felipe me présenta alors le doigt qui m’avait pénétré et qui était pollué de matière brune, je le léchais bien volontiers pour le rendre tout propre.
Pour patienter Georgia qui me préparait le cul me proposa de la sucer pour le remettre en « forme » et le lubrifier de ma salive pour que la reprise se passe bien. Felipe approcha aussi sa bite que je pris en bouche. C’était génial.
Après m’avoir laissé jouer quelques instants avec leur bite ils repartirent de plus belle là où ils m’avaient laissé, ils me mirent à quatre pattes, Georgia, la trans black couchée devant moi pour que je la suce à fond pendant que Felipe allait me pénétrer. Nous nous sommes rapidement synchronisés pour qu’à chaque pénétration j’avale à fond la bite que l’on me présentait. Nous étions si synchrones que mon cul fut rempli de sperme au moment même où l’autre se déchargeait dans ma bouche, je me sentais plein de foutre mais j’avalais sans broncher
Puis ils s’intervertirent, Georgia me pénétra tandis que Felipe me présentait sa bite toujours encapotée et recouverte de taches de merde. Il se cru obligé de m’xpliquer que c’était ma merde qu’il avait sur le latex et que ça l’exciterait si j’étais capable de rendre propre tout ça, pendant que l’autre m’éclatait le cul avec sa bite démesurément plus grosse que son prédécesseur. Je fis donc comme demandé
Après avoir éjaculé en même temps en moi une nouvelle fois, ils se rhabillèrent et partirent. C’est alors que l’asiatique qui était sur le podium s’approcha de moi, il s’appelait Liou, et me demanda tout de go si je voulais bien l’enculer, mais auparavant, il souhaitait que je lui lèche le fion. Pas de problème, j’adore lécher les fions, je l’humectais bien de ma salive, me régalant de son odeur cacateuse, puis je le sodomisais, cadençant mes pénétrations au rythme de la disco. Ensuite je m’endormis sur le canapé (en cuir) après quelques coupes de champagne (excellent)
Le lendemain matin, ce fut la douceur de la salive de mon pote Fédérico sur mon gland découvert qui me réveilla, nous étions seuls dans son loft. Il s’arrêta de me sucer pour m’expliquer que j’aurais dû l’appeler hier soir lors de mon aventure avec ses deux étalons mais il me dit que désormais je lui appartenais, sauf si j’avais une objection. Je m’aperçu à ce moment-là qu’il m’avait attaché les pieds et poignets au chambranle du canapé comme une bête que l’on sacrifie pour pâture à un ours, et comme je n’objectais rien du tout, afin de lui laisse ses illusions le temps que l’on s’amuse un peu, il se remit à me branler tout en me suçant le bout du gland
Malgré mon réveil proche je me remis à bander fort, il me goba alors le sexe sur toute la longueur puis se retira et parti chercher je ne sais quoi, il revint avec des pinces de dessin pour tenir les feuilles sur son chevalet et me les fixa sur mes tétons, la douleur me fit crier et bander à la fois
Voyant que cela m’avait excité, il m’en plaça une très délicatement sur le frein de mon sexe, ce qui me fit hurler et me tordre de douleur, il la retira rapidement et reprit mon sexe dans sa bouche, sa salive était abondante et ses aller-retour sur mon sexe se faisaient rapidement ne voulant me faire exploser dans sa bouche il arrêta, approcha son sexe de ma bouche pour que je le suce, il me dit de bien le lubrifier car après il me ferait une petite visite rectale
Son sexe grandissait à vue d’œil, il recula, détacha mes liens des pieds, me fit basculer sur le dos jambes vers le ciel, approcha, écarta mes fesses, me cracha sur l’anus puis me pénétra de toute sa longueur, il resta enfoncé jusqu’aux testicules sans bouger pendant quelques secondes et commença ses aller-retour, je le sentais rentrer et glisser avec une facilité déconcertante au fond de mon anus, il vint rapidement dans mon cul se retira puis me fit sucer et nettoyer la capote (décidemment ce doit être une nouvelle mode) des traces de merde puis il s’approcha de mon sexe, le branla quelques instants afin de déclencher l’éjaculation que je contenais depuis le début
Il m’embrassa, me détacha et après une bonne douche commune où après nous être mutuellement pissés dessus comme des petits cochons, je pu jouer avec le jet de la douche sur son sexe, il m’interpella : Cet abruti voulait que je lui signe un papelard officialisant le fait, que désormais je lui appartenais. Je n’appartiens à personne, connard, lui répondis-je, avant de rentrer chez moi satisfait de cette soirée et impatient de repartir pour une autre soirée artistique. (poil à la bite qu’à la trique !)
© Dumigron (prononcez doumigrone en roulant les R)
Une version de cette nouvelle était parue sur le site de revebebe en 2001. Ils ne l’ont pas conservé. Cette republication a été modifié pour le site de Vassilia en 2009 et en 2018
Ecrit sous ectasy ?
Quelle partouze, mes amis, quelle partouze endiablée !
Quelle ambiance. Bizarre que les aspects scatos ne m’aient pas gênés
Bordelique mais délicieusement cochon
Un peu fouilli, tout ça et mal structuré, le gros passage scato aurait du être à la fin et non pas en plein milieu… Mais c’est quand même très bandant
toute une ambiance, un peu confus toutefois
C’est purement mécanique, c’est pas top mal, mais il ya tellement mieux su ce site