Chemins libertins
Chapitres 13 et 14 – Paille, blonde et uro
par plaisirs_extremes
Ce soir-là, j’étais seul dans notre appartement. Annick était partie pour une semaine chez ses parents et cette sensation de liberté me comblait d’aise. Quoi de plus sympa que de retrouver ses habitudes de célibataire. Après une bonne douche, j’étais étendu sur le canapé du salon écoutant le dernier disque des Pink Floyd. Le téléphone sonna me tirant de ma douce rêverie. J’allai décrocher.
– Bonjour, c’est moi.
Je n’avais pas reconnu cette voix.
– Qui ça moi ?
– C’est Alexandra.
– Oh, bonjour, comment vas-tu ?
– Je vais bien, je dirais même très bien. Tu te souviens du fantasme dont je t’ai parlé ?
– Tu sais, tu m’as parlé de beaucoup de fantasmes. Lequel ?
– Tu sais, avec le foin.
– Hum, oui, pas mal.
– Eh bien, je suis en bas de chez toi, viens vite me rejoindre, j’ai une surprise.
Et elle raccrocha.
Je trouvais la situation parfaitement irréelle. Voilà une jeune femme que je croyais tout de même plutôt réservée sur le plan sexuel et qui me proposait ni plus ni moins de réaliser l’un de ses fantasmes. J’enfilai rapidement un jeans, un t-shirt Lacoste et ma veste en cuir et descendit rejoindre Alexandra.
Elle m’attendait dans sa Citroën ZX blanche. Elle était vêtue d’un imperméable crème dévoilant la rondeur de ses genoux. Je crus reconnaître dans ses yeux maquillés cette petite lueur de désir que j’avais déjà aperçue quelques fois.
Elle m’embrassa avec tendresse et sans rien me dire démarra. Après cinq minutes de route dans les rues de la ville, je m’hasardai à lui poser la question qui me brûlait les lèvres.
– Où va-t-on ?
– Tu verras, je crois que ça devrait te plaire.
– Tu ne veux pas me dire ?
– Tu verras me fit-elle avec un petit clin d’œil.
Son imperméable qu’elle avait noué à la taille s’était écarté. Je voyais ses jambes gainées de noir et, plus intéressant, la lisière d’un bas et juste au-dessus la chair nue de sa cuisse. Décidément, les choses prenaient une tournure vraiment très intéressante.
Nous étions sortis de la ville et nous enfoncions dans la forêt. Les phares éclairaient la route serpentant entre les arbres. Enfin, notre voiture s’engagea sur un chemin caillouteux et une grande bâtisse apparut au détour d’une clairière.
– Tu te rappelles, je t’avais parlé de mon oncle qui possède un manège où il élève des chevaux, eh bien, nous y voilà, et tu sais que s’il y a des chevaux, il y a aussi du foin.
Ma gorge devint tout à coup très sèche. Alexandra arrêta le moteur et descendit de la voiture. Je la suivis. Elle me prit par la main et m’emmena en courant dans une petite grange jouxtant le manège. Nous y entrâmes et l’odeur si caractéristique du foin me monta au nez. Je cherchai à tâtons un interrupteur pour allumer la lumière mais Alexandra vint vers moi et se plaquant contre mon corps me dit :
– Non, laisse éteint, tu verras, il fera assez clair avec la pleine lune.
En effet, quelques raies de lumière blanchâtre s’immisçaient entre les planches mal ajustées de la grange. Tout à coup, Alexandra posa sa bouche sur mes lèvres et sa langue s’enroula autour de la mienne de plus en plus lascivement, de plus en plus fougueusement. Son corps s’était mis à tanguer contre le mien et des gémissements s’échappaient de sa gorge.
– Viens me dit-elle, fais-moi vivre mon fantasme.
Elle m’attira dans un coin de la grange et se plantant face à moi, défit la ceinture de son imperméable, me dévoilant la beauté de ses seins qu’aucun soutien-gorge n’entravait et de son ventre sur lequel se détachait un porte-jarretelles noir. Elle n’avait pas mis de slip et son pubis nu se découpait dans la lueur irréelle.
Je fis glisser son imperméable sur ses épaules et le posai sur le foin. Elle s’agenouilla devant moi, défit la boucle de mon pantalon, descendit la fermeture et passant sa main dans mon slip en extrait ma queue dure comme du fer.
– Tu sais ce que tu fais lui demandai-je ?
– Oui, ne t’en fais pas me répondit-elle dans un souffle.
Je sentis tout à coup sa langue passer sur mon gland ce qui me fit frémir de plaisir. Elle semblait amadouer ma bite ou était-ce le contraire ? Après un moment de ce traitement, Alexandra me prit dans sa bouche, d’abord timidement, puis, de plus en plus goulûment. La chose devait lui plaire, car elle poussait de petits gémissements énamourés.
– Tu sais, je me l’étais souvent imaginé, mais jamais je ne pensais pouvoir faire le pas. Qu’est-ce que j’ai loupé !
Et elle me reprit de plus belle jusqu’à me faire mal à force de succion et de mordillements.
– Arrête, arrête, je n’en peux plus lui dis-je.
J’avais hâte de découvrir sa petite chatte aux poils châtains. Je la couchai sur son manteau et elle écarta d’elle-même ses cuisses pour que je puisse découvrir son sexe. Je plongeai ma langue dans sa fente, découvrant avec délice la saveur un peu acide de sa cyprine. Elle était trempée et je n’eus aucun mal à enfoncer un doigt dans son vagin. Ma langue trouva son petit clitoris qui pointait au haut de sa fente et lui prodigua une caresse qui fit gémir Alexandra. Elle poussa son sexe vers moi afin de mieux me sentir et j’en profitai pour descendre mon doigt jusqu’à son anus où il plongea sans aucune difficulté. Surpris, je relevai la tête et lui dis :
– Coquine, j’ai cru que tu ne t’étais jamais fait enculer.
– C’est vrai, mais je veux essayer ce soir, alors, je me suis préparée cet après-midi avec mes doigts.
En effet, son petit trou était très glissant et totalement relâché. Etait-ce son aveu ou son odeur, mais j’étais totalement grisé. Je lapais cette chatte comme un fou, j’avais envie de la lui manger, d’enfoncer ma langue toujours plus loin dans son trou, ce qui rendait folle de désir ma douce soumise. Enfin, n’en pouvant plus, arrivée au paroxysme du plaisir, Alexandra jouit en criant, me gratifiant d’une giclée de son jus intime que je bus avidement.
Elle resta anéantie par le plaisir de longues secondes. J’en profitai pour me déshabiller entièrement et je m’étendis à ses côtés lui caressant tendrement les seins. Mais elle me repoussa, m’enjamba et dos à moi elle prit mon sexe dans sa main et le dirigea vers son anus palpitant.
– Va doucement lui dis-je, sinon tu vas avoir mal.
Mais elle ne m’écoutait pas. Je sentis mon gland toucher son trou virginal et elle s’empala d’une seule poussée en criant, mélange de douleur et de plaisir. Elle resta ainsi un petit instant, ma verge enfoncée jusqu’aux couilles et, prenant appui sur mes cuisses, commença à monter et descendre lentement sur mon sexe.
Elle ne disait rien, je n’entendais que son souffle, de plus en plus court. Puis, des gémissements montèrent de sa gorge avant qu’elle ne se mette à crier son plaisir à pleins poumons.
– Je jouis, je jouis.
Elle s’écroula sur moi, prise de tremblements désordonnés. Je la laissai se calmer, retirant lentement ma queue de son trou boursouflé. Je n’avais pas encore jouis et un sentiment de frustration commençait à m’envahir. Alors, la soulevant de toutes mes forces, je la pris dans mes bras et la couchai à plat ventre sur un monticule d’herbe fraîche et lui écartant les fesses, je léchai amoureusement sa rosette. Cette caresse la fit gémir et elle remonta encore sa croupe vers ma bouche. Je me redressai alors et la pénétrai de toute la longueur de ma verge lui arrachant une plainte de contentement. Elle glissa sa main entre ses cuisses et se griffa rageusement le clitoris. Je n’avais pas à bouger, elle s’empalait d’elle-même, lançant des petits cris de plaisir et on eut dit que jamais elle ne s’arrêterait d’orgasmer. Moi, je sentais que je n’allais pas tarder à jouir et d’une dernière poussée, je bloquai son cul contre mon ventre et ma semence gicla avec violence au fond de ses fesses.
– Qu’est-ce qui s’est passé ? Lui demandai-je une fois le calme revenu.
– Tout ça c’est de ta faute me dit-elle avec une petite moue enfantine.
– Comment ça ma faute ?
– Ben oui, à force de parler de sexe avec moi, tu m’as donné des envies. Et il faut dire que les magazines que tu m’as donnés à lire m’ont passablement intéressée.
– Bon d’accord, mais à ce point ?
– Oui, à ce point, et je ne regrette rien.
Elle m’embrassa sur la joue et se levant elle se mit à trois mètres de moi et elle pissa copieusement dans l’herbe fraîche. Puis elle s’essuya la chatte et le cul avec un mouchoir pris dans sa poche et me dit avec un petit sourire :
– Voilà, c’est déjà fini, ramène-moi à la maison.
Cette fois, c’est moi qui pris le volant et comme un somnambule, ayant encore du mal à réaliser ce qui m’était arrivé, je la conduisis jusque chez elle.
Elle me raconta beaucoup de choses, son enfance mais également son adolescence où elle découvrit le sexe grâce à un homme nettement plus âgé qu’elle. Elle était allée jusqu’au bout d’elle-même et tout à coup, je me posai la question si ce ne serait pas moi l’élève et elle le maître. Elle avait presque tout connu, les partouzes, le sadomasochisme plutôt hard, les soirées fines chez des personnes très fortunées et très en vue. Une vie de débauche qui semblait la contenter.
Nous avions pas mal bu et c’est dans ma voiture que je l’accompagnai jusque chez elle. Elle était habillée d’une manière très suggestive. Sa robe dévoilait le haut de ses cuisses à chacun de ses pas, laissant entrevoir la lisière d’un bas noir. Sa poitrine, outrageusement gonflée était encore mise en valeur par un profond décolleté. Nous savions l’un et l’autre que nous finirions notre soirée ensemble. Déjà, chemin faisant, mes mains se permettaient quelques incursions sur ses seins, faisant gémir la belle. Elle m’avait avoué qu’elle était très sensible de cet endroit et que le moindre attouchement suggestif suffisait à lui faire écarter les cuisses.
Après avoir garé la voiture, j’ouvris la porte du côté de ma passagère et je l’aidai à s’extraire de l’habitacle. Elle se cramponnait à moi pour ne pas tomber, la hauteur de ses talons lui donnant une démarche hésitante. Dans son appartement, elle me fit asseoir dans un fauteuil très confortable et s’agenouillant devant moi, elle entreprit de me déshabiller complètement. Puis, se rendant vers sa chaîne stéréo, elle l’enclencha et se planta devant moi. La musique de Joe Cocker résonna soudain dans l’appartement et elle me fit le plus formidable strip-tease qu’il m’ait été donné d’admirer.
Lascivement, lentement, elle fit glisser les bretelles de sa robe par-dessus ses épaules, dévoilant ainsi la pointe de ses seins. Puis, petit à petit, elle descendit sa robe le long de son ventre et, me tournant le dos, la fit passer par-dessus son cul, très lentement, me dévoilant peu à peu ses fesses rebondies. Comme dans le métro, elle ne portait pas de culotte. Je remarquai que son ventre était ceint d’une chaînette en or. Elle était maintenant nue devant moi, n’ayant gardé que ses bas. Elle se caressait tout le corps, gémissant de plaisir, faisant saillir ses tétons en les prenant, l’un après l’autre, entre ses lèvres. Sa main gauche avait glissé jusqu’à sa chatte rasée et elle gratifiait son clitoris de délicieuses caresses. Il émanait d’elle une sensualité incroyable. J’avais vraiment l’impression que cette fille était faite pour l’amour.
Elle tendit une main vers le tiroir d’une commode et en ressortit un gode annelé d’au moins cinq centimètres de diamètre. Puis se mettant à quatre pattes, le cul tourné vers moi, elle recula jusqu’à n’être qu’à quelques centimètres de mes jambes. Elle se cambrait, me faisant admirer sa chatte et son anus entrouvert. Prenant le gode, elle l’enfonça lentement dans son sexe. Je voyais ses lèvres boursouflées s’écarter au passage de l’engin. D’une dernière poussée, elle le fit pénétrer tout au fond de son vagin. Elle tourna sa tête vers moi.
– Vas-y, fais-le bouger, ramone-moi.
Je pris le sexe factice dans ma main droite et le ressortis presque entièrement, ne laissant que le gland distendre ses nymphes. Puis j’appuyai pour le faire entrer à nouveau jusqu’au fond. A chaque va-et-vient, Fabienne gémissait. Je bougeais le gode de plus en plus vite, de plus en plus durement arrachant des plaintes à la belle blonde. Le caoutchouc était couvert de cyprine et le bruit qu’il faisait en plongeant dans ce gouffre béant était des plus excitants. Fabienne avait enfoncé d’elle-même deux doigts dans son anus et elle les faisait aller et venir au même rythme que mon gode. Tout à coup, tout son corps se cabra et elle poussa un grand cri, tremblant sur ses bras. Un liquide gicla hors de son sexe m’éclaboussant le bas du ventre. Elle semblait se vider, comme une pile électrique, agitée de soubresauts incontrôlables. Elle finit par se coucher sur le tapis, à plat ventre un sourire de contentement sur les lèvres.
– Tu vois, me dit-elle, ça c’est l’effet point G. T’arrives pas souvent à jouir comme ça, mais quand ça te prend, c’est absolument fantastique. Une sorte d’orgasme suprême qui te fait sombrer dans le bonheur le plus total.
– En tout cas, l’effet est dévastateur lui répondis-je en me regardant le ventre.
Se relevant, elle m’entraîna vers la salle de bain. Sans même ôter ses bas, elle se coucha dans la baignoire et me demanda de venir au-dessus de son ventre.
– J’ai envie que tu pisses sur ma chatte me dit-elle en me regardant droit dans les yeux.
– Quoi ?
– Viens, pisses-moi dessus me répéta-t-elle en cambrant son corps vers mon sexe.
La chose était difficile car je bandais encore. Pourtant, en me concentrant, un petit jet d’urine s’échappa de mon gland, allant s’écraser sur la poitrine de Fabienne. Celle-ci émit un râle et elle caressa sa peau mouillée des deux mains.
– Plus bas, vise ma chatte.
Descendant ses mains jusqu’à son sexe, elle écarta ses lèvres faisant saillir son clitoris. Le jet était maintenant plus dru et éclaboussait avec force le sexe de la jeune femme. Elle criait, en proie à une jouissance fantastique, ses doigts massant sa vulve dégoulinante. Mon jet se tarit peu à peu et Fabienne se redressant emboucha mon sexe débandé jusqu’au fond de sa gorge alors que d’une main, elle ouvrait la douche, me faisant sursauter de surprise. Elle avait une façon de me sucer qui me fit rebander presque instantanément. Elle prenait mon sexe au plus profond de sa bouche, ses lèvres venant buter contre mes couilles puis elle le faisait ressortir, sa langue agaçant mon gland avant de l’enfoncer à nouveau le plus loin possible. Son visage et ses cheveux dégoulinaient et des perles d’eau glissaient sur ses joues et ses yeux clos.
Elle se redressa en tournant sa croupe vers moi, prit mon sexe qu’elle pointa contre son anus et elle s’empala d’une seule poussée, en laissant échapper une plainte de femme comblée.
– Vas-y, encule-moi fort, très fort, soit brutal avec moi, fesse-moi.
Je la défonçai avec une violence inouïe et, désirant prendre la direction des opérations, d’un coup, je sortis de son cul, le laissant béer d’une façon indécente. Elle poussa un cri de déception.
– Ecarte tes fesses lui dis-je en lui envoyant une claque sur le cul.
Des deux mains, elle sépara ses fesses, dévoilant encore plus son anus sombre.
Je replongeai d’un coup ma queue dans son trou et me retirai à nouveau, instaurant ainsi à ma victime consentante un va-et-vient frustrant .Puis, j’enfonçai trois doigts de chaque main dans son anus complètement défoncé, écartant les chairs intimes. Fabienne haletait de désir, se griffant les fesses de ses doigts aux longs ongles carmin. Avisant le pommeau de douche effilé, je le détachai de son support et le plongeai d’un coup dans son cul. Sous cet assaut, la jeune femme rugit de plaisir, se laissant remplir par l’eau chaude s’écoulant dans son rectum. Au bout de quelques secondes, je retirai le pommeau et le remplaçai par ma queue bandée et à nouveau je la baisai violemment, faisant gicler le trop plein hors de son anus. J’avais passé la douche sous son ventre et Fabienne, s’en saisissant l’enfonça profondément dans son vagin, me comprimant le sexe. Je me retirai encore une fois, admirant les allées et venues de la douche entre ses lèvres et, n’y tenant plus, replongeai mon dard jusqu’aux couilles dans ses intestins.
Je sentais que je n’allais plus pouvoir tenir longtemps à ce rythme.
– Je vais jouir.
– Attends, retiens-toi, je veux que tu jouisses dans ma bouche.
– Viens, prends-moi.
Elle se retourna, entourant mon gland de ses lèvres et je giclai mon sperme qu’elle avala en jouissant.
Encore un texte perdu dans les archives et qui se révéle très croustillant