Comment Sophie m’a traité
par Yorski
Je m’appelle Claude, j’ai 23 ans et je vais vous raconter comment, un jour, ma copine Sophie, jolie brune de 22 ans, m’a traité. Ames sensibles s’abstenir ! Alors que nous avions occasionnellement des relations SM où elle me soumettait, arriva le moment où nous décidâmes de pratiquer une vraie soumission extrême. Pour dire vrai, je n’avais pas été correct avec elle, car je lui avais menti assez grossièrement, ce qui l’a blessée. Pour me faire pardonner, elle me proposa d’être son esclave absolu un après-midi. Nous fîmes un programme détaillé de mes sévices, et elle s’engageait à le respecter en tous points, et moi à tout subir docilement. Je vous fais donc partager cette histoire vraie, que je raconte au présent et qui, je l’espère, vous plaira.
Tout d’abord, alors qu’elle se prépare à côté, je dois me mettre entièrement nu et me coucher à plat ventre dans le salon en l’attendant, naturellement en regardant par terre. Elle arrive ; je la sais habillée d’un soutien-gorge noir, d’un string noir, de bas résille avec porte-jarretelles, portant des talons noirs ouverts, mais je ne dois pas la regarder. Elle met un talon près de mon visage, je dois le lécher, lécher son pied ; ma langue et mon nez parcourent le talon, les mailles du bas, ses orteils. Ça sent bon le cuir. Puis elle saisit mes pieds, les attache ensemble d’une corde et les relie à mes poignets dans mon dos. Les entraves sont serrées et je suis dans une position peu confortable. Elle pince mes seins en glissant ses mains sous mon torse, ce qui me fait gémir, puis elle se saisit du bout de la longue corde qui m’attache, et m’administre cents coups forts sur mes mains et sous mes pieds, offerts au-dessus de mon dos. Je puis vous dire que le bout d’une corde bien rigide peut être pire qu’un fouet. Mais je supporte bien cette punition pour l’instant.
Elle me détache complètement, puis me fait mettre à genoux devant elle, qui s’assied sur le canapé. Je la vois enfin. Elle m’attache les mains dans le dos, m’enfonce dans la bouche, en guise de bâillon, une des chaussettes qu’elle portait avant de s’habiller en Maîtresse, puis commence à torturer mes seins. Elle les lèche d’abord, puis les mord fort, et tire sur mes seins au maximum avec ses dents, avant de les faire glisser entre elles. Je me mets à crier, mais mes cris sont étouffés par la chaussette qui remplit ma bouche. Puis elle prend deux pinces à linge, les met sur mes seins et joue avec, les faisant tourner, tirant dessus, et, le pire : en appuyant ses doigts à fond sur les bouts des pinces qui me serrent les seins, et en les faisant tourner encore. Je hurle sous mon bâillon ; elle n’y va pas avec le dos de la cuillère !! Puis elle tire sur les pinces jusqu’à ce qu’elles lâchent mes seins, me provoquant une douleur vive mais brève. Elle répète ceci cinq fois.
Elle détache mes mains et me met ensuite sur la table du salon, qui est assez basse et où je me mets à quatre pattes dessus, bras sur les coudes et jambes écartées Elle m’attache les poignets et les chevilles en faisant passer la corde sous la table, reliant mes membres. Je ne suis pas si mal ainsi, mais impossible de bouger quoi que ce soit. Elle prend le bout de la corde et commence à me fesser avec. Cent coups sont prévus, elle commence très fort, les coups pleuvent et ça claque violemment. Elle s’arrête en disant :- Je suis à trente. Là, je n’en peux plus, mes fesses brûlent, je me dis que je ne tiendrai jamais. Et elle recommence, alternant la vitesse des coups. Après cinquante coups, paradoxalement, la douleur s’estompe, car, sans doute, l’irritation est telle que le la région meurtrie s’endort un peu. Un coup manque sa cible et atterrit au fond du dos : je sursaute tant ça me fait mal. Un peu de sperme coule de mon sexe sur la table, j’ai besoin qu’on me soulage un peu. Arrive enfin le centième : elle se fait un plaisir d’en faire le plus violent puis me retire le bâillon.
Me laissant dans la même position, elle prend un gode pour me sodomiser. Elle me le met devant la bouche : il est convenu qu’elle n’utilisera pas de lubrifiant pour me goder, mais que je devrai me débrouiller pour le lubrifier avec ma propre salive. Alors je le prends dans ma bouche, je le suce, je mouille au maximum. Il a un fort goût de plastique. Elle commence à l’introduire dans mon anus. Ça pénètre mal, il n’arrive pas au fond. Elle le retire et me le représente :- Lèche encore ! Je l’introduit dans ma bouche, le mouille avec ma langue et je bave bien dessus. Il n’a pas de goût particulier, à part celui du caoutchouc, ouf ! Elle l’enfonce à nouveau dans mon fondement, et commence à me goder sans ménagement. Sans lubrifiant, ça se grippe bien vite et c’est fort désagréable. D’où mon dilemme : la laisser continuer ainsi et subir des douleurs anales peu agréables ou soulager mon cul en léchant à nouveau le gode, plus très propre ?
– Laisse-moi le lubrifier encore je t’en prie, lui dis-je…
Elle le retire et dit :
– Quoi ? Tu veux lécher ça ? Berk ! Je te préviens, il est dégueulasse ! Tant pis pour toi, lèche-le maintenant !
Et elle me l’enfile dans la bouche. Heureusement, je n’ai pas le temps de le voir, et heureusement aussi, le goût fort du plastique fait que je ne sens rien. Je le lubrifie à nouveau, et elle me sodomise encore quelques instants.
Elle me détache de la table du salon, me fait lever et me dit en riant :
– Je veux que tu ailles voir tes fesses au miroir de ta chambre. Elles sont magnifiques !
Je m’exécute, et je constate avec effroi que mes fesses sont rouges écarlates et que des stries lacèrent ma peau du fond du dos jusqu’aux cuisses. Je reviens au salon, elle me touche les fesses en disant :
– Elles sont bouillantes et elles ont vraiment souffert. C’est bien fait.
Je me sens humilié devant ma copine, d’ordinaire si gentille et timide.
Ensuite, elle sort un yaourt qu’elle était aller chercher pendant ce temps, s’assied sur le canapé et me dit :
– A genoux.
Elle ouvre le yaourt et me donne une cuillère. Selon le programme, je dois en mettre un peu partout par terre et sur elle, je dois tout lécher pour nettoyer, tel un esclave-serpillère. Avec la cuillère, j’en répands un peu partout par terre et je verse directement une partie du pot sur son pied, pour l’embêter. Ce qu’elle n’apprécie pas trop : elle se saisit de mes deux seins, les serre et les tourne avec une violence qui m’époustoufle. J’émets un énorme cri de douleur et de surprise.-
– Tu as fait quoi ? Me demande-t-elle droit dans les yeux en suppliciant toujours mes seins.
– Aïe aïe. Ex… Excuse-moi Sophie…
La douleur m’empêche presque de parler. Elle les lâche enfin et m’attache les mains dans le dos. Tout retourné, craintif et humilié, je me mets à lécher le yaourt par terre en me tortillant. J’essaie de faire de mon mieux, mais ça s’étale
.- Ça suffit, lèche sur moi maintenant.
Je commence à nettoyer son pied et sa jambe, mais il y en a partout. Je passe ma langue sous le bas résille, entre ses orteils, entre son pied et la chaussure Je suce ses orteils. Je ne peux même pas saisir son pied, c’est dur à nettoyer! J’en ai plein autour de la bouche et je suis vraiment son esclave. Elle me fait signe d’arrêter et nettoie en gros ce qui reste avec du papier.
– Maintenant chéri, c’est le final… Le plus dur pour toi !
En effet, c’est l’épisode de la cire chaude. Elle me fait coucher sur le dos cette fois-ci, sur la table du salon. Mes bras et mes jambes écartées pendent en dehors de la table et elle les relie, faisant à nouveau passer la corde sous la table. Mon sexe et mes seins sont complètement offerts. Elle remet sa chaussette dans ma bouche en prévision de quelques cris et allume une bougie. Elle la tourne de façon à avoir le maximum de cire liquide, puis me regarde avec un grand sourire et me dit :
– Attention, chéri.
D’un coup, elle verse le liquide brûlant sur mes seins. Elle tient la bougie penchée, ce qui permet à la cire de couler par petites gouttes sans arrêt, et parcourt mes seins, mon ventre, mon sexe, mes testicules. Je tire à fond sur mes liens, je souffre. Mes cris sont inaudibles, étouffés par sa chaussette. Elle s’arrête et enlève la cire durcie sur mes seins, ce qui lui permet de renouveler le supplice. Mais là aussi, je commence à m’habituer à la douleur et à y prendre plaisir.
– Bon ça suffit, dit-elle. Je n’aurais jamais pensé que tu résistes autant ! Je vais te soulager comme ça.
Moi non plus je n’aurais jamais cru que ma copine puisse se transformer en Maîtresse aussi cruelle. Mais ça m’a bien plu de la voir ainsi ! Elle saisit mon sexe et me masturbe sans ménagement, me pinçant des fois un sein, ce qui me fait atrocement souffrir car mes seins sont bien usés. Ca l’amuse d’ailleurs. Je jouis ainsi, entravé à cette table, offert à ma Maîtresse, sa chaussette dans ma bouche, de la cire durcie partout, mon ego humilié et mon corps endolori, avec un orgasme aussi fort qu’attendu, transi de désir.
fin
Quelques précisions sur les bougies
1 ) les bougies ordinaires, bon marché ne brûlent pas, idem pour les cierges d’église
2 ) les bougies à la cire d’abeilles peuvent brûler
3 ) Il en est de même pour les bougies parfumées dont les colorants ajoutés peuvent en augmenter la température
Avant de jouer avec une bougie, la partie dominatrice doit toujours se faire un auto-test en s’en faisant couler quelques gouttes sur le dos de la main
Plus de précisions dans cet excellent article
La cire chaude, ça ne fait pas si mal que ça !
Bonjour, merci de m’avoir lu.
Ce récit date d’il y a plus de dix ans. S’il est rigoureusement authentique, je ne me souviens plus des détails. Je crois toutefois me souvenir qu’elle laissait très peu de distance avec la bougie, d’où une douleur assez vive.
Je vais écrire de nouveaux récits sur mes nombreuses soumissions qui se sont déroulées depuis. J’espère que je serai publié.
Cordialement