Carnaval 8 – Sarah touche le fond par Caroline49

Carnaval 8 – Sarah touche le fond par Caroline49

Nous repassons la porte battante. La musique bat son plein mais je ne l’écoute pas du tout. Sarah me tient la main. Je m’approche près du bord du balcon afin de regarder en contre bas. Je vois ma grande sœur Chloé. Je viens de me faire enculer à sec par son copain et j’ai adoré. Et je n’ai aucun regret. Je lâche la main de Sarah et je me tourne vers elle. Je prends sa tête à deux mains et je l’embrasse fougueusement. Nos langues se lient, se mélangent, tournoient dans nos bouches. J’ai envie d’elle. D’elle en moi. Mais pas ici.

Un tonnerre d’applaudissement retentit dans le hall de la Mairie, le grand bœuf vient de se terminer. Tous les groupes de musiques commencent à redescendre les escaliers afin d’aller de prendre une collation. Le maire de la ville reçoit officiellement les Ambassadrices de la ville et les discours ennuyeux commencent. Je reprends Sarah par la main et l’entraîne à l’extérieur de la mairie. Nous retournons vers la place où sont garés tous les chars de Carnaval. Il est déjà 20 heures. La place a commencé à se vider du public. Les chars commencent à se mettre en convoi afin de remonter vers les ateliers. Il y a au moins une heure de trajet. Nous nous asseyons sur les marches du podium et nous regardons tout ce petit monde qui s’affaire. J’aime voir la danse des chariots élévateurs qui hissent sur leurs nacelles ces carnavaliers qui démontent certains éléments de chars avant de reprendre la route. J’aime aussi regarder les gens qui sont, à la fin du carnaval, habillés de différentes façons. Comme celui-ci qui est en bleu de travail mais qui a encore ses chaussures à talon, ou bien celle-ci qui est en jupe, avec un gros blouson parce qu’elle a certainement froid, et encore sa perruque jaune fluo. Il y a ceux qui se jettent sur leurs sandwichs car ils sont affamés et il y a ceux qui sont fatigués et qui apprécient de retrouver le confort d’un siège de voiture. Il y a les enfants qui dorment dans les poussettes, et les fêtards que l’alcool a rendu euphorique qui dansent encore au son des sonos mis en sourdine.

La police municipale arrive, et la mise en route du convoi se lance. Tous les chars s’ébranlent tout doucement et commence à remonter le parcours en sens inverse direction les ateliers municipaux. Les gens encore sur le parcours applaudissent une nouvelle fois le travail de ces artistes de l’éphémère :  » Bon et bien nous n’avons plus qu’à remonter à pied jusqu’à la gare.

– Oui, je prendrai bien une petite douche en rentrant, me dit Sarah, je me sens poisseuse.
– Oui moi aussi. Allons-y alors.
– J’ai hâte d’être avec toi sous la douche « .

Je la prends par la main et nous courrons toutes les deux vers un char qui passe devant nous. Nous sautons sur le plateau afin de nous asseoir et nous nous laissons remonter sans effort jusqu’à la gare. Après dix minutes de voyage, nous sommes arrivées à la gare et nous descendons du char. Sarah et moi avons hâte d’être sous la douche. Nous traversons la passerelle en courant. Nos coeurs battent la chamade. Nous arrivons enfin chez moi, la porte est fermée à clé. Il n’y a donc personne. Je déverrouille la porte. Sarah monte en premier jusqu’au deuxième étage. Je la suis. Nous voilà toutes les deux dans la chambre. L’odeur d’urine est présente à cause des draps souillés de tout à l’heure. Je finis par les enlever, l’alèse aussi et je file mettre tout ça en machine. J’en profite pour aller verrouiller la porte d’entrée afin de ne pas être dérangée avec Sarah mais au moment où je m’apprêtais à tourner la clé, la poignée se baisse. Antoine venait d’arriver. Il entre avec le regard brûlant rempli d’envies sexuelles. Il referme la porte et la verrouille en laissant la clé dans le cylindre :
–  » Sarah est dans la chambre, là-haut !  »

Je commence alors à monter devant lui les 44 marches allant à l’étage. Il me suit sans dire un mot.

Dans la chambre, je vois Sarah qui est sous la douche. Elle en sort, son corps est encore trempé. Elle vient vers Antoine et commence à lui baisser le pantalon. Elle le prend en bouche de suite et commence à lui faire la plus belle des fellations qui soit. Tout en tendresse. Elle le lèche, le caresse, le mordille. Elle joue avec sa salive. Je ne peux m’empêcher de regarder ma jolie rouquine nue sucer mon beau-frère. Ses seins sont superbes, tétons tendus. Son sexe est très légèrement velu sur le mont de Vénus. Elle lâche son emprise buccale et viens se mettre en position de levrette sur le lit. Là par contre, je crains un peu pour le matelas, vu qu’il n’y a plus d’alèse. Antoine vient derrière elle et s’apprête à la pénétrer mais Sarah guide son sexe à l’entrée de son anus. Antoine se laisse faire. C’est elle qui mène la danse finalement. Je m’approche d’eux. Je m’assieds sur le lit et je vois le gland turgescent se faire happer par l’anus de Sarah que je devine fraîchement lavé. La queue d’Antoine disparaît doucement dans le fondement de Sarah. Je devine qu’elle pousse afin d’ouvrir ses sphincters. Elle commence à gémir et dit :

 » Slowly !  »

Antoine et l’anglais faisant deux je devine au regard qu’il me lance qu’il n’a pas compris.

 » Redresse lui la colonne vertébrale lui dis-je, elle veut se faire déchirer !  »

Et mon beau-frère s’agrippe à sa taille et commence à accélérer le rythme. Je vois son chibre, rentrer-sortir, rentrer sortir, rentrer sortir de plus en plus vite. Le pourtour de l’anus de Sarah fait une jolie ventouse. Elle se met la tête dans les coussins et commencent à crier. Elle se cambre un peu plus le dos afin de mieux le sentir. Mon beau-frère se concentre pour mieux se contrôler. Je passe par intermittences mes doigts sur le clito de Sarah. Il est dur, tendu. Sa chatte est ouverte. Elle goutte de jus visqueux. Je le récupère sur mes doigts et le lèche. Elle est délicieuse. Je n’ose pas y mettre mes doigts de peur de lui faire mal à cause du sexe déjà en elle. Antoine calme son rythme. Il reprend des mouvements plus doux. Il sort son sexe entièrement et écarte bien les fesses de Sarah afin de voir son cul bien ouvert

 » Espèce de petite chienne écossaise de mes deux ! « .

Je prends son sexe en bouche afin de le lubrifier, de le nettoyer. Je devine au goût qu’il est allé très loin dans le fondement de Sarah mais sur le coup je m’en fiche. Je me retire et il se remet au pistonnage. Elle gueule mon écossaise…Elle se fait littéralement démonter le cul. Sa chatte est au goutte à goutte elle ruine le matelas de ma frangine. Sarah se retire. Elle n’en peut plus. Elle s’allonge afin de retrouver ses esprits un peu et reprendre son souffle.

Pendant ce laps de temps, Antoine s’astique le manche. Moi je ne sais quoi faire. Je suis toujours habillée en hôtesse mais je profite du spectacle. Sarah se remet en position. Elle en veut la salope. Je décide alors de me glisser sous elle afin d’avoir ma tête en dessous sa chatte. Quitte à ce qu’elle dégouline de plaisir, autant que ce soit dans ma bouche. La queue du beau-frère revient en elle. Mais dans son sexe cette fois. Il rentre sans peine tant elle est ouverte, excitée et trempée. Il lui faut que quelques coups de rein pour se vider. Il n’en plus mon Tonio, il a donné beaucoup de sa personne aujourd’hui. Il se retire. Et là j’ai une vue superbe sur ses lèvres. Les lèvres de Sarah ma rouquine. Je devine ses petits poils pubiens orange roux. Elle vient poser son sexe chaud sur ma bouche. Je sors ma langue et je vais chercher cette crème blanche, épaisse, onctueuse, mélangée de son odeur et de sa cyprine. Je l’aspire avec délectation. J’avale ce sperme divin. Il est si gélatineux que j’ai dû mal à aspirer. Je le fais en plusieurs fois. Ca colle, c’est gluant, j’adore… Ma langue farfouille son sexe, je ne perds rien. Elle gémit de bonheur ma rouquine. Je me nourris d’elle, de son jus, de ses sécrétions et…et de sa pisse. Elle se laisse aller en douceur, je sens qu’elle maîtrise, j’ouvre la bouche afin de tout recevoir. Le petit jet fait glouglou au fond de ma bouche. J’avale. Et une deuxième tournée. La source est tarie, je finie de la lécher en douceur. Elle se redresse un peu afin que ma langue lui nettoie le cul déjà refermé, puis elle se lève du lit. Elle m’embrasse à pleine bouche et fait de même avec Antoine. Elle file sous la douche à nouveau. Antoine lui est claqué. Trois fois aujourd’hui qu’il se fait pomper le dard avec violence. Il se rhabille et descend. Moi je me tourne sur le lit. Je regarde l’heure, 21 h 30. Je me sens toute chose. Heureuse et mélancolique. Il s’en est passé des choses depuis deux jours.

Je finis par me lever du lit pour me diriger également vers la salle de bain. Je regarde Sarah qui se passe le tuyau de la pomme de douche, celle-ci étant enlevée, sur son anus. Elle laisse le jet d’eau tiède y rentrer et pousse par moment le contenu de son intestin. La couleur brunâtre qui en sort me confirme donc le goût de la queue de mon beau-frère…Je ne m’en étais pas du tout offusqué sur le moment. Comme elle se lave la porte de la cabine de douche ouverte, je la regarde se laver. Je la vois un genou à terre, le tuyau dans le cul par intermittence. Elle se fait son lavement la cocotte. Je retire ma tenue. Mon déguisement d’hôtesse de l’air. Je rentre dans la cabine. Sarah me regarde avec envie. J’ai le cœur qui bat très fort car je ne sais pas du tout jusqu’où elle souhaite m’emmener dans son délire. Elle retire le tuyau de son anus et se lève. Le contact de ses mains sur mes hanches me fait sursauter. Elle me fait tourner sur moi-même et me colle au mur. Mes tétons se durcissent au contact de la faïence froide. Tout en m’appuyant contre le mur d’une main, de l’autre elle tire très légèrement mes jambes du mur et les écarte tout doucement. Me voilà cambrée.

Elle glisse sa main entre mes fesses et dirige ses doigts vers mon sexe. Je suis en chaleur, mes lèvres sont gonflées à bloc. Je sens que je ruisselle. J’aimerais qu’elle me lape. Qu’elle me boive. Mais au contraire elle m’introduit deux doigts afin de bien les lubrifier, et les approche de ma petite fleur rose. Je sens ses doigts entrer dans mon cul. Elle commence des va-et-vient délicats. De son autre main elle commence à me titiller le clitoris, la délicatesse de ses mouvements commence à me faire gémir. Je devine qu’elle va plus loin en moi :

 » Laisse toi aller Caro, abandonne toi !
– J’ai peur ! Où veux tu m’emmenez, Sarah ?
– Tu m’as montré de quoi tu es capable tout à l’heure dans tes collants. Laisse toi aller, aborde des sensations nouvelles !
– Quoi, qu’est-ce que tu veux dire ?
– Pousse ! Je sens au contact de mes doigts que tu peux ! »

Elle retire ses doigts et m’écarte les fesses sans me faire mal. Je pousse alors du périnée, des muscles abdominaux. Les doigts de son autre main me pince le clitoris. Je me laisse aller. Je sens l’orgasme monter en moi. Je commence à ne plus tenir sur mes jambes. Je sens mon offrande arriver. Je devine ma rose qui s’ouvre, je ressens mon cadeau pour Sarah qui passe entre mes muqueuses. Je revois alors sur le moment le visage de la contrôleuse de train qui s’était laissé aller devant moi. La vapeur de la douche et la chaleur ambiante fait remonter l’odeur enivrante. Mon corps ne se contrôle alors plus. Mon ventre finit de faire le nécessaire et je sens ma rose se refermer. Le  » schplock « entendu sur le carrelage et le  » rhââââ  » de Sarah me font décoller les sens. Mon anus se contracte violemment, mon cerveau perd les pédales, mes jambes flageolent, je jouis, je crie, je râle et je fuis. Je jute à n’en plus finir, à chaque contraction dans mon ventre, un jet s’échappe de ma chatte. Je ne sais pas ce que c’est. Et je m’en fiche.

 » Oh putain qu’est-ce que c’est bon ! Sarah ! Salope ! Chienne ! Putain de saloooope !  »

Ma jouissance vocale s’étouffe en finissant sur un souffle rauque. Je finis par me mettre à genoux, complètement vidée, épuisée.

Sarah écrase mon cadeau du pied afin de le mettre en morceau et de l’expédier grâce à l’eau de la douche vers sa destinée. Je reste un moment assise sous la douche à me réchauffer ou me refroidir les idées car sur le coup je ne sais plus qui je suis ou ce que je suis. Je me recroqueville. Mes genoux collés contre ma poitrine…je suis effarée et peut aussi désespérée. Je suis tellement fatiguée que je me décontracte une dernière fois et laisse glisser un dernier jet d’urine bien chaude entre mes lèvres, ma chatte, mes pieds…

A suivre …

 

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2 réponses à Carnaval 8 – Sarah touche le fond par Caroline49

  1. Sanchez dit :

    Comme quoi quand c’est bien écrit et que les personnages sont autre chose que des pantins, les fantasmes les plus extrêmes arrivent à passer très bien

  2. Claire dit :

    Que c’est beau, sensuel, bien écrit et surtout d’un naturel saisissant, à la lecture on sent les sucs intimes, les odeurs corporelles, les sécrétions… et jusqu’à ce final fabuleux.

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