Donnant donnant
par Elian_Lvekman
– J’ai une heure avant d’aller à mon rendez-vous. Alors ne me fait pas trop languir.
Laura raccrocha son portable. Elle venait de téléphoner à Bobby le jeune frère de son mari. Elle avait 35 ans et était plutôt grande pour une femme. Elle avait les cheveux châtains et les yeux verts. 15 minutes plus tard ils étaient tous les deux enlacés sur le lit conjugal. Bobby avait 13 ans de moins quelle, il avait été facile à séduire.
– Si mon frère apprenait ce que l’on faisait il nous tuerait.
– J’ai un moyen pour te faire oublier, dit Laura en ouvrant la braguette de son pantalon.
Elle sortit le sexe congestionné du slip et le regarda avec avidité et fierté. Elle le masturba rapidement plus pour durcir le sexe de son amant que pour le faire jouir. Dès qu’elle le trouva très présentable Laura commença à embrasser son ventre, puis elle glissa sa langue sur le nombril de Bobby et couvrit la totalité de son ventre de baisers, il avait comme des frissons qui parcouraient tout son corps. Laura se laissa glisser jusqu’à ce que sa bouche rencontre naturellement le long et puissant sexe et ne l’engloutisse. Elle l’a emprisonné dans sa bouche et le suça goulûment. Laura l’enveloppa de sa langue, lui infligeant un vertige de velours. Elle aspira le membre raidi jusqu’au fond de sa gorge, à s’en étouffer, imprimant à sa tête des mouvements de plus en plus rapides. Bobby se laissait faire savourant l’instant les yeux fermés. Elle le retira de sa bouche, continua avec sa main, faisant danser sa langue un ballet endiablé sur le gros gland.
– J’ai mis des traces de rouges à lèvres sur ta queue, mon chéri ! dit-elle avec amusement.
Elle se redressa et ouvrit son déshabillé blanc. En-dessous elle ne portait qu’un porte-jarretelles blanc ainsi que des bas assortis et des escarpins à grands talons. Elle se mit à genoux comme pour une prière arabe, les bras allongés devant elle ses grosses fesses rondes et charnues posées sur ses talons. Elle releva légèrement sa croupe cambrée et se tourna vers lui.
– Je veux que tu me prennes comme ça, je veux te sentir très fort dans mes fesses, pour qu’à chaque instant quand j’aurais mal je penserai à toi.
Bobby se glissa derrière son amante son sexe dans sa main, et le présenta à l’anus largement ouvert et il se laissa tomber de tout son poids. Il l’embrocha jusqu’à la garde comme s’il venait d’enfoncer un trépied dans le sol, il ne s’arrêta que lorsque son ventre musclé fut collé aux fesses dures de Laura. Elle poussa un long soupir ravi.
– C’est meilleur comme ça ! murmura-t-elle. Déchire-moi comme tu sais si bien le faire.
Il se laissa aller sans retenue, son bas-ventre claquait contre les fesses rondes et fermes, violant les reins offerts aussi loin qu’il le pouvait. Jamais elle n’avait ressentie une telle sensation de plénitude, les 25 centimètres du sexe infatigable de son beau-frère devaient y être pour quelque chose. Laura répondait à chaque coup de boutoir par un feulement rauque. Pour lui, elle avait commençait à faire de la gym pour avoir des fesses plus fermes lorsqu’il la sodomisait, il la prenait ainsi à chacune de leur rencontre. Laura hurlait sans discontinuer, elle chassa de son esprit l’image de son mari qui ne l’avait jamais culbuté ainsi, et se contenta de jouir sous les coups de boutoir. Elle avait toujours été friande de sodomie, les longues années de mariage avait refroidi le feu qu’elle avait au fond de ses reins. Bobby continuait ses longs va et vient entre les fesses superbes de sa belle-sœur.
– Continue ! Ah, tu me déchires, tu… tu me fais mal, c’est booon… Aaah…
Il se mit à se démener entre les fesses charnues, comme s’il voulait les écraser, les aplatir, les faire exploser. Il avait l’impression de devenir dément. Laura avait pris ses fesses à pleines mains et les écartait encore plus pour qu’il la sodomise mieux. Bobby rebondissait sur les grosses fesses, il était presque devenu un homme primitif qui était dominé par ses pulsions par ses instincts. Un homme animal qui pourfendait une femelle en chaleur. Il se tenait fermement à ses épaules la maintenant au sol. Il sentait la jouissance monter de ses reins. Il donna encore quelques furieux coups de butoir et se répandit dans les reins gracieusement offerts en poussant un hurlement. Il avait l’impression que c’était sa moelle qui se déversait. Qu’elle l’aspirait. Il se retira de cette croupe accueillante et contempla l’œil brun, source de délice anale, ouvert et distendu de sa compagne, d’où suintait quelques gouttes de sperme.
Comme souvent son sexe n’était pas ressorti intact de cette folle chevauchée. Du sperme mais aussi des traces brunes. Cet état ne gênait point Laura qui prenait un malin plaisir à narguer son amant en lui nettoyant tout cela de sa langue agile.
– On a plus le temps ! Indiqua Bobby voyant ensuite Laura farfouiller dans son sac.
– Si ! Répondit-elle sèchement.
Elle s’harnacha de son gode ceinture, et lui fit face, crânement.
– Suce, suce cette bonne bite !
Sans conviction excessive, Bobby entreprit de faire un simulacre de fellation au sex-toy en latex noir de bonnes dimensions que son amante avait accroché entre ses cuisses, puis sans qu’elle ne lui demande il s’allongea sur le dos et releva ses cuisses afin de faciliter la pénétration. Laura commença à embrasser ce charmant anus qui s’exposait à ses yeux, puis elle sortit sa langue, exerçant de savantes circonvolutions afin de la forcer à s’entrouvrir, ce qu’il finit par faire. Elle introduisit alors un doigt, puis un deuxième, les fit aller et venir, provoquant des ondes de plaisir chez son amant.
– Alors, tu le veux ? demanda-t-elle
– Oui, vas-y ?
– Demande le moi mieux que ça !
– Enfonce-moi ton gode, Laura
– Plus crûment !
– Encule-moi !
Après avoir tartiné de gel le fondement de son amant, elle fit pénétrer le gode d’un mouvement sec, avant de le faire aller et venir.
– Qu’est-ce que c’est bon ! C’est bon, c’est trop bon ! Psalmodiait-il.
– Qu’est ce qui est donc si bon ?
– Ce que tu me fais ?
– Et je te fais quoi ?
– Tu m’encules !
Du sperme finit par s’écouler du sexe semi-bandé de Bobby.
– Alors ?
– Je ne te remercierais jamais de m’avoir fait découvrir ce plaisir !
– Un jour je tacherais de te dégoter une vraie bite, ça sera mieux que le gode !
– Il n’en est pas question !
– On dit ça, on dit ça !
FIN
Rewriting d’une nouvelle non signée titrée » Gail » parue sur SophieXXX en 1999. Le style d’origine a été respecté.
L’amicale des mesureurs de longueur de bites a encore frappé
on devrait distribuer des godes à chaque mâles !
Bonne idée !
En revanche mettre un lien vers votre site qui n’est pas gratuit n’était pas une bonne idée alors on l’a effacé !
Bises !
ben oui, c’est tellement bon de se faire mettre un bon gode dans le cul