Confessions bitophiles – 4
Les rencontres de Norbert
J’ai découvert votre site il y a peu de temps et je l’ai trouvé très ouvert et très diversifié.
Je voudrais apporter mon témoignage sur la ‘bitophilie’ car elle existe bien et j’en suis un exemple.
En effet je suis avant tout attiré par les femmes qui m’excitent et que je respecte. Je les aime et je suis marié et heureux dans ma vie hétérosexuelle.
Toutefois, je dois l’avouer, j’ai une attirance illimitée pour les bites et uniquement cet attribut masculin que j’adore.
La vue d’une sexe d’homme peut me provoquer une érection ce qui ne sera pas le cas avec une femme. Ceci dit, si je suis attiré par toutes les bites, la personne qui en ai le propriétaire ne m’intéresse absolument pas.
J’ai 39 ans et mes aventures avec des bites ont été rares et ont eu lieu durant les quelques années après ma majorité ce qui remonte à loin.
Ma première aventure je l’ai eu au lycée dans le vestiaire du gymnase. J’étais rentré en premier dans le vestiaire pour me changer alors que le reste de la classe était resté en salle pour regarder la fin d’une partie de Hand.
J’étais assis sur le banc en train de défaire mes lacets quand Antoine, un camarade de classe m’a rejoint.
De nature surexcité, Antoine gesticulait et chantait « on a gagné, on a gagné, il va me sucer.. »‘ etc.
Je le connaissais et n’étais pas étonné de ses propos mais je n’envisageais pas qu’il vienne se poster devant moi et baisser le devant de son short libérant son sexe épais, mou et décalotté.
La vue de cette masse de chair pendante au bout cramoisi eut sur moi un effet qui me mit dans un état second.
Je pense qu’Antoine s’en était aperçu, et c’est pour cela qu’il est allé plus loin en collant son gland contre ma joue cherchant la bouche.
Allez savoir pourquoi, mais ce jour-là je n’ai pu le repousser et j’ai englouti son membre.
Je ne l’ai sucé que quelques secondes , juste assez pour sentir son sexe grossir et le goûter car nous avons entendu du bruit et nous nous sommes arrêtés.
Ma seconde aventure je l’ai eu dans un cinéma porno vers l’âge de 20 ans.
Je suis arrivé dans la salle sombre car le film avait déjà commencé et je me suis assis à côté d’un homme que je ne voyais pas.
Après quelques instants, avec les lueurs du film, j’ai compris qu’il se branlait ce qui m’excita en un quart de tour et je crois même m’être caressé au travers de mon jeans. Je n’avais pas l’intention d’aller plus loin, j’étais bien trop poltron pour cela, mais au bout de quelques minutes j’ai senti le genou de mon voisin toucher le mien et sa main s’en rapprocher. Paralysé je n’ai pas bougé, ce qui, je crois, à tout déclenché.
Il a alors placé lentement sa main sur ma jambe puis est remonté lentement sur ma cuisse.
Je pensais qu’il allait chercher ma braguette sous laquelle mon sexe était tendu, brulant et au bord de l’éclatement. Mais non, il prit ma main et la mit sur son sexe.
C’était la première fois que je prenais la queue d’un autre homme. Je me souviens vaguement de cette chaleur que j’ai ressentie dans ma paume au contact de ce membre pas très long mais épais.
Il m’a incité à le branler ce que j’ai fait jusqu’à sentir quelque chose de brulant couler le long de ma main. J’ai compris qu’il avait joui et , pour la première fois depuis mes pollutions nocturnes, j’ai éjaculé dans mon slip presque instantanément sans même me toucher.
Je me suis alors levé et je me suis empressé de sortir. Je suis rentré chez moi, pas fier, le slip collant de sperme et dégageant, dans le bus, une odeur caractéristique de foutre.
Ma troisième aventure s’est déroulée dans les urinoirs d’une grande galerie marchande.
Je suis entré dans ce lieu que je ne connaissais pas et je suis allé chercher une place au fond.
Au fond c’était dans un recoin, une sorte de petite pièce annexe où il y avait 4 urinoirs dont 2 occupés.
Je me suis installé face au mon urinoir et j’ai sorti ma queue pour uriner.
Là un des gars est parti et je suis resté avec mon voisin. A nouveau, comme au cinéma, j’ai constaté qu’il se masturbait et qu’il tournait son visage vers ma bite.
Excité je me suis retrouvé bloqué à ne plus pouvoir uriner et j’ai commencé à sentir mon sexe grossir.
Mon voisin s’en est vite aperçu je crois car il passa, sans gêne, sa main devant moi et attrapa ma queue sans ménagement.
Il me dit d’un ton sec de prendre la sienne et de le branler. Soumis je me suis mis à le masturber.
Cela a duré quelques minutes qui furent une éternité. Il m’a branlé violemment jusqu’à me faire jouir.
Hélas il ne fut pas satisfait de ma prestation car je n’avais pas atteint le même résultat avec lui.
Il me demanda alors de le rejoindre dans une cabine.
J’ai attendu qu’il y rentre et je me suis sauvé.
Après je me suis repassé le film et me suis dit qu’il était dommage que ce type n’était pas trop sympa parce que j’aurais bien aimé sucer.
Merci et continuez, votre site est génial et innovant.
Norbert
Rencontres nocturnes par Loïc
Bravo pour ce site que je consulte depuis que je l’ai découvert au début de l’année. Le concept de bitophile me plait bien puisqu’il correspond bien à mes errances. De plus la philosophie du lieu qui est à la fois une ode au respect de l’autre et à la liberté individuelle me plait bien tout comme vos piques contre quelques féministes déphasées.
J’ai tenté plusieurs fois de coucher sur le » papier » quelques-unes unes de mes plus intéressantes rencontres nocturnes, voici un exercice qui me plait bien, mais pour l’instant je garde ça pour moi, il n’y a rien de vraiment original là-dedans. Alors faut-il parler du reste ? Je pense qu’effectivement que ceux qui se lancent dans certaines quêtes doivent savoir que parfois ça ne le fait pas toujours. Ainsi ce dernier mardi, je me rendis comme souvent dans un des clubs parisiens on l’on peut faire des rencontres bitophiles. Il faut savoir que ces visites sont un pari, parfois on ne trouve personne. Je rentre, il y a deux hommes dans la grande salle en train de se masturber mutuellement, ils ne m’inspirent pas trop, je descends dans la petite salle gay, deux hommes se contentent de regarder la vidéo. Je pense donc ne pas m’éterniser dans le lieu, je remonte, un nouveau vient d’arriver, il entre dans une cabine, mais ne la ferme pas.
J’ouvre, le type a sorti son engin et se le masturbe, pas trop joli l’engin, assez long mais pourvu d’un prépuce envahissant. Mais bon faute de mieux. Je sors donc mon propre sexe et le masturbe à mon tour afin que mes intentions soit claires. L’homme enlève sa chemise, baisse son pantalon. J’aime pas trop son corps, il est rare que je flashe sur le corps d’un homme, Il ne lâche pas sa queue, je lui tripote donc les couilles, lui fait les seins et lui donne même des petites tapes sur les fesses. Il a l’air d’apprécier, mais au niveau interactivité c’est nul. Ce petit jeu ne m’apportant pas grand chose, je décide au bout de cinq bonnes minutes de mettre les voiles, et je me reculotte. Voyant cela notre homme se met alors à genoux devant moi, commence par dégrafer ma ceinture, ouvre la fermeture de ma braguette, mais semble avoir des problèmes avec les deux boutons du haut, du coup il tire comme un malade et les fait craquer tous les deux. Je n’ai rien à faire avec un mec capable de tels actes de violence, je prends ma sacoche tandis que l’autre qui parle pour la première fois (et en anglais) me dit qu’il est sorry, sorry . Il ira jusqu’à me proposer 10 euros, je ne saurais jamais si cette proposition visait à louer mon corps ou à couvrir les frais de réparation de mon pantalon, mais je l’ai planté là, allant plus loin dans la rue m’offrir d’autres plaisirs qui n’ont rien ceux là de bitophiles. Pourquoi raconte-je ça : Comme ça ! Je crois qu’il ne faut pas se décourager, certaines rencontres dans ces lieux sont nulles, mais d’autres sont tellement merveilleuses. Je vous remercie de votre attention
Découverte par Henri
Avant de lire les histoires vécues de certains auteurs, je me croyais bisexuel. A présent, je sais que je suis hétéro, et bitophile.
Voici comment je me suis rendu compte de la » chose « .
J’ai aujourd’hui 38 ans, divorcé. A l’époque, j’étais encore marié, je travaillais dans une petite commune située à peu près au centre de la France. Souvent, après le déjeuner, il m’arrivait de partir une petite demi-heure avant le début de mon travail de bureau, histoire de marcher un peu. Un jour, en promenade, j’ai été pris d’une envie d’uriner. Cette envie était suffisamment forte pour ne pas pouvoir attendre d’aller aux toilettes de mon lieu de travail. Aussi, je décide donc de me rendre dans les toilettes publiques, situées sous un kiosque au centre d’une place. Là, je rejoins une pissotière et me soulage de cette grosse envie. Je croyais au début être seul dans ces toilettes. Pourtant, au bout de quelques secondes, j’entends du bruit dans la cabine fermée située juste à côté de la pissotière que j’occupais. Et en écoutant attentivement ce bruit, il n’y avait pas de doute possible : une personne était à l’intérieur en train de se masturber.
Ayant terminé d’uriner mais un peu curieux, j’attendais de voir qui allait bien sortir de la cabine. Occupant ce petit laps de temps à me laver les mains au lavabo situé près des cabines, je vois alors un homme sortir assez rapidement. Je me rends alors dans le lieu qu’il occupait et voit au sol ce qui ne pouvait être que des petites flaques de sperme. J’avais donc parfaitement bien interprété le bruit que j’avais entendu. Je me rends compte alors que le mur séparant cette cabine de celle d’à côté, était percé d’un trou, à hauteur de la ceinture, et d’un diamètre d’environ 7 ou 8 centimètres.
Je suis ressorti des toilettes, un peu troublé par ce que je venais de voir et entendre.
Quelques jours plus tard, à l’occasion d’une promenade telle que je les pratiquais comme expliqué plus haut, instinctivement mes pas m’ont dirigé vers les toilettes publiques, alors que je n’éprouvais aucune envie d’uriner, cette fois. En entrant, je me suis aperçu que l’une des cabines, la première, était verrouillée. Quelqu’un était donc à l’intérieur. Je suis entré dans la deuxième et ai refermé le verrou derrière moi. J’ai glissé un œil par le trou dans le mur, et j’ai vu ce spectacle : un homme était en train de se masturber, pantalon et slip complètement baissés. Son sexe était de belle taille, mais son érection n’était pas encore complète. J’ai alors senti mon pénis prendre du volume, à ma plus grande surprise. Si je ne regardais jamais les mecs dans la rue (je préfère de loin mater les filles), en revanche j’aimais contempler leur sexe. Quelle révélation !
Au bout de quelques minutes, le type s’est rapproché du mur et a passé son sexe par le trou. J’étais un peu surpris, et me sentais un peu idiot dans cette situation. Je n’avais jamais touché d’autre pénis que le mien ! Et pourtant celui-la se présentait à moi. Je l’ai pris dans ma main et ai commencé à lui donner un mouvement de masturbation. Le sexe s’est alors immédiatement redressé fièrement. Et j’ai senti le mien devenir tout raide dans mon pantalon. J’ai masturbé le sexe de cette homme pendant quelques minutes, jusqu’à entendre de sa part une sorte de gémissement. J’ai compris qu’il allait jouir et me suis reculé un peu pour ne pas avoir de sperme sur mes vêtements. Et j’ai bien fait : il a éjaculé, par longues saccades qui se sont écrasées sur le sol. Une fois terminé, il a retiré son sexe. Je l’ai entendu se rhabiller et sortir de la cabine.
Je me suis donc retrouvé tout seul, mon pénis dur comme un roc dans mon pantalon, devant de belles traînées de sperme par terre. J’ai alors sorti mon sexe et me suis masturbé à mon tour, en me remémorant les instants que je venais de vivre. Ma jouissance n’a pas tardé : j’ai éjaculé longuement, avec un plaisir d’une rare intensité.
Quand je suis ressorti de la cabine, je me suis dit que le prochain qui s’y rendra ne sera pas déçu : il y trouvera une bonne partie du sol maculée de sperme !
C’est sur une aire de repos dans un coin un peu isolé que j’ai vu deux mecs en train de s’enculer. Il s’est rapidement formé un petit attroupement autour d’eux, les mecs de masturbaient. Je me suis approché aussi et j’ai fait comme tout le monde. Un mec m’a chopé la bite, je l’ai laissé faire, c’était très agréable, et comme je suis quelqu’un de gentil je lui ai rendu la pareille, il m’a demandé si je suçais. Alors je l’ai sucé en me branlant t
C’était en été, une grande clairière aménagée dans les pentes pyrénéennes. Il avait quelques tables avec des bancs en bois. Personne hormis un type la soixantaine, je le croise, il me dit bonjour et je m’aperçois qu’il est entièrement à poil. Il me demande du feu (en fait un prétexte pour faire démarrer la conversation.)
– La nudité ne vous gêne pas, j’espère ?
– Non pas du tout !
– Moi j’aime bien et puis ça permet de créer des contacts !
– Ah ?
– Oui, je suis comme on dit, à voile et à vapeur.
Et moi je ne pouvais m’empêcher de regarder sa bite… il s’en aperçut bien sûr.
– Elle te plait ma bite ?
– Elle est jolie, mais je vais vous laisser…
– Touche-la un peu, je vois bien que tu en as envie.
Alors j’ai touché et quand il m’a proposé de sucer, je l’ai fait. Quel bonheur d’avoir une bonne bite dans la bouche !
Je ne connaissais pas ce sauna parisien dont on m’avait conseillé l’adresse, il est immense, je visite un peu les lieux et me retrouve dans la salle de cinéma, ce qu’il y a l’écran n’a aucune importance, le spectacle est dans la salle ! Mon dieu toutes ces bites, ça se branle, ça se suce, je bande. Je m’assois sur les gradins tout en bas et pose ma serviette sur ‘épaule, un mec arrive à ma hauteur, bite bandée, il me demande si je suce !. Je ne vais pas faire le difficile, je suis venu pour ça, des années que je n’avais pas sucé une bite ! Que c’est bon, je me régale. Le type m’a ensuite demandé si je voulais me faire baiser. Je lui dis d’accord mais on fait ça où ? Il m’a répondu qu’il aimait bien faire ça devant tout le monde. Alors d’accord, je lui ai tendu mon cul et il m’a enculé. Qu’est-ce que c’était bon. Quand il est ressorti de mon cul sans jouir, un autre a pris sa place, je me suis laissé faire tandis qu’un vieux cochon me donnait sa bite à sucer.. J’ai encore sucé quatre bites avant de partir et là j’étais trop excité, je me suis fait sucer… et j’ai joui come un malade. J’y retournerais
Bonjour les amoureux de bite(s)
Il est où ce sauna?
Euro man club 10 Rue Saint-Marc, 75002, accessible dans le passage
Pierre, 38ans marié père de famille. habite près de Paris. J’aimerais bien franchir le pas et voir l’effet que ça fait de sucer une bite, j’en ai vraiment beaucoup envie . Mais comment trouver ?
Allez donc au sauna je vous envoie une bonne adresse pas mail
Cordialement
Sucer une bonne bite ! Il n’y a rien de meilleur !
J’ignorais que ce bois était un lieu de rencontre, Dans une clairière il y avait un jeune mec tout nu allongé dans l’herbe, un vieux habillé lui suçait la bite. Je regardais fasciné et bandé. Le vieux s’est aperçu de ma présence et m’a proposé de m’approcher. Et là il m’a carrément fait l’article genre « T’as vu cette bite comme elle est belle, ce serait dommage de ne pas la sucer… » Alors j’ai sucé le jeune, et pendant ce temps-là le vieux à baissé mon pantalon et me doigtait le trou du cul. Le jeune m’a ensuite proposé de m’enculer, j’ai accepté et le gars m’a sodomiser pendant que le vieux suçait la bite d’un nouvel arrivant.. Je n’avais pas sucé une bite depuis le lycée et je ne m’étais jamais fait enculer. Il y a un début à tout !
Bonjour. Moi aussi je pense etre bitophile; révélation vers les 20ans, alors que j etais jeune marié d’un premier mariage. Je traversais un square, et me rends au toilettes pour uriner. deux urinoirs à côté de moi, il y avait un rebeu plus âgé, et j’ai vite vu qu’il se branlait en s’arrangeant pour que je voie sa queue. Elle était longue, dans les 18-20 cm et assez large avec un gros gland large du bout tout lisse qu il découvrait lentement. J’ai une petite bite de 12×4 en érection et minuscule au repos. Cette vision m’a fait bander instantanément. Le mec l’a vu et s’est approché de moi, il a pris ma queue en main et moi la sienne. Elle était lourde et chaude, excitante comme pas possible, je bandais de plus en plus. Il m’a dit « tu sais ça rentre tout seul ». Je lui ai dit que j’étais marié et hétéro. Il m a demandé si ma femme aimait bien ça. Je lui ai répondu que j avais du mal à la faire jouir avec ma petite queue minuscule. Il m’a dit « je peux la faire jouir ta femme si tu veux. Avec mes copains on a laissé nos femmes au bled et on est en manque. Tu sais ça rentre tout seul. Elle va jouir trés fort et en redemander ». Le soir rentré chez moi, j’étais bouleversé. J ai gardé l’image de cette queue superbe dans ma tête. Toutes les nuits, je révais de cette queue faisant jouir ma femme. Depuis je suis bitophile. Je vais dans des lieux « bi » Je suce des bites de temps en temps, mais il n’y a que les grosses qui m’excitent. Pourtant moi aussi, les mecs ne m’attirent pas et je ne pourrais pas être amoureux d’un mec et encore moins vivre avec, sans déprimer. Donc en aucun cas il ne peut s’agir d’homosexualité refoulée. D’ailleurs j adore les femmes et leur corps merveilleux.
Autre conséquence j ai un trés fort fantasme de triolisme, voire plutôt de candaulisme avec un mec mieux membré et ma compagne.
Aprés une séparation, je me suis mis en couple avec une femme plus jeune de 10 ans, et avec un goût plus affirmé pour le sexe que ma précédente épouse. Avec elle, les relations sont une fête, un grand bonheur, mais avec ma queue je ne suis pas du tout à la hauteur, alors qu’elle aime les longues pénétrations. Notre complicité étant totale, je lui ai vite laissé entendre mon penchant pour le triolisme. mais elle me dit jaloux et possessif. Je lui explique que j’ai peur de me la faire piquer car j en suis trés amoureux, mais que si la relation est juste sexuel avec quelqu’un de libertin, que je ne serai pas jaloux, et que je veux qu’elle jouisse comme elle mérite, à la mesure de sa libido. Mais rien question concrétisation.
Un jour, je rencontre un beau mec bi libertin, qui m’invite chez lui pour un plan suce. A un moment on discutait autour d’un verre d’alcool, avec un oeil sur la télé, je me tourne vers lui et constate qu’il est debout à côté de moi et qu’il a retiré son pantalon et son slip. Il ne bande pas encore, mais sa bite est plus longue au repos que moi quand je bande et plus épaisse au repos que la mienne bandée. Je la prends aussitôt en main et en bouche, elle atteint instantanément 21cm par 5 ou 5.5 environ avec un trés beau gland, je la suce goulument avec passion et avale le sperme, et continue à pomper pour qu’elle rebande. Dans mon excitation je lui parle de ma compagne qu’elle voudrait jouir avec une aussi belle queue. Il me dit je suis surtout étéro, plus que bi, et me demande des photos. Je lui en montre dans mon portaable. Il me dit « hummm elle est mignone, je la prendrais bien ». La fois d’après, je ramène mon ordinateur portable avec des photos plus déshabillée. Il me dit « Je ne savais pas que tu avais une aussi belle femme, il faut absolument que je la baise ». Je lui répond que ça m’excite, que j en crevait d’envie. je lui propose un scénario de rencontre et vu les réticences, qu’il la charme avec tact pour qu’elle ne se doute pas que c’est pour la baiser. Un jour que ma compagne jardinait chez moi en tenue d’été, je l’appelle, il vient aussitôt, et nous ramène des trucs. On lui offre un pot sous l’arbre. Il est bel homme, trés souriant et charmant, et entreprends aussitôt de charmer Nath. Elle est sous le charme, et lui sourit, se rapproche , plaisante avec. Là il dit qu’il est libertin et profite au maximum de la vie. Elle dit vous les mecs, tous les mêmes. On continue sur un ton joyeux et je dis que le libertinage c’est mon fantasme depuis longtemps et qu’avec lui j aurais confiance qu’il fasse l’amour à Nath. Elle dit vous êtes fous, ca va pas ?. Mais on ne change, ni de conversation, ni de ton, restant décontractés, et joyeux, et lui de continuer à lui faire des compliments légers et les yeux doux. A un moment je dis, ce matin on a acheté des petites robes d’été au marché, montre lui qu’il nous donne son avis. Elle le fait, et il demande un v’rai essayage. On monte dans la maaison et elle se déshabille et fait son essayage devant lui. Il lui dit qu’elle est super mignone, pulpeuse, que j ai de la chance.
A un moment, elle se tourne vers moi et me dit « Tu as de la chance on va réaliser ton fantasme ». Aussitôt je les invite à s’embrasser, il lui carresse le bras la cuisse, lui roule des pelles, d’abord du bout des levres puis à pleine bouche. Je dis » en plus il a une belle bite, montre lui. Il écarte son short, elle louche dessus. Je lui dit prends la dans ta main. On décide de prendre une douche ensemble et on va au lit. De suite elle le suce en le branlant, elle lui fait carrément « gorge profonde », son visage est déformé par le plaisir ou l’excitation extrème. Elle avale tout son sperme et continue à sucer comme moi. Au passage quelle complicité! Il sort et dit « faites un truc tous les deux ». Je lui dit non, va y prends là, elle ne demande que ça, et il la prend en mi-levrette mi sur le côté par derrière et de côté à la fois allongés sur le lit. Il a du quand même la ressortir pour se branler et la durcir plusieurs fois, mais il rentrait presque tout et n’arrêtais pas de dire « quelle chatte tu as ». J’étais aux anges mais déçu de ne pas avoir entendu de cris de jouissances de supplications de continuer, mais ça se passe aumieux. Néanmoins il a du repartir vite car il devait récupérer son fils à Lyon pour les vacances. Aprés quelques semaines il nous a recontacté plusieurs fois, mais a été trop direct. Nath était dans une phase dépressive, et elle n a pas voulu.
En faisant l’amour, je lui ai plusieurs fois proposé de jouir en trio. Elle m’a répondu « non, je ne veux plus avec ton copain. J ai beaucoup culpabilisé après, je ne voulais pas te tromper c’est de la trahison ». Je lui ai répondu que non, que j’étais d’accord que c’était mon fantasme, que j’étais d’accord et présent, que je voulais juste qu’elle jouisse comme elle mérite. Non rien à faire, elle campe sur ses positions, pourtant, peut être elle ne s’en rend pas compte, mais quand un mec lui plait, souvent plus jeune elle charme, elle drague. Pendant des mois j ai hébérgé un jeune black trés sympa et trés mignon qui s’était séparé d’une copine à nous. Je n’ai rien fait avec, même si j en aurais eu envie, et surtout il ne se génait pas pour charmer Nath devant moi et elle tout sourire, à se rapprocher de lui, à lui dire qu’il était beau, à le draguer… donc elle en crève d’envie. Au lit je lui ai carrément demandé si elle ne serait pas un peu amoureuse de lui, et lui repropose si il te plait, la vie est courte, couche avec lui et prend ton pieds, ca me plairait de te voir jouir comme tu mérites. Mais non réponse peut être un peu hypocrite : « C’est un ami juste un ami, et mon cul, même s’il est beau, c’est rien que pour toi. ON fait de moins en moins l’amour, elle a passé le cap de la ménopause. Et moi je suis frustré, je ne sais plus comment m’y prendre, quand je pense à son gôut pour le sexe, à son corps sensuel et pulpeux, à ma petite bite, à son plaisir et notre complicité à trois. Pour moi c’est un échec, et je ne sais plus comment m’y prendre.
Sucer une bonne bite bien bandée, la garder longtemps dans la bouche et savourer son foutre ! Il n’y a rien de meilleur !
Je me souviens de la belle bite de Sylvain, nous nous étions donné rendez-vous dans un petit débarras où il ne venait personne, il a baissé son pantalon et son slip, il n’a pas voulu que j’y touche avant qu’elle ne bande, il s’est masturbé. Une merveille, la peau légèrement halée, une insolente petite veine parcourant le cylindre de la verge, le gland braillant, je l’avais déjà touché furtivement et en connaissait la douceur, mais cette fois, nous avions le temps, je l’ai mis dans ma bouche. Quel régal ! Comment peut-on ne pas aimer ça ? je l’ais sucé à fond et j’ai avalé son foutre, il ne m’a pas sucé , me laissant se branler. Nous n’avons pas recommencé, il devait culpabiliser. Pas moi !J’ai attendu plus de 20 ans, j’étais marié, mais le fantasme persistait, c’est un peu par hasard que je me suis retrouvé dans un sex-shop qui avait une salle de projection, nous étions une dizaine là-dedans, mon voisin avait sorti sa bite et se l’astiquait, un peu plus loin près de l’écran, un type en enculait un autre. Imaginez mon état. Tout s’est précipité, la bite de mon voisin fut bientôt dans ma bouche vicieuse, et quand il m’a proposé de me prendre le cul, j’ai dit oui sans hésiter.
tout d’abord BRAVO ….. pour ce site, je me sens en peu moins seul au fond de ma province avec mes envies bi, serait-il possible d’avoir récits de douches bi sport, bi devant film x ? merci
Pour lire des récits se déroulant dans des cinémas porno il suffit de taper « cinéma porno » dans le petite moteur de recherche sur la droite. En revanche en salle de sport je crains de ne pas avoir grand chose…
Amicalement
On a tous un peu même parcours, ça commence par des branlettes, après c’est le moment magique de la bite dans la bouche (Hummm) jusqu’au jour on l’on offre son cul et si le partenaire est correct, c’est le paradis.