Aux Urgences
« lundi 9 août 2010 »
par totof1984
Le soleil venait à peine de se coucher, la nuit tombait gentiment et quelques étoiles s’allumaient déjà. Un dernier verre pendant que ma femme finissait de lire son magazine. Il n’y avait rien de spécial à la télévision pour un vendredi soir. Je descends le fond de mon verre d’un trait et propose à mon épouse de monter nous coucher. Elle se leva et me suivi jusqu’à la salle de bain où nous nous sommes lavés les dents. 5 minutes plus tard nous étions sous les draps. Le vent s’était levé et venait caresser les feuilles des saules qui se trouvaient juste devant la fenêtre de notre chambre à coucher.
– Tu veux lire un moment ou je peux éteindre la lumière ?
– Eteins seulement je suis un peu fatigué.
Malgré la fatigue je n’arrivais pas à fermer l’œil. Après 1 h 00 je tournais toujours dans mon lit avec une légère douleur à l’estomac qui n’arrangeait pas mon insomnie. Je sorti de mon lit et descendis dans la cuisine me faire un bon bol de lait en espérant que cela m’aiderait à trouver le sommeil. Non seulement je ne vis aucun effet mais en plus de cela mes maux de ventre avaient augmenté de douleur.
Alors que j’étais retourné me couché depuis 30 petites minutes je me sorti à nouveau du lit pour cette fois prendre un médicament dans notre petite pharmacie. Ne voulant pas réveiller mon épouse je me mis un moment devant la TV espérant que le comprimé fasse effet et que la douleur partirait au bout d’un moment. Il n’était pas loin de 1 heure du matin, le programme TV ne proposait toujours rien d’extraordinaire. Je reparti donc assez vite du salon pour me glisser une nouvelle fois dans mon lit.
Il me semblait que mes paupières se fermaient gentiment quand une très forte douleur au niveau de l’estomac me fit me dresser dans mon lit. Au vu de tous mes mouvements, ma femme écarquilla les yeux et me regarda.
– Qu’est-ce qui se passe ? Tu ne dors pas ? Tu es malade ?
– J’ai mal au ventre depuis que je suis venu me coucher.
– Tu as pris quelque chose ? Il doit y avoir des pastilles à la salle de bain.
– Oui, oui j’ai pris un comprimé il y a 1 heure mais ça n’a rien fait.
Une nouvelle lancée frappa mon ventre et je le tenais cette fois à 2 mains ce qui prouvait bien l’intensité de la douleur.
– Oh oui ça à l’ai sérieux ! Il ne faut pas rester comme ça !
Christelle se leva de son lit et commença à s’habiller.
– Je te conduis à l’hôpital, ils ont un service d’urgence.
– Tu es bien certaine que c’est nécessaire d’aller à l’hôpital ? Ce n’est peut-être pas la peine de les déranger pour un simple petit mal de ventre.
Tout en disant cela je me tordais à nouveau de douleurs.
– Non mais tu t’es vu ? Arrête de faire l’enfant il y a des hôpitaux ce n’est pas fait pour rien ! Ils sont là pour t’aider allez viens !!
Quelques minutes plus tard nous étions dans la petite commerciale de Christelle qui filait à toute allure en direction de la clinique. Je regardais par la fenêtre pour essayer de me faire oublier mes douleurs. Les étoiles brillaient dans la nuit sombre, le vent s’était calmé car les feuille des arbres ne bougeaient presque plus. 20 minutes après nous arrivions dans le parking de l’établissement médical. Au vu de l’heure très matinale presque toutes les places de parc étaient vides seules une douzaine de voitures trônaient devant nous. Christelle me prit la main et nous nous sommes dirigés en direction de l’entrée. Une jeune réceptionniste d’une trentaine d’année, dont la chevelure châtain lui descendait jusqu’au milieu du dos, était assise derrière grande réception.
– Bonjour Mademoiselle, mon mari a depuis hier soir de fortes douleurs au niveau de l’estomac qui sont devenues de plus en plus intenses. Il a essayé de prendre un médicament mais il n’a pas eu l’air de faire grand effet.
– Nous allons le prendre tout de suite, un médecin va venir le chercher. Pendant ce temps nous remplirons quelques documents administratifs.
A peine 3 minutes s’étaient écoulé qu’un médecin d’environ 45 ans vint vers moi.
– Monsieur Richard ? Veuillez me suivre je vous prie. Vous pouvez marcher ?
– Je crois que oui.
– Bien. Venez avec moi nous allons prendre l’ascenseur. Pensez-vous avoir mangé un aliment pas frais ?
– Non je ne crois pas
– Très bien nous allons voir tout ça
Arrivé à l’élévateur les portent s’ouvrirent rapidement. A l’intérieur, une infirmière d’âge mûre bien conservée et assez sexy prenait des notes sur un dossier.
– Bonjour Martine je vous laisse en compagnie de Monsieur Richard. Vous l’installez en chambre 18 et vous faites les préparatifs habituels je vais vous chercher son dossier.
– Très bien docteur.
Martine se retourna ensuite vers moi un petit sourire en coin.
« Ding ». Nous étions arrivés au 8ème étage, mais aussi étrange que cela puisse paraître il n’y avait pas de noms de service, pas plus que de numéro de couloir. Au fait je n’avais même pas l’impression d’être vraiment dans un hôpital jusqu’à ce que je rentre dans la fameuse chambre dont le docteur avait parlé dans l’ascenseur.
A l’intérieur de la chambre 18, tout était peint en blanc du sol au plafond. Au centre de la pièce il y avait un lit médical recouvert d’un long morceau de papier en guise de protection. A droite et à gauche de la pièce il y avait plein d’instruments médicaux tous aussi bizarres les uns que les autres. J’avoue que je n’étais pas très rassuré.
– Voilà je vous prie de vous mettre en sous-vêtements et de vous étendre sur le lit d’examen.
Martine avait une voix douce qui allait très bien avec sa tenue d’infirmière sexy.
– Calme toi Chris tu es dans un hôpital pour te faire soigner pas pour une partouse alors va y tranquille avec les fantasmes pensais-je tout haut.
– Je reviens dans une petite minute ne vous en faites pas, détendez-vous.
Alors que j’étais en caleçon couché sur le lit d’examen, Martine revint dans la pièce accompagnée de trois autres infirmières beaucoup plus jeunes dont le nom était à chaque fois mentionné sur leur blouse de travail. Elles entrèrent en file indienne et vinrent se poser de chaque côté du lit. Martine se trouvait à ma droite vers ma tête accompagnée de Jessica qui était à la hauteur de mes pieds. De l’autre côté Nathalie et Stéphanie me regardaient de leurs yeux pétillants. Difficile de ne pas avoir de pensées cochonnes dans une telle situation. Je rougis un peu, étant à la basse une personne assez timide, de plus le fait que quatre femmes que je ne connaissais pas me regardaient de haut couché sur un lit médical en petite tenue était assez gênant pour moi.
– Allons, allons, nous sommes des professionnelles ne faites donc pas cette tête-là. Voyons cela. Je vais appuyer un peu sur votre ventre et vous me direz si cela vous fait mal. Attention je commence.
Martine avait les mains d’une douceur extrême et ses gestes étaient très lents.
Les 3 autres infirmières restaient là sans bouger en la regardant faire.
– Aïe là ça fait mal.
– Voui. C’est bien ce que je pensais, vous devez faire un début d’appendicite Mesdames qu’en pensez-vous ?
Sans que je comprenne ce qui m’arrive, j’avais soudain quatre paires de mains qui se baladaient sur mon ventre. Elles avaient toutes l’air très professionnel et pourtant je ne pouvais m’empêcher d’imagines 4 coquines dans un film pour adultes.
– Aïe je venais d’avoir une nouvelle crampe au niveau du bas ventre.
– Monsieur Richard, avez-vous été à selle ces derniers temps ?
– Euh la dernière fois c’était mercredi matin si je ne me trompe pas
– Je vois, il s’agit peut-être tout simplement d’une petite constipation. Je vais vous demander de retirer votre slip et de vous mettre à quatre pattes sur la table d’examen pendant que je prépare le matériel. Je pense qu’un petit lavement va vous aider à avoir moins mal au ventre.
Redevenu à nouveau rouge tomate je m’exécutais néanmoins. Je fis glisser mon caleçon jusqu’aux chevilles, l’enlevai et le posai sur le reste de mes vêtements restés à terre. En me relevant six yeux me regardaient. Alors que Martine me tournait le dos, Jessica Nathalie et Stéphanie avaient l’air de se rincer l’œil. En détournant mon regard du leur je me mis sur le lit dans la position demandée. J’entendis Martine revenir vers moi, elle faisait claquer le latex de ses gants. Quelques secondes plus tard je senti le contact du caoutchouc sur mes fesses, elle avait l’air de vérifier quelque chose car elle les malaxait de façon très étrange, puis soudain elle me dit :
– Nous arrivons à a la partie un peu délicate et pas très agréable.
Les doigts de Martine, que j’avais sentis quelques secondes plus tôt, s’étaient rapprochés de mon anus. Tout à coup je me senti pénétré. Elle introduit son doigt très lentement jusqu’à l’entrer complètement dans mon intimité. Elle fit quelques mouvements qui me procurèrent à nouveau de fortes douleurs. Me voyant grimacer, elle retira son doigt.
– Je crois qu’il y a quelque chose là-dedans qui ne demande qu’à sortir. Jessica, allez me chercher le matériel nécessaire ainsi qu’une petite cuvette d’eau tiède. Je suis désolé nous allons devoir prolongé ce moment inconfortable.
Jessica venait de poser sur une petite table à côté du lit tout un nécessaire à lavement, des poires de différentes grandeurs, des tuyaux, des canules, des gants de l’eau ainsi qu’un petit pot de vaseline.
– Nathalie, voulez-vous me préparer un numéro 2 et insistez bien avec le lubrifiant.
Pendant ce temps les 2 autres infirmières continuaient de me regarder et Martine quant à elle promenaient ses mains entre mon ventre et mes fesses.
– Tout est prêt nous pouvons commencer… Voici la poire no 2.
– Très bien je vous laisse faire, allez y très délicatement, nous allons lui introduire qu’un seul litre dans un premier temps et voir la réaction. Vous êtes prêt Monsieur Richard ? Nous y allons à 3 1..2..3
La sensation était loin d’être agréable. Je senti très vite le tube de la poire entrer dans mon rectum et tout à coup c’est comme si je me sentais inondé de l’intérieur. Déjà quelques décilitres avaient été introduits dans mon intestin et me provoquaient de forts ballonnements.
– Nous avons fait la moitié, courage. On continue
Mon ventre se gonflait pratiquement à vue d’œil, il y avait un mélange d’eau tiède et d’air que mon corps ne demandait qu’à propulser.
– Excusez-moi mais il faut que j’aille aux toilettes.
– Nous sommes désolés mais cette pièce est dépourvue de WC mais nous allons placez une bassine sous vous. Ne soyez pas si gêné, nous faisons cela souvent et avons l’habitude.
C’était facile à dire. Ce n’était pas elle qui devait sortir air et eau devant 4 personnes.
En temps normal j’aurais tout fait pour me retenir un maximum, ceci afin de ne pas devoir dévoiler une partie très intime de ma vie privée. Cependant j’étais vraiment bien plein et il fallait absolument que mes intestins se vident. J’essayai d’imaginer un instant être tout seul et poussa un peu. J’ai eu soudain l’impression de propulser l’équivalent de 10 litres alors qu’on venait à peine de m’en introduire un petit. Un jet puissant sorti de mon cul accompagné par des bruits de pets très gras et fort gênants. Une bonne partie de mon évacuation fut récupérée par la petite bassine prévue à cet effet mais quelques gouttes sont également tombées par terre et sur le lit. Alors que mon estomac allait déjà mieux je senti qu’une masse un peu plus solide voulait également sortir de mon corps.
– Allez y seulement Monsieur Richard ça ira mieux après.
Je n’eus pas à pousser bien fort pour que mon anus se dilate un maximum laissant la place à un long étron qui atterri directement dans la bassine.
J’étais à nouveau rouge pivoine. Jamais je n’aurai pensé me soulager de la sorte et encore moins devant 4 inconnues.
– Bien je crois que nous avons éliminé une partie du problème, mais je voudrais être tout à fait certaine que vous soyez bien vide. Mesdames veuillez s’il vous plait prendre chacune un gant et dîtes-moi si Monsieur est bien vide.
J’ai à peine eu le temps de comprendre ce qui allait m’arriver que Jessica plongeait son majeur dans mon cul et fit quelques mouvements puis le retira ensuite. Les 2 autres infirmières l’imitèrent puis Martine afin de boucler la boucle fit également un petit contrôle personnel.
–
– Bien Mesdames je crois qu’au niveau intestinal on doit être OK. Par contre nous avons un autre problème. Monsieur Richard veuillez-vous coucher sur le dos je vous prie.
Au moment de pivoter je compris très vite de quel problème Martine voulait parler. Les 4 infirmières avaient le regard dirigé vers mon sexe qui était devenu dur comme un roc. Très certainement une réaction suite aux caresses annales que je venais de subir. J’étais mort de honte et ne savais plus du tout où me mettre ni quoi dire.
– Bien Mesdames suivez-moi nous ne sommes actuellement pas prête pour faire face à ce genre de situation. Attendez un instant s’il vous plait.
« Non mais non mais non… tu ne peux donc pas te contrôler.. ?? Te voilà bien avancé maintenant ».
Je me parlais tout haut essayant de me convaincre que j’aurai pu éviter cet embarras et d’un autre côté je savais très bien que le corps ne pouvait contenir une érection quand elle arrivait.
– Oh veuillez m’excuser. Je pose ceci pour Mme Fourré et je repars.
LE docteur qui m’avait accueilli à mon arrivée à l’hôpital venait d’entrer dans la chambre 18 et avait posé mon dossier médical sur une petite table où du matériel était posé dessus. Je suis resté quelques minutes avant de le retour des 4 infirmières. Mais pourquoi étaient-elles donc parties ? Ce genre de chose n’arrive donc pas si souvent que ça ? Ont-elles été choquées ?
– Bien bien nous allons passer à la 2ème partie de l’examen. Nous n’allons pas limiter notre contrôle à un simple lavement. Pour ne prendre aucun risque nous allons aussi contrôler vos urines. Avez-vous besoin Monsieur Richard ?
– Euh oui dis-je timidement et toujours très embarrassé.
– Très bien cela nous évitera de vous donner à boire une boisson diurétique pas forcément très bonne à prendre. Stéphanie apportez le gobelet et faites le nécessaire.
Faire le nécessaire ? Mais qu’entendait-elle par-là ? A nouveau tout va trop vite pour moi. L’assistante de Martine revint vers moi avec un petit gobelet brun dans la main gauche. Elle s’avança encore un peu, se pencha et me pris le sexe de sa main libre.
Mais qu’est ce qui se passe ici ? Suis-je bien à l’hôpital ?
Jamais je n’avais encore vu ça. J’étais de plus en plus gêné et cette nouvelle situation provoqua une 2ème érection chez moi. Il était donc impossible pour moi que je pisse dans une situation pareille.
– Je suis vraiment désolé mais je crois que cela ne va pas être possible. Je n’y arriverai pas.
– Ce n’est rien on va essayer de vous aider. Peut-être qu’en faisant ceci ça ira mieux. Non ?
Martine venait d’ouvrir le robinet qui laissait échapper un petit filet d’eau et dont le clapotis sur l’émail faisait un joli bruit de ruisseau.
– C’est très gentil mais là je ne crois pas que ça va beaucoup m’aider.
– Bien dans ce cas nous allons ouvrir un 2ème robinet.
Quoi ? Mais où avait-elle vu un 2ème robinet. ? Cette pièce n’était composée que d’un seul point d’eau. !
– Nathalie tu sais ce que tu as à faire. ?
Nathalie se retourna, prit une petite bassine en inox, revint vers moi tout en ôtant sa blouse. Je n’y croyais pas. Cette infirmière n’avait plus que pour seul vêtement qu’un mini string en dentelle noire qu’elle portait à merveille. Elle avait de petits seins bien fermes qui étaient à croquer. Elle plaça le récipient sous elle, s’accroupit et tira sur son string afin de dévoiler son sexe fraichement rasé. 2 secondes après, une jolie fontaine dorée atterrissait dans le haricot médical alors que Nathalie riait de cette situation. A défaut de m’avoir donné envie de faire pipi, tout cela m’avait drôlement excité ! Stéphanie le ressentait très bien entre ses doigts qui tenaient toujours mon pénis.
– Martine, je dois faire pipi moi aussi. C’était Jessica qui venait de parler
– Eh bien vas-y je t’en prie.
Tout comme Nathalie, elle enleva sa blouse à la seule différence que Jess était intégralement nue en dessous. Au lieu de s’accroupir comme sa collègue, elle reste droit comme un « i » prit le récipient déjà plein d’urine le plaça sous son sexe et tout en fermant les yeux, se soulagea à son tour en poussant quelques petits râles de plaisir.
Bon alors là il y a 2 possibilités, soit je suis en plein rêve et c’est que du bonheur, soit je suis bien dans un hôpital mais apparemment ils ne s’occupent pas seulement de soigner les gens. Quel que soit la situation, autant en profiter. Je me décoinçais petit à petit et pris de plus en plus de plaisir à regarder ce joli personnel tourner autour de moi. Déjà 2 infirmières s’étaient dévêtues. Ce fut ensuite au tour de Martine d’enlever quelques couches, elle portait une charmante culotte qui épousait bien le contour de ses fesses. Il ne restait maintenant qu’une infirmière en blouse, ce qui était dommage par rapport au spectacle que m’offraient ses 3 collègues.
– Monsieur Richard pourriez-vous aider Stéphanie à ôter sa blouse je vous prie.
L’intéressée lâcha mon sexe qu’elle tenait toujours. Je me mis en position assise sur le lit et aida la charmante infirmière à ôter sa tenue professionnelle. Je profitai de cette agréable situation pour laisser mes mains glisser le long de son corps accompagnant d’une traite sa blouse et son dessous jusqu’au sol. Stéphanie se retourna vers moi, elle était intégralement nue.
– Martine, je crois que Monsieur va beaucoup mieux, on continue quand même l’examen ?
– Plutôt 2 fois qu’une, c’est justement maintenant que ça va devenir intéressant et drôle.
Bon. Étant donné que Monsieur n’a pas l’air de vouloir faire son pipi nous allons lui donner à boire. Je vais vous aider Stéphanie, nous ne serons pas trop de 2.
Peu de temps après elles étaient de chaque côté du lit, Martine me repoussa en arrière me faisant bien comprendre que je devais rester coucher. Elle appuya d’un geste du pied sur le bouton situé en bas du lit. Ce dernier se mit à descendre tout en bas, j’avais l’impression d’être couché sur le sol. D’où j’étais je voyais très bien ses 2 dames des genoux à la tête. Elles s’avancèrent encore un peu en direction du lit le sexe bien en avant.
– Prête ?
– Prête !!
Alors que Stéphanie avait de la peine à venir, l’infirmière chef m’éclaboussait déjà le visage à coup de jet chaud et doré. Peu de temps après Stéphanie s’y mit aussi et les 2 côtes à côte formaient un duo de fontaine magnifique dont les jets venaient me fouetter le visage pour mon plus grand plaisir.
– Allez ouvre la bouche !
Ça y est voilà maintenant qu’elle me tutoie. Après tout pourquoi pas. J’obéis donc aux ordres de Martine et ouvrit tout grand ma bouche.
Elles visaient bien ces salopes. À elles 2 et ne mirent pas long à remplir toute ma bouche de leur bon pipi que je finis par avaler. Malgré le fait que Stéphanie avait raté son départ par rapport à sa concurrente se fut tout de même elle dont le jet s’arrêta en premier. Après que Martine pissa à son tour ses dernières goutes, je me ruai sur leur sexe respectif et en récolta le nectar jusqu’à la dernière goute en donnant des grands coups de langue sur leur petit minou.
– Humm ça te plait gros cochon. Je suis sûr que maintenant tu as toi aussi envie de pisser. Mesdames en tenue s’il vous plait.
Chacune ôta les derniers sous-vêtements qui lui restaient pour celles qui en avaient encore. Elles étaient maintenant toutes nues comme des vers avec un magnifique sexe rasé de très près à l’exception de Martine qui avait une jolie petite toison très bien taillée. Les 4 infirmières se couchèrent et m’ordonnèrent de me soulager sur elles. Je m’exécutai très vite en m’avançant de quelques pas tout en tenant mon sexe de la main droite. Je leur aspergeais les seins à tour de rôle puis je descendais sur leur petit minou et remontant sur leur visage. Elles étaient complètement trempée et avait l’air de prendre leur pied ces petites cochonnes. Cette fois ce fut à mon tour d’être égoutté. Elles attrapèrent unes à unes mon pénis dont quelques gouttes perlaient encore au bout et elles se mirent à me sucer.
– Oh Martine, j’ai besoin de faire caca !
– Ah très bien j’avoue que moi aussi j’ai une petite envie ! Mesdames où en êtes-vous ?
Apparemment Stéphanie et Jessica n’avaient pas encore grand besoin.
– Bon. Un petit lavement pour vous 2 allez hop, mettez-vous en position.
Quelques minutes plus tard les 2 infirmières recevait par voie annale pas loin de 2 litres d’eau tiède.
– Aïe, il faut que je fasse caca Martine, stop, stop !
– Très bien toutes en place allez allez… et couche toi parterre toi !!
En moins de temps qu’il en faut pour le dire j’étais au sol allongé de tout mon long étendu dans mon urine. Les 4 infirmières se mirent accroupie dos à dos. J’avais une vue magnifique sur 4 jolies rondelles qui allaient bientôt s’ouvrir comme une fleur au début du printemps
– A 3 mesdames. 1..2..3 !!
Elle avait à peine fini le compte à rebours que le résultat des 2 lavements avaient déjà atterri sur mon sexe et mon ventre. C’est Martine qui fut la 3ème à me chier dessus puis vint ensuite un énorme caca de Nathalie qui sortit gentiment avant de terminer sa course sur mon torse. Certaines s’étaient mise à pisser après s’être retournées et en me regardant fixement alors que leur main droite écartaient leurs lèvres. J’étais couvert de merde et de pisse bien chaude mon sexe était plus dur que jamais. Martine s’accroupit sur mon membre en érection qu’elle enfila dans sa chatte. Jesse se pencha sur moi faisant balader ses gros seins laiteux sur le dessus du front. Nathalie quant à elle s’était assise sur ma bouche avec sa croupe juste au-dessus de ma langue. Stéphanie elle se contentait de me caresser les fesses et d’y introduire un ou deux doigts de temps en temps. Nous avons continué à faire l’amour dans nos excréments de manière bestiale quand tout à coup…. Plus rien. Le vide complet !!
J’étais tout seul sur le lit d’examen, mes 4 infirmières n’étaient plus là, la chambre 18 était redevenue propre et rangée, tous les instruments étaient à leur place.
– Non. Non…Non… !! Il y a quelqu’un où êtes-vous ?
– Chéri réveille toi, tu as fait un mauvais rêve. Comment va ton ventre ?
– Beaucoup mieux merci, tu peux te rendormir et excuse-moi de t’avoir réveillé.
Tout cela n’était donc qu’un rêve, mais tout le contraire d’un mauvais rêve comme pourrait le croire mon épouse.
Je crois qu’il serait judicieux que je fasse un saut demain à l’hôpital tout de même. On ne sait jamais…
FIN
Oh que c’est cochon !
Un petit délire uro–scato dont la lecture m’a mise en émoi
Une petite merveille de perversité, j’ai adoré et le recommande