Découvertes sexuelles en Grèce
par Jean-Jacques
Voilà ! Il fallait que j’aille en Grèce retrouver une bande d’amis partis de Paris 15 jours avant moi, car j’avais été retenu à Paris pour un stage dans une entreprise.
De ce fait, étant seul dans ma voiture pour effectuer ce voyage, j’ai recherché des passagers et j’ai trouvé par l’intermédiaire d’un bureau d’aide sociale pour les étudiants deux filles étudiantes, l’une de 22 et l’autre de 23 ans à Paris qui devaient elles aussi se rendre en Grèce pour leur vacances.
Nous voilà donc parti tous les trois de Paris en voiture. Nous nous sommes rendu directement dans le sud de l’Italie, et là, au moment de traverser une tempête en mer nous a bloqué sur place pendant trois jours. Le soir nous dormions sous une tente que m’avait prêtée un ami.
Ces deux filles qui m’accompagnaient étaient très volages un peu lesbiennes, elles se sont embrassées souvent pendant le voyage, ce qui me distrayait de la conduite. Et le soir, sous la tante, elles se caressaient les seins et même le sexe, et parfois toute nue se faisaient l’amour.
Pour moi, garçon de 25 ans, qui assistait et était présent à ces débats, je n’en perdait pas une, c’était assez cocasse. Mon maillot style taille basse devenait bien souvent trop petit car je me foutais à bander, ma verge en sortait, ce qui amusait les filles, et à leur demande, et parce que aussi j’en avais bien envie, je m’abandonnais à un plaisir solo.
Je me caressais et me faisais éjaculer. A la vue de ce spectacle elles prenaient leurs pieds.
Parfois, Chantal qui était dominatrice avec Françoise, s’occupait aussi un peu de moi .Elle me caressait et me suçait et me disait que ‘’ c’était très agréable de se laisser faire par une autre personne surtout quand cette autre personne était du même sexe’’
Je ne comprenais pas du tout pourquoi elle me disait cela, et je pensais qu’elle voulait assumer ses relations avec Françoise sa copine.
Un soir, quand elles se sont mises à faire l’amour, alors que j’étais en pleine érection et que je me caressais, elle est venue sur moi toute nue, et à Cali fourchon, a pris ma verge bien raide et se l’ai placée à l’entrée de son vagin. (Elle m’a violé pour ainsi dire) très peu de temps après, avec ses mouvement de va et viens, j’ai donc éjaculé dans son vagin, et c’est ce qu’elle voulait.
Un autre soir, elle s’est mise à me sucer jusqu’à ce que je lui éjacule dans la bouche, et avec mon sperme dans sa bouche, elle est venue m’embrasser sur la bouche après en avoir laissé dans la bouche de Françoise.
Un autre soir encore, elle m’a fait faire l’amour avec sa copine Françoise, et pendant que je pénétrais Françoise, et la limait elle me caressait les fesses, elle les écartait bien pour me caresser la raie et tout en me caressant le tour de l’anus et aussi les testicules, elle a enfoncé un doigt dans mon anus et me caressait ainsi l’intérieur de l’anus et la prostate, ce qui favorisait l’éjaculation.
Quand j’ai éjaculé, et quand je me suis dégagé du vagin de Françoise, elle s’est mise à lécher et sucer le sexe de Françoise, et me venait aussi me sucer en même temps.
Elle aimait bien mon sperme, son odeur, son arôme et son effluve disait-elle.
Françoise elle faisait un peu la grimasse, elle n’avait pas l’air de tellement aimer le sperme.
Un soir, toujours Chantal, elle me fit mettre à quatre pattes, et demanda à Françoise de me sucer et pendant ce temps, elle me caressa la raie des fesses, les fesses et le tour de l’anus, j’ai eu l’impression qu’elle me le lécha aussi, et elle pris un tube de gras pour la peau (huile solaire) et m’en mis sur l’anus. Je me demandais ce qu’elle allait faire, alors tout en me disant qu’elle aimerait m’enculer, elle enfonça un doigt puis deux puis trois, et elle me dit alors que j’étais un enculé le temps qu’elle avait ses doigts dans mon anus. Cette réflexion me procura un certain plaisir, elle s’en aperçu lorsque je me suis mis à éjaculer.
Et me répéta alors ‘’que faire l’amour avec une personne du même sexe c’était très agréable.’’
Je ne comprenais toujours pas pourquoi elle me disait çà, car elle était une fille et que faire des fantaisies avec une personne du sexe opposé, çà donne des sensations même si c’est parfois surprenant.
Le voyage continuant paisiblement et sereinement, un jour, nous arrivâmes à Athènes.
Là, en visitant le musée de la ville, Chantal et Françoise tombèrent sur deux jeunes amis de faculté.
Ces garçons sensiblement de mon age, avait l’air très sympa, et les filles ont proposé à Raimond de finir son voyage avec nous, car il était là avec un de ses copains ami qui devait rentrer sur Paris pour un deuil, et comme il restait une place dans la voiture c’était pour lui l’occasion unique de continuer la visite de la Grèce.
Nous voilà donc tous les quatre parti pour le cap Sounion au sud du pays.
Le soir, sous la tente, les filles ne se gênaient pas pour s’envoyer en l’air. Bien au contraire, avec du recul, je pense qu’elles le faisaient exprès pour nous exciter.
Je pensai alors que nous regardions tous les deux Raymond et moi-même avec une certaine envie et de les sauter toute les deux. Je ne savais pas….
Chantal, se rendant compte de mon état, (en pleine érection) et me dit alors que Raymond était homo, et qu’il avait très envie de moi. Je fus très surpris par ces propos, et ne m’était nullement aperçu de l’homosexualité de Raymond.
Elle me rappelait alors ‘’que de se laisser faire par une autre personne du même sexe, c’était très agréable’’, et que vu les circonstances, il fallait que je saisisse l’opportunité qui ne se représenterait pas de si tôt pour essayer.
Elle pris alors l’initiative de faire sauter l’agrafe de coté droit de mon maillot qui tomba et pris aussitôt la main de Raymond et la pausa sur mon sexe ainsi dénudé.
(Très certainement, le stratagème avait été mis au point avant entre tous les deux).
Toujours est-il que la sensation ainsi procurée a été très forte. J’ai senti cette main qui me prenait la verge, qui me caressait les testicules, et quelques secondes après, j’étais en pleine érection.
Avec ma bite bien en avant, Raymond me caressait la verge en tourbillon de haut en bas avec beaucoup de douceur. Par défaut de lubrifiant, Chantal lui plaça de l’huile de bronzage dans sa main, c’était encore plus doux. Cette douceur accapara complètement mon esprit, ce qui me poussa à être particulièrement docile et me laisser faire jusqu’au bout. Je sentais une grande sensation monter en moi, je sentais ma verge se remplir et d’un seul coup, ne pouvant pas me retenir, je me suis mis à éjaculer, çà n’en finissait pas. Il y a bien eu six ou sept jets. La toile de la tente a été aspergée, et mon ventre était aussi recouvert de mon sperme. Ça été une sensation que je n’avais jamais ressenti. Je crois que je n’ai jamais autant fabriqué de sperme et comme un fait exprès, toujours Chantal, devant le volume de sperme étalé sur mon ventre, me dit alors,
‘’ Tu vois bien que c’est bien plus agréable de se laisser faire par une personne du même sexe’ et de jouir ainsi que lorsque tu te le fais tout seul. Il y a à peine deux gouttes ».
Il est vrai que j’avais eu une sacrée éjaculation, et que j’avais envie de recommencer.
Deux ou trois jours passèrent ainsi, et un soir, alors que Raymond me suçait, et venait de me faire éjaculer, Chantal me dit alors, il te donne beaucoup de plaisir, tu devrais tout de même le lui rendre et lui en faire autant. Il te suce, tu éjacule dans sa bouche, alors retourne toi et fait lui ce qu’il te fait. Sans réfléchir, je lui baissais son maillot, je lui pris la verge, la décalotta et pris son gland dans la bouche. C’était la première foi que je suçais la verge d’un garçon. La douceur de la peau du gland qui grossissait dans ma bouche me surpris, je ne m’attendais pas du tout à cette impression. Cette verge était particulièrement lisse et douce. Tout en le suçant, alors que je rêvais à autre chose érotique dont je ne me rappelle pas, je fus surpris quand ma bouche se rempli de plusieurs jets d’un liquide chaud et un peu gluant. C’était bon, ça ressemblait à un dessert. Un peu comme une crème anglaise mais avec un autre goût.
Un instant, je me suis demandé ce que c’était. C’était bien son sperme. Le tout premier sperme que je recevais dans la bouche, et cela me paraissait tout a fait normal, et j’ai ressenti aussi tôt un sentiment de grande liberté, tout comme si je venais de faire quelque chose que tout le monde ne peut pas faire. C’était ma toute première pipe.
Le lendemain, nous nous sommes sucé en même temps, et lorsque j’ai éjaculé, il a aussi éjaculé dans ma bouche en même temps. Je me suis dit alors que j’avais été idiot de ne pas avoir essayé avant, car c’était tout de même très bon, et bien différent d’avec une fille.
Nous relevant, toujours Chantal nous dit : « embrassez-vous » et prenant nos têtes, pour les rapprocher. Nous nous sommes embrassés et elle nous disait « mélangez bien votre sperme ».
Pendant que nous faisions notre 69, elles se caressaient, et jouissaient presque autant que nous deux sinon plus.
Chantal disait qu’il fallait parler franchement de sa sexualité, et elle en parlait. Echanger des idées, faire des essais, et qu’ainsi, on obtenait de plus grandes jouissances et que l’on ressentait un grand sentiment de liberté. L’attrait de l’inconnu étant très excitant disait-elle.
Et c’est vrai. Elle était un peu experte dans la question, car elle étudiait la psycho, et pour elle, en parler librement c’était faire un bon en avant.
Elle avait voulu faire un essai sexuel avec une lesbienne qui l’avait initié, et elle disait que çà lui avait apporté une certaine expérimentation qui lui avait été très profitable.
Elle disait avoir des jouissances bien différentes si c’était avec un garçon ou une fille
Pour mon compte personnel, la première éjaculation que m’a fait avoir Raymond en me masturbant, a été sensationnelle, et il est vrai qu’après avoir reçu mon premier sperme dans la bouche, j’ai ressenti ce sentiment de grande liberté dont elle nous parlait souvent. Je venais de faire quelque chose que tout le monde ne fait pas. J’avais bravé l’interdit.
Il est incontestable qu’elle était la meneuse du jeu. Est-ce par voyeurisme simple ou pour parfaire ses idées et ses connaissances sur la sexualité de groupe.
Toujours est-il qu’un soir, la conversation s’est dirigée sur la sodomie, et le plaisir anal.
Il fallait s’y attendre, et c’était peut-être là le summum de sa recherche.
Voir un sexe masculin, une verge bien raide rentrer dans l’anus d’un garçon et suivre la relation et la jouissance dans l’anus jusqu’au bout, et jusqu’au retrait de ce sexe.
Elle nous dit avoir cherché un garçon pour la sodomiser. Pour elle, si les homos y trouvaient du plaisir, il fallait qu’elle y en trouve aussi. Elle a donc essayé, et elle nous dit avoir été déçue. L’acte s’était passé trop vite, l’introduction avait été douloureuse, car l’homme était un peu brutal.
Sur ces paroles, je lui ai proposé Raymond, qui n’était pas à sa première expérience.
Raymond oui, me dit-elle, mais nous allons établir un programme.
Je préfèrerais une expérience de sodomie avec toi, car il faut que tu découvres aussi ce plaisir s’il doit y en avoir un. Tu me sodomises en premier, et après tu sodomises Raymond qui à son tour, te sodomisera.
Tout ce programme m’affola un peu et je sentis un frisson à l’idée que mon tour allait arriver, et que çà pourrait me faire mal.
Cette pratique ne date pas d’hier, elle fut pratiquée à toutes les époques et sur bien des continents depuis l’antiquité, et surtout par les Grecs qui se ventaient d’avoir inventé la douceur.
Toujours est-il que mon tour est arrivé, et j’éprouvais une certaine panique, mais aussi je voulais tout de même essayer.
La pénétration anale apportera du plaisir, nous disait Chantal, à tous ceux qui suivent quelques principes simples. Tout d’abord en avoir envie. La pénétration anale ne pourra apporter du plaisir que si elle est désirée. Il faut alors bien lubrifier cet anus et aussi la verge.
J’avais bien vu ma verge rentrer dans l’anus de Chantal, quant, j’en suis ressorti, son anus était bien ouvert en rond. Çà m’avait sacrement excité, et je me disais que ce serait pareil pour moi.
J’ai à mon tour sodomisé Raymond, sans savoir vraiment comment le faire sérieusement. Peut-on aimer çà.
Chantal me dit alors : au-delà de la sensation physique très agréable, plusieurs facteurs peuvent entrer en jeu. Le sexe anal est une pratique différente à découvrir, et la nouveauté est bien souvent excitante. Il donne aussi l’impression enivrante de vivre une sexualité plus extrême, et l’excitation peut également venir du plaisir de transgresser l’interdit.
En fait, le plaisir de mon éjaculation dans l’anus de Raymond a été le même qu’avec Chantal, à la différence prés que pendant que je limais, Raymond étant sur le dos, je voyais très bien son sexe en érection, et c’était tout de même plus excitant que de voir un sexe masculin bien raide que de voir un sexe de fille.
Et maintenant, c’était à mon tour d’y passer, il me fallait remplir mon contrat et respecter l’ordre du jeu. J’avais un peu peur, mais je voulais tout de même essayer.
La pénétration anale me répète Chantal, ne pourra apporter du plaisir que si elle est désirée, et pour susciter cette envie, il faut en parler. Tout d’abord, il faut que l’anus soit bien lubrifié et elle s’y employa. Elle dit alors, qu’il fallait caresser très doucement la raie des fesses, puis le tour de l’anus et enfin, l’anus lui-même, zone très sensible, et alors je devrais commencer à ressentir une sensation chaude très excitante.
Je voulais me prendre une verge dans l’anus. C’était pour l’instant un désir très fort.
Le temps était mauvais, il pleuvait et nous avions pris deux chambres dans un hôtel.
Sur une table, je m’étais installé allongé sur le dos et mon anus me démangeait. Il fallait s’en occuper. Les filles me prirent les jambes en les tenant en l’air bien écartées. Raymond me caressa tout doucement le tour de l’anus que Chantal avait copieusement arrosé d’huile de bronzage ce qui me donna un plaisir intense et extrême, puis y rentra un doigt, et avec un mouvement de va et vient, et me remis de l’huile de bronzage comme lubrifiant dans mes fesses et sur sa verge. Il la présenta et me toucha en me caressant l’anus tout au tour avec le gland de sa verge bien raide. Cette caresse en rond a été très agréable. Il m’écarta bien les fesses, et commença à pousser tout doucement pour rentrer tout doucement son gland. J’éprouvais un immense plaisir de sentir mon anus s’écarter, et de recevoir sa verge.
Chantal dit alors : « çà y est, çà va rentrer, vas-y doucement, ne lui fait pas mal »
A ce moment, j’ai donné à ce moment un coup de rein pour que toute sa verge rentre bien, et alors j’ai ressenti une petite douleur, mais la sensation du plaisir est vite devenue supérieure à cette douleur. Je sentais très bien sa verge dans mon anus, c’était un moment intense, extrême, d’une grande intimité de liaison et d’union. J’étais tout de même fier à ce moment d’avoir une bite dans le cul, et je dis alors aux filles, regardez bien, j’ai une bite dans le cul.
Je suis un enculé, et vous le dire me procure un grand plaisir.
Il limait doucement, lentement, c’était très agréable. Je sentais très bien sa verge sur les parois de mon anus, j’ai eu une vision et un désir : éjaculer en même temps que lui.
Chantal qui me caressait entre les bas des testicules et l’anus, et se masturbait en même temps. Françoise elle aussi se masturbait.
D’un coup, Raymond me dit alors,
« C’est merveilleux, je ne pensais pas que de te baiser, ce serait aussi bon. Ton anus est merveilleux, très bon, et ton sexe me plait beaucoup, je vais jouir, çà arrive »
…et j’ai senti comme une décharge électrique dans le derrière, j’ai ressenti aussi mon sperme arriver, c’était chaud, et je me suis mis à éjaculer sur mon ventre alors que Raymond éjaculé dans mon anus. C’était merveilleux. Je venais de jouir et d’éjaculer alors que j’étais enculé. Nous avons joui tout les deux en même temps. Quant Raymond se retira, j’ai senti que son sperme sortir de mon anus et couler dans la raie des fesses, et les filles se mirent à jouir elles aussi.
Depuis, hé bien, j’aime faire l’amour avec des garçons. Eux seuls savent caresser, sucer, j’aime aussi me faire prendre, et parfois j’en jouis comme pour la première fois. Mais j’aime bien aussi baiser et jouir dans l’anus de mon partenaire ou de ma partenaire si c’est un travesti. Maintenant, par moment, je préfère les garçons aux femmes. C’est peut-être d’après cette sacrée expérience, que j’apprécie la présence féminine dans une relation sexuelle avec un travesti ou un homo.
Il m’est arrivé aussi d’avoir une relation sexuelle avec deux travestis et un ou deux homo, mais le plaisir n’est pas le même. Le summum, c’est quand une voie féminine dit « tu as un verge dans l’anus qui va éjaculer et tu es donc un enculé ». C’est un moment unique, très personnel, très intime, et qui donne un plaisir immense à tous ceux qui partagent ce moment.
Très maladroit, pas relu, en un mot : pas terrible