La boutique fétichiste par Gaston01


Cette histoire commence il y a quelques mois… Cela faisait déjà quelques temps que j’étais attiré par le fétichisme sans vraiment savoir ce qui m’intéressait, cela restait un fantasme et je ne pensais pas aller un jour plus loin.

J’ai visité pas mal de site Internet et forums traitant du sujet et finalement j’ai découvert une boutique qui vendait toutes sortes d’accessoires dans la ville ou je travaillais. Le magasin se trouve dans une galerie commerçante à trois rues de mon boulot. Un jour, prenant mon courage à deux mains, je décide d’aller voir à quoi il ressemble, je passe une première fois devant la vitrine et jette un oeil discret. Deux minutes plus tard, je passe une seconde fois et regarde la vitrine de manière un peu plus appuyée, j’ai juste le temps d’apercevoir quelques tenues latex, menottes, cuissardes et autres gode-ceintures, à la troisième fois le commerçant de la boutique d’en face me regarde avec un sourire en coin. Etant d’un naturel très timide, je décide de revenir un autre jour….

Le surlendemain je recommençais le même cinéma toujours sans oser franchir le pas de la porte. Après quatre jours de ce manège, me revoilà devant le magasin, la peur au ventre, après m’être assuré pendant dix minutes que personne ne me regarde, je finis par entrer dans le magasin.
A l’intérieur je n’aperçois personne, un peu soulagé j’en profite pour jeter un oeil aux différents étalages. Je découvre des tenues latex, des cagoules etc. comme j’en ai avait si souvent vu sur Internet, une voix me fais sursauter;

– Je peux vous aider ?

Surpris je bafouille un peu

– Euh… je, je fais d’abord un tour pour me faire une idée.

La vendeuse, plutôt jolie, environs 30 ans, une jupe mi-longue sur des talons d’une dizaine de centimètres, un petit pull noir ras du coup et assez moulant laisse deviner sa poitrine généreuse, me répond

– Faites a votre aise et si vous avez des questions n’hésitez pas.

Cinq minutes plus tard la vendeuse revient.

– Tout se passe bien ?

Je lui réponds que je suis un peu novice et que plusieurs choses m’intéressent, je voudrais essayer une tenue, une cagoule ainsi que quelques articles de bondage, tel qu’un grand gant en cuir servant à lier les mains ensemble dans le dos

– Aucun problème, cette tenue devrait être à votre taille, vous pouvez également essayer cette cagoule, allez dans la cabine d’essayage à l’étage je vous apporte tout ça.

Je vais donc à l’étage, je me déshabille et passe la combinaison en latex, quelle sensation étrange, comme une seconde peau. Il y à une fermeture éclair au niveau de l’entrejambe et une dans le dos. Ne sachant pas fermer cette dernière, je fais appel à la vendeuse qui vient m’assister. Elle m’aide ensuite à passer la cagoule qu’elle ferme à l’aide d’un collier rigide de 5 cm de large. C’est tout juste si je peux encore baisser mon menton. La cagoule est pourvue de deux orifices pour le nez, un pour la bouche et deux pour les yeux qui eux sont fermés, je me retrouve dans le noir le plus total. Elle me passe ensuite le gant et le lace dans mon dos.

– Je vous abandonne un quart d’heure, ainsi vous pourrez vous faire une idée convenable de la tenue que vous porter. Si il y a quoi que ce soit vous m’appelez, je suis en bas, n’hésitez pas à crier.

Je me retrouve donc tout seul, aveugle dans ma cabine d’essayage, ce qui a pour effet d’attiser mes fantasmes, un tas de choses me passe par la tête et je commence à sentir une érection. A ce moment j’entends comme un frottement, le bruit est étouffé par la cagoule, je retiens ma respiration et me concentre pour écouter, mais je n’entends plus rien.
D’un seul coup, je sens que quelque chose est accroché à l’anneau du collier qui ferme la cagoule. J’essaye de faire un pas en arrière, mais je ne peux pas, retenu par le collier, surpris, j’ouvre la bouche pour crier, mais je n’en ai pas le temps un bâillon est enfoncé dans ma bouche. Ensuite une voix de femme.

_ Je t’ai entendu avec la vendeuse, tu es novice et tu veux découvrir les plaisirs du latex et du bondage et bien je vais te donner ta première leçon. Si tu es d’accord, et je te promets tu prendra ton pied, hoche de la tête, sinon je t’abandonne là avec le bâillon et la vendeuse viendra te libérer quand elle se rappellera à toi.

Mon coeur bat la chamade, j’ai à la fois peur et je suis en même temps super excité. Après un instant de réflexion je hoche la tête.

– Bien, Tu vas voir, tu vas jouir comme jamais tu n’as joui.

Je sens mes bras, pris dans le gant de contrainte, tiré vers le haut ce qui à pour effet de me plier en angle droit. Mes pieds sont ensuite attachés aux extrémités d’une barre métallique écarté d’environs un mètre. Je sens ensuite la fermeture éclair entre mes jambes s’ouvrir. Un gant de latex passe entre mes jambes et se referme sur mes testicules, les caresse un peu et puis se dirige doucement vers mon sexe qui est déjà au garde à vous.

– Ça à l’air de te plaire, mais sache que ce n’est que le début. Je t’interdis de jouir sans mon autorisation.

Le gant de latex revient doucement vers l’arrière, un doigt vient se poser sur mon anus. Je voudrais protester, mais j’en suis incapable du fait du bâillon, je ne peux que pousser un gémissement.

– Ne proteste pas, tu as accepté de te donner à moi alors je te prendrais jusqu’au bout.

Je sens le doigt exercer une pression sur ma rosette puis relâcher et ainsi de suite jusqu’à ce que mon intimité lui cède le passage. Je pousse encore un gémissement, mais plus de surprise que de peur cette fois ci. Le doigt fait quelques aller et retour puis s’en va. Je sens comme un liquide froid sur mon anus.

– C’est de la vaseline, ça facilitera le passage.

Je sens effectivement le doigt de latex rentrer tout seul dans mon anus cette fois-ci. Un deuxième doigt vient vite le rejoindre et je sens une étrange sensation m’envahir, mon érection se fait de plus en plus forte. Si elle continue je vais jouir sans qu’elle ne me touche le sexe. Un troisième doigt vient élargir encore plus le passage, je suis sur le point de jouir lorsqu’en une fois elle retire ces doigts.

– Je vois que ça te fait de l’effet, c’est loin d’être fini. Je vais maintenant te retirer le bâillon si tu cries ou que tu dis quoi que ce soit je t’abandonne là et à toi de te débrouiller après. Compris?

Je hoche à nouveau la tête et elle me retire le bâillon boule déjà tout visqueux de ma salive. Il est a peine retiré qu’elle m’y enfonce ce que je reconnais être un gode bien profondément.

– Suce le bien, après il sera pour ton petit cul. Tu sais, s’il y a bien quelque chose que j’adore c’est voir un homme qui suce mon gode-ceinture.

Complètement soumis, attaché, je ne peux que suivre le mouvement de va-et-vient qu’elle m’inflige. A chaque va-et-vient je sens le gode s’enfoncer au plus profond de ma bouche. Elle s’enfonce si loin que plusieurs fois, j’en ai des hauts le coeur. Après quelques minutes de se traitement elle se retire et vient poser son gode sur mes fesses. De nouveau ce liquide froid et visqueux et puis je sens l’engin, bien plus large que ces trois doigts rentrer en moi tout doucement. Bientôt je sens la fixation du gode ceinture contre mes fesses. Tout à coup la vendeuse m’appelle.

– Tout va bien monsieur?
– Réponds! Dis lui que tu veux encore en profiter chuchote-t-on à mon oreille
– Oui, tout va bien je vais encore rester ainsi, je vous appellerai pour me détacher.

J’entends le pas de la vendeuse s’éloigner et directement ma tortionnaire commence un va-et-vient bien appuyé. Après une dizaine de coups de boutoir, je sens ma semence monter et je ne peux m’empêcher de jouir tout en poussant un râle à moitié étouffé. Ce dont bien sur elle se rend directement compte. Elle sort son gode de mon anus et me dit.

– Je ne t’ai pas autorisé à jouir.

Elle détache la chaîne qui tirait mes bras vers le plafond, je sent le sang qui se remet à circuler dans mes bras, mais n’ai pas le temps d’en profiter car déjà elle me force à me mettre à genoux et pousse ma tête vers le sol.

– Lèche!

Non sans être dégoûté, je me mets docilement à lécher ma semence.

– Avale! Et maintenant pour t’excuser tu vas encore me lécher les bottes.

Je commence à lécher la botte qu’elle me présente en commençant par le point, je remonte, continue sur les talons qui sont apparemment vertigineux.

– Assez! Retourne toi!

Je me retourne et lui offre a nouveau mon cul et là ce n’est plus sont gode que je sent s’enfoncer en moi mais bien une forme conique jusqu’au moment ou mon anus se referme en même temps que l’engin se rétrécit.

– Je t’ai mis un plug. Je veux que tu le gardes en toi jusqu’à ce soir, je vérifierais…

Mon sang ne fait qu’un tour. Est ce que cette femme me connaît ?

– Ça t’a plu?
– Oui
– Oui qui?
– Je ne sais pas. Répondis je
– Appelle moi Maîtresse
– Oui Maîtresse.

Elle referma ensuite la fermeture éclair et me dis:

– Dans 10 minutes la vendeuse viendra te libérer, n’oublies pas de garder ton plug je vérifierai.

Les dix minutes qui suivirent me parurent une éternité. Toute une série de question me passaient par la tête, qui était cette femme? Me connaissait elle? La vendeuse arrive finalement, me détache le collier, me retire le masque, il me faut un certain temps pour m’adapter à la lumière. Elle ouvre la fermeture éclair dans mon dos et me demande avec un grand sourire

– Ça vous à plus?
– Je lui réponds c’est parfait

Je me rhabille et je descends avec tout mon attirail sous le bras. Le plug, par une étrange sensation me rappelle les instants que je viens de vivre. J’arrive prêt de la vendeuse qui me fait :

– J’emballe tout? Madame a déjà tout réglé, même votre petit accessoire.

Je ne sais plus quoi dire prends le paquet et quitte le magasin.

A suivre.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à La boutique fétichiste par Gaston01

  1. Dominique dit :

    Frustrant de ne pas pouvoir lire la suite
    Il y avait pourtant là tous les éléments d’un bon récit…

  2. Eddy dit :

    Et on attend toujours la suite…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *