Pendant plusieurs années j’ai travaillé loin de la maison ( 600 Km ) je ne rentrai que le week-end. Cela avait pour avantage de nous obliger à organiser des week-end « amoureux » très riches et arrosés. Maintenant que je suis de retour le quotidien nous mange un peu. Bref tout cela pour vous dire comment il m’arrivait de m’occuper certains soir seul dans mon flat. Généralement en milieu de semaine mes besoins érotiques augmentaient, pour me permettre d’attendre, je jouais tout seul. Au début je m’amusais simplement à mouiller mon slip comme le font certaines dames. Mais très vite cela ne fut plus suffisant, il m’en fallait plus. Au début après l’avoir mouillé assis à mon bureau je m’asseyais dans la baignoire en slip et, la tête pleine de pensées érotiques, je me laissais aller, l’arrosage était fort plaisant, mais très vite j’estimais que je n’étais pas suffisamment mouillé, une faible partie de mon corps profitait de mon écoulement.
L’étape suivante consistait à poser les épaules au fond de la baignoire, à cambrer mon corps pour que mon écoulement remonte vers mon nombril, ma poitrine, et chauffe mon cou. Cet arrosage direct était déjà plus plaisant, mais il me fallait le rendre plus pervers, aussi je décidais de garder mon maillot de peau. Mon sexe retourné vers mon visage, glissé sous mon maillot maculait celui-ci de son jet dru qui retombait sur ma peau. D’autres fois je coulais par-dessus le vêtement pour bien sentir la sensation d’humidification se répandre lentement au fur et à mesure que le vêtement collait à ma peau. Je vous dirais aussi que parfois je me mouillais un gâteau, serré entre mes genoux je m’amusais à le mouiller avec le moins de perte possible ( en coulant au travers du slip! ). Il m’est même arrivé, mon sexe tourner vers mon visage, le corps cambré dans la baignoire, ne reposant que par les pieds et les épaules de me boire directement ! .
Voici le récit de notre dernière soirée humide.
J’entends la voiture arriver, ( je travaille dans un bâtiment à proximité de notre maison ) puis moins de 20 minutes plus tard j’entends son pas alerte et décidé. Mon cœur bat. Elle entre. Nous nous embrassons, j’ai du mal à retrouver son parfum sur ses lèvres, mais elle porte bien une culotte classique complètement mouillée. Elle me dit avoir suivi mes instructions sauf la dernière car elle n’aime pas sa saveur. J’écarte sa culotte et la lèche avec plaisir. Elle n’est pas épilée simplement rasée au niveau des lèvres, la petite touffe du pubis reste et garde bien les odeurs. Quand je rentre à la maison elle me dit se retenir pour me préparer un gâteau ! J’en attrape un le pose au creux de ma main que je glisse entre ses cuisses. C’est un régal de voir son petit jet imprécis s’écouler, je bouge ma main pour bien humidifier le gâteau que je porte à ma bouche quand il devient pâteux. Je me lèche les doigts avant de l’embrasser.
Avant le repas sur mon conseil elle met « Gaspard », c’est un « plug anal », simulant un sexe normal pour le diamètre, mais assez court pour pouvoir être porté sans gêne pour s’asseoir. Elle me dit avoir un peu froid aux fesses à cause de l’humidité. Après le repas je me force à boire beaucoup pour préparer notre fontaine. Il faut compter 1 h 30 avant que ne se manifeste le désir de faire pipi si on a bu suffisamment. Pendant l’attente elle est avachie dans un fauteuil les jambes écartées posées sur les accoudoirs, accroupi devant elle, je branche la télécommande de Gaspard pour le faire vibrer pendant qu’ayant écarté sa culotte je la lèche avec plaisir et application. Elle apprécie, bien que ne jouissant pas de cette manière. ( Est-ce de ma faute ou de la sienne je n’ai jamais réussi à la faire jouir en la léchant. – un effet de son éducation? – )
Quand je sens que mon heure est arrivée nous nous approchons de la salle de bain, je me mets en slip, et réchauffe la baignoire en faisant couler de l’eau chaude pendant qu’elle se déshabille. Elle ne garde que son sous pull et ses bas. Elle s’agenouille à mes pieds descend mon slip apprécie de humer mon sexe parfumé, mon envie presse de plus en plus je le lui dis. Elle prend mon gland en bouche, immobile et attentive (la position lui fait perdre Gaspard). Je lâche un premier petit jet qu’elle avale rapidement, je recommence aussitôt elle avale et déglutit vite pour ne rien perdre. Mon troisième jet est plus long, un filet coule des commissures de ses lèvres, puis elle ouvre la bouche recevant toujours mon jet qui coule sur son menton. Prenant mon sexe en main je dirige le jet sur son cou, j’adore couler sur sa peau et mouiller ses vêtements de l’intérieur, elle relève la tête pour m’aider puis je dirige mon jet sur ses seins qui apparaissent de mieux en mieux au fur et à mesure que le tissu colle à la peau, elle se cambre un peu pour que je descende arroser son sexe. Je remonte à sa bouche pour lui donner une nouvelle gorgée qu’elle avale avec plaisir. Elle se tourne me présente son dos et sa croupe. (
Elle adore que je coule dans la raie de ses fesses, elle est d’accord pour que j’essaie de couler dans elle, par derrière, l’idée me ravi. ). Je m’arrête un peu pour ne pas m’épuiser trop vite, elle me refait face. Quand elle est bien en place, je lui tends une gorgée qu’elle accepte et avale en souriant puis je descends mouiller sa poitrine. Je la préviens que je souhaite lui donner les dernières gouttes. Quand mon jet faiblit, elle avance sa bouche et me » titoune » une dernière fois. Après une bonne douche nous nous retrouvons au lit pour faire l’amour. J’adore retrouver la saveur de mon élixir dans sa bouche quand je l’embrasse. Nos orgasmes sont plus forts après de tels préliminaires.
Chloé et Damiette
Ça se lit mais pas de quoi s’affoler non plus