Changement de vie avec mes propriétaires 1 – par Marc_le_bien_heureux

Changement de vie avec mes propriétaires.
par Marc_le_bien_heureux

Bonjour à tous et toutes, avant de commencer mon histoire je vais me présenter. Je m’appelle Marc, au moment de cette aventure j’avais 30 ans, je suis brun aux yeux vert et je faisais (et je fais encore…) 70 kg pour un mètre quatre vingt. Je vivais en concubinage avec une superbe femme du même âge. Nous vivions heureux dans une belle maison et je travaillais en tant que cadre dans une entreprise Américaine. Nous coulions de beaux jours tranquilles…. Mais début des années 98 ce fut la catastrophe… tout m’est tombé dessus. J’ai perdu mon job, entre temps ma femme m’a quittée et ensuite j’ai du subir une opération d’urgence…. bref tout mon joyeux petit monde c’est écroulé d’un coup.

Après mon hospitalisation, j’ai tout de suite recherché du travail et je me suis retrouvé à devoir emménager à 800 kms de mon ancienne habitation, dans une ville que je ne connaissais pas : Strasbourg.

Je prenais un nouveau virage dans ma vie et je n’imaginai pas à quel point. Pour me trouver un appartement j’ai mis une petite annonce dans un gratuit de la ville du type : JH 30 ans cherche chambre ou T1 de toute urgence pour cause d’emploi dans la région….. Il n’a pas fallut longtemps pour avoir des réponses. Après plusieurs visites, j’ai retenu l’offre d’un couple d’une cinquantaine d’année, Martine et Paul qui vivaient dans une grande maison de maître et qui n’ayant plus leurs enfants avec eux, m’ont proposé de me louer l’une des chambres du bas de leur maison. Je n’étais pas loin du centre ville et de mon travail et de plus ce qui ne gâchait rien ils avaient l’air très sympathique. Paul avait 52 ans un mètre quatre vingt dix, grisonnant, légèrement bedonnant mais très smart et Martine 48 ans un mètre soixante dix, brune aux yeux vert et apparemment avec quelques rondeurs mais ces habits ne me permettaient pas de voir exactement ces formes et avait un look plutôt détendu.

La vie reprenait son cours normalement et mes propriétaires parfois amélioraient mes soirées de solitaire en m’invitant à dîner avec eux. Il faut dire que Martine cuisinait à merveille et que Paul étant amateur en bon vin, se faisait un plaisir de me faire découvrir se qu’il avait en réserve dans sa cave. Les mois passèrent sans que je m’en rende compte, ma nouvelle vie était agréable et rendu si facile par mes nouveaux amis Paul et Martine. Nous étions vers la fin d’août et un soir comme quelque fois Martine vint pour m’inviter à dîner.

Je fus surpris par sa belle robe noire légèrement courte, qui mettait ces formes en valeur (c’était la première fois que j’y prêtais attention et j’avoue que je l’ai trouvée très désirable et effectivement légèrement rondelette comme je l’avais imaginé). Elle qui était plutôt du genre à s’habiller en tenue décontractée, je me suis dit qu’il devait y avoir une raison particulière à cette tenue, mais j’étais loin de m’attendre à ce qu’il allait ce passer. Je montais quelques minutes plus tard, tailladé par la curiosité…

J’entrais dans leur salon, l’ambiance était feutrée : lumières tamisées, et des bougies parfumées étaient allumées au bord des fenêtres et sur la petite table quelques gâteaux apéritif étaient proposé dans de jolies assiettes. Martine était assise sur le fauteuil et Paul lui tendait une coupe de champagne.

– Ah te voilà enfin… me dit Paul
– Je me suis fais attendre ?
– Oui… me dit Martine avec le sourire… Mais ne fais pas attention il est un peu grognon ce soir…
– Tu veux une coupe ? me dit Paul
– Heu oui bien sûr
– Et bien assied toi ! Ne reste pas debout !

Ce que je fis aussitôt sans discuter, j’étais assis juste en face de Martine sur l’autre fauteuil et je ne pu m’empêcher de remarquer que sa robe était fendue jusqu’au haut de sa cuisse me laissant voir le haut de ces bas et si elle ne croisait pas les jambes j’aurais pu voir son entre cuisse. Je sais que cette pensée n’était pas des plus raffinée mais j’avoue que cela faisait longtemps que pour mes plaisirs en solitaire je fantasmais sur les dessous féminin et là j’avais la chance d’en revoir pour de vrai…. Je n’osais plus la regarder dans les yeux et à croire qu’elle avait devinée ce qu’il se passait dans ma tête car elle n’arrêtait pas de croiser et décroiser lentement ces jambes me laissant entrevoir justement l’intérieur de ces cuisses. Paul engagea la discussion.

– Alors mon garçon me fit Paul, Ta journée c’est bien passée ?
– Heu oui bien merci et vous ?
– Nous tu sais, cela reste un peu routinier…
– Mais dit moi tu n’as pas d’amie ?
– Tu es bien curieux lui dit Martine
– Oh c’est juste une question comme ça…
– Ben c’est que je n’ai pas trop le temps pour ça…
– Moi à ton âge, j’étais un vrai lapin…pas vrai Martine ?
– Oh arrête tu l’embête avec ça !
– Non… Non pas du tout…
– Ben tu vois !

Et Martine reprit la parole, tout sourire.

– C’est vrai que je ne pouvais pas me promener en petite tenue dans la maison quand nous n’avions pas encore les enfants, car il ne perdait pas de temps pour me sauter…dessus.

Je me mis à rire aux éclats, puis je regardai Martine qui souriait aussi tout en me regardant et elle continuait à écarter ces cuisses doucement afin de toujours me laisser voir sa culotte. En la regardant s’ouvrir, je sentais monter en moi l’excitation et j’avais peur que l’on puisse voir mon pantalon se déformer. Cela faisait un moment que je n’avais pas fais l’amour et la vue de ce jeux de jambes me fit clairement bander. Il m’était difficile de le cacher tellement le désir était présent. Je ne pu me retenir de me caresser au travers de mon pantalon mais la main dans la poche pour que cela ne soit pas voyant…

– Voilà pourquoi vous avez eu trois enfants !

Je n’eu pas de réponse. Je relevais ma tête pour voir Paul et il me fixait des yeux et me dit d’un ton sans équivoque.

– Mais que fais-tu là !?!

D’un coup je me suis mis à rougir, il venait sans doute de s’apercevoir que je matais l’entrecuisse de sa femme ou que je caressais ma tige et que j’étais en pleine érection.

– Heu rien…rien

L’excitation de voir cette femme mure qui écartait ces jambes était si forte que je ne débandais pas même après les paroles de Paul. Cette sensation d’être découvert amplifiait encore plus mon désir…un truc de fou, j’étais rouge de honte.

– Tu te moques de moi !
– Heu…non…j’étais pétrifié
– Lève-toi !

Martine ne disait pas un mot, elle était sans doute fière de me mettre dans cet état. D’ailleurs elle avait complètement ouvert ces cuisses et je voyais amplement sa culotte blanche qui d’ailleurs devait être humide car je pouvais remarquer une auréole plus foncée sur le devant. Je n’arrivais pas à m’empêcher de regarder entre ces jambes cela faisait comme un aiment. Puis comme Paul me le demanda je me levai en baissant les yeux en sachant qu’il allait voir la bosse qui déformait mon pantalon au niveau de ma braguette.

– Je t’invite à dîner et tous ce que tu trouve à faire pour me remercier c’est de reluquer l’entre cuisses de ma femme… bon passe encore… mais en plus tu te masturbe devant elle !!
– Non non j’ai pas fais ça !!
– Baisse ton pantalon ! me dit-il d’un ton sec

J’étais tétanisé par la situation, je ne pouvais m’enfouir et d’ailleurs pour aller ou ? J’habitai chez eux…

Je m’exécutais sans mot, baissant mon pantalon et laissais découvrir à mes propriétaires mon sexe tendu au travers de mon caleçon. Martine vint immédiatement se mettre a genoux prêt de moi retirant mon dernier « rempart » et tout en saisissant ma queue avec sa mains faisant un léger mouvement de bas en haut dit a son mari :

– Le pauvre cela fait peu être longtemps qu’il n’a pas eut le plaisir de sortir son sexe de sa cachette, regarde comme il est bien… dressé…puis s’adressant directement à moi. : – Tu as aimé regarder ma culotte petit polisson !…

J’acquiesçais d’un signe « oui » de la tête, je compris à ce moment que tout étais prévu entre eux deux, et qu’ils voulaient se payer une tranche de plaisir… Cependant je n’imaginais pas ce qui allait arriver par la suite…

– On va bien voir s’il est prêt à « sortir »…. dit Paul,

Il dégrafa son pantalon sorti son sexe qui était déjà lui aussi bien bandé et d’un geste appela sa femme pour qu’elle vienne le prendre en bouche. Elle se retourna et s’agenouilla sur le fauteuil pour le satisfaire. Elle prit d’une main la hampe et la dirigea directement dans sa bouche comme une affamée en me regardant du coin de l’œil.

Dans cette position elle m’offrait la vue de ces fesses encore enculottées et elle se faisait un malin plaisir à tortiller son cul. D’un ton sec Paul m’ordonna de me mettre complètement à poil. Je m’exécutai avec plaisir et me retrouvais là, debout dévêtu devant mes propriétaires à bander dur en regardant le postérieur de Martine qui suçait goulûment son homme et j’attendais qu’il m’ordonne de bouger…Paul était excité par la domination qu’il me faisait subir, il me regardait droit dans les yeux comme un male dominant dans un groupe de fauve et m’obligeant à baisser la tête. J’attendais à l’affût de son accord pour venir lécher les chairs humides de sa femme qui m’avait excité quelques minutes auparavant. Enfin il se décida et m’autorisa à m’approcher d’elle…

– Broute-lui le minou… Elle adore cela !
– OK
– Non pas « OK » On dit : Oui Monsieur !
– Oui Monsieur… dis-je fébrilement.

Je me mis à genoux devant son joli postérieur, relevant de mes mains sa robe et je posais enfin ma bouche sur ces cuisses. Je lui fis plein bisous en remontant sur ses fesses, je passais ma langue sur son sexe à travers le tissu de sa culotte imbibé de son jus, j’étais ivre de son odeur… Puis avec mes dents je lui enlevais sa culotte. Une fois retirée, je lui écartais ces fesses, mon nez sur sa rondelle, je plongeai enfin ma langue sur son sexe trempé, elle sentait bon le propre et j’aspirai ses fluides avec bonheur. Elle râlait de plaisir et glissa sa main entre ces jambes, écarta ces lèvres de ses doigts pour que je lui lèche le clito correctement. Ma queue était tellement dure qu’elle me faisait mal, je rêvais de la pilonner là, dans cette position, comme une vulgaire chienne. Mais Martine avait une autre idée en tête et changea de position pour ce mettre sur le dos écartant ses cuisses. J’avais sa chatte baveuse devant moi, elle continuait à sucer son mari variant les plaisirs en lui mordillant les couilles et revenant avec de grand coup de langue sur sa queue. Je n’avais pas l’habitude de regarder le sexe des hommes mais il était monté comme un cheval et haletait fort par les caresses prodiguées par sa femme. Elle m’attrapa la tête et la frotta fortement sur son sexe, j’étais trempé de sa mouille abondante, puis elle me remonta vers ses seins pour que je les tète. Elle avait de petit lobe brun foncé et ces tétons étaient gonflés à bloc, un vrai délice à sucer puis elle voulu me remonter encore plus haut mais ayant la bite de Paul en bouche je fis un mouvement de recul. Elle s’arrêta de sucer son mari pour venir me dire à l’oreille:

– Plonge ta queue dans ma chatte et embrasse-moi petit salaud !

A ces paroles je devins comme hystérique et sans attendre j’ai présenté ma queue devant sa chatte baveuse qu’elle absorba elle-même d’un petit coup de rein. Son con était brûlant, je sentais ses palpitations de plaisir comme si elle me suçait avec sa bouche. Elle me tira les cheveux pour m’approcher de son visage afin de l’embrasser. J’étais un peu réticent car elle venait de sucer Paul et un mélange de salive et de fluide du sexe de son mari coulait de ces lèvres… j’eu un temps d’arrêt… c’était ma première expérience du genre et je voulais refuser, mais l’excitation de la soumission était plus forte et sans qu’elle me laisser réfléchir, elle s’approcha et plongea sa langue dans ma bouche. J’étais en train d’embrasser Martine avec les sucs de la bite de son homme qui en fin de compte ne me dégoûtait pas tant que cela. Cela avait un goût plutôt salé et Martine se délectait de ce baisé.

– Elle a bon goût la bite de Paul ?
– Oui dis-je timidement
– Oui qui ?
– Oui Madame
– Voilà, tu comprends vite…
– Elle est bonne ma chatte, t’aime y plonger ta queue… salaud
– Ho oui Madame

Je la pilonnais comme un diable, tellement elle mouillait, j’entendais « floc floc » a chaque coup de butoir, elle hurlait son plaisir en m’insultant.

– Oui oui baise moi salaud, bourre moi, viens me donner ton jus dans ma chatte.

Puis elle reprit la bite de Paul en bouche qui pendant ce temps avait continué a ce masturber… Sentant qu’il allait venir, il lui tint la tête et la baisait comme s’il était dans sa chatte. Baisée par les deux extrémités elle fut inondée de nos spermes en même temps. Je m’étalai sur son corps après lui avoir longuement giclé dedans. Elle me caressait les cheveux en douceur et me fit signe de remonter vers elle… je compris ce qu’elle voulait et sans sourciller j’approchais de sa bouche pour… l’embrasser sa bouche pleine du foutre de Paul. J’eu un léger haut le cœur puis elle tourna sa langue dans ma bouche distillant délicatement le sperme de son homme dans la mienne. A ce moment précis j’étais devenu bi car j’avalais du foutre d’un autre homme pour la première fois de ma vie. Puis après avoir vidée sa bouche, elle me repoussa gentiment et me plongea entre ces cuisses…

– Après ma bouche tu vas nettoyer ma chatte pleine de ton foutre mon cochon!

Elle jubilait de me voir lécher ma propre semence qui coulait de son sexe abondamment, elle se faisait un malin plaisir à pousser pour en évacuer un maximum, d’ailleurs son sexe en était bien remplit car cela faisait une paille que je ne m’étais pas branlé, puis elle regarda son mari et lui dit

– Alors mon amour quand pense tu ?
– Oui c’est pas mal… pour un début…

Après la toilette que je venais de lui prodiguer, Martine ce leva prétextant aller prendre une douche et Paul la suivait en me demandant de rester là. J’étais couché à même le sol en profitant du plaisir que j’avais eu et en réfléchissant à ma nouvelle sexualité…J’étais devenu « bi » j’avais encore en bouche le mélange de mon foutre avec celui de Paul et à vrai dire cette sensation m’excitait et mon sexe se remettait à nouveau dans une bonne forme. Paul revint dans le salon et bien sur il vit que mon sexe se regonflait, mais à cet instant je n’avais plus honte de son regard, j’étais même fier de lui montrer que la situation m’excitait.

– Je vois que tu as aimé et que tu en redemandes !
– Heu …. Oui monsieur…
– Cela tombe bien car je te trouve sympa et ma femme aussi, donc je te propose un « contrat » qui nouera nos jeux…
– Pourquoi pas, mais en quoi cela consiste.
– Nous te proposons de te loger gratuitement à condition que tu sois notre esclave sexuel, nous disposerons de toi à notre bon vouloir et bien sur cela sur tes heures libres et deux week-ends par mois quand dis-tu ?
– Je sais pas… heu oui cela me va.

Je ne savais pas quoi répondre, j’étais dans un état second, tout allais si vite mais le plus fort c’est que cela m’excitait au plus haut point, d’ailleurs je bandais encore… Paul prit les devants et me dit :

– Allons rejoindre Martine pour lui annoncer la bonne nouvelle…

Il me fit me lever et je le suivais toujours aussi nu et mon sexe en érection. Je me sentais soumis et j’aimais de plus en plus cela.

Nous nous dirigions vers la salle de bain, qui dit en passant était aussi grande que ma chambre. Elle était toute carrelée de couleur bleue munie d’une grande douche multi jet, de deux vasques en marbre. Il y avait aussi une gigantesque baignoire pour deux personnes ou Martine était assise sur le bord. Elle était complètement nue et se séchait les cheveux avec une serviette. Tout en me prenant par l’épaule il s’adressa à Martine

– Bonne nouvel ma chérie, notre compagnon de jeux est d’accord pour notre proposition.

Imaginez la situation, moi nu avec ma bite dressée, devant Martine les bras levé sur la tête ce qui avait pour effet de remonter ces gros seins ce qui m’excitai d’avantage…

– Et bien champagne ! dit-elle
– C’est une bonne idée fit Paul
– Je vois qu’il est à nouveau prêt…notre petit esclave…Viens voir là, j’ai encore envie que tu me broute le minou !

Elle se posa un peu plus au bord de la baignoire en écartant bien ces cuisses attendant que je vienne y poser ma bouche. Paul me mit une claque sur les fesses ce qui fut le top départ. Je plongeai à ces pieds, me mis a genoux afin d’exécuter son ordre. Sa peau était chaude et parfumée à la vanille, je léchais l’intérieur de ces cuisses tout en remontant vers son pubis. Son sexe était luisant et de ces doigts elle écarta ces grosses lèvres pour me montrer son clito que je m’empressai de lécher du bout de ma langue. Martine pressa ma tête contre sa vulve, je l’embouchai comme on pourrait le faire avec une barbe à papa, salivant de plaisir. Martine lâchait quelque râle de plaisir, je sentais des spasmes venir de sa chatte, elle recula ma tête de son sexe et cria :

– CHAMPAGNE !!

Je n’eu pas le temps de comprendre ce qu’il se passait qu’un jet sorti de son sexe… elle était en train de me faire pipi dessus. Je n’eu pas le temps de réagir qu’elle empoignait ma tête pour la mettre contre sa vulve en s’exécutant, inondant ma bouche de son « champagne ». Je ne pu qu’avaler le liquide doré… J’étais vraiment soumis par cette femme qui m’urinait dessus m’obligeant à avaler ce liquide salé et juste un peu amer a mon goût mais j’aimais ça. Paul qui était derrière moi avait sorti sa queue de son pantalon et lui aussi se mit à me faire dessus. Il détourna ma tête de la chatte de sa femme qui avait fini de pisser pour mettre sa queue dans ma bouche m’utilisant lui aussi comme urinoir. Cela aurait dû m’écœurer, mais encore une fois cette sensation si forte de soumission me mettait en transe et j’en redemandais encore a mon bourreau…D’ailleurs après s’être vidé, il laissa son sexe dans ma bouche et commençait à faire des allée et venue ce qui logiquement le fit grossir de plus en plus. Martine vint s’accroupir à côté de moi et me chuchota à l’oreille :

– Elle est bonne la grosse bite de mon mari ! Suce la bien tu verras elle t’en sera reconnaissante…

C’est vrai qu’elle était énorme, bien 20 cm de long et bien 5 cm de large… J’arrivais à peine à la mettre en bouche quand il fut bien bandé et je léchais cette hampe a grand coup de langue baveuse ce qui plaisait beaucoup Paul à l’entendre m’insulter « humm oui tu l’aime ma queue petite salope ». Pendant ce temps Martine ce mit à me caresser les fesses, je me doutais bien à ce moment là de ce qu’il allait m’arriver et a vrai dire malgré la peur au ventre car Paul avait vraiment un bel organe, j’en avais envie… Martine écartait mon cul, crachant sur mon petit trou puis alternait en me mettant des claques sur les fesses et l’écartait à nouveau, passant ses doigts sur mon anneau humidifié par sa salive qui palpitait sous ces caresses. Martine se plaça ensuite derrière moi, écartant de nouveau mon fessier endolori par ses frappes et elle titilla ma rondelle vierge avec sa langue. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir à cet endroit, je sentais son souffle chaud sur mes testicules. Sa langue me produisait un plaisir que je ne soupçonnais pas, en fait ma rondelle s’ouvrait d’elle-même par ces attouchements… et plus elle enfonçait sa langue et plus j’avais envie qu’elle me pénètre. Puis elle y introduisit doucement un doigt et s’amusait élargir l’entré en le tournoyant dans mon orifice. Je sentais mes sphincters palpiter sur ces doigts et plus elle insistait et plus le plaisir montait en moi. Elle jouait de mon trou de cul et s’enfonçait de plus en plus loin en moi, puis elle mit deux doigts, me branlant en même temps et recommença à s’occuper de mon postérieur…

Je n’aurais jamais cru pouvoir dire cela, mais j’éprouvais un énorme plaisir de ce coté, j’ouvrais de plus en plus mon cul et mon sexe était devenu dur comme du béton. J’étais ivre du plaisir que me prodiguais ma maîtresse, et cela je le reportais sur la queue de Paul, que je ne suçais plus par « obligation » mais par plaisir, en fait je jouissais d’avaler cette grosse queue dans ma bouche. Je salivais de plaisir et je bavais sur sa tige bien dure en l’imaginant venir me pénétrer. D’un coup je sentis un liquide froid couler sur la raie de mes fesses, c’était Martine qui m’étalait du gel lubrifiant…

– Tu vas en avoir besoin petite salope…. dit-elle en me claquant les fesses

Je ne lui donnais comme réponse qu’un Hummmm de plaisir…

– Tu vas sentir comme elle est bonne la queue de Paul !

Martine ce releva et se mit devant moi, me retirant de la bouche le sexe de Paul et lui dit :

– Vas y mon chéri, notre petite salope est prête…

Puis elle se coucha sur le dos ouvra ces cuisses en grand, prit ma tête et la posa sur son sexe ruisselant.

– Lèche-moi petite pute! C’est à ton tour de me donner du plaisir !!

Je lui aspirais le con, plongeant ma langue le plus profondément possible pour lui rendre le plaisir qu’elle m’avait donnée et pendant ce temps Paul se masturbait entre mes fesses.

Il glissait son membre parfaitement bien sur ma raie, et avec son pouce il me massait l’anus afin de le rendre plus souple puis il rajouta encore du lubrifiant, s’en enduisit la queue et pointa enfin son gros gland sur ma rondelle. Mes jambes tremblaient … Je n’avais plus que ça en tête…. J’allais me faire sodomiser par un gros chibre bien gonflé et cela grâce à mes caresses buccales… Il m’écarta les fesses et s’enfonça doucement, je sentis une vive douleur … Je ne pu m’empêcher de sortir de ma bouche un « ohh » de douleur et Paul arrêta sa progression quelques minutes en caressant mes fesses, puis il recommença s’enfonçant doucement. Je sentais chaque centimètre pénétrer en moi, j’avais l’impression qu’il me déchirait les chairs. A chaque avancée bizarrement la douleur se faisait moins vive et Paul tout aussi délicat quand il sentait que je souffrais s’arrêtait encore pour laisser passer la douleur afin que mon anus s’habitue a son intrusion. Machinalement je commençais un léger va-et-vient sur sa queue et des spasmes culiers massaient en même temps mon enculeur. Martine se glissa entre le sol et moi relevant bien ces jambes sur mes cuisses de façon à avoir son sexe prêt du mien et puis vint s’emboîter sur ma queue. Elle me murmura :

– Elle est bonne cette grosse queue qui te défonce le cul petite salope ?
– Ouiii oui elle est bonne…
– Ne bouge pas, tu vas bien la sentir maintenant et il va nous baiser tout les deux en même temps…
– Hummmm
– Vas y Paul baise cette petite salope, elle bouge bien son cul et elle veut jouir de ta queue…
– Assez d’être gentil… ll va la sentir !! dit-il en riant

Et il démarra un va-et-vient infernal tout en douceur dans un premier temps, sortant presque la totalité de sa queue et replongeant au fond de mes entrailles d’une traite mais tout aussi doucement qu’il était sortie et recommençais.

La douleur se transformait petit à petit à chaque pénétration en vague de plaisir et je sentais chaque centimètre de sa queue dans mon cul qui s’ouvrait encore plus. A mon grand étonnement cela m’excitait aussi de sentir ces couilles taper contre mes fesses et pour qu’il vienne bien au fond de moi… je tendais bien ma croupe pour qu’il vienne bien en moi et sans sortir de la chatte de Martine. Quand il remplissait mon cul, je remplissais en même temps la chatte de Martine qui était tellement trempé que je ne sentais même plus les bords de son sexe entourer le mien.

– Mais c’est qu’elle aime ça notre petite salope ! dit Martine
– Ho oui. Elle est bonne…
– Elle est bonne qui ? me dit-elle d’un ton sec
– Ahh… oui maitresse
– Tu en veux encore ?
– Oui maitresse oui j’en veux ! Lui dis-je en hurlant
– Paul ! Vas-y ! Défonce-lui bien son cul de pucelle !

Et là, effectivement Paul se mit à me chevaucher violement a grand coup et je ne pu retenir mes râle de plaisir tellement son ramonage me faisait du bien, je sentais ma rondelle se déformer tellement ces coups étais vif. Mon cul était en ébullition, j’imprimais ces assauts, et plus il m’enculait et plus je prenais du plaisir, j’avais même l’impression de mouiller du cul tellement il glissait bien en moi !

– Pousse du cul ! me dit-il… POUSSE FORT !

Je crus défaillir, car plus je poussais et plus le plaisir se faisait ravageur, je sentais la pointe de mes tétons durcir et Martine ne se gênait pas pour me les mordiller en les voyants ce gonfler… en fait j’étais devenu une machine à jouir car chaque poussée me mettait en transe. Je ne voulais pas pousser trop fort par peur de faire mes besoins, mais Paul était entré dans un tel état, qu’il me mettait des claques sur les fesses quand il sentait que j’arrêtais de pousser et ces frappes sur mes fesses m’excitaient encore plus… Mon sexe en est même sorti du con de Martine sans que je m’en rende compte tellement le plaisir était fort et d’un coup à force de pousser je me suis mis à pisser de plaisir sur elle… Je lui inondais le ventre et l’entre cuisse.

– Mais regarde cette salope… dit Martine à Paul…Elle me pisse dessus !

Paul continuait à me besogner excité par ce que je venais de faire à sa femme, je ne sentais plus que des vagues de plaisir sortir de mon cul à chaque coup de bite. Mon trou était tellement sensible que je pu sentir les spasmes de la queue de Paul qui était prêt a gicler. Il se retira de mon orifice sans précaution, me redressa et l’enfila dans ma bouche. Malgré d’où elle venait je l’avalais fiévreusement, aspirant avec délectation mes propre sécrétions anale…Martine se releva et c’est mise à lui caresser les couilles d’une main et m’introduisit avec ces doigts de l’autre pendant que je le suçais. Paul ne tenant plus s’empressa de lui baisser la tête pour qu’elle aussi lui lèche son sexe poisseux.

– Bouffez mon foutre petites putes ! nous dit-il sèchement.

Et en même temps qu’il criait de jouissance, il se branla vivement et déchargea plusieurs flots de semence sur le visage de sa femme.

– Ne la regarde pas ! Nettoie là !

Ce que je fis avec délectation, puis nous nous sommes embrassé à pleine bouche avec Martine, nous mélangions nos langues baveuses, ainsi que les saveurs que Paul venait décharger sur elle. Paul nous laissa et prit une douche en nous donnant l’autorisation de nous caresser mutuellement. Je n’avais toujours pas éjaculé, mon sexe me faisait mal tellement il était raide et je le frottais contre la jambe de Martine pour faire mon affaire.

– Attend mon garçon tu ne vas pas gicler comme ça ! J’ai envie de sentir ton foutre chaud dans mon con…Mets toi sur le dos je vais te chevaucher.

Elle attrapa ma queue et s’assis dessus. Elle se l’enfonça comme un couteau chaud dans du beurre. Sa chatte était trempée et mon sexe glissait formidablement bien jusqu’au fond. Elle s’activait fiévreusement et je ne pu tenir la cadence. Je lui giclais littéralement toute ma semence dans son con sans attendre qu’elle prenne son pied.

– Ah mon salaud, tu as giclé sans m’attendre et bien tu vas me lécher jusqu’à ce que je vienne à mon tour !

Elle se leva et alla directement poser sa croupe dégoulinante au dessus de ma bouche.

– Tu vas commencer par me nettoyer la chatte! Tu dois aimer cela maintenant !

Je sortais ma langue pour lui titiller le clito mais elle n’avait pas envie de cela pour l’instant et en me regardant accroupie sur mon visage, elle poussait pour faire tomber le foutre de son con.

– Tu m’as pissé dessus tout à l’heure et bien c’est à mon tour maintenant….

Et aussitôt dit, aussitôt fait, la voilà qu’elle m’empoigne mes cheveux les tirant vers l’arrière et elle se met à me pisser dessus en m’inondant le visage…en même temps de ma propre semence venait tomber sur mon visage. J’ouvrais la bouche au maximum, elle guidant du mieux qu’elle pouvait son jet et j’avalais ce mélange divin de ma maîtresse. Quand elle eut fini je lui enfonçais deux doigts dans la chatte pour la branler.

– Oh oui… fourre moi

Vu ma position mes mouvements étaient limités et je m’enhardis en lui pénétrant de mon annulaire son petit trou qui eut le mérite de la faire hurler de plaisir. Elle prenait enfin son plaisir tant mérité.

– Oui bourre tous mes trous…Ahh ouiiii tu vas me faire jouir !!!

Et d’un râle encore plus violant que les autres elle s’abandonna complètement, jouissant aussi sec sur mon visage comme si elle éjaculait, moi heureux d’avoir donné tant de plaisir a ma maîtresse je continuais à avaler ce qui sortait de son sexe.

Dans tout ça j’en avais même oublié Paul qui n’en a pas perdu une goutte car il était devant nous avec son caméscope…

Nous avons ensuite pris une douche et ce fut avec plaisir que Paul nous servit un bon thé dans le salon.

Voilà comment j’ai découvert ma nouvelle vie et si vous le désirez vous pouvez me contacter pour partager nos expériences: avosmarc57@live.fr

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6 réponses à Changement de vie avec mes propriétaires 1 – par Marc_le_bien_heureux

  1. Roland Culé dit :

    Tant qu’il y aura des bites à sucer
    Des femmes on pourra s’en passer

    • Estonius dit :

      Ne soyez pas si tranché on peut tout comme moi apprécier le gout d’un belle bite mais cela ne m’a jamais empêché de me régaler des belles formes féminines et du gout d’une jolie chatte

  2. Chandernagor dit :

    Dommage que l’amorce soit si farfelu parce qu’après c’est pas mal du tout

    • Bigoudi dit :

      Effectivement cet entrée en matière est assez débile, ce n’était pourtant pas si difficile de trouver plus plausible.

  3. patou dit :

    dsl je ne l’avais pas direct vus qu’il y avait une suite

  4. patou dit :

    superbe histoire j’aurai vraiment aimée avoir des proprio comme ca il y a t’il une suite svp ??

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