Cabinet médical par Lorimar

Cabinet médical
par Lorimar


J’avais rendez-vous à 17 heures : juste à l’heure… Je poussai la porte du cabinet médical et une secrétaire à l’air revêche m’accueillit.

– Votre nom ?
– Marc L., lui répondis-je d’une voix incertaine, J’avais rendez-vous à 17 heures…
– Bon : asseyez-vous dans la salle et attendez qu’on vous appelle.

J’allai dans la salle d’attente, d’une neutralité méprisante, comme la plupart de ces lieux et m’assis en compagnie d’une femme assez âgée, qui me salua d’un signe de tête discret, avant d’être appelée et de sortir. Plusieurs minutes plus tard, ce fut mon tour. Je rentrai dans une pièce austère, au centre de laquelle était un grand bureau noir. La doctoresse était une femme d’environ 65 ans, assez petite et affublée de lunettes à montures épaisses. Je pris place dans une chaise devant son bureau et elle commença à m’interroger.

– De quoi souffrez-vous?
– J’ai des douleurs dans le bas-ventre, depuis deux jours, assez diffuses, mais importantes
– Dans le bas-ventre? Pouvez-vous être plus précis?
– Oui, en fait, dans la région pelvienne et pubienne.
– Bien. Veuillez vous déshabiller.

Je commençai à enlever mes vêtements. Arrivé au slip, je demandai :

– Complètement?
– Oui, complètement, me dit-elle, en écrivant sur ma fiche.

Une fois nu, je restai devant son bureau. Elle me dit alors :

– Allez vous placer devant la table d’examen

Cela fait, elle vint vers moi et, s’agenouillant, elle commença à me palper le bas-ventre.

– Vous êtes épilé, me dit-elle, constatant mon sexe rasé.
– Oui, docteur, cela m’est plus confortable
– Est-ce que vous avez mal? me demanda-t-elle en palpant mon bas-ventre
– Un peu
– Et là? fit-elle en descendant vers mon pubis
– Oui

Elle prit alors mes testicules dans ses deux mains, les palpa sans ménagements, puis se saisit de ma verge et décalotta le gland, qu’elle examina longuement.

– Vous avez souvent des rapports sexuels? me demanda-t-elle en effleurant l’urètre du bout du doigt?
-Non, docteur, je vis seul.
– Vous vous masturbez souvent, alors?

Je rougis violemment :

– Assez souvent, en effet docteur
– Je le vois bien, car votre gland est un peu blanc et irrité. Elle continuait à manipuler ma verge, et celle-ci commençai à se dresser : j’en étais gêné. le voyant, elle me dit :
-Ne soyez pas timide, j’ai besoin de voir votre sexe en érection. Et elle se mit à me masturber.

Une fois la taille voulue atteinte, elle se saisit d’un coton-tige qu’elle trempa dans un petit flacon et me l’enfonça légèrement dans l’urètre.

– C’est un prélèvement, me dit-elle avant de se retourner.
– Bien : vous allez maintenant vous allonger sur la table d’examen. Je reviens dans un instant : j’ai une autre patiente dans la pièce à côté.

Elle disparut et je m’allongeai. Quand elle revint, voyant ma position sur le dos, elle me dit :

-Vous allez vous retourner maintenant et vous mettre à quatre pattes. Je fis ce qu’elle me demandait.
– Cambrez-vous bien, j’ai besoin de voir votre anus…

Je me cambrai et lui présentai mes fesses, très gêné. Je la sentis qui observai mon orifice, puis elle l’effleura, avant de prendre un pot de lubrifiant et d’en enduire ses doigts.

– Je vais m’introduire dans votre anus, me prévint-elle. Dites-moi si cela vous fait mal.

Elle commença par un doigt qu’elle enfila délicatement

– Vous avez mal?
– Un peu, lui répondis-je

Elle fouaillait l’intérieur de mon rectum. De l’autre main, elle tâta mon sexe toujours érigé.

-Il est normal que vous bandiez, me dit-elle, c’est l’effet de la pénétration anale. Sentant une goutte de liquide au bout de mon gland et tout en introduisant un deuxième doigt avec le premier, elle se saisit d’un mouchoir en papier et m’essuya délicatement.

– Je vais devoir faire un examen plus approfondi, avec un spéculum, me dit-elle. Je vais vous donner un décontractant, pour élargir l’orifice anal. Je vais aussi devoir me faire aider, pour l’examen.

Elle retira ses doigts, me donna un petit cachet et sortit. Elle revint au bout de quelques minutes, accompagnée par la dame âgée que j’avais vue dans la salle d’attente. J’étais très gêné de me retrouver ainsi exposé devant ces deux femmes :

– Liliane est une amie, elle va m’aider pour l’examen.

Je me retournai à nouveau, offrant mes fesses à leur regard. La doctoresse m’enduisit fortement l’anus de lubrifiant, avant de se saisir d’un spéculum. Liliane écarta mes fesses afin de dégager complètement mon orifice, pour permettre l’introduction des deux mâchoires d’acier de l’instrument.

– Je vais écarter, dites-moi si cela vous fait mal.

Les pinces d’acier s’éloignaient doucement, révélant l’intérieur de mon rectum aux deux femmes. Bizarrement, j’avais le sentiment que cela était très facile : l’effet du décontractant, sans doute. Liliane tint le spéculum pendant que la doctoresse inspectait mon rectum avec une puissante lampe frontale. *

– Je ne vois rien, dit-elle, tout paraît normal.
– Oui, ça a l’air bien propre, renchérit Liliane. Elles commencèrent à refermer l’ouverture du spéculum et le retirèrent.
– Vous pouvez vous lever, me dit la doctoresse. Je me retournai et me mis debout. A ma grande honte, je m’aperçus que je bandai toujours et que du liquide sourdait abondamment de l’urètre. Voyant cela, Liliane s’écria avec un petit rire :

– Regarde, Françoise, on dirait que nos manipulations ont fait de l’effet!

La doctoresse rit aussi et me dit :

Voulez-vous que Liliane vous amène à l’éjaculation ? Ceci dans un but thérapeutique, car vos douleurs viennent effectivement du fait que vous vous masturbez trop souvent, votre pénis est trop sollicité. Il serait mieux pour vous que vous ayez une compagne et des rapports sexuels…

– Je veux bien, Docteur, dis-je d’une toute petite voix.
– Nous allons recueillir votre sperme afin de l’analyser et évacuer toute autre diagnostic, mais je ne suis pas inquiète, dit le médecin.

Elle se sait alors d’une petite coupelle qu’elle tint sous mon sexe, pendant que Liliane commençait à me masturber délicatement. La vieille dame faisait aller et venir la peau sur mon gland en souriant et en me demandant si cela allait. Je répondis que oui, très excité, et ne tardai pas à éjaculer sous les yeux des deux femmes. La doctoresse collecta tout mon sperme et l’enferma dans un flacon.

Je me rhabillai et dis au revoir aux deux dames : la visite était terminée…

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Cabinet médical par Lorimar

  1. Baruchel dit :

    Eh bien malgré son sujet, ce texte insipide ne restera pas dans les anales

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *