Chemins libertins
Chapitre 10 – Au cinéma de Q
par plaisirs_extremes
Un des fantasmes d’Annick était de se faire prendre dans un cinéma porno. Elle me l’avait avoué quand je lui avais raconté que j’avais vu une fille sucer son mec en pleine séance. C’est vrai que c’était très excitant.
J’étais en train de regarder le film quand une jeune fille qui ne devait pas avoir plus de dix-huit ans passa à mes côtés. Ce que je vis d’elle, c’était une veste en jeans et des jambes interminables. On aurait dit qu’elle n’avait pas mis de jupe puisque la veste recouvrait le haut de ses cuisses. Je suivis la fille du regard. Elle était accompagnée de son mec et ils se rendirent vers le fond de la salle. Je me levai et les rejoignis, m’asseyant dans la même rangée qu’eux, deux sièges à côté. Le gars avait sortit son sexe et la fille l’avait englouti au fond de sa gorge et le faisait coulisser entre ses lèvres avec de petits bruits de succion. Ses longs cheveux bruns caressaient les couilles de son amant. Je comprenais maintenant pourquoi je ne voyais que ses jambes. Elle était vêtue d’un mini short que le garçon avait baissé sur ses jambes. Il lui caressait les fesses, faisant glisser un doigt dans sa raie. Tout à coup, le mec se raidit en poussant un gémissement et la fille avala son sperme en fermant les yeux et en gloussant de plaisir. A mon grand mécontentement, ils se rhabillèrent prestement et sans même me jeter un regard se levèrent et s’en allèrent vers la sortie.
Lorsque j’avais raconté cette scène à Annick, elle m’avait regardé avec des yeux brillants et c’est pendant que je la prenais, couchée sur elle, qu’elle me demanda de réaliser son fantasme ce que j’acceptai bien sûr avec empressement.
Elle était belle ma petite femme. Pour l’occasion, elle avait vêtu une minijupe en cuir noir qui cachait à peine la lisière de ses bas retenus par un porte-jarretelles. Une blouse blanche toute simple nouée sur son ventre recouvrait sa poitrine nue que l’on devinait dans l’échancrure du décolleté. Des souliers à talons aiguilles venaient couronner le tout. Moi qui fantasmais sur les hauts talons, j’étais servi ! Avait-elle mis un slip ? Je n’en savais rien, elle n’avait pas voulu que ma main baladeuse aille se nicher entre ses cuisses. Mais connaissant le penchant pour le plaisir que procure un petit souffle d’air sur ses lèvres sexuelles, j’étais presque certain qu’aucun rempart n’entraverait la progression de ma queue jusqu’à sa chatte.
– On y va ?
– Tout de suite, je finis de sécher mes ongles.
Ah la la, petits problèmes féminins, tellement doux pour l’homme aimant que je suis.
– Voilà, je suis prête, tu as vu, j’ai mis à ma cheville la chaînette que tu m’as offerte.
– Je t’adore.
Il nous fallait environ une demi-heure de route pour arriver jusqu’au centre ville. En s’asseyant sur le siège de la voiture, la jupe d’Annick était remontée assez haut pour que je puisse entrevoir le haut de ses bas.
– Chéri, regarde.
En tournant la tête, je vis qu’elle avait relevé sa jupe et, écartant les cuisses en grand, je voyais les lèvres rasées de son sexe. Je ne m’étais donc pas trompé, la cochonne ne portait pas de slip. Elle passa un doigt dans sa fente, titillant au passage son clitoris qui sortit d’un coup de sa gangue protectrice. J’avais de la peine à suivre la route des yeux. Annick faisait tournoyer son index sur le petit bouton durci. Elle avait rejeté sa tête en arrière et fermé les yeux. Sa poitrine se soulevait de plus en plus vite. Elle enfonçait ses doigts dans sa vulve béante et je voyais très bien l’humidité luisante qui maculait ses grandes lèvres. A maintes reprises j’avais failli sortir de la route en regardant ce délicieux spectacle.
– Tu sais, j’aimerais bien sentir ta langue, là, maintenant, que tu lèches toute ma fente, que je sente tes dents sur mon petit clito et ton doigt dans mon cul, me dit-elle en tournant la tête vers moi en souriant.
Dans mon pantalon, c’était l’incendie. Je bandais comme un taureau et je ne savais plus comment me mettre pour que ma queue ne fasse pas éclater ma fermeture éclair.
– Si tu savais comme tu me fais bander.
– Hum, montre-moi ça.
Elle porta sa main jusqu’à mon entrecuisse et caressa mon sexe par-dessus le pantalon. La situation devenait scabreuse.
– J’aimerais bien te faire décharger dans ma bouche, mais ce serait dommage, je veux que tout à l’heure, au cinéma tu gicles toute ta semence au fond de moi. Alors, retiens-toi me dit-elle avec un petit sourire amusé.
– Non, je ne pourrai pas.
– Mais si, ne t’en fais pas, je sais que tu en es capable.
Et elle se remit à sa place, écarta à nouveau ses jambes et masturba avec acharnement sa chatte. Elle enfonçait sans retenue trois de ses doigts réunis jusqu’au plus profond de son sexe, les faisant aller et venir puis remontait sur son clitoris pour le masturber un moment et redescendait éprouver l’élasticité de son vagin.
A ce petit jeu, elle ne fut pas longue à jouir et c’est dans un cri rauque qu’elle s’abandonna au plaisir, sa main emprisonnée entre ses cuisses qu’elle avait refermées.
Nous arrivions en plein centre ville. La circulation comme d’habitude était très dense. Je trouvai néanmoins une place de parc non loin du cinéma. Je descendis de la voiture et allai ouvrir à ma passagère. En sortant, elle écarta les jambes ce qui eût pour effet de découvrir le haut de ses cuisses et mon regard plongea jusqu’à sa chatte imberbe.
– Oh pardon me dit-elle en feignant la gêne, puis elle m’embrassa tendrement la joue.
– On y va ?
– On y va !
Je la fis passer devant moi afin d’admirer sa démarche chaloupée. A chaque pas, la jupe se relevait un petit peu, laissant dépasser un bout de la lisière de ses bas noirs. Ma foi, c’était très excitant.
Nous étions arrivés devant le Rialto. Le film s’appelait: « Petits culs pour sexes bandés ». Je pris les billets et Annick et moi entrâmes dans le cinéma.
Des silhouettes se détachaient sur l’écran où une femme à quatre pattes se faisait enculer sans ménagement par une queue d’un calibre respectable. Je choisis une place au fond de la salle. Nous étions seuls dans la rangée ce qui nous laissait la possibilité de faire beaucoup de choses.
Annick s’était assise en retroussant complètement sa jupe ce qui lui permettait d’écarter au maximum ses jambes. Je voyais la tache sombre que faisaient les poils sur le haut du pubis alors qu’un peu plus bas, les lèvres rasées étaient encore luisantes du plaisir qu’Annick s’était donné dans la voiture.
Pour ma part, j’avais sorti ma queue et je la caressais lentement. Les images du film m’excitaient prodigieusement. Deux femmes étaient entrain de se gougnoter en soixante-neuf pendant qu’un mec pénétrait sans ménagement le cul qui lui était tendu. De temps en temps, il ressortait sa verge et la faisait disparaître dans la bouche de la femme qui était entre ses jambes. Puis il la replantait dans le trou offert.
Annick avait posé sa main droite sur ma queue et sa main gauche caressait doucement son sexe. Elle approcha sa bouche de mon oreille et me chuchota doucement:
– Ca t’excite tout ça hein mon gros cochon.
– Hum, on le serait à moins.
Et je l’embrassai à pleine bouche.
Tout à coup, je vis deux personnes venir jusque vers nous. Il s’agissait d’une superbe femme blonde. Elle devait avoir dans la trentaine. Elle était vêtue d’une blouse blanche, totalement ouverte sur le devant, cachant à peine ses seins et d’une jupe qui essayait bien maladroitement de recouvrir son sexe. Elle était accompagnée d’un mec très grand, baraqué avec les cheveux châtains mi-longs, bref, tout ce qu’aimait Annick. Celle-ci, un petit peu paniquée referma prestement ses cuisses. La jeune femme s’assit à côté d’elle et lui sourit gentiment.
– Ne t’en fais pas, je ne vais pas te manger, lui dit-elle dans un souffle. Comment t’appelles-tu ?
– Annick
– Ca te dirait de te faire lécher par une femme, Annick ?
Elle se tourna vers moi et je lus dans ses yeux un mélange de surprise et d’interrogation. Je lui fis un petit signe d’encouragement de la tête.
– Oui, ça me plairait bien.
A ces mots, la jeune femme se mit à genou entre les jambes d’Annick et posa ses lèvres sur son sexe. Les soupirs de jouissance du film couvrirent à peine le gémissement de plaisir de ma petite femme. Elle prit la tête entre ses mains et la plaqua très fort contre son bas-ventre. J’avais passé une de mes mains dans l’échancrure du corsage de la blonde et je lui pelotais les seins qu’elle avait très développés. Je faisais rouler sous mes doigts les longs tétons durcis par le plaisir.
Pendant ce temps, le mec s’était déplacé d’un siège et s’était assis juste à côté d’Annick. Il défit un à un les boutons de sa blouse et passa la paume de sa main sur sa poitrine. Puis il avança sa bouche jusque dans la nuque de ma partenaire. Celle-ci manifesta son contentement en poussant un gémissement rauque. Son visage était illuminé par un sourire de bien-être. Son bassin se tendait vers la langue de sa bienfaitrice. Elle avait écarté ses lèvres à l’aide de ses deux mains, faisant darder son clitoris qui était aspiré, mordillé, léché par la jeune femme. Je sentais aux contractions des muscles de ses cuisses qu’Annick n’allait pas tarder à jouir. Elle avait abandonné sa bouche au jeune homme à côté d’elle. Je voyais un filet de salive s’écouler lentement à la commissure de ses lèvres. Enfin, tout son corps se cabra et elle jouit furieusement en gémissant sous le baiser de son amant.
– Eh bien lui dit la blonde, tu promets, toi.
– Hum, c’était délicieux, tu sais très très bien lécher une chatte.
– Eh, c’est ça les années d’expérience.
– Ca vous dirait de venir boire un verre chez nous pour que nous puissions faire plus ample connaissance, nous demanda le jeune homme ?
– OK, on vous suit.
A suivre