Chanette 33 – L’escroc de Bourges 1 – William Paturel, soumis et marchand de biens

Chanette 33 – L’escroc de Bourges 1 – William Paturel, soumis et marchand de biens

Celles et ceux qui n’ont pas lu mes précédentes aventures (comme c’est dommage !) ignorent donc qui je suis. J’exerce le métier de dominatrice professionnelle… (ben oui, c’est un métier !) Je me prénomme Christine D (Chanette, c’est pour mes clients et quelques très rares intimes), j’ai, disons entre 35 et 40 ans, suis mariée avec un homme que je ne vois plus.. Taille moyenne, peau légèrement mate, visage ovale, cheveux mi-longs, fausse blonde, pas mal foutue (et modeste avec ça !). Mes récits ne sont pas des récits de domination, mais des récits d’aventures érotiques incluant éventuellement des passages de domination. Allez, c’est parti…

Surréaliste ! Cette matinée a battu tous les records d’absurdité…

Il était environ 10 heures, et j’étais occupée dans mon studio de travail de la rue des Saulniers avec Patrice, un soumis qui me rend visite de temps à autres.

Attaché nu sur une croix de Saint-André, les tétons et les testicules pris dans des pinces, je m’amusais à lui infliger des coups de martinets qui manifestement le ravissait puisqu’il était venu pour ça…

Moi, j’étais en tenue de dominatrice, bustier noir, cuissardes…

Et voilà que l’on frappe à la porte… et peu discrètement… (alors qu’il y a une sonnette !)

– On arrive, on arrive…

J’enfile un kimono et me dirige vers la porte d’entrée.

– Ouvrez, police ! Hurle une voix de marchande de poisson.

La police ? Qu’est-ce qu’elle me veut, la police ?

J’ouvre ! Il y a là une fliquette en civil avec un visage à faire s’enfuir en courant les 12 apôtres et leurs femmes, elle est accompagnée par trois poulets en uniforme.

– Madame D’Esde ?
– Ben oui c’est moi !
– Nous avons un mandat…Vous êtes en garde à vue, vous avez le droit de garder le silence et blablabla…
– Non, mais attendez… Qu’est-ce qu’on me reproche ?
– On vous dira tout ça au poste, habillez-vous s’il vous plait.

Deux des flics font le tour du studio en me répétant qu’ils ont un mandat…

– Il y a un mec à poil attaché contre une croix ! Revient confier à sa chef l’un des deux poulets.
– On va aller voir ça ! Répond la mémère

Elle s’approche de mon soumis qui ne comprend rien !

– Ne vous inquiétez pas monsieur, on est là pour vous aider… Je suppose que vous désirez porter plainte ?
– Un plainte pour quoi ?
– Mais c’est à vous de nous le dire, monsieur, coups et blessures, viol…
– Mais enfin, je vais très bien, tout cela n’était qu’un jeu !
– Vous avez peur de porter plainte ? Vous n’avez pas confiance dans la police ?
– La question n’est pas là, nous sommes en pleine confusion.
– Dans ce cas je vais vous demander de nous suivre en tant que témoin.
– Je suis désolé, j’ai un déjeuner de travail à midi…
– Vous vous ferez excuser !
– Certainement pas, c’est trop important.
– Dois-je vous rappeler que le refus de témoigner constitue un délit puni de 3 750 euros d’amende ?
– Si vous me promettez de me relâcher avant midi, je veux bien vous suivre.
– Je ne peux rien vous promettre, mais on va essayer, on va vous détacher, rhabillez-vous, monsieur. Bon madame D’Esde vous êtes prête ? On n’a pas que ça à faire.
– Presque !
– Pensez à vous munir de vos papiers d’identité, et de l’acte notarié concernant le bien immobilier que vous vous apprêtiez à acquérir.

Oh ! Je sens venir l’embrouille !

– C’est donc ça ? Mais je ne l’ai pas ici ?
– Ce serait où ?
– Chez moi !
– Ce n’est pas chez vous ici ?
– Non, ici c’est mon studio de travail !
– Quelle salade,! Eh bien on va faire un détour chez vous, c’est loin ?
– Au métro Place d’Italie.

On m’a menotté (pourquoi faire, je vous le demande un peu ?) Dans le fourgon, je n’ose croiser le regard de Patrice. Je suis mal et (au risque de me répéter) je ne comprends rien de ce qui se passe.

Arrivée en bas de mon domicile, je pique ma crise.

– Il n’est pas question que je monte chez moi en étant menottée.
– C’est juste une mesure de sécurité.
– Sécurité de quoi ? Vous êtes quatre, je suis seule ! Vous m’enlevez ça, vous me les remettrez en redescendant si ça vous amuse.
– On applique la procédure, madame !
– Alors je refuse de sortir du fourgon !
– Ce qui nous obligera à vous inculper pour rébellion !
– On ne peut pas dire que vous êtes arrangeants !
– Ce n’est pas notre rôle !
– Alors, je ne bouge pas ! J’ai un ami à l’IGPN, je lui donnerai de vos nouvelles.
– Bon, on ne va pas s’en sortir, vous deux, défaite-lui ses menottes et montez avec elle, récupérez ce qu’il y a récupérer et redescendez aussi sec.

Arrivé au commissariat on m’envoie direct en cellule. Ils interrogent Patrice.

Je n’ai appris que beaucoup plus tard que les policiers se sont satisfaits de son témoignage, ce qui ne les a pas empêché de le traiter de pervers et de l’inviter à aller se faire soigner avant de le laisser partir.

Je n’ai pourtant rien contre la police mais parfois, il y en a, faut se les farcir…

Allez, c’est mon tour.

– Je peux appeler mon avocat ?
– C’est votre droit.

J’appelle donc Maître Doubise qui évidemment est occupé, mais sa charmante secrétaire m’informe qu’elle m’envoie l’un de ses collaborateurs.

– Bon, commence la fliquette, Monsieur Patrice Dumaillet n’a pas souhaité porter plainte contre vous…

(Il n’aurait plus manqué que ça ! Non mais dès fois !)

– Donc, reprend la mégère, revenons à ce qui nous intéresse. Un aigrefin dénommé William Paturel, vous a selon toute vraisemblance confié abusivement l’usufruit d’une propriété située 15 avenue des hirondelles à Chamblis-les-Gonades.
– Hein ?
– Reconnaissez-vous ces faits ?
– J’ignorais que ce monsieur dont je ne connaissais que le prénom serait comme vous dites, un aigrefin. Mais si c’est le cas je suis sa victime. Depuis quand menotte-t-on les victimes ?
– Paturel est connu de nos services et utilise presque toujours le même mode opératoire, nous l’avons identifié grâce à ses empreintes laissées sur les interrupteurs électriques de cette propriété.
– Ah ?
– Dans quelles circonstances avez-vous rencontré ce monsieur Paturel ?
– Je vous répondrais quand vous aurez répondu à ma propre question, en attendant j’ai le droit au silence, non ?
– Bien, remettez-moi cette pétasse en cellule en attendant que son avocat se pointe.

Je vais m’énerver, je vais m’énerver…

Flashback

Je ne connaissais pas ce William, la quarantaine, brun, bel homme pour qui aime ce genre, jovial et volubile. Il a une grosse verrue sur la joue droite, un peu comme Robert De Niro, j’aime pas trop ça.

– Ça va je te plais ? Lui demandais-je en exhibant mon plus beau sourire.
– Vous êtes une belle femme !
– Parfait ! Alors qu’est-ce que tu aimerais que je te fasse ?
– J’aime bien qu’on me domine, mais j’aime pas trop la douleur…
– De la domination psychologique, en somme ?
– C’est cela !

Ce n’est pas trop ce que je préfère, mais business is business. Je demande au type de se mettre à poil après qu’il m’eut payé d’avance comme le veut la coutume.

– Je suis entièrement rasé ! Commente-t-il.

Ben oui, j’avais remarqué et à vrai dire je n’en ai rien à foutre. Je lui passe un collier de chien autour du cou, (faut toujours respecter les traditions) puis me saisissant d’un bâton de rouge à lèvres bon marché, j’écris « sous-merde » sur son torse.

– Et maintenant tu ouvres la bouche !
– Aaaah !

Il n’est pas idiot, il a parfaitement compris ce que j’allais faire, et le voilà qui bande alors que je n’ai même pas encore procédé !

Je lui crache plusieurs fois dans la bouche ! Il fait une tête bizarre, je ne saurais dire si c’est de la honte ou de l’extase ? Peut-être un mélange des deux, allez savoir ?

– Maintenant allonge-toi, toujours bouche ouverte, je vais te pisser dans la gueule !

J’ignore comment il va réagir, pour certains soumis le pipi est une humiliation, pour d’autre un cadeau ! Le petit monde de la soumission n’est pas si simple !

Je n’avais pas une grosse envie, mais il a tout avalé.

– Alors elle est bonne ma pisse ?
– Oui, maîtresse !
– Dommage que je n’ai pas une autre envie, je t’aurais volontiers chié dessus
– Ah ! Si vous pouviez le faire, maîtresse, ce serait la pire des humiliations.

Oui mais, la scato n’a jamais été trop mon truc, je n’ai rien contre mais bon… Et puis pour ce qui est du pipi, je peux en fournir pratiquement à volonté (je bois beaucoup d’eau), alors que le caca… bref je ne vais pas vous faire un dessin.

– Relève-toi, mets-toi à genoux et viens me lécher le cul, ça te donnera un avant-gout de ce que tu perds.

Je ne suis pas devant le miroir, je ne peux voir ce qu’il fabrique, mais je sens bien ses coups de langue qui ne tardent pas à me faire frétiller l’anus. J’ai toujours été très sensible du trou du cul !

– Ça te plait de me sucer mon trou qui pue la merde ?
– Oui, maîtresse ! Je ne suis bon qu’à ça, à lécher les culs bien sales.

Il n’est pas sale mon cul, (du moins, je ne pense pas) mais il faut toujours laisser les soumis fantasmer !

– Ne bouge pas, je vais chercher ma bite ! L’informais-je.

Il doit être un peu dur à la détente parce que son visage reflète alors l’incompréhension la plus totale ! Et quand il me voit m’harnacher de mon gode ceinture, il me fait son cinéma.

– Non pas ça, maîtresse, j’ai trop honte !
– Je m’en fous de ta honte ! Suce ! Suce cette bonne bite.

Bien sûr que c’était du cinéma, il prend le gode en bouche, le suce, le lèche l’engloutit

– Tu vois ce que tu es : un suceur de bite !
– Oui, maîtresse je suis un misérable !

C’est pas possible, il a dû lire les aventures de Tintin !

Et quand un soumis apprécie le gode, je lui pose la question qui le fait bien :

– C’est dommage que je n’aie pas un autre soumis sous la main, je t’aurais obligé à lui sucer la bite, c’est quand même plus agréable que du plastique, non ?

Pas de réponse !

– Eh ! Je t’ai posé une question ? Tu me réponds ou je te fous dehors !
– Je ne suis pas pédé, maîtresse !
– On ne dit pas pédé, on dit gay ou homo, cela dit ce n’est pas parce qu’on suce une bite qu’on est pédé !

Pas de réponse.

– Donc, ça ne te branche pas ? Repris-je.
– Non !
– Et admettons que je t’ordonne de le faire ?
– Oh ! ce serait trop la honte pour moi, mais si vous me l’ordonnez je le ferais avec humilité.
– Bon maintenant en levrette ! Je vais t’enculer !
– Oh, j’ai trop honte !

On commence à le savoir !

– Je t’ai déjà dit que j’en avait rien à cirer de ta honte ! Allez en position !

Je ne sais pas s’il s’attendait à ça, mais comme monsieur est un délicat et qu’il a la trouille que je lui fasse bobo, je lui tartine le cul avec du gel. Puis d’un bon coup de rein je fais pénétrer le gode dans son postérieur.

– Oh !
– Y’a un problème ?
– Non !

J’augmente la cadence et je le pilonne pendant cinq bonnes minutes, il se dissimule le visage sous ses avant-bras, dommage j’aime bien voir la tronche de mes soumis quand je les encule..

Il pousse un cri quand je le lui retire. J’aurais dû lui demander de se branler pendant que je lui bourrai le cul, on ne peut pas penser à tout.

– Et la prochaine fois, c’est une vraie bite que tu auras dans le cul…
– Non !
– Ta gueule, c’est pas toi qui commande ! Et si tu savais le nombre de mecs qui se sont fait enculer pour la première fois dans mon studio, donc tu ne seras pas le premier. Allez, on va finir en beauté, je vais m’installer dans le fauteuil, et toi tu vas te mettre à mes pieds.
– Oui maîtresse.

Je retire mes bottines et libère mes petits pieds.

– Maintenant tu vas me lécher les pieds, je pense qu’à cette heure-là ils ont bien transpiré et qu’ils puent la sueur, et en même temps tu vas te branler… et n’en fous pas partout, il y a des kleenex sur la petite table. Allez, exécution !

Ça n’a pas l’air de le motiver beaucoup. Tant pis ! Il lèche comme un manche, plus occupé à se branler qu’à s’occuper de mes petits pétons, il ne sait pas ce qu’il perd, cette andouille.

Il ne me lèche plus, il jute dans un kleenex que je lui jette ! Fin de la séance !

– Ah, vous m’avez bien déstressé ! Me confie-t-il en se rhabillant sans trop se presser.
– C’est ton boulot qui te stresses ?
– Un peu, oui…
– T’es dans quoi !
– Marchand de biens !
– Ah ?

En réalité je m’en fous complétement.

– En fait j’ai un créneau un peu particulier, j’achète en dessous du prix du marché des biens immobiliers… Il y a toujours des gens qui sont archi pressés de vendre suite à des circonstances particulières. Et quand je les revends j’empoche mon bénéfice au passage mais il me reste assez de marge pour vendre en-dessous du prix du marché. Comme ça tout le monde est content.
– Ah ?
– Vous savez, tous les produits que vous proposent les banques pour faire fructifier de l’argent, ça vaut ce que ça vaut, mais rien ne vaut la pierre ! C’est le meilleur des investissements, c’est du solide. Si vous avez de l’argent à placer, je vous le conseille.

Et là ça a fait tilt dans ma tête, voilà un moment que je voulais placer mes économies dont une grande partie dort bêtement dans un coffre à la banque, j’avais déjà pensé à l’immobilier mais faute de m’y connaitre je n’avais jamais creusé l’affaire.

– Si tu reviens me voir, tu pourrais m’apporter de la doc sur ce que tu as en vente en ce moment ?
– Mais avec grand plaisir !

Ça n’a pas traîné, huit jours plus tard il était de retour et me montrait quelques-uns de ces biens…

– Regardez celui-ci, à dix minutes du périph, il vaut 350 000 euros. Toute la famille est décédée dans un accident de voiture, ça revient à un vieux cousin qui n’en veux pas… je l’ai estimé à 300 000 et le revends 325 000. Une affaire, non ?
– On peut visiter ?
– Dites-moi quand, et on y va.

Nous y sommes allés le lendemain matin, c’est joli, bien entretenu, C’est un petit pavillon au milieu d’un joli petit terrain, il y a une table en bois pour manger dehors, un barbecue, un tobogan et une balançoire pour les gosses (je pourrais les ferais retirer) A l’intérieur rien n’a été enlevé, hormis le contenu du frigo…

– Pour débarrasser, je vous donnerais une adresse….
– Sinon on fait comment ?
– Vous avez les fonds ou vous avez besoin d’un prêt ?
– Non j’ai ! J’ai un gros coup de cœur pour cette baraque, je crois que je vais la prendre, je réfléchis quand même un tout petit peu et je vous appelle demain.
– Demain je vais être très occupé, c’est moi qui vous appellerais en fin d’après-midi.

Et donc vers 18 heures, je donnais mon accord.

– Je passe demain matin avec le notaire vers 11 h 30 et nous signerons la promesse de vente contre 10% du prix total. D’ici là vous aurez le temps de demander un chèque de banque de 32 500 euros.
– Avec le notaire ! Déjà ?
– C’est un ami, il me fait toujours passer en priorité.
– D’accord mais on ne va pas signer ça au studio, c’est un peu gênant, non ?
– Chez vous alors ?
– Je préfère, je vous donne l’adresse…

Tout un cirque pour verser des espèces sur mon compte. Il me faut remplir un papelard par lequel je certifie sur l’honneur que je ne suis pas en train de blanchir de l’argent et blablabla… tout cela est risible et agaçant.

Le notaire a délégué son premier clerc, une dénommée Sylvana Gambetti, fausse blonde à lunettes, la quarantaine sinon plus, belle prestance. On me fait lire l’acte, je ne m’attarde pas sur le fait que c’est l’adresse de mon studio qui y est indiquée et non celle de mon domicile estimant que cela ne doit pas être important.

J’hésite quand même un petit peu au moment de signer, ne souhaitant pas m’emballer. Ces messieurs-dames me proposent alors de me faire bénéficier de l’usufruit de mon acquisition avant la signature définitive, et de m’ont confié les clés.

Du coup, j’ai signé !

Puis, désireuse de prendre le plus vite possible possession des lieux, je diligentais l’entreprise de débarras dont ce William m’avait communiqué les références.

– Vous me virez tous les bibelots, les bouquins, les fringues, les godasses et tout ça, je ne garde que les meubles, la literie, les plantes vertes et la vaisselle. Dans la cave, il y a du pinard et des tableaux, je garde tout ça ! Pour l’extérieur vous me virez le toboggan et la balançoire.

Et le lendemain, je recevais un étrange coup de fil émanant d’une personne se réclamant des services du cadastre, me demandant si j’étais locataire ou propriétaire de ce fameux pavillon.

– Je serais bientôt propriétaire, je viens de signer la promesse de vente…
– Je suppose que vous possédez donc un acte notarié pouvant le certifier ?
– Evidement ! (elle m’énerve cette bonne femme)
– Pouvez-vous me communiquer le nom du vendeur et celui du notaire.?
– Je ne suis pas chez moi, je peux vous rappeler.
– Non, c’est moi qui vous rapperais, à quelle heure ce sera possible ?
– Ben demain, je photographierais l’acte sur mon téléphone…

Ce n’est qu’à postériori que cet appel m’a paru suspect… Et tout ça c’était il y a quinze jours.

Fin du flashback

A suivre

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3 réponses à Chanette 33 – L’escroc de Bourges 1 – William Paturel, soumis et marchand de biens

  1. Lisov dit :

    Tu pratiques toujours, Chnaette ?

  2. Stablinski dit :

    Ce genre de récit qui réveille mon côté soumis

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