Romain m’avait réveillé et impossible de me rendormir. Je montai à la salle de bain, la porte de leur chambre était entr’ouverte, je m’approchai et mon érection matinale refit surface. Ludivine était dans son lit, les jambes écartées et elle s’amusait avec un gode, avec son autre main elle se caressait les seins. J’entendais des petits gémissements quand elle accéléra son mouvement. Tout d’un coup, elle se leva pour se mettre à genoux sur le lit. J’avais une vue magnifique, elle avait posé sa tête sur l’oreiller et sa croupe était à quelques mètres de moi. Elle s’enfonça son gode et fit des mouvements très rapides, ses soupirs étaient absorbés par le coussin. Sa mouille coulait le long de ses cuisses. Je ne pouvais plus, il fallait que je sorte ma queue pour me branler, je n’avais pas envie de la sauter, je préférais la mater. Ludi sortit le gode de sa chatte pour le diriger vers son cul, elle n’eut aucun mal à entrer ce sexe artificiel. Cette petite salope se godait le cul tout en se doigtant la chatte. Je ne m’y pas longtemps à jouir, c’est à ce moment que Romain décida de rentrer de son jogging.
– Tu t’es pas recouché ? T’as l’air tout bizarre ?
– Non, non ça va impeccable ! Je vais pas tarder à partir.
– OK, mais tu prends ton petit dèj avec nous.
– OK
Après s’être douché, Romain prépara le petit déjeuner, Ludivine arriva dans sa jolie nuisette blanche. J’avais dans ma tête des images d’elle entrain de se goder. Après un bon repas, je repartis chez moi, fatigué de ce week-end très mouvementé.
Quinze jours plus tard, je reçu un appel de Ludivine, elle était seule chez elle car Romain avait du s’absenter pendant quelques jours, elle me demandait de passer la voir, ce que je fit avec plaisir.
A peine arrivée à l’appartement, elle me sauta au coup et m’embrassa à pleine bouche. J’en profitai au passage pour passer mes mains sur son cul, moulé par une jolie jupette noire.
– Eh bien, ça c’est des retrouvailles !
– Ouais, tu m’as trop manqué. Viens t’asseoir, j’ai quelque chose à te demander.
– Qu’est-ce qui se passe ?
– Voila Romain est parti pour trois jours dans sa famille et je veux en profiter pour faire des cochonneries avec toi. En fait j’aimerais bien être ta soumise.
– Rien que ça !
– Oui, l’autre fois, j’ai adoré ce que vous m’aviez fait et j’ai envie de recommencer. Tu pourras me faire tout ce que tu veux, je suis à partir de maintenant ta petite chienne.
– Comment refuser une telle proposition, par contre j’ai mes conditions.
– Pas de problème ! Je t’écoute.
– Ta seule tenue sera un string, tu dois m’obéir au doigt et à l’œil, si jamais tu ne respectes pas mes ordres tu seras punie par contre si tu te conduis bien, tu auras une récompense. A partir de maintenant, tu m’appelles Maître. J’ai bien l’intention de faire de toi une petite pute. Tu as des questions ?
– Non Maître.
– C’est bien tu comprends vite. Maintenant tu vas me montrer tes strings.
Dans sa chambre, elle se déshabilla, elle était surexcitée, ses tétons étaient tendus et une tache d’humidité maculait sa petite culotte.
– T’as l’air d’aimer ça petite pute, retire ta culotte et touche toi !
Elle obéit à me ordres et commença à se doigter, ses deux doigts faisaient des mouvements assez rapides, elle commençait à gémir. Je m’approchai d’elle et lui retirai ses doigts pleins de mouille.
– Suce-les !
Elle se suça les doigts un par un. Cette petite salope me faisait bander et elle l’avait remarqué. Elle s’agenouilla et mit ses mains sur mon sexe. Je la pris par les cheveux et la lança sur le lit.
– Ici, c’est moi qui donne les ordres, je t’ai pas demandé de me sucer, tu vas goûter à ta première punition. Mets-toi à quatre pattes, tu vas recevoir dix fessées. Tu conteras chacune d’elle et tu me remercieras. D’accord !
– D’accord, Maître.
Elle tendit son cul en arrière, elle aimait ça, se faire traiter de chienne, elle mouillait comme une folle. Ma première fessée était assez douce, la deuxième aussi mais à la troisième :
– Aaahhh !!!!
– Compte !
– Trois… aahhhh…. Merci
– Merci qui ????
– Merci Maître.. aahhh..
– T’en auras cinq de plus !
C’est finalement au bout de quinze fessées que la punition de Ludivine s’arrêta. Elle avait les fesses rouges écarlates.
– Bien, maintenant montre-moi tes strings !
– D’accord Maître.
Elle avait une collection impressionnante, une large gamme de couleur et de matière. Je lui choisi un string ficelle noir avec des petits cœurs argentés sur les côtés, très mignon.
– Maintenant, vas prendre une douche et rejoint moi dans le salon, t’as dix minutes.
En l’attendant, j’appela trois bons copains toujours en quête d’aventures sexuelles, je leur expliquèrent la situation, tous acceptèrent mon invitation. Je leur avais donné rendez-vous vers 23 heures. Ludivine vient me joindre avec son minuscule string. J’étais assis dans le canapé.
– Mets toi à genoux devant moi ! Dis-moi, petite chienne, qu’est-ce que tu as comme jouets sexuels ?
– Euhhh, j’ai juste un gode, Maître.
– C’est tout ?
– Oui Maître.
– Bon, je vais arranger ça, on va aller faire quelques courses, il faut que tu sois belle pour ce soir.
– Il y a quoi ce soir, Maître ?
– Je te réserve une surprise, en attendant, suce-moi !
Elle ne se fit pas attendre, elle dégrafa mon pantalon et sortit ma bite prête à exploser de puis un bout de temps. Je retrouvais l’experte en pipe, elle me léchait les couilles, la hampe puis m’engloutissait. Je lui pris les cheveux pour régler moi-même la cadence, elle adore ça. Je lui baisais la bouche, de la bave coulait sur son menton. Je retirai ma queue de sa bouche en me branlant comme un malade. Elle reçut tout mon foutre sur sa jolie petite gueule.
– Hummm c’est bien ma salope, vas te laver. Ensuite tu mettras une mini jupe et un haut très sexy, je te fais confiance pour le choix.
Quelques minutes plus tard, Ludivine descendit encore plus sexy que tout à l’heure. Elle avait choisi une mini jupe noire, un haut rouge avec un décolleté sympathique, pour finir elle avait également de magnifiques bottes lui arrivant aux genoux.
– Je vous plait Maître ?
– Tu es super bandante ma salope.
Elle monta dans la voiture et après quelques kilomètres, je lui demande de retirer son string, ce qu’elle fit son problème. Je pouvais désormais, jouer avec son clito pendant tout le trajet, je la pénétrais de deux doigts, elle s’agrippait au siège. En arrivant devant le sex-shop, elle était en transe. Dans le magasin, il n’y avait pas beaucoup de personne, un couple qui regardait les dvd, un homme d’une quarantaine d’année qui se renseignait sur les prix des cabines et un homme un peu plus vieux qui feuilletait quelques magazines. Je me dirigea vers les godes, Ludivine me suivait à la trace.
– Fais ton choix, prends un gode et un plug.
– D’accord Maître.
Elle n’osait pas toucher les différents modèles, je pris alors un gode d’une taille énorme et le mis dans sa main. Elle fit quelques va et vient et sembla contente de mon choix. Elle choisit elle-même un plug de bonne taille et des boules de geisha. Je la sentais de plus en plus excitée et je l’emmenai dans le rayon « sm ». Je pris un bâillon boule, des pinces pour ces gros tétons, une cravache, un foulard et deux paires de menottes. En voyant les instruments, elle changea de visage, pour la détendre je lui demanda de choisir ce que bon lui semblait. Elle fit le tour du magasin et me présenta un collier relié à une laisse.
– Avec ça, je serais vraiment ta chienne !
– Bon choix ! Maintenant, on va aller se faire un petit film, suis-moi !
Elle me suivit jusqu’à une cabine, elle entra la première, je laissai la porte ouverte derrière moi. Je choisi un film au titre explicite « Ma pute offerte », j’avais sortis ma queue et Ludivine me branlait en regardant le film ou une jolie blonde se faisait prendre par deux gros black. Il fallait que je me vide les couilles, Ludi se mit à quatre pattes et je la pris directement, elle se tenait à l’écran. Je la défonçais littéralement, m’agrippant à ses seins, elle hurlait de plaisir. En me tournant, je vis que l’homme de quarante ans nous matait, il avait sorti sa queue et se branlait. Je changeai de position, Ludivine se mit dos à moi et me chevaucha, laissant au mec tout le loisir de l’admirer. Il se branlait de plus en plus vite et cette situation m’excitait. Je lui mis un dernier coup de reins et je déchargeai mon sperme dans la chatte juteuse de Ludivine. Notre mateur allait jouir, j’ordonnai à Ludivine d’aller le sucer, il se laissa faire avec plaisir et à peine une minute plus tard, il l’aspergea de son foutre. Ma chienne avala tout immédiatement. Le mec se rhabilla et monta à l’étage.
Ludivine avait du sperme plein la figure, elle se nettoya rapidement puis se rhabilla. Arrivé à la caisse, le vendeur regarda Ludi d’un air pervers, elle lui fit un regard d’allumeuse. Il était quasiment 21 heures, il était temps de retourner à la maison.
– Alors ça ta plu ?
– Oui Maître, j’ai adoré.
– Tant mieux parce que la soirée ne fait que commencer.
A suivre…
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Ça va beaucoup trop vite !