Sophie au bureau
2 – Mon départ
par Lolanoir
Un coup d’interphone me sort de mes rêveries
– Ouais c’est moi ! Qu’est ce tu fous ! Je t’attends depuis plus d’un quart d’heure.
– J’arrive ! Merde déjà 18 h 30
Je prends ma valise, mon sac et je descends au sous-sol dans le parking. J’aperçois Vincent. On s’embrasse, sa langue entre dans ma bouche et il me roule une pelle comme il sait le faire. Il salive beaucoup, il enlève ses bras d’autour de mon corps et il me repousse :
– Putain tu vas bosser ou quoi ? T’es pas changée.
Je réalise que je porte toujours mon tailleur, que je n’ai pas remis de culotte ni de soutien-gorge.
– Désolée chéri, mais …
Je descends à genoux devant sa braguette et je lui caresse sa queue qui durcit. Vincent se laisse faire, il me tient la tête.
– Sophie… Oui suce-moi tout de suite.
Sa hampe est raide je le décalotte et enfoui son membre au fond de ma gorge. Du bout de ma langue j’écarte le méat qui libère quelles gouttes emplissant ma bouche d’un goût salé. De ma main gauche j’écarte mon chemisier, libérant mes seins pour que mon chéri les voie. Je sens qu’il va jouir et il me plaque la tête sur son pubis. Sa bite est au fond de ma gorge.
– Sophie, hum hum, avale tout quand je vais jouir,
Il bande comme un taureau et il donne des coups de reins dans ma bouche.
Soudain la porte de l’escalier s’ouvre. Une vieille femme surgit et s’approche vers nous :
– Bande de dégueulasses ! Nous lance-t-elle, faire ça ici. ! Salope, traînée, putain ! Jure-t-elle
J’arrête de sucer Vincent qui se marre en débandant et je commence à éclater de rire. Je n’aurais pas fait jouir Vincent mais nous nous sommes pris une bonne crise de fou rire.
La vieille dame s’oriente vers sa voiture tout en nous braillant :
– Ces jeunes aucun respect, si ta mère te voyait ma petite, elle aurait honte.
Je me marre intérieurement, connaissant la réponse que je pourrais donner à la mamie qui vient de s’éloigner dans sa voiture de luxe.
Ma mère n’aurait pas honte de moi car elle ne vaut pas mieux, travaillant dans un des nombreux salons de massage, elle propose à chacun de ses clients ou clients une finition érotique. Elle lèche des chattes jeunes ou vieilles de lesbiennes en mal de sexe, et suce presque tous les mecs qui viennent. Un jour que je me trouvais au salon avec une de ses collègues, je l’ai surprise avec un couple. Elle léchait copieusement cette femme de 50 ans environ, et masturbait son mari debout près d’elle. Elle a joui dans la bouche de maman tandis que monsieur faisait gicler sa semence
Ayant quittée ma cabine je ne pus que me donner du plaisir dans les toilettes avec l’ensemble des mes doigts de ma main droite.
La vieille dame ayant disparue, nous nous remettons en ordre et m’apprêtais à grimper dans la voiture de Vincent pour quitter le parking.
Cependant je ne m’attendais pas à la réaction de Vincent :
– Bon, merci pour la pipe, mais j’ai compris que tu faisais la pute avec tout le monde, je ne veux pas d’une copine qui s’envoie toutes les bites qui passent.
– Mais Vincent !
– Ta gueule, grosse pouffe, je me barre
Et me voilà comme une conne avec ma valise, tandis que l’autre salopard quitte le parking.
Je pleure un bon coup, ben oui ça m’arrive, et je remonte à la maison.
Je vais faire quoi maintenant ? Bon demain je ferais du stop et j’irais je ne sais pas où
Ma mère m’appelle
– C’est demain soir que tu pars en vacances ?
– Non, je devais partir ce soir, mais ça a foiré au dernier moment .
– Si t’es libre demain, j’aimerais que tu me rendes un petit service.
Elle m’explique qu’elle a rendez-vous au salon avec un couple qui souhaite un massage à quatre mains prodigué par la mère et la fille.
C’est un couple très BCBG, la cinquantaine, Monsieur a une jolie bite, Madame est bien conservée, bronzée, très brune. Ils s’allongent, côte à côte sur le ventre.
Je ne sais pas masser, ma Maman me dit de faire « comme elle »
Au bout d’une demi-heure ça devient hard, Le doigt de Maman s’aventure dans le trou du cul du client et elle se met à lui sortir toute une panoplie de mots crus.
– T’aime ça que je t’encule avec mon doigt, ma salope !
– Oui je suis une salope, continuez.
– Je suis sûre qu’à la place de mon doigt t’aimerais une vraie bite dans ton cul de pédé.
– Pourquoi pas ?
– Il la déjà fait ! Intervient sa femme a qui on n’a rien demandé, et même qu’il aime bien que je le regarde en train de se faire enculer.
Sur un signe de ma mère je fais subir le même traitement à la femme qui se trémousse son gros popotin pendant que je lui doigte le cul.
On fait se retourner le couple, je lèche les beaux nichons de la dame, et m’apprête à lui faire minette. Maman pince les tétons de l’homme, puis lui caresse les couilles
– Je voudrais vous demander autre chose ?
– Quoi donc, j’ai plein de spécialités en catalogue, précise Maman, sado, uro, scato ?
Non, ce n’est pas cela, ces deux pervers veulent qu’on se gouinent Maman et moi devant eux.
Je suis à la fois excité et embarrassé.
– On peut juste faire semblant, me chuchote ma mère. C’est comme tu veux !
On se met en position, j’ai la chatte de Maman sur ma bouche, c’est fou, ça, je sors ma langue et je lèche tandis qu’elle me rend la pareille. C’est trop bon de se faire un soixante-neuf avec sa mère.
Les deux autres se sont masturbés jusqu’à la jouissance.
– Mademoiselle, me dit le bonhomme, votre prestation était au top, accepteriez-vous de nous accompagner une semaine dans notre maison de campagne sur la côte, tous frais payés. Vous seriez la complice de nos jeux érotiques, contre rétribution, bien entendu…
Ça tombe bien, ma valise n’est pas défaite.
Fin
Les deux chapitres de ce texte ont été rewrité par la rédaction du site
Se faire masser par la mère et la fille… Le rêve !
Je ne suis pas coincé, mais la scène entre la mère et la fille est choquante
Et si tu nous expliquais à qui elles font du mal en agissant ainsi ? 😉
Dommage que tout cela ne soit pas davantage développé, notamment l’épisode du salon de massage, mais tel quel l’usine à fantasmes fonctionne parfaitement.