Bref, il y a deux ans, un jour où j’insistais devant le refus de ma femme de s’offrir à moi, elle proposa de me masturber pour faire passer mon excitation, mais à la condition que je boirais la totalité de mon sperme après avoir joui. J’étais très excité et j’avais envie que ma femme me soulage, aussi j’acceptais immédiatement, sans penser aux conséquences. Elle me répéta la condition et je renouvelais ma promesse de m’y soumettre. Elle ouvrit alors le haut de son pyjama de soie, tout en gardant le bas car elle ne souhaitait pas m’offrir son intimité ce soir-là, et me dit de m’installer a califourchon au dessus d’elle. Elle me masturba alors en me répétant que je devrais tout boire. Lorsque je jouis, elle orienta bien mon sexe pour que tout le sperme coule sur son ventre, autour de son nombril et elle me demanda immédiatement après de tout lécher. Mais maintenant que j’avais joui, je n’avais plus du tout envie de boire ce liquide gluant et à l’odeur peu engageante. Lorsque je lui dit cela, elle se mit en colère, attrapa ma tête à deux mains et tirant sur les cheveux, me colla la face à son ventre en me disant de boire d’un ton impérieux et de ne pas en laisser. La tête écrasée dans le liquide que je reniflais maintenant de près, je décidais donc de m’exécuter me disant qu’il valait mieux en finir rapidement plutôt que d’avoir le nez dedans comme ça. Je me mis donc à lécher mon propre sperme à grands coups de langues sur son ventre et dans son nombril. J’eus alors la surprise de l’entendre se mettre à gémir. Elle se tortilla (sans pour autant relâcher son emprise sur ma tête) et elle eu un superbe orgasme, alors que je n’avais même pas pu caresser ni découvrir son intimité.
Une fois que nous eûmes repris nos esprits, nous eûmes l’occasion de discuter de tout ça. Elle m’avoua avoir eu beaucoup d’excitation et de plaisir. Quant à moi, je ne peux pas dire que j’avais apprécié cette boisson inattendue, mais le fait d’avoir senti ma femme jouir par ce simple jeu n’était pas pour me déplaire. Je lui en fit part et, de nouveau gagné par l’excitation en y repensant, j’eu la faiblesse de lui proposer de boire mon sperme aussi souvent qu’il lui plairait, à condition qu’elle m’y force un peu comme elle l’avait fait ce soir. Cette proposition faite à la va-vite dans un moment d’excitation est en fait devenue une sorte de contrat auquel je dois me soumettre. En effet depuis ce soir là, je crois que je n’ai pas joui une seule fois (en présence de ma femme) sans être contraint par elle plus ou moins de force de boire mon sperme. Lorsque nous faisons l’amour, le plus souvent elle me demande de me retirer juste avant l’éjaculation et de jouir sur son ventre (ou sur son dos si nous étions en levrette), et je dois tout lécher. C’est assez frustrant pour moi de devoir pratiquer le coït interrompu, mais elle aime tellement cela que je cède à généralement à son caprice. De toutes façons, même si j’ai le droit de jouir en elle, ce qui est désormais très rare, je dois ensuite me retirer délicatement pour ne rien laisser s’échapper et venir boire à sa vulve ma propre semence. Auparavant ma femme recrachait mon sperme après une fellation. Désormais, elle garde tout et m’embrasse pour me rendre mon du, que je dois avaler ! Dois-je aussi vous dire que ma femme, qui m’avait toujours refusé la sodomie, m’a depuis proposé d’essayer, à la condition que vous devinez : j’ai du boire mon sperme coulant de son anus !
Pour conclure, notre sexualité est un peu « hors norme » désormais, mais je suis comblé car son appétit sexuel a grandi et correspond donc mieux au mien. De plus lorsqu’il lui arrive malgré tout de ne pas avoir envie, elle a toujours la gentillesse de me soulager à la main, ou de me permettre de le faire moi-même, si je suis prêt à en payer le prix, un prix que je connais bien maintenant !
Benoît
J adorais aspirer le sperme d un gay
je vis exactement la même chose avec ma femme. Le processus est très bien décrit. Au début, je ne voulais pas. Après l’éjaculation, l’excitation tombe aussitôt à zéro. Mais le fait que ma femme m’y oblige, de me retrouver dans une situation de soumis, m’excite beaucoup. Maintenant elle attend 3- 4 minutes pour que mon excitation revienne plus facilement et je lèche goulument sa chatte ou son trou du cul d’où coule le foutre que je viens de mettre. On se met souvent en 69, elle dessus pour que le sperme coule mieux dans ma bouche. des fois elle me suce et il m’arrive de jouir à nouveaux. Et comme dans le récit ma femme recrache tout dans ma bouche. maintenant elle voudrait se faire baiser par un autre homme sans capote et que je lèche le foutre de son amant… mais ça, je ne suis pas prêt pour l’accepter… un jour peut être
Je le garde dans ma main et le bois toujours quand je me masturbe. L’appréhension est vite passée et c’est terriblement bon. Et pourtant je n’ai jamais eu de rapport homos.
Bjr, moi j essaie depuis longtemps de boire mon jus, mais jamais je n y suis arrivé car la libido tombée, je ne suis plus motivé. Il faudrait qu une femme dominatrice m oblige à le faire, ce serait alors un contexte favorable. Ma femme est à des milliers de kms sexuelle ment parlant de ce genre de pratique et du genre passive. J espère trouver une réponse féminine pour me motiver à l issue de ce post. Bon sexe à tous et vivez vos fantasmes pour ceux qui en ont la chance dans le respect du désir de chacun bien évidemment.
dernierement ma femme m a dit leche ton jus apres la masturbation qu elle m avait offerte j ai longuement leche ses seins j aimerais plus mais elle n aime pas
Je le fais très régulièrement d’allez boire mon sperme dans la chatte de ma femme et j’adore.
C’est un fantasme, rien qu’un fantasme, dans la réalité quand on jouit on a plus envie de fumer une clope que d’avaler son sperme même si c’est pour faire plaisir à Madame
La photo est jolie, le récit est ennuyeux
La confession peut sembler intéressante, mais je n’y crois pas une seconde. Boire du sperme en pleine période de stress post ejaculatoire, ça me paraît relever plus du fantasme que du vécu. OK tout le monde à le droit de fantasmer et de le raconter, mais là c’est présenté comme une confession, je suis sceptique.