Vacances en Provence
4 – T.G.V.
par Showlap1
Quelques jours après ma rencontre avec Marie-Claude dans un café parisien, je reçois un mail de sa part, que je vous laisse savourer…
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Mon cher Philippe,
Quel plaisir ça a été de te retrouver, de te voir toujours aussi mignon et coquin, et d’évoquer avec toi ces aventures passées. Si tu en as envie, il faut qu’on s’organise quelque chose pour se voir à nouveau avec Germain… et Valérie… Dis-moi si ça te paraît envisageable, avant que je lui en parle.
Il faut que je te raconte ce qui m’est arrivé dans le TGV, quand je suis rentrée à Aix, juste après notre rencontre. Le taxi m’a déposé avec 5 bonnes minutes d’avance à la gare. J’achète en vitesse une bouteille d’eau et un magazine. Je galope jusqu’au quai, remonte la moitié du train pour arriver à ma voiture, et ouf ! Je suis dedans quelques secondes avant la fermeture des portes.
J’arrive jusqu’à mon siège, situé côté fenêtre. Un jeune gars est assis sur celui d’à côté. Vingt-huit – trente ans, plutôt beau gosse ! Je vois déjà qu’il me jette un regard oblique pendant que je hisse mon sac dans le casier à bagages au-dessus de sa tête. Pour me laisser m’assoir, il pousse simplement ses jambes de côté sans se lever. Je passe devant lui en lui tournant le dos, cambrant les reins un peu plus que nécessaire…
Je m’installe… et le voyage démarre sur un cours tout à fait normal. Mon voisin joue sur son téléphone, envoie des SMS, pendant que je feuillette ma revue. Et puis, j’ai dû m’assoupir un bon moment… Je reprends ma lecture sans trop faire attention à lui. Je tombe sur le dossier ‘sexe’ du journal. Il faut qu’ils trouvent un truc nouveau tous les mois, du genre « Je le trompe, mais je l’aime toujours ». Avec des témoignages de nanas qui racontent comment elles prennent leur pied en s’envoyant en l’air avec leur collègue de boulot. Pendant que je lis, je m’aperçois que mon voisin me jette régulièrement des coups d’œil à la dérobée, mais qu’il replonge le nez vers son téléphone, un peu gêné, à chaque fois que le regarde.
Comme ça finit par m’agacer, je décide de le provoquer un peu. Ma main posée sur ma cuisse glisse jusqu’à mon entre-jambe, que je caresse maintenant de haut en bas, comme machinalement, pendant que je continue à lire. Il a bien remarqué, mais reste ostensiblement plongé dans la lecture et l’envoi de ses messages.
Au bout d’un moment de ce jeu-là, et avec les petits films qui repassent dans ma tête, je finis par être bien excitée mais comme lui ne m’envoie aucun signe, je commence à me dire qu’il ne se passera rien de plus. Il reçoit un appel, se lève et file au bout de la voiture pour parler tranquillement. Maintenant que je suis seule, je me caresse avec un peu plus d’insistance, mais le cœur n’y est plus. Pourtant la sensation est bien agréable, puisque je suis toute mouillée, et qu’en plus j’ai la vessie pleine !
Mais bon, il faut quand même que j’aille pisser. J’arrive au bout du couloir, j’ouvre la porte, juste pour l’entendre dire : « Mais si, j’te jure, elle a commencé à… ». Puis m’apercevant, s’interrompt, pique un phare et figé, me regarde passer. Je le fixe droit dans les yeux, arrive jusqu’aux toilettes, entre, et claque la porte, mais sans tourner le verrou. J’attends un peu… et, malgré le bruit de fond du train, je l’entends qui continue sa conversation.
De toute façon, moi j’ai un besoin pressant à satisfaire. Comme la cuvette est un peu crade, je décide d’enlever complètement mon pantalon, que je pose sur le lavabo, et de garder mes bottes, parce que par terre, c’est pas terrible non plus. Le string enlevé, le m’installe debout au-dessus de la cuvette, dos à la cloison.
C’est à ce moment-là que la porte s’ouvre. C’est bien lui ! Il fait un pas à l’intérieur, et se retrouve à 50 centimètres de moi, la chatte à l’air et les cuisses écartées ! Il se fige, comme tétanisé, les yeux fixés sur mon triangle.
– « Il faudrait peut-être refermer la porte », je lui dis.
Il claque la porte, tourne le verrou, et revient face à moi, toujours muet.
– Moi : « Je crois que je ne vais plus pouvoir me retenir… » et j’envoie un premier jet.
Il ouvre les yeux encore plus grands, et s’avance encore. Deuxième jet. Je vois qu’il retient un mouvement involontaire de sa main, alors je décide de l’aider. Je tire sur son bras et sa main vient se placer en coupe sous ma chatte. Cette fois, je me vide dans sa main, ma pisse coule entre ses doigts et sur son poignet. Quand j’ai fini, avec sa main mouillée, il m’attrape la moule et commence à me masser avec vigueur. Ah, enfin ! Comme c’est bon !!!
Au bout d’une minute, il s’arrête, comme ébahi de sa propre audace.
– « Tu n’as pas envie de pisser, toi aussi ? » je lui demande.
Il hoche la tête, surpris, s’essuie la main sur l’intérieur de ma cuisse, déboutonne son pantalon, baisse son caleçon, et sort une queue comme je les adore : bien large, un peu gonflée, mais pas encore en érection. Il décalotte (quel beau gland, ma foi), se concentre, contracte les fesses, envoie quelques gouttes dans la cuvette. Il a un peu de mal, parce qu’en même temps, sa tige se gonfle encore. Il la dirige vers le haut et cette fois, un jet bien dru vient frapper mon ventre. Son flot de pisse arrose ma chatte, ruisselant un peu partout, s’écoulant le long de mes cuisses jusque dans mes bottes. Je suis aux anges.
Maintenant son érection est totale, et il se branle avec application pour la raidir encore davantage. Il m’attrape par le bras, me pousse face au lavabo et passe derrière moi. Il me penche en avant, écarte mes cuisses, et reprend ses caresses sur ma chatte encore plus trempée.
– « Ah, t’as l’air d’être une sacrée salope, toi. »
Je ne vais pas trop me plaindre : c’est la première fois qu’il m’adresse la parole. Il sort un préservatif de sa poche, l’enfile rapidement, et vient frotter son gland à l’entrée de mon vagin. Il le fait glisser de haut en bas quelques instants, puis recule, et remonte entre mes fesses. J’essaie de me détendre pour lui faciliter l’entrée, mais d’un seul coup de rein, il franchit ma rondelle, en même temps qu’un autre train croise le nôtre, avec le boucan et la surpression soudains que ça provoque à chaque fois. Quel choc ! Dans la même seconde, j’ai l’impression que mon cul et ma tête sont en train d’exploser. L’image d’un train rentrant dans un tunnel, et celle de sa queue franchissant mon anus se superposent. En un flash, je réalise que TGV, ça peut aussi vouloir dire Très Grosse Verge !…
Après quelques furieux va-et-vient, il jouit bruyamment, les mains crispées sur mes fesses. Il s’écroule sur moi… et sursaute cinq secondes plus tard, quand il entend l’annonce de l’arrivée imminente du train en gare d’Avignon. Il se retire, remonte son pantalon, bafouille un vague « Euh… au revoir ! ». Et la porte qui claque. Je me retrouve toute seule, le cul en l’air, encore complètement sonnée. Mais bon, il faut bien reprendre ses esprits… Je me nettoie tant bien que mal… ce qui me prend un temps certain, pendant lequel le train a eu le temps de s’arrêter à Avignon, et de repartir. Je regagne mon siège. Le gars a disparu, mais a laissé sur ma tablette un mot hâtivement griffonné.
Chère madame,
Désolé de vous avoir abandonnée si soudainement, mais j’étais attendu au train à Avignon. J’espère que vous ne m’en voulez pas trop de ces hésitations, ni de cette intromission un peu sauvage. Il faut vous dire que d’habitude me goûts me portent plutôt vers les garçons. Pour autant, notre rencontre a été trop brève à mon goût, et si vous le souhaitez, ce sera un grand plaisir pour moi de vous retrouver.
Cyrille
Suivi de son numéro de téléphone.
Comme tu vois, il s’exprime mieux à l’écrit qu’à l’oral. Bon « Chère madame », je ne sais pas comment le prendre… Ça change de « sacrée salope »… Et « intromission », où il va chercher ça ? Il est abonné à Union, ou quoi ? Bon, je plaisante, parce que ça m’a fait très plaisir.
Bien sûr que j’ai envie de le revoir. Et je le présenterai à Germain. Je pense qu’on va bien s’amuser tous les trois. Je te raconterai.
Bisous.
Marie-Claude
un joli petit rêve !
C’est un peu comme les chiottes dans les avions, pour baiser là-dedans il faut être anoxémique
En même temps, les toilettes de TGV, faut pas être obèse !
Un bon récit uro comme on les adore
Encore une petite perle uro qu’il convient de (re) découvrir