La semaine est longue. Le soir jusque tard dans la nuit, je fabrique et imagine mes propres supplices. J’en oublie mes problèmes, les travaux dans la maison n’avancent pas, il faut choisir. Me faire humilier me procure beaucoup de plaisir, le choix est vite fait. Samedi quinze heures Marie est devant la grange, on embarque les objets de mes futur supplices. Elle habite une maison ancienne très bien restaurée avec une cour fermée et un grand terrain entouré de haies. Marie ferme la porte, vient vers moi, Emilie sort pour m’accueillir.
Marie : Déshabille toi, tu vas mettre un string.
Me voilà nu dans la cour. Marie revient, me tend le string, je l’enfile. Ce n’est qu’une poche transparente tenue par des ficelles dans laquelle j’ai des difficultés à loger mon sexe. A la première érection tout va sortir.
Marie : C’est presque parfait, il faut juste que tu te rases les poils. Emilie va s’en occuper.
Elle m’entraîne dans la salle de bains, je suis encore une fois nu. A l’aide d’une petite tondeuse elle me rase les poils sur tout le corps, sauf les cheveux qui échappent au massacre. Je suis plus que nu. Cette première humiliation me provoque une érection, impossible de remettre le string. Émilie se recule, me regarde tenter d’entrer mon sexe dans la poche.
Emilie : Sans poils c’est parfait ! Tu as cinq minutes pour que tout entre, sinon ma mère va s’en charger. Sors d’ici, les invitées vont bientôt arriver.
Me voilà dans la cour, le sexe a moitié sorti, en fait il n’y a que mes couilles qui sont dans la poche transparente. Marie est face à moi.
Marie : Entre tout dans le string,
Moi : Plus je vais essayer de le rentrer plus je vais bander.
Marie s’éloigne, revient avec un linge rempli de glaçons, qu’elle me fait tenir sur le sexe. C’est radical : deux minutes plus tard j’ai le zizi tout rabougri. Elle me tend une pilule.
Marie : Prends ça : je veux que tu sois en forme, pour les deux jours. C’est efficace trente-six heures. Tu te postes dans la rue, quand quelqu’un arrive tu ouvres la grand porte et place les voitures au fond, près des dépendances, pour qu’il n’y ait pas de véhicules à travers toute la cour.
Moi : Dans cette tenue ?
Marie : Oui, estime toi heureux de ne pas être nu, et même le string, je pense que tu ne l’auras pas longtemps. Je suis contente : mes copines vont être surprises, elles ne sont pas prévenues de ta présence. Il est l’heure, va attendre dehors.
Je sors, j’attends devant l’entrée. Nous sommes dans une petite rue qui conduit dans les champs, il y a beaucoup plus de chance (ou malchance) qu’il passe quelqu’un ici que devant ma grange. Une voiture arrive, j’ouvre la grille, passe devant, lui désigne une place. J’ouvre la portière, la femme sort, me regarde des pieds à la tête. Je sens mon sexe s’agiter dans le string, j’arrive heureusement à me contrôler. Je suis de nouveau devant le portail, elles sont deux dans la voiture qui arrive, je leur montre l’endroit où se garer et reprend mon poste à l’extérieur. Mon sexe s’agite, la pilule commence à faire effet et être exposé quasiment nu dans la rue n’arrange pas les choses. Je pense à autre chose, je regarde des oiseaux se battre dans les buissons de l’autre côté du chemin.
Une voiture arrive, je la précède, j’ouvre la portière, la femme me regarde et dit
La femme :- Bonjour, pourquoi as tu mis cette chose ridicule ? De toute façon on voit ton sexe, tout nu tu aurais été plus beau.
Il n’en fallait pas autant. Mon sexe sort, là je suis vraiment ridicule, le string ne cache plus que mes couilles. Elle sourit et s’éloigne, me laissant seul avec mon problème.
Je suis devant la porte, j’essaie de tout faire rentrer dans le string. Impossible ! J’abandonne, je mets les mains devant mon sexe, une voiture approche, je la précède, ouvre la portière. La femme me regarde, s’attarde sur mon sexe que j’essaie de cacher. Elle m’écarte les mains et me retire le string.
Inconnue : Tu es plus à l’aise comme ça, sans cet accessoire inutile. C’est une belle surprise que Marie nous fait la, jusqu’où peut-on aller avec toi ?
Moi : Je ne sais pas, il faut demander à Marie
Elle part en emportant le string. Les deux voitures suivantes c’est plus facile : je suis simplement nu et en érection. Je ne suis pas sûr que tout le monde soit arrivé, j’attends devant la porte que Marie me dise de rentrer. Une demi heure plus tard elle vient me chercher, elles sont toutes autour d’une table un verre à la main.
Marie – Mes copines ont presque toutes des problèmes à régler avec un homme, je leur propose de te faire subir ce qu’elles aimeraient faire à leur ancien compagnon. Tu es notre prisonnier jusqu’à demain soir. J’ai installé dans une pièce de la maison tout ce qu’elles peuvent utiliser pour te torturer. Dans l’immédiat tu restes où tu es, mains dans le dos, jambes écartées. Je vais faire les présentations : Alexandrine, Carole, Adeline, Dorothée, Elisabeth, voici Clotilde, il faut t’en méfier, elle aime faire souffrir les hommes, et là Emmanuelle. (s’adressant à ses copines) vous marquez sur un papier ce que vous voulez lui faire, il tire lui-même dans la boite son gage et on lui applique collectivement. Vous pouvez aller voir les ‘jouets’ dans la salle, cela vous donnera des idées.
Clotilde chuchote à l’oreille de Marie, je n’arrive pas à comprendre ce qu’elles se disent. Carole approuve d’un signe de tête, elle se penche vers Adeline, qui hoche la tête avec un grand sourire. Elles semblent avoir décidé de mon sort. Clotilde me tend un couteau et me dit.
– Coupe dans les buissons, en face de la maison une branche de cinq à six centimètres de diamètre, un mètre cinquante de long, tu tailles une pointe d’un côté et tu fais un cône lisse de l’autre. Enlève l’écorce, ce sera plus confortable pour toi.
Je prends le couteau, je sors, traverse la rue. Malgré les ronces, je m’enfonce dans les buissons pour ne pas être visible de la route. Je choisis une branche, je la coupe facilement, le couteau coupe bien, je la taille comme il m’a été demandé. Je retraverse rapidement la route. Clotilde prend le bâton, elles se lèvent toutes les neuf, me lient les mains dans le dos et m’entraînent au milieu du terrain derrière la maison. Marie place le bâton contre moi, fait un repère en prenant le bout de mon sexe dressé et plaqué contre mon ventre. Emilie arrive avec un maillet, elles me font enfoncer le bâton jusqu’au repère. Emilie lubrifie le haut du bâton, j’ai peur de comprendre ce qui va m’arriver, je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps. Elles se mettent à quatre pour me soulever, deux sous les bras, deux sous les fesses. Clotilde place mon anus sur le haut du bâton. Mes jambes sont lâchées, le bâton s’enfonce lentement car je suis heureusement maintenu sous les bras. J’ai les pieds qui maintenant posent sur le sol et le bâton dans le cul, sur plus de vingt centimètres. Je suis cloué au sol par l’anus, impossible de me libérer, je ne peux que tourner sur moi-même.
Marie :- Tu es là pour un moment. Pendant ce temps on va préparer les humiliations qu’on va t’infliger, voir avec qui tu vas passer la nuit et distribuer les chambres. Nous allons être à deux ou trois par chambre.
Je suis nu un bâton dans le cul, au milieu de ce grand terrain, du côté village une haie me cache mais de l’autre on peut me voir à des kilomètres. Un tracteur fait des allers-retours à une centaine de mètres de moi. Il m’a vu car il s’est arrêté et regarde dans ma direction. Impossible de me cacher. L’homme descend de son tracteur, se dirige vers moi. Je le connais et cela me gêne, c’est Marc un jeune ouvrier agricole, célibataire, qui travaille dans la ferme voisine de Marie. Il est à la limite du terrain, semble hésiter. Nu devant des femmes cela m’excite mais devant un homme cela me met mal à l’aise, et en plus dans la position où je suis, un bâton enfoncé dans le cul, j’ai peur et j’espère que cela lui donne des idées. Je comprends : elles veulent me voir pris par un homme. Il est près de moi, m’écarte les fesses pour voir le bâton que j’ai dans le cul.
Marc : Une grosse bite serait mieux qu’un morceau de bois, tu es d’accord.
Sauvé ! Voilà les femmes qui arrivent, j’ai l’impression qu’elles regardaient de loin car ce n’est pas une coïncidence qui les fait arriver juste à ce moment. Marc ne bouge pas. Au contraire il me palpe les couilles. Je ne veux pas mais je bande. Me faire caresser comme cela devant les femmes me trouble. Émilie s’adresse à mon tourmenteur, qui maintenant me branle.
Marie : Il te plaît, il est à toi mais tu fais cela devant nous.
Marc : Je n’ai pas beaucoup le temps, il faut que je termine mon travail.
Marie : Tu as bien cinq minutes… Il a le cul ouvert, cela va aller vite, je sais que tu en meurs d’envie, n’aies pas honte, je connais ton penchant pour les hommes.
Il me prend à bras le corps, me libère du bâton et je me retrouve la tête dans l’herbe, le cul en l’air, les mains liées empêchent de me tenir à quatre pattes. Sans se déshabiller il sort son sexe et entre d’un coup dans mes entrailles. A chaque mouvement je sens son pantalon de toile frotter sur mes fesses, je n’ai aucun plaisir physique au viol de mon anus, la jouissance est de me faire humilier en public. Je bande et cela n’échappe pas aux spectatrices. Émilie a sorti son téléphone et me photographie sous tous les angles. Je sens mon enculeur se raidir, gémir bruyamment, c’est déjà fini. Il est vraiment pressé ou il ne sait pas se contrôler. Je garde la même position, mon cul se referme à la vue de tout le monde, les filles ne semblent pas être satisfaites de la prestation de Marc.
Marie : On te pardonne car tu sembles pressé, si tu reviens tu as intérêt à faire cela à poil et à te montrer plus résistant. Il est avec nous jusqu’à demain soir, tu viens quand tu veux mais pas pour cinq minutes.
Marc : Oui madame, demain il est dimanche et je n’ai rien de prévu.
Marie :- Bien, mais il faudra te montrer à la hauteur sinon gare à toi.
L’homme est parti, on me libère les mains, je marche à quatre pattes parmi eux. En les écoutant discuter je comprends que mon intuition était bonne : c’était un coup monté. Émilie avait vu Marc dans les champs, elle savait qu’il aime les hommes. Nous sommes de retour dans la cour devant la table, sur laquelle est posée une boite remplie de papiers soigneusement pliés. Marie m’en fait tirer un, il est écrit Adeline, je pensais y lire un gage.
Adeline — Tu es mon esclave, mais tout le monde peut participer. J’ai vu qu’il y a une grande planche, en deux parties où je peux emprisonner ton sexe. Va la chercher
Je reviens avec la planche et ses pieds, je m’allonge sur le sol, je place la base de mon sexe dans l’encoche, je fais joindre les deux parties et verrouille l’ensemble à l’aide des deux pieds. J’ai les couilles et le sexe posés sur la planche, moi allongé en dessous.
Adeline :- Cela a l’air parfait, mais un peu trop confortable pour toi. Je vais faire quelques modifications
Elle attache une corde à la base du gland, me fait lever la tête, attache la corde à ma nuque. Si je pose la tête sur le sol, je tire sur mon sexe. Elle attache une corde à la base de mes couilles, me fait lever un pied et attache l’autre bout à un orteil.
Adeline – Comment te sens tu ? Je vais t’obliger à poser ta tête et ta jambe sur le sol, par contre je veux voir tes fesses soulevées
Elle va dans un coin de la cour chercher quelques briques, un reste des travaux de restauration, qu’elle place sous les pieds qui soutiennent la planche, ce qui exerce une traction sur mon sexe et m’oblige à soulever les fesses. Elle se recule pour mieux voir et prend des photos. Elle tend l’appareil à Marie. Elle enlève ses chaussures, monte sur la planche, pose son pied sur mes couilles tendues par la corde liée à mon pied. Elle augmente progressivement la pression, elle pose l’autre pied sur ma verge tendue puis fait porter son poids alternativement sur un pied puis sur l’autre. Marie prend des photos de mon supplice, (supplice que j’aime, car finalement c’est moins douloureux que ce que je craignais) je me contrôle pour ne pas éjaculer. Adeline descend, fait signe aux autres de prendre la suite. Seule Clotilde profite de l’occasion, elle me fait mal en posant son talon de chaussures sur mes couilles, qui ne peuvent s’échapper, tenues par la corde. Elles me laissen, dans cette position inconfortable pendant un bon quart d’heure.
Je tire un papier : Clotilde. J’ai mal choisi, je crois que je vais souffrir, elle enroule à la base de mes couilles une corde, en faisant joindre les spires, de façon à les allonger au maximum. Elle prend deux planchettes de ma fabrication, reliées entre elles par quatre vis, elle place mes testicules entre elles et commence à serrer (heureusement j’ai mis une butée) pour l’instant cela ne me comprime que faiblement, je les ai faites un peu lourdes, cela tire sur mes testicules et quand je marche, mes cuisses les poussent vers l’avant et les allonge encore plus. Si je dois me baisser, cela risque d’être difficile et douloureux.
Marie :- Tu vas nous servir à table, avec cela aux couilles.
Marie me tend la boite avec les petits billets. Je tire et c’est Carole, je ne sais pas ce qu’elle me réserve.
Marie : Il est à toi pour la nuit mais tu peux le partager si tu veux, car il n’a pas éjaculé de la journée. Paul tu vas manger tout de suite, comme cela tu pourras nous servir, va dans la cuisine Emilie est là.
Emilie commence par serrer les vis, elle me fait asseoir, les planchettes font remonter mes couilles qui buttent sur le tiroir de la table. Je mange rapidement.
A la fin du dîner les planchettes sont en butée, j’ai les couilles étirées et comprimées. Clotilde s’approche, enlève le tout en me disant qu’elle ne veut pas me rendre impuissant. Elles discutent encore pendant un bon moment, je suis debout à deux mètres de la table, j’attends un ordre. Il est maintenant vingt-trois heures, la journée il a fait chaud mais maintenant il commence à faire frais et je suis nu.
Carole à qui j’appartiens jusqu’à demain matin neuf heures, me met un collier et une laisse. Elle me fait traverser la cour à quatre pattes, sa chambre ouvre directement sur la cour. Elle m’attache à un crochet qui sert à tenir les volets ouverts. Dorothée et Élisabeth, qui partagent la chambre avec elle arrivent et entrent. Une demi-heure plus tard Carole me fait entrer, toujours à quatre pattes.
Dans la chambre il y a un lit pour deux personnes, un pour une personne, une petite table sous la fenêtre. Les trois femmes sont en robe de chambre, elles m’attachent les bras et les jambes en croix sur le grand lit. Carole s’approche avec un tube, les mains gantées. Elle m’enduit le gland d’une pommade, en fait pénétrer un peu dans l’urètre, à l’aide d’un coton tige, elle en rajoute, me malaxe le sexe afin de bien répartir le produit. Quelques instants plus tard j’ai le sexe complètement insensible, mais je garde une forte érection. La petite pilule peut être. Elle me met un préservatif dans lequel elle a mis un peu de pommade.
Carole se met nue, elle m’oblige à lui lécher le sexe un long moment, j’ai le menton dégoulinant de ses sécrétions. Je ne sens plus mon sexe, je ne sais pas si je bande encore, elle se recule. Oui je bande, elle entre mon sexe en elle, je la regarde faire mais je ne ressens rien. Elle va me baiser, je vais la regarder sans rien ressentir. C’est frustrant et humiliant. Dorothée et Elisabeth regardent Carole s’agiter, elle émet des petits cris, elle a un orgasme et moi aucune sensation. Dorothée la remplace, s’assoit sur mon visage, frotte son sexe, m’oblige à ouvrir la bouche. Puis s’empale sur mon sexe insensible, monte et descend, en me regardant dans les yeux, d’un regard dominateur, elle se retourne pour cacher son émotion durant l’orgasme. Elle se retire, j’ai le bas ventre et les cuisses humides, le sexe toujours insensible et en érection,
Carole : À toi Elisabeth, profites-en, avec la dose de pommade anesthésiante que j’ai mise, il en a pour une grande partie de la nuit.
Elisabeth semble hésiter, se déshabille, s’empale sur mon sexe, entre en mouvement. Carole se tient juste à côté du lit, elle est complètement épilée, je regarde son sexe légèrement ouvert. Elisabeth s’active sur moi, je ne ressens rien. Je ne quitte pas Carole des yeux, qui maintenant pour m’exciter, écarte les jambes. Elisabeth se retire, je commence à m’inquiéter : mon sexe est encore bandé et je ne sens rien. Elles me détachent et m’obligent à monter à quatre pattes sur la table.
Carole : Maintenant on va le vider complètement, tu vas lui masser la prostate, moi je vais le traire, quand le sperme commencera à sortir.
Dorothée m’entre deux doigts dans l’anus, commence à masser, Carole s’installe de l’autre côté, je sens la pression des doigts de Dorothée sur ma prostate, après une dizaine de minutes, un plaisir diffus envahit mon bas ventre. Un liquide sort lentement de ma verge insensible.
Carole prend entre ses doigts gantée, la base de mon sexe et descend en serrant pour aider à la sortie du sperme. Au début c’est relativement abondant, maintenant il sort quelques gouttes par intermittence. Elles insistent jusqu’à ce que plus rien ne sorte. Elles ont fini de me traire, elles se couchent, me laissant sur la table. Je ne sais pas où dormir, je m’installe sur le tapis entre les deux lits. J’ai froid, le sol et dur, je m’installe en chien de fusil, le temps passe lentement, mon sexe peu à peu redevient sensible. Tard dans la nuit, je finis par m’endormir.
A suivre
Nous n’avons pas conservé le chapitre 4, le contenu en étant hors charte (esclavage permanent)
Lu, relu et encore relu….c’est hallucinant, effrayant, obsédant, attirant….j’aimerais que ma première fois soit ainsi